ATTENTION : remarques préliminaires importantes à lire en Part I !

PART IX : Can I Play With Madness - The Evil That Men Do

Après le genial “Somewhere In Time”, IRON MAIDEN poursuit ses expérimentations et accouche avec “Seventh Son Of A Seventh Son” d’un disque quasi conceptuel brillant, truffé lui aussi d’arrangements et de claviers. Les deux singles concernés par cet EP n’en paraîtront que plus incongrus dans leur antinomie, « Can I Play With Madness » étant un morceau catchy et assez gai dans ses sonorités, à l’opposé du rapide et sombre « The Evil That Men Do », grand morceau de la vierge de fer.
Les face B ? « Can I Play With Madness », premièrement, est associé à la reprise de qualité de l'excellent « Massacre » de THIN LIZZY (titre issu de l’album « Johnny The Fox » de 1976) et à la curiosité « Black Bart Blues », un titre assez… Blues ? Non, il s’agirait plutôt d’un titre Hard Rock 70’s plus déconne et anecdotique qu’autre chose, avec des exhortations de Nicko, des entames de morceaux aussitôt avortés (dont « The Evil That Men Do » d’ailleurs) et de la parlotte. Bof !
Deuxièmement, « The Evil That Men Do » est agrémenté de versions estampillées 1988 de deux giffles de l'album « Iron MAIDEN », à savoir « Prowler » et « Charlotte The Harlot » : la production est meilleure (heureusement), Dickinson s’en sort bien, mais je continue à préférer les originales. Et Nicko, qu’en pense-t-il, lui ? Que c’est un EP sympa ? Ouais, on va dire ça…