Le 10 Novembre 2024 par BABE

C'est con, mais qu'est-ce que c'est bon !

Le 09 Novembre 2024 par DJINN

Pas grand risque de se tromper de version : la version officielle admise à peu près partout dans le monde est désormais cette compilation, avec quatre titres du "Face to Face" original (pistes 1 2 3 et 6), un ancien hit remis au goût du jour (piste 4) et 5 de l'album suivant "No Exit" (pistes 5 7 8 9 et 10).

Sauf que moi, si je préfère "Let There Be Rock" version monde, je préfère le "Face to Face" australien, qui devient une sorte de mythe urbain avec le temps. À mon avis le seul disque du groupe à mériter les cinq étoiles, avec un rythme globalement plus soutenu à faire taper du pied.
Quand on le sait, la compil boîte un peu.

Le 09 Novembre 2024 par CPEJ

Époustouflé par "The Chemical Wedding", je poursuis ma découverte de la discographie du sieur Dickinson avec cet "Accident Of Birth", l'album précédent. Moins de surprise à son écoute, il est construit dans un Metal assez classique style MAIDEN à l'ancienne avec un son plus puissant. Le meilleur de l'album se situe dans la partie centrale du titre 6 au 10, avec une préférence pour "Man Of Sorrows" et "The Magician". Des morceaux d'un niveau honnête mais qui n'ont pas l'originalité de ceux de "The Chemical Wedding". "Road To Hell" souvent cité élogieusement sur les commentaires me laisse une drôle d'impression, on dirait du GAMMA RAY qui a mal digéré le "Prisoner" de MAIDEN...
2,5/5.

Le 08 Novembre 2024 par FOXTHEBOSS

Je sors juste de voir cet incroyable groupe en concert. Effectivement, c'est magique.
Un petit côté Stoner pour la chemise à carreaux du bassiste, un côté Shoegaze pour le côté peu communicant du groupe, un côté Math Rock dans cette construction quasi inéluctable des morceaux... On pourra coller plein d'étiquettes mais c'est surtout très bien. Un batteur à la frappe précise, un gratteux très complet, un son de basse de folie. Et des compos... c'est lancinant sans être répétitif, pleins de riffs à la fois évidents et très bien trouvés, portés par un son varié (du très clair jusqu'à des sonorités Death marquées) et surtout avec des trouvailles de partout (ces riffs, ces breaks, ces plans de guitare, ces progressions d'accords... pfff).
Voilà. Les musiciens ne disent rien, ils ne hurlent pas "scream for me, Pétaouchnok !", ils ne saluent pas à la fin et n'attendent pas de rappel, mais ils vous laissent à la sortie, planants et heureux.
À écouter, réécouter et à aller voir à tout prix !

Le 08 Novembre 2024 par HENRI_DEATH

Je passe par ici pour remercier Storm de cette chronique qui m'a permis de découvrir BELORE.

Vraiment le qualificatif d'Epic Black Metal trouve son sens, la musique est envoutante, aérienne, notamment grâce à ces nombreux claviers, elle nous porte du début à la fin, l'album s'achève d'ailleurs sur l'excellente "The Rise Of A Sovereign", dont la mélodie reste coincée dans ma tête depuis.

Bref du tout bon.

Le 08 Novembre 2024 par DAVIDOOMED

Avec le magnifique "Stormbirds" (qui transforme l'essai) ce sont deux albums cultes et absolument magnifiques !

Le 07 Novembre 2024 par TONIO

Un super album survitaminé qui mélange savamment Thrash et Hardcore pour un résultat des plus excitants. Le groupe est meilleur lorsqu'il fait d'avantage appel à ses racines Hardcore/Punk, les morceaux sont alors plus percutants et convaincants, à l'image des redoutables "Tear It Down" et "No Religion", ou des percutants "Go Die" et "Oblivion" qui clôt admirablement l'album. Je trouve les musiciens moins adroits lorsqu'il s'agit des riffs Thrash, certains ne sont pas terribles. Il n'empêche que "Crossover" est un album capable de faire bouger une plante verte, je prends un pied d'enfer à chaque écoute.

Le 07 Novembre 2024 par MR TINKERTRAIN

Merci à Beksel pour avoir rappelé l'importance de ce disque pour moi. Et de ce groupe que j'ai adoré, que j'ai adulé avec les potes d'alors. Cette année 1991 a été l'année des énormes sorties dans le genre Heavy Metal ! Vérifiez pour voir... C'est incroyable. J'ai vu le groupe avec Matt Barlow à Lyon pour la sortie de "Burnt Offerings", (juste un chef d'œuvre noir au passage) et ce fut un de mes meilleurs concerts, et quel moment quand ils ont joué "Dante's Inferno", "Travel In Stygian"... J'avais interviewé Barlow pour mon zine de l'époque, un mec très cordial et que j'avais bien fait marrer quand je lui ai demandé quelle marque de shampoing il utilisait pour ses longs, très longs cheveux. À l'époque ils lui arrivaient au-dessous des fesses !!!! Bref, c'était une époque de ouf où tu pouvais voir ICED EARTH, des amerloques, un putain de groupe gavé d'heroic fantasy aux riffs bouchers et tailler le bout de gras avec eux après le concert en disant des conneries. C'était vraiment les années glorieuses pour apprécier le contact humain....

Le 07 Novembre 2024 par DJINN

"Nexus Polaris" n'est pas un album d'ARCTURUS.

Comme déjà dit, bon album bien qu'ancré dans son époque. Le son de la version de 96 est meilleur, mais ces petits bonus ne sont pas à négliger.

	Par Nightfall In Metal Earth Il n'est nullement dit que "Nexus Polaris" est un album d'ARCTURUS. Je suppute que tu as lu la chronique de Storm un peu vite cher ami lecteur. Jeff Kanji

Le 07 Novembre 2024 par BANE

Même problème que monsieur Daemon : on ne touche pas à la voix de Freddie. Surtout de manière aussi audible.

J'adore l'album original, l'un de mes préférés. Je me réjouissais de la sortie de ce coffret... Douche froide dès les premiers extraits.

Le 06 Novembre 2024 par BEKSEL

Avant de parler de cet album, je voudrais parler de ma relation au groupe et dans quelles conditions j’ai découvert cet album. J’avais beaucoup écouté "Plagues Of Babylon" et le Live "Alive in Athens". J’étais donc plutôt familier avec Stu Block et Matt Barlow et je m’attendais vraiment à être déçu par celui-ci. Quel ne fu pas ma surprise ! Alors certes, la voix de Gene Adams n’est clairement pas aussi agréable à l’oreille que ces successeurs, mais elle ne m’en a pas gâché l’écoute… J’ai même trouvé qu’elle participait à l’ambiance globale de l’album.

L’ambiance de cet album parlons-en ! Dès les premières notes de guitare le riff se fait sinistre, la voix de Gene Adams démoniaque avec de longs hurlements qui correspondent au caractère froid et désolé des plaines ici dépeintes. Le tout accentué par une production typée Death Metal. Un sentiment de solitude s’en dégagera, vous êtes seul et vulnérable au milieu de ces terres gelées. On évoluera vers un coté mystique sur la deuxième partie de l’album qui atteindra son point d’orgue sur "When the Night Falls", probablement mon morceau préféré du groupe (avec "Travel in Stygian").

Bien que Papy Schaffer (le fondateur du groupe) qui était alors tout jeune, sache nous dépeindre des ambiances souvent très réussis ("When the Night Falls", "Solitude", "The Funeral), ce n’est pas ce que beaucoup retiendront de lui. En effet John (de son vrai nom) joue une guitare rythmique millimétrée et véloce semblable au galop d’un cheval (très audible au milieu du morceau "Colors"). On ressent l’influence de Steve Harris sur le bonhomme ce qu’il avouera en interview mentionnant lui-même l’impact qu’a eu sur lui "The Number Of the Beast".

Avec ce premier album, John pose les bases de la formule ICED EARTH, des morceaux à la structure alambiquée alternant chevauchées rythmiques et passages calmes ("Life and Death"). Certains gimmicks dans la tracklist apparaîtront également : "Iced Earth" deviendra la final de tout live qui se respecte, "Solitude" le premier instrumental d’une longue lignée tandis que "When the Night Falls" sera celui des longues pièces de fin d’album qui seront très souvent des points culminants de leurs albums respectifs.

Ce premier jet malgré ses nombreuses qualités sera assez sous-coté dans la discographie du groupe, la faute à un chanteur non pas mauvais mais occulté par l’ombre de ses successeurs. Pour ma part, j’ai trouvé l’un des albums les plus créatifs que nous ait pondu Sire John et l’un de ceux dont je me lasse le moins. C’est simple chaque morceau est bourré de rebondissements ! On y sent la fougue de la jeunesse. La naissance d’un groupe qui deviendra mon groupe de cœur…

Morceaux favoris : "When the Night Falls", "Colors", "Life & Death".

Le 06 Novembre 2024 par DAEMON

Pitch correction sur la voix de Freddie Mercury, une habitude depuis la sortie du "Live At The Rainbow". Crime de lèse majesté. Poubelle encore une fois.

Le 06 Novembre 2024 par BLUEMASK

Le Neo Metal finalement aura été bien passager et bien rares sont les albums qui resteront dans la mémoire collective. "Toxicity" est de ceux-là.
Sans fioritures, sans la prise de boules propres au genre et avec une production nette mais abrasive, le disque aligne quinze bombes intransigeantes, portées par un groove contagieux, une guitare à la fois massif et alerte, et un chant hors du commun. Sur la longueur, ce chant est vite saoulant, mais sur un format de titres courts pour un disque court, il fait merveille. Versatile comme peut l'être Mike Patton, Tankian alterne agressivité, brutalité, accès mélodiques magnifiques et intonations arméniennes (enfin, je suppose, mi-Europe de l'Est, mi orient, quoi...) et il porte vraiment l'identité du groupe.

Le 04 Novembre 2024 par EZECHIEL LYDIAN

Le pire (ou pas) c'est que Déhà serait parfaitement capable de dire ce genre de choses.

Le 04 Novembre 2024 par H.

Vraiment laborieux celui-là en effet, et beaucoup trop long.

Gros point de désaccord avec la chro : le chant de Nazgul qui à mon sens participe activement à tirer l'album et le groupe vers le bas. Il a été, est et sera toujours un piètre vocaliste (sans parler de ses "talents" de "compositeur"). Ce n'est pas pour rien que le groupe commencera réellement à être intéressant avec son départ.

Le 04 Novembre 2024 par CHTRONK

Pilgrimwen, prépare toi à être ébloui par mon savoir : je vais te livrer la définition du terme "méconnu", du Larousse (tu peux également te référer au dictionnaire de ton choix) : "qui n'est pas apprécié selon son mérite".

Ne voyant de ligne sur BAND-MAID dans aucun magazine ou journal papier, ne voyait rien non plus sur aucune chaîne de TV ou de radio (après, je n'écoute/regarde pas tout 24/7, mais tu m'auras compris), et comparant ce que propose B-M par rapport à ce que les media français mettent en avant, je pense que le terme n'est pas galvaudé.

Perso j'écoute de la J-Pop depuis 2004, du H-R/Metal depuis 2009, et j'ai dû creuser pour tomber sur B-M. Ton cas perso ne fait pas foi, tu n'es pas la France (et moi non plus d'ailleurs)

Je suis moyen d'accord concernant la barrière de la langue : tout le monde n'est pas bilingue anglais par chez nous, et pourtant on se fait assommer de productions anglo-saxonnes. Et je ne te parle pas de la "vague" K-Pop qui déferle (j'exagère, mais t'as des rayons K-Pop à la FNAC) gentiment sur nous.
J'ai lu ton blog. Je n'aurais pas mis BAND-MAID dans le même sac que BABYMETAL, carrément rien à voir (à part qu'elles sont jap, et que ce sont des femmes, les similitudes s'arrêtent là pour moi). J'adule BAND-MAID, et j'exècre BABYMETAL.

Sinon, à part dire que tu connais BAND-MAID depuis 2015 ou 2016 (toute mes félicitations, moi ça fait à peine un an), qu'as-tu pensé du disque ?

Le 04 Novembre 2024 par ESKAPEESKAPE

Constamment décrié, "Technical Ecstasy" reste malgré tout un album de BLACK SABBATH.
C'est certes un album à part, différent, je dirai moins Doom, moins Stoner, mais pas moins Heavy.

Le vrai changement vient de ce besoin de ne pas faire comme avant, non pas que le Sabb' n'ait plus rien à dire loin s'en faut, ils le prouveront par la suite ; mais ils veulent le faire différemment, laisser chacun s'exprimer. (Bill Ward chantera)

Ainsi la production, le son sera plus facile d'accès avec des échos, des réverbs, des effets (plus encore sur "Never Say Die"), la pochette plus énigmatique et stylisée, les claviers plus Pop et les compositions plus simples dans leur structure, moins alambiquées mais toujours surprenantes avec des claviers, des guitares andalouses et des pianos.

Mais attention, on est vite rassuré, la patte Iommmi est bien là avec des riffs chiadés et des solos inspirés, des accélérations inattendues, de même qu'Ozzy a toujours son ton plaintif et que le duo basse/batterie est puissant.

Ce n'est peut-être pas l'album dépressif que l'on connait (ou attend) habituellement chez le Sabb mais ne vous y trompez pas le moral est vraiment au plus bas, la drogue a détruit le groupe et Ozzy est plus que sur le départ, faisant des allers retours et enregistrant déjà "Never Say Die" et ses premiers titres solos.

Au gré des morceaux, on découvre un Sabb éclectique, la prise de risque est là avec des morceaux lorgnant vers ALICE COOPER (période "Dada"), le QUEEN des débuts, les BEATLES (Blanc, "Abbey Road"), JETHRO TULL, ce qui est plutôt très bon qualitativement, mais pas du BLACK SABBATH comme on le voudrait.

Cet album contient de très bons titres ("Back Street Kids", "You Won't Change Me", "She's Gone" ou "Dirty Women") et vaut facilement 3,5 pour la prise de risque.

Le 03 Novembre 2024 par PILGRIMWEN

"(...) ce groupe injustement méconnu dans nos contrées". BAND-MAID est connu des fans français de musique populaire japonaise depuis des lustres. J'ai découvert ce groupe à la sortie de leur second disque (commandé sur CDJapan, à l'époque), c'est dire ! (lol) Je crois que le métalleux (quelle horreur cette appellation !) se réveille doucement et s'insurge vite (lol) !

Cela fait quinze ans que je creuse le sujet et je pense que le désintérêt provient entre autres de la barrière de la langue, du fait aussi que la plupart des formations japonaises soit d'abord tournée vers le Japon et non vers l'international.

Le phénomène BAND MAID s'inscrivait, à l'origine, dans la mouvance Kawaii Metal, à l'instar de BABY METAL, LADY BABY ou DOLL$BOXX. D'un côté, nous avions de vraies musiciennes ; de l'autre des projets sans lendemain, le temps de surfer sur la vague. J'avais rédigé un article en 2016 à ce sujet (Cf. feel-japanese-rock-wave.blogspot.com/2016/07/kawaii-metal-effet-de-mode-avenir-futur.html).

Le 03 Novembre 2024 par DJINN

La démo n'est probablement appréciable que dans la mesure où on connaît déjà les titres qui la composent. Deux se retrouvent sur l'EP "Emperor", trois sur "As The Shadows Rise" et un sur "In The Nightside Eclipse" avec un autre titre ("My Empire's Doom" devenu "Majesty In The Nightsky"). On ne peut pas parler d'ébauche. "My Empire's Doom" est tout au plus sous une forme edit, sans doute "Ancient Queen" est sensiblement modifié, mais on ne va pas chipoter : ce sont les mêmes titres moins bien enregistrés.

Connaissant la qualité des morceaux, jamais je ne peux dire que c'est nul. Mais peut-être n'est-ce pas utile à votre culture musicale.
Il reste deux titres qui ne seront jamais ré-exploités : "Forgotten Centuries", et "Moon Over Kara-Shehr". Les moins bons, de loin.
Donc deux, parce que c'est bien, mais ce sont évidemment les deux EP qui suivent qui sont à écouter impérativement.

Le 03 Novembre 2024 par BLUEMASK

J’aime manger, et me considère presque comme un gourmet. Je mange et j’apprecie tout, viandes, poissons, légumes, fruits et les milliers de possibilités offertes par assemblage. Le snobisme de certains restos gastro me gavent mais jamais le festival du repas. Je serais infoutu de donner mon plat préféré car j’aime tout, du foie gras poêlé aux oursins frais en passant par la nourriture de tous les pays sous toutes leurs formes. J’ai même mangé du chien au Vietnam en voyage pro, et j’aime le chien.
Mais parfois, bordel, un hamburger frites, je ne sais pas résister. J’adore car c’est attendu, c’est facile, goûtu, simple et fondant. Qu’importe que ce soit la copie d’un burger australien, on s’en fout. C’est bon. Écœurant mais bon.