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2022 Live In Hong Kong 2001
 

- Style : Sir Lord Baltimore, Astrakhan, Day Six, Hällas, Dewolff, Motorowl, Inglorious, Voodoo Circle, Sunstorm
- Membre : Yngwie Malmsteen, Blackmore's Night, Rock Aid Armenia, Gillan, The Dead Daisies, Glenn Hughes, Whitesnake, Trapeze, Gary Moore, Kansas, Ian Gillan Band, Black Sabbath, Brazen Abbot, David Coverdale, Black Country Communion, Joe Lynn Turner , Rainbow
- Style + Membre : Michael Schenker, Coverdale - Page
 

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DEEP PURPLE - The House Of Blue Light (1987)
Par DARK BEAGLE le 9 Septembre 2017          Consultée 1773 fois

Mark II

DEEP PURPLE sombre à nouveau dans ses travers. Ou plutôt, la tendance du Mark II à être in capable de sortir deux grands disques de suite s’est une fois de plus confirmé. Entre Gillan et Blackmore se joue une guerre d’égo qui se répercute sur tout le groupe, et les dissensions nuisent forcément à la créativité. Et à cette version musicale de Game Of Thrones, c’est "House Of Blue Light" qui va le plus souffrir.

Ce n’est pas tant le fait que ce disque soit ancré dans son époque avec ses synthétiseurs à outrance qui est problématique ; DEEP PURPLE sonne plutôt bien de ce côté même si la production de Glover est moins éclatante que sur "Perfect Strangers". Non, le réel souci de "House Of Blue Light" demeure quand même dans le fait que pas mal de morceaux sonnent un peu creux, voire qu’ils sont un vide intersidéral d’inspiration.

Il faut dire que la tournée précédente n’a pas été la meilleure faîte par le groupe, la dégradation étant venue très rapidement, toujours ces problèmes entre Gillan et Blackmore et le spectacle proposé était parfois navrant. Quand ça se répercute sur un disque, c’est d’autant plus frustrant. Ian Gillan n’a pas l’air concerné plus que cela par ce qui se passe, on sent qu’il a abandonné et d’ailleurs, il quittera une nouvelle fois la formation peu après. Et Jon Lord, ben il s’en fout. Mais alors complètement. Il a enclenché le pilotage automatique et semble observer vaguement ce qui se passe autour de lui. Ce qui explique en partie les nappes de synthé de Roger Glover ?

Et il y a de quoi être énervé à l’écoute de cet album. Parce qu’à côté de certains puits sans fond, il y a des morceaux justes géniaux, qui mériteraient d’être hissés au rang de classiques du groupe. Il y a déjà "The Spanish Archer", imparable, avec un Ritchie du feu de Dieu dessus, ou encore "The Unwritten Law" qui donne un instant l’espoir qu’on va retrouver la qualité d’un "Perfect Strangers" ("Bad Attitude", pas mal, reste une ouverture bien inférieure à "Knocking At Your Back Door"), tandis que "Dead Or Alive" termine le disque en beauté.

Mais entre, il n’y a pas grand-chose pour égayer les longues soirées d’hiver, sinon du creux, du vide, à l’image du poussif "Hard Lovin’ Woman" ou de "Strangeways", poussive, par exemple (exemple, dieu Romain un peu oublié de la démonstration). Et forcément, "House Of Blue Light" ne soutient pas la comparaison avec son grand frère et marque le pas. Alors qu’un split était à nouveau envisageable après le départ de Gillan, Blackmore va sortir un atout de sa manche. Et c’est là que l’on va voir que ce type n’a vraiment peur de rien !

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   (4 chroniques)



- Ian Gillan (chant)
- Ritchie Blackmore (guitare)
- Jon Lord (orgue)
- Roger Glover (basse)
- Ian Paice (batterie)


1. Bad Attitude
2. The Unwritten Law
3. Call Of The Wild
4. Mad Dog
5. Black & White
6. Hard Lovin' Woman
7. The Spanish Archer
8. Strangeways
9. Mitzi Dupree
10. Dead Or Alive



             



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