Le 22 Décembre 2022 par LEMMYKE

Bravo pour cette chronique, DARK BEAGLE : à la fois drôle, pertinente... et très émouvante.

Le 22 Décembre 2022 par STRADICASTER

Contrairement à plusieurs, l'aspect que j'adore de cet album est justement qu'il soit encore plus mélodique et moins brutal que les précédents. Il exploite à merveille les forces du nouveau KREATOR, tout en demeurant varié et très accrocheur par ses refrains et ses mélodies. Le fait que le groupe ait levé le pied un peu met selon moi encore plus en valeur le songwriting exceptionnel de cet album.

Le 22 Décembre 2022 par VILE

Incroyable review de DARK BEAGLE, bravo et merci à toi.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un écrit aussi inspiré et mémorable que celui-ci sur NIGHTFALL !

Beau texte, pour un très grand disque !

Le 21 Décembre 2022 par LUDWIGRETSCH

Unique témoignage live de ce groupe d'anthologie, "061502" est imparfait, dissonant, brouillon, mais peu importe, l'ambiance est là, les émotions sont palpables et retranscrivent parfaitement la passion des fans pour cette formation géniale et sensationnelle.
Des morceaux comme "St. Matthew Return To The Wom", "Transition From Persona To Objet" où "C. Thomas Howell As The Soul Man" issus de leur fantastique et ultime "We Are The Romans" résument à eux seuls le talent inouï de ce groupe hors-norme... La musique de BOTCH ressemblait à une sorte de perfection faite chaos et laissera à jamais le souvenir impérissable de son caractère d'exception.

Le 21 Décembre 2022 par CHRISNAKE

À l'heure où je redige ce commentaire, les deux mentors du groupe viennent juste de nous quitter : Manny Charlton le guitariste originel et au service du groupe de 70 à 1990 est décédé en juin 2022 suivi de Dan MacCafferty en novembre dernier. Suite à la parution de cet album, Charlton fut mécontent des arrangements (il reprendra deux titres pour les réécrire dans ses albums solo et aussi "White Boy" de l'album précédent). Il s'estimait mal rétribué pour son travail (compositions, arrangements et pré production). Le clash s'est produit donc pour une question d'argent 💰 si bien qu'il fut exclu de la formation. Il en a gardé une grande amertume car c'était lui qui avait incité le groupe à composer et même à produire notamment l'album "Hair Of The Dog" en 1975 (leur meilleure vente). Exilé aux USA il tourna avec un groupe reprenant le nom de NAZARETH. Il perdit un procès intenté par ses anciens compères et le droit d'en utiliser le nom.

Le 21 Décembre 2022 par BAKER

Merci d'avoir fait découvrir ce disque, je note qu'on tombe tous deux d'accord sur "Dreamfall" comme étant le sommet du disque !

À noter que le chant est assuré par une toute mimi jeune demoiselle (partie depuis).

Le 21 Décembre 2022 par DFOU

RIP Tracy HITCHINGS, chanteuse, entre autres, de LANDMARQ et de QUASAR.

Ça rappellera des souvenirs à certains, avec la vague néo-progressive du début des années 80 : MARILLION, IQ, PALLAS, TWELFTH NIGHT et QUASAR.

Le 20 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Un de mes préférés du monsieur, c'est très "Hard Rock" et puis la voix de Mike Vescera colle parfaitement au style et à l'ambiance des titres, j'adore !

Le 20 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

En matière de Heavy Metal pur, difficile de faire mieux que cet album, tellement ses titres sont devenus des classiques, et puis quels riffs mes amis, peut être le disque parfait dans le genre même si "Screaming For Vengeance" de JUDAS PRIEST peut le concurrencer sans doute...

Le 20 Décembre 2022 par JEF DE LA LUNE

"Et ce fameux Phillip (je sais où tu te caches)", bravo pour ce clin d’œil nanardesque qui m'a valu un éclat de rire en le lisant... Les fans du site Nanarland reconnaitront... Sinon cette chronique m'a donné envie de découvrir, enfin, ce projet qui sur le papier vend du rêve effectivement par son line up.

Le 19 Décembre 2022 par LE MOUNGEPEDOUN

Suite logique de "Eclipse" avec son band scandinave, Yngwie enchaîne plaisamment avec son Hard Rock néoclassique relativement bien inspiré ici, ça passe sans problème.

Le 19 Décembre 2022 par FRED

Pas d'accord !
Un son froid et clinique, un groupe en pilotage automatique et un répertoire loin de constituer ma période favorite du groupe.
Un Bruce en totale perdition sur "Killers", par ailleurs souvent aux fraises... Déjà que je n'aime pas son timbre de voix et son style opératique.
Pour moi, la pire période du groupe.

Le 18 Décembre 2022 par I AM THE GROWL

Un excellent disque de Rock n' Roll avec inflexions Thrash, Stoner et Grunge. Difficile de ne pas entendre du EXODUS, du KYUSS et du ALICE IN CHAINS là-dedans. "The Unforgiven III", c'est du pur Jerry Cantrell par moments. Je trouve la production vraiment réussie dans le sens où elle donne un feeling concert à l'ensemble, et je kiffe ce son de batterie. Certes, c'est pas la dynamique qui en bénéficie, mais c'est pas grave, c'est du Rock. Quelque part, y a même un peu de THE HELLACOPTERS là-dedans. Le template repris des quatre premiers disques de METALLICA ne me distrait pas. Quand "The Day That Never Comes" commence comme "One", je l'oublie vite, parce que la suite c'est une très bonne jam, et on sent que les mecs se régalent à empiler les riffs. Alors, pour moi, ce n'est pas un METALLICA (le dernier date de 1988), mais c'est quand même du bon Rock. Alors de temps en temps je le ressors et je me laisse emporter par ces tubes comme "That Was Just Your Life", "All Nightmare Long" ou "My Apocalypse". L'énorme défaut de l'album, c'est qu'il est trop long, mais ça c'est une spécialité de METALLICA depuis la double faillite "Load"/"Reload". Au moins sur celui-là, ils sonnent vivants les vieux.

Le 17 Décembre 2022 par ESKAPEESKAPE

Voilà un album très attendu et finalement très peu écouté.
En effet, passé l'effet, ha enfin des solos et des compositions Thrash, rien ne reste.
L'écoute est extrêmement pénible, faute à une production et un mix trop compressé, des titres trop longs, monotones et répétitifs .

En gros, l'album concentre tout ce que l'on peut reprocher à METALLICA depuis le "Black album".

Bref, quelques moments sympas ici et là mais rien qui fasse que l'on prenne la peine de sortir le disque de son boîtier, 3 titres..
Cela reste quand même ce que METALLICA a sorti de mieux sur la période 1991-2010.

Dommage quand on sait que METALLICA a pondu quatre magnifiques albums de 1983 à 1991 et qu'ils savent tenir une scène.

3/5

Le 17 Décembre 2022 par LUDWIGRETSCH

Le sommet de CONVERGE, le plus brutal, le plus taré, le plus intense; aussi essentiel qu'un "Symbolic", "In The Nightside Eclipse" ou qu'un "Season In The Abyss" pour quiconque se proclame puriste en matière de sonorités extrêmes !
"Jane Doe" est un animal hostile, très hostile, qui en demande beaucoup à son auditeur mais lui en rend davantage...

Ou comment produire une musique aussi violente qu'addictive, aussi malsaine que salvatrice, qui se traduit par douze Knock Out consécutifs vous rendant de plus en plus accroc au fil des écoutes. Le cauchemar prend vie à l'écoute de "Jane Doe" et vous y assistez, impuissants et envoûtés, vous n'y pouvez rien, vous êtes contaminés, heureux...
CONVERGE réalisera ce chef-d'œuvre d'extrême, inimitable, avant de devenir une honorable franchise de divertissantes productions horrifiques !

Le 17 Décembre 2022 par PILGRIMWEN

Il est loin le temps où je prêchais la bonne parole pour les Allemands de JADED HEART. Ce disque, effectivement, rattrape timidement les dégâts occasionnés sur le précédent disque. Le plus dingue dans l'histoire, c'est que les gars ont les compétences pour bâtir des morceaux tranchants et mélodiques ! Rien n'y fait, ils continuent à se borner dans leur pseudo-affranchissement d'un passé.

Ce qui me fend aussi le cœur, au sujet de leurs derniers opus : Gegers chronique et, en fan déçu, je soutiens par un commentaire tristounet. Seuls les derniers des Mohicans prennent le temps de jeter une oreille sur leur musique. C'est moche.

Le 16 Décembre 2022 par AXL

Merci pour ta chronique ! Effectivement, la chute est rude après un superbe "End Of Suffering". Je n'ai même pas réussi à écouter l'album une fois en entier, je vais donc m'abstenir d'y mettre une notation et simplement passer mon tour pour cette fois.

Le 16 Décembre 2022 par SIEGFRIED

J'ai encore essayé, mais non il ne passe pas. Je zappe les morceaux après dix secondes, les uns après les autres. C'est sûrement moi mais je trouve ça de plus en plus imbuvable plus les années passent. Ça me donne mal à la tête.

Paradoxalement, le seul morceau que j'arrive à écouter en entier et à apprécier, c'est "And Then There Was Silence", cherchez l'erreur.
Je pense que j'aurais plus jamais le courage d'y revenir.

Un petit 2/5 pour la dernière piste, mais que c'est triste de voir un des meilleurs groupes de Speed Mélodique prendre un tournant power-orchestral inaudible. Speed is dead. Et depuis vingt ans déjà !

Le 16 Décembre 2022 par I AM THE GROWL

Je n'arriverai pas à être aussi précis que la chronique parce que ce que je retiens le plus du disque est son incroyable fluidité, la façon dont il change tout en étant remarquablement homogène, et cette incroyable imagination mélodique qui me bluffe à chaque moment. Pour moi, cet album, c'est un seul morceau, un seul bloc d'étoiles qui brillent toutes en même temps. De la pure magie, on oublie même que c'est du metal extrême, que les vocaux sont beuglés, que les guitares sont grasses, que la batterie cogne fort. Il y a tellement d'émerveillement dans l'air...

Le 16 Décembre 2022 par BLUEMASK

Je suis un peu plus mesuré sur cet album...
Dans le rayon Metal Industriel, NIN occupe une place bien à part, même si fondatrice, assez loin de la folie schizo de SKINNY PUPPY, de l'agressivité politique d'un MINISTRY, de la violence d'un GODFLESH, de la conquête martiale de RAMMSTEIN.
Trent Reznor, voilà, c'est l'artiste tourmenté, le genre de type que les années 90s adoraient. Il peut être agressif, violent, Trent, mais c'est surtout qu'il a mal, qu'il souffre. On ne sait pas bien pourquoi, mais voilà, il a pas confiance en l'humanité, il se trouve nul et si un avion doit se casser la gueule, c'est forcément sur ses pompes.

Cette posture artistique peut vite devenir lassante, et c'est un peu le problème de ce disque. Avec "Downward Spiral", il avait produit un disque six étoiles sans conteste ! Un grand disque de Rock Industriel, violent, tourmenté, hyper créatif, mais remarquablement construit comme... comme une spirale descendante, tiens ! "The Fragile" en est la suite logique, et donc logiquement on est dans le bas de la spirale, celle qui se terminait par ces titres murmurés, heurtés, désespérés, et on y reste longtemps, trop longtemps
Trent Reznor n'est pas Stevie Wonder, beaucoup ont essayé mais voilà, le double album c'est compliqué. Rien n'est mauvais sur ce disque, il y a beaucoup de bonnes choses, d'excellentes choses, j'adore "The Downward Spiral", il est donc délicat objectivement de ne pas aimer "The Fragile". Il y a juste moins d'excellentes choses, l'apparition de choses moyennes et quarante minutes de trop clairement. Cela peut sembler de fait 'difficile d'accès', mais c'est surtout qu'en fait on regarde un peu sa montre.
J'ai pas l'air, mais j'aime bien quand même