Le 28 Décembre 2022 par NEPTUNE

Mouais bof... DRUDKH à part quelques pistes sympas piochées à droite à gauche, d'ailleurs principalement sur "The Swan Road" et "Blood In Our Wells", j'ai jamais accroché.
J'ai essayé plein de fois de me mettre dans le bain pour essayer de choper ce "chais pas quoi" de magique que tout le monde vante depuis des lustres, mais rien à faire ça passe pas. Je jetterai quand même une oreille sur celui-là à l'occase mais bon, j'en attends rien de particulier. Groupe pour moi clairement overrated.

Le 28 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Bien aimé ce disque à sa sortie voici 35 ans. D'entrée on sent les influences THIN LIZZY/Gary MOORE notamment sur les titres chantés par Norum.

Quant à la voix de Goran Edman, elle colle bien aux morceaux typés EUROPE, un avant goût de ce qu'il savait faire avant d'aller accompagner Yngwie.

Un bel objet que ce disque, vraiment !

Le 28 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Ce sacré Hard Rock qui nous fait taper du pied grâce à des riffs basiques, des refrains accrocheurs et une voix en colère...

Voilà du pur plaisir simple mais efficace concernant cet album de "pur Hard Rock" qui fut album du mois à sa sortie en 1987 chez Hard Rock Magazine, et ça j'aime !

Le 28 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Disque assez inutile quand on compare avec les albums des débuts ; il ne suffit pas d'avoir un son surpuissant et une équipe célèbre pour faire de la bonne musique...

Désolé je n'y arrive pas, pour moi Ozzy c'est fini depuis 30 ans !

Le 28 Décembre 2022 par ALBIRéO

Je possède l'album depuis 2 jours et je l'ai écouté en boucle plusieurs fois.

C'est du Arjen Lucassen pur jus. Tous ses gimmicks de composition et d’interprétation sont présents, à la limite de la caricature, parfois. Je me surprends à trouver ça et là que tel endroit ou telle fin de phrase musicale est la même que dans telle ou telle chanson de ses albums tous projets confondus. Mais c'est pas grave. Ça m'amuse sur le coup ; l'insertion dans le message musical est parfaite.

De ce fait, j'ai ressenti un effet de non renouvellement par rapport à ses œuvres précédentes. Pas grave non plus.
L'album est plein. Peu de moments ennuyeux ou en trop. Toutefois, quelques parties gâchées par des mélodies peu inspirées. "Back From The Past" aurait pu être nettement plus intéressante si le travail sur la mélodie avait été plus poussé. "A Hand On The Clock" est également dans le même cas et la pauvre Floor tente ce qu'elle peut sur cette mélodie bien fadasse servie par un riff pourtant très intéressant. "28 Days" est dans ce cas aussi, à un degré moindre. A propos de cette chanson, j'adore le chant vraiment clair de Russell Allen qui change du chant granuleux ou hargneux qu'il adopte depuis 15 ans.

Les autres chansons sont des petites merveilles !

Du Power Metal avec le sublime "Fate Of Man" permettant de se délecter de la voix stupéfiante de Brittney Slayes (que je ne connaissais pas. Pourtant, j'ai visité Vancouver cet été ! :-D) De l'insolite avec le magnifique typé prog "Prescient" et le sombre mais incroyable "Today is yesterday". Du Prog avec le épique et splendide "Lost Children Of The Universe". Du Arjen Metal avec les autres titres. ;-)
Mention spéciale pour le titre "Bridge Of Life" qui est l'un des plus réussis : Damian Wilson est exceptionnel dans sa retenue habituelle qui explose toujours à bon escient avec sa voix chaude et lumineuse. Le riff est de toute beauté. l'introduire à la boite à musique était une idée géniale ! Puis la chanson tourne autour de ce riff avec, ici, une recherche mélodie vraiment intéressant. Un des sommets du disque.

Pour conclure : est-ce que j'y reviens quand j'ai fini de l'écouter ? Assurément oui !! J'adore ce disque qui montre qu'Arjen en a encore sous la pédale, même s'il conduit la même voiture que pour "The Source" à qui ce disque ressemble étrangement.

Un très bel album de Metal !

Note : un 4 bien senti. (Je laisse la note 5 pour les chefs d’œuvre absolus.)

PS : je ne connaissais pas Joe Lynn Turner dans ce registre hargneux dans "The Year Of '41". D'ailleurs, je ne l'aurais jamais reconnu si son crédit n'avait pas écrit sur le disque. Une sacrée surprise.

Le 28 Décembre 2022 par BRIGITTE MACRON

"Live Undead" c'est en gros un enregistrement de repet' avec trois pélos bourrés dans le fond qui gueulent, ce qui suffit pour avoir plus d'ambiance que lors d'un concert de TOOL(*). Ce "Live album" (avec de gros guillemets si vous connaissez l'histoire....) fait office d'un best of de "Show No Mercy" avec une meilleure production et une meilleure exécution de la part de nos quatre larrons californiens avec en prime (selon l'édition) les morceaux de l'excellent EP "Hauting The Chapel" de 84'.

Pour parler comme un influenceur(**) ringard, j'ai le "smile" et quand j'écoute tous ces "bangers" du "Live Undead", ce skeud "kiffant" et "feel good"... ou autrement dit et pour ne pas sortir des clichés datés : j'ai une envie d'agression joyeuse et aimable à coup de pied de biche de mon prochain, un bon défouloir jouissif après une journée de boulot pourrie ou et stressante.

Une question cependant à chaque fois me taraude quand je jouis de cette sus-nommée galette : pourquoi "Evil Has No Boundaries" n'a pas été joué en concert plus souvent dans la carrière de SLAYER ? Quelle efficacité en live mes aïeux(***).

5 sur 5 pour le plaisir procuré.

(*) Moi pas aimer ce groupe.
(**) Les plus de 30 ans risquent de ne pas connaître ce terme (Dieu les en bénisse).
(***) regardez sur Youtube une des seules performances de ce morceau enregistrée correctement en vidéo au Rock am Ring 1998 du Brésil pour vous en convaincre.

Le 27 Décembre 2022 par DARK BEAGLE

Alors petite précision pour Cannaras : je dis qu'au collège EUROPE n'était pas considéré comme un groupe de Hard. J'aurai peut-être dû rajouter qu'on me prenait de haut quand j'affirmais le contraire, ce qui aurait évité une interprétation erronée. J'ai noté cela pour accentuer le fait que ce disque, fin 80 début 90, pouvait être considéré comme de la Pop par bon nombre. Réflexion qui m'a été faite par un client là où je bosse il y a peu, réflexion faite sur le fait qu'il ne connaissait que les chansons "Carrie" et "The Final Countdown".

À part des blagues de mauvais goût, j'essaye de ne pas trop dire de trucs dispensables en général. J'essaie.

Le 27 Décembre 2022 par LINKY439

Effectivement, ANTHEM marque quelque peu le pas sur ce "No Smoke Without Fire", avant-dernière étape avant la fin de son premier voyage.
Pourtant, cet album abrite quelques pépites, que ce soit "Do You Understand" où les solos de guitares et de basse se répondent dans une marmite en Fusion du Metal le plus pur ou "Voice Of Thunderstorm" où le groupe se débride totalement dans un morceau jouissif ! J'ai toujours trouvé ANTHEM plus à l'aise dans ces morceaux où ça joue vite, que dans ses mid-tempos trop souvent un peu mollassons.

J'ajouterai à cette paire le tubesque "Power & Blood" qui fonctionne bien en concert. D'autres titres honnêtes remplissent la galette, chacun possédant un petit quelque chose qui n'est malheureusement jamais transformé en tuerie (un riff par ci, un refrain par là). Autre petit bémol : cette production un petit peu moins réussie que sur la paire "Gypsy Ways"/"Hunting Time", sans être ratée pour autant. Et je rejoins Jeff sur l'agencement des morceaux qui est loin d'être le plus pertinent, puisque le groupe semble un peu réfractaire à tirer ses meilleures cartouches.

Le disque est cependant de bonne facture et ne se révèle jamais décevant, ce qui est d'ailleurs globalement une constante chez ANTHEM qui a réussi à garder le cap au fil des années et a sortir des albums de qualité même lorsque l'inspiration se fait moins présente.
Un petit mot pour Fukuda qui part la tête haute, son travail aura toujours été excellent au cours de cette décennie avec le groupe, avec un son vraiment impeccable.

Bref, je serai moins "sévère" que la chronique, c'est un bon album même s'il pâtit de la comparaison avec ses deux prédécesseurs quasiment ultimes.

Le 27 Décembre 2022 par PILGRIMWEN

De cette trilogie en compagnie du chanteur Stu Block, je considère "Incorruptible" comme le plus consistant, plus mature et réussi. Je retrouve l'ambiance des deux disques ère Tim Owens, ce qui n'est pas pour me déplaire !

Jon Schaffer a redressé la barre, admirablement, pour mieux se vautrer lors de l'enregistrement du futur album, "Capitol Under Fire", initialement prévu en 2022. Tant pis !

Le 27 Décembre 2022 par CANNARAS

Tiens les chroniqueurs de NIGHTFALL redécouvrent EUROPE ? Ma foi, excellente initiative d'autant que les dernières chros présentent des avis quelquefois différents, ce qui est très intéressant.

Il m'est difficile d'être totalement objectif avec ce disque. Car, comme d'autres, c'est "The Final Countdown" qui m'a ouvert les portes vers le Hard et le Metal. Ouverture légère, certes, mais ouverture tout de même. Car c'est avec cet album que j'ai commencé à apprécier les riffs et les soli. Alors, pour moi, ce disque, c'est l'adolescence, la découverte du Hard et, avec "Carrie", mes premiers râteaux.

Aussi, je vais y aller franchement : ce skeud est un monument de Hard mélodique. Point.
Bien entendu, il n'est pas sans quelques défauts qui peuvent révulser certains mais ne me dérangent par ma part pas outre mesure. Je peux donc comprendre (un peu) certaines critiques de Dark Beagle.

La prod' a bien vieilli. Heureusement, Rock Candy Records propose un mastering que je ne peux que vous conseiller, la version originale de 1986 étant bien difficile à écouter de nos jours.

On peut aussi regretter une présence des claviers que certains pourraient trouver envahissante. D'accord. Et certaines chansons peuvent paraître sirupeuses. Je le conçois. A mes yeux, il n'y en a que deux : un "Carrie" aux arrangements dégoulinants de mièvrerie qui est 1000 fois mieux en version acoustique et un "Time Has Come" poussif mais sauvé par un solo magnifique.

On rajoute deux autres morceaux que je trouve bien sans plus, "Danger On The Track" et "Heart Of Stone" bien trop sages et classiques.

Il nous reste donc 6 titres de très haut niveau, avec en tête évidemment "Le Compte à Rebours Final" que l'on ne présente plus. Et dans ces 6, je mets bien entendu "Rock The Night" qui est, selon moi, non seulement un classique mais aussi un excellent morceau traversé par deux soli fulgurants et une section rythmique solide comme un roc(k), ne déplaise à Dark Beagle.

J'ai une dernière remarque sur la chronique express de Dark Beagle, c'est sur le passage du collège. Bark Beagle nous explique que, dans son collège, on ne classait pas EUROPE dans le Hard Rock. Cela m'a beaucoup amusé. Je ne savais que, sur NIGHTFALL, les analyses musicales formalisées dans les cours de récré étaient une référence indépassable. J'ai trouvé ce passage franchement dispensable.

Car, quoi qu'en pensent les anciens camarades de Dark Beagle, "The Final Countdown" est une référence absolue du Hard Mélodique que peu d'albums pourront titiller en termes de qualité. Mais je comprends très bien que certains n'apprécient pas et préfèrent d'autres albums du groupe.

Le 27 Décembre 2022 par PILGRIMWEN

Pfou, lorsque Stu Block chante aigu, j'ai l'impression d'être en présence d'un adolescent prépubère. Et pourtant, que j'aime, d'ordinaire, les voix hautes perchées en Hard Rock, Heavy Metal. Ça me gâche l'écoute du disque.

Tant pis, j'aurais retenté en vain !

Le 25 Décembre 2022 par FRED

Constat cruel et triste de Finisherfranky.
Mais tellement juste !
Un petit bémol ? Il y a eu une lueur d'espoir, celle de la période Blaze, quand le groupe était revenu, succès d'estime oblige, à des conditions de jeu beaucoup plus minimalistes.
Mais c'était alors faute de mieux, par défaut pourrait-on dire.
Depuis, le Barnum a repris ses droits.
La vidéo est bien, mais bon... Vu le constat ci-dessus, je préfère ne pas épiloguer.

Le 24 Décembre 2022 par CPEJ

Échaudé avec les premiers albums de grands groupes tel SCORPIONS, JUDAS PRIEST et autre SAXON, je me méfie toujours de ces premiers albums. Et bien là, bonne surprise pour ce premier album d'ACCEPT, ce n'est pas encore le Heavy Metal qui rendra le groupe célèbre mais c'est constitué d'un bon Hard Rock avec aussi deux ballades. D'ailleurs on y retrouve les influences de groupes Allemands des 80s, "Tired Of Me" pour VIVA et "Sounds Of War" pour SCANNER.
Le groupe affiche un bon potentiel malgré un Udo Dirkschneider laborieux par moment. Suivant ses goûts, chacun appréciera différemment les morceaux qui sont tous bons, mes préférés sont : "Glad To Be Alone", avec une petite touche Prog étonnante chez eux et "Take Him In My Heart".

Le 24 Décembre 2022 par PILGRIMWEN

L'une des plus belles captations scéniques qu'il m'a été donné d'écouter.
Je me suis fait la réflexion suivante : vu que Schaffer est assigné par la justice à résidence, dans son état américain, il n'est plus en mesure de participer à des tournées. De même, étant désormais "black-listé" par son label mère Century Media et d'autres distributeurs, ne va-t-il pas devenir difficile d'acquérir ce "Alive In Athens", voire la discographie d'ICED EARTH ? Et par extension, est-ce que ce groupe ne va pas se transformer en projet studio pur et dur ?
Bien que Schaffer soit aux abois, il n'en reste pas moins fortuné (plusieurs demeures dans d'autres états).
Mine de rien, que l'on cautionne ou non les débordements au Capitol, l'asphyxie dont est victime - à tort ou à raison, chacun jugera - Schaffer relève de la mort sociale et professionnelle.

Le 24 Décembre 2022 par BLUEMASK

Leur meilleur album, pour moi largement devant un "Operation:Mindcrime" mal produit et manquant de chansons vraiment marquantes.
Ici, la production limpide et puissante soutient de grandes chansons. QUEENSRΫCHE vire parfois FM mais toujours pour le meilleur, avec quelques titres tout bonnement exceptionnels, "Jet City Woman", l'hymne absolu "Another Rainy Night', d'une classe incroyable alors que presque BON JOVIen, "Empire", "Silent Lucidity", en tête. Mais le reste n'est jamais bien loin.
Un must, pour moi, je ne m'en lasse pas depuis sa sortie.

Le 24 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Bon anniversaire à Lemmy qui aurait 77 ans... Album du renouveau en 86 version quatuor avec deux jeunots à la guitare.

Quelques classiques ici: 'orgasmatron', 'dr Rock', 'built for speed'...

Par contre, disque raté niveau prod' avec un son confus et stéréotypé, dommage !

Le 24 Décembre 2022 par FINISHERFRANKY

J’ai vu ce film à la TV, Arte je crois, maintenant que le genre semble être considéré comme phénomène culturel. Alors que ça passait pour une musique de et pour bourrins. Ce revirement, je ne n’arrive toujours pas à le croire. Les séquences hors scène ça m’a toujours plu et ici il y en a un peu. C’est bien. Les images sur scènes parfois comme prises sur les côtés ou juste en fond de scène à la dérobée apportent une touche moins convenue que les plans hollywoodiens habituels. J’aime bien. Quant aux shows bah c’est MAIDEN, celui que j’avais lâché dès 1986, gonflé par le barnum qu’étaient devenus les concerts. Harris garde une digne attitude Rock quand les marionnettes Dickinson, Gers et bien sûr celle d’Eddie gesticulent partout. Ça me gonfle toujours autant. Mon histoire avec MAIDEN aura été celle d’une déception, d’une quasi trahison. Fan des premières heures, découvrant le groupe sans images en 1980 avec les titres urbains et punkisants des deux 1ers LP, je m’étais fait une image du groupe plus proche de Motörhead que de Walt Disney. Comment cet incroyable groupe a pu soutenir son irrésistible musique par ces shows ridicules et puériles. Aurait-il eu autant de succès ? Je veux le croire.

Le 23 Décembre 2022 par LE DUC ROUGE

Une belle surprise et un beau coup de coeur pour ce disque qui alterne BM accrocheur façon GALLOWBRAID et ballades folk façon AGALLOCH.
Je suis d'accord qu'on reste un peu sur sa faim car il y a finalement peu de titres vraiment BM. Hâte d'écouter la suite !

Le 23 Décembre 2022 par FRED

Ouh, la chronique !!!
Mon Dan, ce fut Pascal.
Un des "voyous" du collège. On en était venu à discuter car j'avais un patch "For Those..." avec le canon, sur ma veste en jeans.
Pascal, c'est mon premier disque (AC/DC, qu'il avait piqué dans un magasin), ma première cuite (bière), ma première meuf (sa sœur).
Quelques années plus tard, j'ai recroisé cette "ex". Elle était serveuse dans un troquet de la petite ville que j'habitais en ces temps reculés. C'est elle qui m'a dit que son frangin, mon frère de sang à moi, que j'avais depuis perdu de vue, était... En taule ! Entre temps, j'avais pris un chemin de vie... plus... Légaliste. On ne se refait pas.
Mais Pascal reste sincèrement le plus chic type qu'il m'ait été donné de côtoyer... 40 ans après! Souvenir vraiment très-très ému, Dark Beagle !
Sinon, quel groupe ! Ma pref' va néanmoins plutôt à "Melissa"... Mais bon... C'est un détail dans tout ça.

Le 23 Décembre 2022 par JULIEN G.

Excellent single, les deux inédits auraient mérité une place sur l'album.

Du costaud, du solide, concernant "The Dawn Of Battle".
"I Believe" est plus mélodique et tout aussi bon.