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The GATHERING
THE WEST POLE


Le 28 Juillet 2022 par ZOMBIEMAN


L'un des albums les plus faibles du groupe à mon sens. Certains titres sont assez passe-partout. N'en restent pas moins quelques pépites, qui m'ont fait écouter et réécouter cet album de nombreuses fois. Rien que pour ça, je ne peux pas être totalement déçu. Pas emballé non plus.





The GATHERING
DISCLOSURE


Le 28 Juillet 2022 par ZOMBIEMAN


Un vrai bonheur à écouter et réécouter. Le son est très fluide, les mélodies hyper accrocheuses. C'est doux et rythmé à la fois. Pour moi, l'un des meilleurs du groupe. Je mets la note maxi car c'est un album que j'écoute régulièrement sans me lasser.





Patrick RONDAT
ON THE EDGE


Le 28 Juillet 2022 par FAKE ELECTIONS


Bizarrement, je ressors plus souvent celui ci que "Amphibia" que je trouve surcoté. Et puis quand j'écoute le titre avec Petrucciani, j'ai envie de pleurer tellement c'est génial. À noter que Didier Lockwood est lui aussi décédé, RIP mec. Je rêve d'un album avec Rondat, Dug Pinnick, Marcus Miller et Cammie Gilbert (OCEANS OF Fuckin' SLUMBER) au chant... Oui il faut rêver.





The GATHERING
THE WEST POLE


Le 28 Juillet 2022 par STEVEN WILSON


Deux titres sur dix qui sont assez bons dans un océan de médiocrité malgré la très belle voix de Silje. Produit en croix, notation en conséquence.





Patrick RONDAT
ON THE EDGE


Le 28 Juillet 2022 par BAKER


Pour moi, l'excellence de Rondat tient dans cette dichotomie. Il est ami et partenaire de Jean-Michel JARRE, dont vous savez désormais tous que je suis überfan, avec cet amour des synthés, des couches, des fréquences et du détail millimétré.

Mais il peut aussi offrir son dernier solo à un Michel Petrucciani en piano acoustique live et bare-bones qui sonne putain de bien et est réellement à sa place. "On The Edge" est un chouïa moins génial que "Amphibia" mais c'est comme dire que Natalie Dormer est moins belle que Claudia Schiffer...

Allez je la tente ? À tous les shreddeurs qui veulent placer trois trilliouzes de notes à la seconde sans un atome de feeling, j'ai une question : ... on n'attend pas Patrick ?!





The GATHERING
THE WEST POLE


Le 27 Juillet 2022 par MAGNU


Quinze ans après, comme Clansman57, je trouve que c'est le moins bon depuis le départ d'Anneke et je révise un peu mon jugement même si je ne l'avais pas noté. Il y a une perle atmosphérique nommée "Capital Of Nowhere" et le morceau titre "The West Pole" qui surnagent. Le reste est plus anodin mais loin d'être désagréable.





The GATHERING
DISCLOSURE


Le 27 Juillet 2022 par MAGNU


Je ne l'avais pas noté celui-là... plus atmosphérique et donc bien meilleur que "The West Pole", on retrouve l'esprit aventureux du groupe.





FELLOWSHIP
THE SABERLIGHT CHRONICLES


Le 27 Juillet 2022 par DJINN


J'aime beaucoup. Le guitariste sait pondre des soli plutôt marquants.

"Until The Fire Dies" est un hit, mais un titre quand même casse-gueule. On a l'impression de se faire un petit plaisir coupable. Et c'est là le hic : si on se sent coupable, c'est qu'on a un peu conscience que ça assume trop de clichés.
Même NANOWAR OF STEEL ne doit pas toujours être écouté d'une oreille trop distraite pour comprendre le détournement.

"Oak And Ash" me paraît une meilleure carte de visite. Très DRAGONFORCE, en effet, mais en plus organique et moins exercice de style. Dans l'ensemble l'album n'a pas de vitesse directrice, et ça le rend assez digeste.

Pas le nouveau EDGUY mainstream, on est plus sur du Power roots. On a l'impression d'être revenu en 2002 avec le premier DREAMTALE. À cette époque, il sortait dix nouveaux groupes tous les mois. Tant que FELLOWSHIP n'est pas cloné, on suivra sa carrière avec attention.





Rory GALLAGHER
PHOTO FINISH


Le 27 Juillet 2022 par LONG JOHN SILVER


Trop peu de réactions de lecteurs concernant Rory, c'est dommage. C’est aussi vrai sur FP. Alors j'en profite pour saluer le travail de Dark Beagle, on ne mettra jamais assez en avant le barde irlandais. Perso cette chronique m'a donné envie de réécouter un album qui reste mon préféré dans la disco studio du bonhomme. Je garde un attachement très particulier à ce disque car ce fut le premier que j'ai acheté rien qu'en reluquant sa pochette, sans savoir vraiment ce que j'allais y trouver. Et j'adore (presque) tout ce qu'on y trouve à l'intérieur, à commencer par sa prod' in your face, quasiment sans overdubs. À part "Cloak And Dagger" (titre assez faible comparé aux autres), je suis très fan de "Shadow Play" (un classique) & consorts. Mention spéciale pour "Overnight Bag", une superbe chanson, où l'émotion perle aussi de la voix singulière de Rory. Oui, j'aime beaucoup cette voix, emplie de feeling, typiquement irlandaise qui me fait penser à celle d'un autre irlandais, Phil Lynott. Et à celle de Jimi Hendrix également. mais des trois c'est celle de Rory que je préfère. L'homme était magnifique à la guitare, on s'en rend encore plus compte sur les Lives que je suis en train de me repasser après m'être enquillé ce disque. "Check Shirt Wizard" est monstrueux, "Stage Struck" est hallucinant de puissance et "The Beat Club Sessions" est indispensable. "Irish Tour '74" est un monument indépassable, la partie Live de "Notes From San Francisco" nous laisse sur le derche, "Live! In Europe" est grand. Et il y a les Lives de TASTE aussi. Certains sont déjà traités ici, et les autres ?





D-A-D
RISKIN' IT ALL


Le 26 Juillet 2022 par BLUEMASK


DAD représente bien la malédiction de faire du Rock en n'étant pas anglo-saxon. Ces mecs ont tout, le talent, l'humour, l'attitude, les mélodies, un feeling débordant et ne sont que le plus grand groupe de Rock du Danemark. A l'échelle internationale ils ne sont rien alors que des groupes américains avec dix fois moins de talent ont explosé.

C'est ainsi et finalement pas bien grave, mais cet album et globalement tous leurs albums sont hautement des must-have pour tout ceux qui aiment le Hard Rock Bluesy et Punky. Faite pas chier avec AC/DC, parlons ROSE TATOO, AEROSMITH, RAMONES, ROLLING STONES, Dr FEELGOOD.





FELLOWSHIP
THE SABERLIGHT CHRONICLES


Le 26 Juillet 2022 par PILGRIMWEN

Effectivement, le parallèle avec les Finlandais de SONATA ARCTICA est flagrant ! L'ensemble est admirablement ficelé. Je ne m'attendais pas à ce que ce disque, somme toute agréable, se retrouve en tête de gondole sur NIME.





MOURIR
DISGRâCE


Le 26 Juillet 2022 par REPLICANT


Très bon album. Je dirais même le meilleur du mois. Quant à Huysman, Zolu et Seline … LED ZEP, ROLLING STONES et pas mal d’autres plagiaires me disent : it's only rock'n'roll.





SHINEDOWN
PLANET ZERO


Le 26 Juillet 2022 par AXL


Effectivement un bon cru de SHINEDOWN ! Je nuancerais toutefois l'enthousiasme de la chronique principale, je trouve quand même quelques défauts à ce "Planet Zero", et en premier lieu un nombre de ballades vraiment conséquent (5 sur 13 "vrais" titres, ça fait quand même beaucoup). Certains titres font un peu office de remplissage ("Army Of The Underappriciated", "Sure Is Fun", "Hope"...), ce qui n'aide pas à donner une dynamique constante à cet album.

Malgré tout, on trouve ici de vrais moments de grâce (j'adore notamment le final "What You Wanted") et suffisamment de morceaux de qualité, sans artifices superflus, qui font pencher la balance du bon côté. Bien joué !

3,5/5.





JOURNEY
FREEDOM


Le 26 Juillet 2022 par AXL


Quelle déception... J'hésitais entre une et deux étoiles, mais je retiens tout de même deux titres vraiment sympas ("Together We Run" et "The Way We Used To Be") et quelques passages intéressants, Schon étant un guitariste incroyable malgré tout.

Pour rester sur la période Pineda, j'ai largement préféré le plus homogène "Revelations" et le plus osé "Eclipse". Ici, le groupe semble complètement rincé, la première partie est plombée par le nombre de ballades, et les titres plus énergiques présents par la suite manquent pour la plupart cruellement de mélodies marquantes, un comble pour JOURNEY ! Plus je l'écoute, plus je suis sévère à l'égard de "Freedom".

La production est franchement dégueulasse, indigne d'un groupe de cette stature. Pour finir, je suis complètement d'accord avec l'auteur de la chronique sur la durée beaucoup trop longue du disque.

11 ans pour ça...





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 26 Juillet 2022 par IRONGE_MAIDENT

Le Prêtre Judas hein une carrière longue comme les bras et qui carbure au Heavy Metal le vrai le pétrole rouge comme les feux des enfers. Quoi que il est loin le temps d'où le Prêtre était un drôle de hippie les cheveux long et j'en passe. Ici de l'Oiseau tout fait de métaux jusqu'au Metallian, éructe au loin un monstre, une machine de guerre au allure d'Immortel. Même Nostradamus ne pouvait se douter de la déflagration sonore de milliers de soleils aussi puissants qu'une bombe atomique. D'autre verrons l'engeance du Prêtre comme étant une hérésie ils le suppureront et vont le pourchasser fourche en mains. Or, qui sont ces Hérétiques qui profanent cette Bête Noire qui erre encore aujourd'hui les rues sombres. N'entache pas qui veut de cet album fait par une côte de Dieu. Une côte succulente baignée à même les sangs des gens des hordes qui voudraient avoir une part, mais qui n'en n'auront jamais le goût ni moins l'assiette.

Cet album est la limite suprême du Heavy Metal.
Juguler tout les cou trop faible il est.
Un Ânge Du Châtiment.
L'éternel Rédempteur d'Âme.
D'une Puissance de Feu le phare.
Une machine Le Painkiller.

Aux Défenseurs de la Foi ployez genoux devant ce colosse !

Note Puissance Soleil.





SAXON
UNLEASH THE BEAST


Le 25 Juillet 2022 par CPEJ


Tout d'abord la pochette, celle-ci bien que très réussie ne reflète pas le Heavy Metal mélodique et enjoué du groupe. On a plutôt l'habitude de ce genre de pochette avec des styles Metal sombres. SAXON s'est aventuré par moment sur les terres du Thrash sur cet album, ceci expliquant peut-être cela. Pour le contenu musical, on est dans la continuité de "Dogs Of War", du "high level" typé 80's plein de réverbération et d'écho. SAXON a fait partie des groupes phares des années 80, avec "Dogs Of War", "Solid Ball Of Rock" et ce "Unleash The Beast", il réussit son passage dans les 90's contrairement aux autres cadors des 80's qui se sont souvent vautrés en ces années-là.

Meilleurs titres : "Unleash The Beast", "The Thin Red Line" et "Ministry Of Fools".





NAZARETH
NO MEAN CITY


Le 25 Juillet 2022 par CHRISNAKE


Ah cette pochette ! Sûrement la plus belle du Heavy Metal. A l'époque on se risquait à acheter des albums juste pour la pochette et lorsque le contenu est excellent comme c'est le cas, on apprécie davantage. NAZARETH s'est fait un peu oublié au Royaume-Uni, préférant chercher le succès aux USA et au Canada avec réussite. Les deux albums de 76 n'ont même pas été classés chez eux. Le groupe remonte la pente avec "Expect No Mercy" paru en 1977. "No Mean City marque le retour en forme du groupe dont l'album se place à la 36ème place idem avec le titre folk "May The Sunshine" (22) et la ballade "Star" (54).

L'arrivée d'un second guitariste : Zal Cleminson ex Alex Harvey band est très productive. Des solos de guitares jouissifs en duel sur "Just To Get Into It". Dan MAC Cafferty est enragé comme jamais, la basse est ronde et lourde tout comme la batterie. Le morceau final donnant son titre à l'album est inspiré d'un roman sur les gangs de Glasgow dans les années 30. Le titre "Whatever You Want Babe" sera numéro 1 au Portugal. L'album fut enregistré à l'île de Man (certains membres étant devenus exilés fiscaux) et finalisé au Mountain studio de QUEEN à Montreux.

Un album majeur dans leur discographie.





HEART
HEART


Le 24 Juillet 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


Ça c'est de l'AOR, trop bien les sœurs Wilson au sommet de leur art !





The CROWN
Deathrace King


Le 22 Juillet 2022 par QUELQUEDEUX


Mon petit chouchou de leur discographie. J'avais découvert ce groupe un petit peu plus tôt grâce à un sampler Death Metal de je ne sais plus quel magazine, qui contenait le titre "1999 - Revolution 666" de leur dernier album à l'époque (à savoir "Hell is Here"), et je traînais régulièrement sur l'heure du midi chez un disquaire plutôt bien fourni en Metal qui, quand il n'y avait pas trop de monde, me faisait écouter les disques sur la chaîne plutôt qu'au casque.

J'ai eu un effet similaire à ce que j'avais ressenti il y a des années à l'écoute des premières notes de "Be Quick Or Be Dead" sur "A Real Live One": dès les premières notes de "Deathexplosion", j'ai eu le coup de coeur, et j'ai acheté l'album presque immédiatement. J'adorais aussi le design du boîtier, complètement noir avec la pochette et l'arrière imprimés par dessus. Ca cogne, c'est varié, c'est brutal et agressif mais plus dynamique que par exemple CANNIBAL CORPSE (que j'adore aussi, mais qui est - volontairement - plus lourd).

Plus tard, j'ai loué à la médiathèque le restant de leur discographie, que j'ai fini par acheter également. Mais il faut bien avouer que le reste, malgré ses bons moments, est plus quelconque, surtout leurs sorties récentes. Dommage.





ABORTED
GLOBAL FLATLINE


Le 22 Juillet 2022 par QUELQUEDEUX


Je ne sais pas ce que vaut le restant de leur discographie, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie sur cet album. Oui, ils savent jouer, mais c'est du déjà entendu un nombre incalculable de fois, linéaire à souhait, d'un mécanique et d'une froideur qui font penser que tout a été programmé et donné à manger à une machine qui régurgite les bons sons. L'orgue de barbarie du Death Metal. Je m'en retourne écouter "None So Vile" et "Close To A World Below" de qui vous savez, c'est d'une autre envergure.







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