Le 09 Juin 2023 par MYCROFT

Contrairement aux groupes occidentaux, il y a très peu de rumeurs et d'histoires non officielles sur ce groupe.

Je ne sais pas si c'est le système japonais qui veut ça, mais hormis la version officielle relatée dans ce documentaire, le fan curieux n'a rien à se mettre sous la dent.

On sait finalement peu de choses sur Yoshiki et encore moins sur les autres membres du groupe qui ne s'expriment pour ainsi dire jamais.

X JAPAN reste un mystère, responsable de l'un des plus grands gâchis de l'histoire du Rock, car le potentiel du groupe n'a jamais pu se révéler à l'international pour cause d'album sans cesse retardé.

On reste face à des fantasmes, des "et si" et un sentiment d'inachevé face à la carrière de ce groupe à nul autre pareil.

Le 09 Juin 2023 par HEAVY METAL KID

J’ai souvent vu accolé au titre de cet album « chef d’œuvre de Prog » : « Chef d’œuvre », pourquoi pas, même si je ne le considère pas comme tel et que je trouve que le Metal ne compte pas tant de chefs d’œuvre que ça ; « Prog » en revanche me fait tiquer : je ne peux qualifier ainsi ce disque. Les chansons suivent le schéma classique avec couplets et refrain, sauf la longue pièce centrale, très différente du reste. Quant à l’atmosphère, si elle fut travaillée et est de qualité, peut-elle justifier ce qualificatif ?
Au-delà de cette considération lexicale, cet album est plutôt bon, varié, inspiré, fort plaisant. L’intro "Anarchy-X" est jouissive, presque géniale grâce l’enchaînement réussi sur la première chanson, tout aussi excellente. Après, et c’est le problème que j’ai avec ce disque, je trouve que ces premières minutes sont les meilleures de cette heure de Heavy classieux, mais moins "relevé".

Le 09 Juin 2023 par HEAVY METAL KID

Musicalement, c’est du bon Thrash, mais sans riff qui tue pour moi. Du Thrash bon, efficace, dans un style travaillé et reconnaissable, mais... lourdingue.

Le plus agaçant chez ANTHRAX (sur cet album comme sur le précédent et les deux suivants) est de supporter le flot de paroles. Je ne critique pas la voix de Belladona, ni son ton enragé ou sa passion, ni même les lignes de chant (quoique, "NFL", ...) mais souvent les paroles sont de trop : c’est surabondant, mal calibré, avec des refrains répétitifs et trop longs parfois (surtout couplés à un pré-chorus), jusqu’à l'écœurement.
ANTHRAX n’est pas le seul groupe à vite m’ennuyer sur ce sujet (SACRED STEEL, SABABT UK, FOD DETHRONED...), mais parfois je me demande si les musiciens, en concert, n’aimeraient pas abréger ces compositions, et dire au chanteur : « Bon, ça va, on a compris, on passe à la suivante ! ». Oui, les compositions auraient peut-être gagné à être raccourcies.
Je comprends tout à fait, à l’aune de ce disque, qu’on puisse se demander ce qu’ANTHRAX foutait dans le "Big four". Mais en même temps, qui voulez-vous sérieusement mettre à la place ?? Et puis, le groupe avait un charisme différent, mais qui le rendait assez attachant aussi. Les anti-ANTHRAX se contenteront d’un "Big three", et c’est baste.

Le 09 Juin 2023 par DJINN

EPICA a eu le mérite d'entretenir une forte fan-base en arrivant tardivement sur la scène Metal Goth. On se demande même comment ils ont fait.
Leurs débuts reprenaient le style du THERION de "Theli", sans la fraîcheur de l'innovation, et tous leurs défauts : rythmiques basiques, morceaux peu arrangés semblant encore à l'état d'ébauche.

Puis EPICA est tombé dans la marmite du Metal Prog, qui a toujours des rythmiques basiques, mais pas les mêmes. Prog Metal mélangé à des orchestrations et un chant opératique mélangé à des growls. A la réflexion, c'est un mélange de clichés Metal, ce qui rend leur musique paradoxalement assez originale. Reste que c'est un peu lourd à digérer, et pas toujours du meilleur goût.

On en est encore un peu là sur ce disque. Il paraît qu'il y a des nouveautés, mais je n'ai pas la patience des chroniqueurs. Je ne crois pas être allé au bout d'un seul disque d'EPICA. J'admets qu'à l'instar d'AMORPHIS, il s'agit d'un groupe majeur de la scène. Auquel je n'adhère pas.

Le 08 Juin 2023 par BLUEMASK

Un bien bel album de Stoner Light, c'est un nouveau sous-sous-genre. Leur premier disque "Age Of Winters" était un disque de gros Stoner, dans la mouvance de SLEEP, et il y a ici une nette évolution.
Nettement moins psychédélique, plus direct, c'est finalement un disque assez frais et léger, un genre de rosé, là où KYUSS est un Bordeaux bien charpenté par exemple. On retrouve du riff typiquement Heavy Stoner, un chant d'obédience OZZYesque assez typique du genre, des rythmiques assez proches d'un METALLICA post 2005, mais en format ligne claire. Un peu comme FU MANCHU mais avec des vraies compositions. Bref, sans révolutionner le monde, un bon disque à écouter en bagnole, l'été, la fenêtre ouverte. Ce genre là, quoi.

Le 08 Juin 2023 par FINISHERFRANKY

Je découvre. Parce que je recherche de l'atmosphérique dans le Metal mais je m'y perds dans tous les tiroirs du Metal parce que je viens des années 80 où c'était plus simple. J'aurais pu aimer si le chant ne m'avait pas emmerdé à ce point. Timbre, mélodies semblables sur tous les titres... inécoutable pour moi. Et je ne parle pas de la batterie. Désolé les amis.

Le 08 Juin 2023 par THORPEDO

Un peu à l'image du KHONSU commenté hier, ce AENAON fait partie de ces albums qui me plaisent beaucoup dans le Black Prog.
C'est barré, c'est fou, ça part dans tous les sens.
Bref, ça me parle et je l'écoute encore avec plaisir.
Le chant est extrêmement varié, du clair, du black, du hurlé et s'associe très bien avec cette musique de dingue.
On ne s'ennuie jamais avec AENAON.
Je ne connais pas encore le reste de leur discographie. J'ai du boulot !

Le 08 Juin 2023 par FRED87

Ça m'a pris 23 ans à apprécier cet album à sa juste valeur ! Un véritable album déroutant, SEPULTURA ne se contente pas de faire du "fan service". De toute manière, dans le Thrash classique, ils avaient tout dit avec "Schizophrenia", "Beneath The Remain" et "Arise".

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

Sans être un spécialiste du Black au sens large (je préfère les sous-genres que le Black Trve Kvlt que j'ai bien du mal à comprendre même si je comprends la démarche), j'y trouve de temps en temps mon bonheur comme sur ce disque de KHONSU.

Première chose, la pochette est magnifique et donne une bonne idée de la musique du groupe.
C'est riche et fouillé, pas forcément facile d'accès tout en invitant à se pencher sur cette oeuvre.

C'est ce genre de groupe qui m'ont aidé à m'intéresser à des genres qui ne m'appartenaient pas au départ. Donc merci KHONSU !

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

UGLY KID JOE, c'était bien marrant sur "America's Least Wanted" et "As Ugly As They Wanna Be"... et puis c'est tout.
Le reste de la disco est franchement pas terrible en commençant par ce "Motel California" auquel je ne peux mettre plus que deux étoiles.
Et encore, je suis plutôt généreux sur les notes.

Seule chanson qui trouve réellement grâce à mes yeux : "Sandwich".
Allez, je sévis, une chanson = une étoile.

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

Sans être un détracteur de l'OPETH nouveau, que apprécie aussi, étant moi-même fan de Prog au sens le plus large du terme, je dois bien avouer que l'OPETH ancien, c'était aut'chose, ma p'tite dame !

Cet album... quel album !
Des compos inspirées, une interprétation magistrale, une production soignée signée STEVEN WILSON quand il n'était pas encore trop bobo pour être honnête.
Je vais forcément lui mettre 5 car ça tourne encore souvent chez moi.

Mikael Akerfeldt a quand même cette particularité d'être absolument convaincant dans les deux chants, ce n'est pas si fréquent. Je pense à des Evan Berry de WILDERUN, Mikko Kotamäki de SWALLOW THE SUN ou Tomi Joutsen d'AMORPHIS, mais le bon Mikael a clairement ouvert la voie.

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

"Ride The Lightning" est un album culte comme tout ce qui touche de près ou de loin aux METALLICA des années 80.
Tellement culte que c'est l'album préféré de Joey De Maio.
Mais peut-on faire plus culte que cela, je vous le demande mes amis !!
Certains diront "cuculte" mais ne nous attardons pas sur les attardés !

Il a le grand avantage d'être très varié :
- Thrash ("Fight Fire With Fire"...)
- Heavy ("For Whom The Bell Tolls")
- Power Ballad ("Fade To Black")
- Instrumental ("The Call Of Ktulu"), etc.
Il y a de tout et c'est très bien ainsi.

"Kill 'Em All" était un poing dans la gueule.
"Ride The Lightning" en est aussi un mais METALLICA a eu la bonne idée d'enfiler un gant avant d'asséner sa décharge.
"Master Of Puppets" écrasera tout sur son passage, mais c'est encore une autre histoire...

En tant qu'album culte, il n'y a pas grand chose à jeter là-dessus.
Peut-être un petit coup de moins bien avec l'enchaînement "Trapped Under Ice"/"Escape" dont le refrain me faisait dire à l'époque - je parle des années 90 - que cela ressemblait à un refrain de Boys Band.
On est cons quand on est jeunes !
Quand on est vieux aussi mais pas au point de baisser la note de ce chef-d’œuvre du Metal.

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

Les GUNS N'ROSES ont été en 1990 ma porte d'entrée dans l'univers du Hard Rock, donc des héros à tout jamais.
Alors bien sûr, je vénère "Appetite for Destruction", j'adore "Use Your Illusion I", même si je lui préfère le II, j'aime bien "GN'R Lies"... mais aussi "Chinese Democracy" (ouioui ! Bien meilleur que n'importe quel album solo de Slash ou Duff) et même ce "The Spaghetti Incident?" que tant de monde conchie.

Avec cet album, les GUNS N'REPRISES nous sortent un album de covers franchement réussi et très intéressant puisqu'il permettait aux ignares de découvrir plein de groupes.
Les reprises sont toutes à la sauce GUNS et c'est ce qui rend aussi cet album indispensable pour les fans du groupe.
J'aime toutes les chansons même si je zappe souvent le tube "Since I Don't Have You" bizarrement placé en début d'album.
Mention spéciale à "Ain't It Fun" qui est un véritable bijou.

Cet album n'est bien sûr pas celui qu'on ferait écouter à quelqu'un qui voudrait tester les GUNS pour la première fois mais demeure un excellent disque.

4/5.

PS : j'avais un t-shirt "The Spaghetti Incident?" à l'époque qui consistait tout simplement en une reproduction de la pochette sur l'intégralité du tissu. Effet dégueulasse garanti !
J'adorais ce t-shirt !

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

Un premier album qui a marqué toute une époque, rien de moins.
De "Bombtrack" à "Wake Up", c'est un sans-faute, j'aime moins les trois dernières...
Cela reste un game changer et le seul chant hip hop que je trouve plaisant.
Ils ne feront jamais mieux ensuite.
Je dirais même qu'ils ne s'en sont plus jamais approchés.
4,5/5.

Le 07 Juin 2023 par THORPEDO

Ces derniers jours j'ai commenté pas mal d'album des années 90, j'ai oublié un des meilleurs.
Ce n'est pas réellement mon genre musical (inutile de revenir sur le terme "Grunge", je trouve moi aussi qu'il ne correspond pas à la musique de PEARL JAM, ni même à celle de SOUNDGARDEN ou ALICE IN CHAINS soit dit en passant), mais c'est une bombe imparable.
C'est le seul que j'ai du groupe et il me suffit pour toute une vie.
C'est fou quand on y pense.

Le 07 Juin 2023 par DAV

Peut-on dire qu'être fan de Death Metal, ou simplement de Metal extrême généraliste (Death/Thrash/Black), serait une certaine forme de déviance, de perversion ?

Je me pose cette question philosophique pour deux raisons, et la première, la plus évidente concerne d'abord l'aspect musical de ce style, ou plutôt A-musical justement, compte tenu du caractère atonal, dissonant, violent voire sauvage de la musique de la plupart des artistes Death Metal. Je précise que mes affirmations sont toujours basées sur une impression générale, car la vie est grise, jamais noire ou blanche, donc elles ne concernent pas forcément TOUS les groupes du genre. Mais surtout, la deuxième raison, c'est ce que j'appelle le "folklore", à savoir tout ce qui tourne autour d'une culture, d'un art ou d'un style de musique notamment, et qui est souvent lié à l'aspect visuel de ceux-ci.

Et dans le cas du Death Metal, le moins qu'on puisse dire est qu'on est servi à ce niveau-là ! Entre le titre des chansons et leurs textes de serial-killer basés sur des histoires de meurtres, carnages etc. et qui n'hésitent pas à aller dans les détails les plus gore pour le plus grand plaisir des poètes, et ces albums aux pochettes... abominables, c'est le mot, d'un mauvais goût total et absolu (mais assumé) comme celles des CANNIBAL CORPSE, ABORTED et autres CATTLE DECAPITATION, tellement affreuses que lorsque qu'il m'arrive d'acheter des albums de CANNIBAL CORPSE en magasin (oui, aussi fou que cela puisse paraître, il existe encore des hommes des cavernes comme moi qui achètent des CD), je ne peux m'empêcher de ressentir une forme de honte au moment de passer à la caisse, sentiment décuplé si en plus le caissier s'avère être une caissière toute mignonne.

Pour en venir à The BERZERKER, groupe de Death venant d'Australie (ça change un peu des USA et de l'Europe), leur album "World Of Lies" évolue dans un style hybride mélangeant du Death Metal avec des éléments issus du Hardcore (ou Techno Hardcore). En effet, si le Death reste l'élément principal à travers les riffs et le chant guttural, le côté Hardcore lui est incarné à la fois par la batterie au son très synthétique, très "boum-boum" (d'où l'aspect Techno), mais aussi dans les textes des chansons qui se distinguent complètement des clowneries sanguinolentes un peu cliché des groupes de Death, pour adopter un ton vindicatif voire contestataire typique du Hardcore. Mais surtout, "World Of Lies", ce n'est rien de moins que le meilleur album... du groupe ? Non, plus que ça, le meilleur album de Death Metal de tous les temps... pour MOI. En effet, "World Of Lies" ce sont douze missiles sonores (je mets de côté le titre final, j'y reviens après) aussi destructeurs qu'incroyablement efficaces, malgré l'ultra-violence du style pratiqué.

Des arguments ? Déjà le chanteur est énorme, corrosif à souhait dans son timbre, et dispose de surcroît d'une tessiture impressionnante allant du Death ultra grave jusqu'au Black Metal le plus haut perché et écorché qui soit (on n'est pas loin du niveau de Dani de CRADLE OF FILTH par moments), et il module parfaitement entre ces deux pôles. Les morceaux quant à eux sont assez variés dans leur tempo, où on alterne entre des morceaux foudroyants ("Committed To Nothing", "Burn The Evil", "Follow Me", "Afterlife", "Constant Pain") et d'autres plus mid-tempo davantage centrés sur la lourdeur ("Black Heart", "World Of Tomorrow", "As The World Waits"). Les guitares quant à elles, sous-accordées six pieds sous terre comme il se doit pour ce genre de musique, enchaînent les riffs de tueurs, toujours accrocheurs et même... mélodiques ! En effet, là se situe un des atouts inattendus de "World Of Lies", à savoir cette capacité à proposer des riffs et des thèmes de guitare à la fois violents, rapides ou écrasants mais sachant aussi faire preuve de "mélodicité" grâce à l'influence perceptible du mode phrygien dominant dans la façon par laquelle s'articulent les riffs, dont certains se rapprochent de Slayer par ailleurs ("Black Heart", "Y", "As The World Waits", "Never Hated More"). Ainsi, l'album évite le piège de l'atonalité pure qui consiste à enchaîner des riffs chromatiques en "escaliers", au point de perdre tout repère.

Le seul bémol de l'album se trouve dans le dernier titre, "Farewell", et sa longueur démesurée. La musique en elle-même est réussie, grâce à son côté épique en mode "générique de fin de film", mais vingt minutes c'est trop long. Hormis ce détail, "World Of Lies" est un rouleau compresseur dévastant tout sur son passage, une source intarissable de force me concernant, afin d'affronter la dure réalité de ce monde de mensonges corrompu jusqu'à la moelle à cause d'élites irresponsables voire criminelles, une source inépuisable de force afin de faire face aux gens que je considère comme mes ennemis, des traîtres faisant semblant de vous serrer la main pour mieux vous cracher dans le dos ensuite. Bande d'enfoirés.

Note: 6,66/5 arrondie à 5 par défaut.
Morceaux favoris : tous sauf "Farewell", trop long.

Le 06 Juin 2023 par STEPHOU

Alors là.... Je ne peux pas leur en vouloir, ils n'ont plus rien à prouver, mais vraisemblablement il n'y a plus d'essence dans le moteur a création. C'est mou, c'est chiant comme un mauvais plagiat d'eux-mêmes...

Le 06 Juin 2023 par THORPEDO

Sûrement l'album que j'aime le moins d'IRON MAIDEN après "Virtual XI"... Je lui préfère largement les très décriés "Senjutsu" et "The X-Factor" (ce dernier, je l'aime beaucoup aussi étonnant que cela puisse paraître).

Sorti entre un chef-d'oeuvre, "Seventh Son...", et un excellent album "Fear Of The Dark", cet album fait un peu tâche et on ne retient et ne sauve pas grand chose de tout cela.
Sans être une catastrophe absolue (je ne réserve ce statut qu'à l'inécoutable "Virtual XI"), il ne mérite pas plus de deux étoiles.

Le 06 Juin 2023 par THORPEDO

Je l'ai répété plusieurs fois sur NIME, je préfère Tim "The Ripper" Owens à Rob Halford.
Et pas qu'un peu.
Comment ? Pourquoi ? Qu'est-ce donc ?
Avant de crier au crime de baise-majesté, c'est mon choix et je l'assume !
Il y a bien sûr plein de bonnes choses avec Rob au chant mais c'est avec sa voix que j'ai de plus en plus de mal.

Ceci dit, il m'arrive de faire tourner "Metal Works '73-'93" de temps en temps car JUDAS PRIEST reste un groupe important de l'histoire du Metal et qu'un Best-Of me permet de faire un peu le tour de leur discographie sans risquer l'overdose de Rob Halford !

À force d'entendre dire que "Firepower" est une tuerie, que c'est le retour du grand PRIEST, qu'Halford est encore le "Metal God" et autres joyeuseries, je me suis laissé tenter par ce dernier album en date du broupe britannique.
(paraît qu'ils sont sur le point d'en sortir un autre très bientôt)

Que dire ? Rien de nouveau sous le soleil me concernant.
JUDAS PRIEST fait du JUDAS PRIEST mais en moins bien et avec un chant qui ne me convient toujours pas/plus.
Si on ajoute à cela l'absence des guitaristes historiques, la messe est dite !
Un album très dispensable, pas meilleur qu'un "72 seasons" ou qu'un "Senjutsu", autres derniers albums décriés de dinosaures de la scène.
Je dirais même inférieur me concernant...

Le 06 Juin 2023 par THORPEDO

Je n'ai pas noté "Invictus", non mais sérieux, comment ai-je osé ?
C'est riche, c'est puissant, c'est violent, c'est beau, c'est magique.
Un point par qualificatif donc 5 étoiles et puis c'est tout.
Ils feront encore mieux avec les deux suivants mais "Invictus" est déjà un chef-d'oeuve à part entière.
Je l'écoute encore souvent 25 ans après sa sortie... c'est un signe !