Le 13 Mai 2021 par STEVEN

Oui, rien de mémorable à propos de cet album.

Je sauve "Lovelorn Crime" et son magnifique solo, mais sinon c'est sitôt écouté, sitôt oublié, comme toutes les sorties depuis "Heritage"...

Je ne demande absolument pas un retour au Death, "Damnation" est mon album préféré du groupe (et dans mon Top 10 de tous les temps) et ne contient aucune once de distorsion ou growl.

Mais pitié, stop avec ce revival Prog 70s sans personnalité...

Le 12 Mai 2021 par THORPEDO

C'est vrai que j'ai oublier de le commenter celui-là!
J'ai oublié parce que je n'en retiens absolument rien... disons pas grand chose pour ne pas être méchant avec un groupe que j'affectionne particulièrement.

Comme beaucoup, je préfère l'OPETH première et deuxième mouture mais je ne crache pas sur la nouvelle direction du groupe pour autant.
"Pale Communion" et "Sorceress" sont deux albums que j'apprécie encore aujourd'hui.

J'ai beau essayé d'écouter "In Cauda Venenum" en anglais, en suédois, sobre, ivre, sur une jambe, en faisant le poirier, le matin, le soir, la nuit, rien n'y fait, je ne retiens rien et je m'ennuie. Ce n'était pas le cas avec ses prédécesseurs.
Du coup, note sanction.

1/5 pour moi. Je sais, c'est dur, la note la plus "juste" serait sûrement 2/5 mais fallait sévir !
Puis qui a dit qu'il y avait une justice en ce bas monde ?

Le 11 Mai 2021 par MEGIDDO

Même commentaire que Fred au sujet du titre "Painkiller" : pénible en studio, insupportable en live avec un Rob aux fraises sans toute cette aide technique.
De plus, depuis peu, je suis désolé mais j'ai découvert que la ligne de chant dès le début du titre à la même mélodie que le thème principal de... Rabbi Jacob !!! Je vous jure que c'est vrai, faites le test. Depuis, je vois De Funès dès que Rob ouvre la bouche.
Plus généralement, ce bon album était plus un coup de com' qu'autre chose, surtout le premier titre. Ce n'est pas véritablement l'âme de JUDAS.

	Par Nightfall In Metal Earth Merci pour ton commentaire Meggido, mais j'ai dû mal m'exprimer, car je ne trouve absolument pas le titre "Painkiller" pénible (je l'adore), c'est davantage la formule qu'il instaure pour tout l'album qui me fatigue. Bien à toi !

Le 11 Mai 2021 par QUELQUEDEUX

J'ai acheté cet album un jour d'ennui où j'avais probablement trop d'argent en poche, certainement attiré par la belle pochette qui collait bien avec ce que je lisais et écoutais à l'époque, et je ne l'ai pas gardé longtemps. Je n'ai jamais entendu parler de ce groupe avant, pendant ni après, et je suis surpris de découvrir ici qu'ils ont apparemment eu une longue carrière.

Il me restait en tête deux-trois vagues souvenirs musicaux de "Celtica" et de "Is Fuair An Chroí", qui n'étaient d'ailleurs pas bons (en termes de qualité, pas de précision), ces segments m'étaient simplement restés dans le crâne. Ce qu'a confirmé une tentative brève de réécoute de l'album en ligne il y a quelques jours ; j'ai laissé tomber en plein milieu de "Celtica", mais l'ennui s'installait déjà pendant l'intro. Un chant pénible, des mélodies peu inspirées, peu d'harmonies, beaucoup d'unissons... Bon, visiblement ce n'est pas pour moi. Mon intérêt pour le "Metal cornemuse" n'a d'ailleurs duré que le temps des deux albums d'IN EXTREMO (98-99), que je n'ai plus non plus écoutés depuis un bail mais qui me laissent de meilleurs souvenirs malgré tous leurs défauts.

Le 11 Mai 2021 par ALMHARAC

Un album de reprises assez sympa, qui nous ramène à l'époque "Dogs Of War" - "Solid Ball Of Rock" du groupe, avant qu'il ne se métallise trop, pas toujours pour le meilleur.

Les reprises sont énergiques et bien exécutées, quoi que je trouve que Biff ne tienne absolument pas la comparaison sur "Immigrant Song" et que sa manière de singer Ozzy sur "Evil Lady" me laisse dubitatif.

Sinon c'est du bon SAXON, une parenthèse Rock'N'Roll qui fait du bien.

Je ne pousserai malheureusement pas l'optimisme au point d'espérer que cela leur redonne l'inspiration qui manquait parfois sur leurs deux-trois derniers albums...

Le 11 Mai 2021 par KOL

Ben voilà, ce n'était qu'une question de temps avant que je ne tombe à pieds joints dans CANNIBAL CORPSE. Les MOTÖRHEAD du Death, mais pas que.

Sur cet album, il y a les petites respirations qui permettent de mieux apprécier le matraquage en règle, fil conducteur de leur longue carrière. Le solo de "Inhumane Harvest" a été ce déclencheur, qui m'avait manqué par le passé. La Cigogne bleue qui vient aérer la boucherie et permet de supporter le déferlement de décibels des trois titres précédents et des trois titres suivants. Je n'en demandais pas plus.

Et oui, "Overtorture" est un bijou, si tant est qu'on puisse utiliser ce terme pour du Canniboule.
Le reste déboîte, comme attendu. Hâte de retrouver le cou de taureau de Corpsegrinder en live pour nous nettoyer les oreilles avec ses nouveaux titres.

Le 11 Mai 2021 par OLIV51

Pour son quinzième album, les cannibales fêtent leur retour en grande pompe !

L’intégration de Rutan au sein du groupe est un choix idéal, l’homme ayant façonné le son du CORPSE depuis une quinzaine d’années, il en connaît parfaitement l’esthétique. Ses trois compos pour ce "Violence Unimagined" sont à peine croyables, un mix idéal entre la virulence malsaine de HATE ETERNAL et la brutalité gore des CANNIBAL. Car en plus d’être un guitariste hors pair, il est également un solide songwriter (l’exceptionnelle "Hatework" de MORBID ANGEL sur "Domination", c’était de lui !) et sa contribution n’est pas à négliger, comme par exemple "Overtorture" qui explose de mille feux... Mieux, sa créativité déteint sur les autres, à l’instar de Barett qui signe sa meilleure compo avec "Follow The Blood" hautement inspirée....
Comme l’a dit Mefisto dans sa chronique, la tracklist est parfaitement agencée et l’écoute se déroule avec l’aisance assurée des plus grands. George est impressionnant comme jamais (comme par exemple sur le break de "Murderous Rampage"), le ratio de compos par musicien est équilibrée, renforçant une certaine ´diversité’ dans l’agression, le riffing foisonnant, et même le batteur module un peu plus son jeu.
Les cannibales font l’expérience d’une seconde jeunesse sur ce "Violence Unimagined", et Rutan les aide à recouvrer une certaine idée de véhémence Death Metal qui leur faisait défaut depuis quelques années...
L’un des meilleurs albums aux côtés de "The Gallery" et "The Wretched Spawn" pour ma part.
Merci Mefisto pour cette chro !

Le 11 Mai 2021 par CLEM

Il est bien loin le temps de "Sirius B"...
Christofer Johnson n'a plus rien à dire actuellement. Il n'y a rien de mauvais mais tout est banal ou poussif. On ne retient pas grand chose. Une fois écouté je n'ai pas eu très envie de le laisser dans la platine...
Les prochains, plus expérimentaux seront espérons-le, plus intéressants...
2/5 parce que ce n'est pas nul ou horrible mais tellement loin de ce que THERION a pu faire...

Le 11 Mai 2021 par DEATH BY FRENCH TV

Acheté à l'époque, revendu deux semaines après. Très décevant après une collaboration riffiquement géniale avec Ozzy sur "No More Tears". Mou du genou et chiantissime.

Le 10 Mai 2021 par PAPA

Pour critiquer Lizzy, il ne suffit pas de s’en arroger le droit fiston, il faut en avoir les galons ! M’enfin, on a de l’humour dans la lizzy team.
Sinon, SAXON fait du SAXON et de la résistance. Un p’tit 2 pour la nostalgie !

Le 10 Mai 2021 par SWISSIDOL

Un bon album de la part de l'homme des cavernes. Bien roots, péquenaud en diable, avec de gros riffs, un jeu de guitare flamboyant et quelques ballades bien senties. Une touche d'humour également avec "Hate Your Guts". Ressorti avec un CD bonus mi-compos, mi-reprises (SABBATH, LED ZEP, BEATLES).

Le 10 Mai 2021 par ALMHARAC

Petit bijou assez méconnu de la disco de RAGE, probablement écrasé par "XIII".

Et pourtant, que cet album regorge d'ambiances et de titres réussis.
Un album symphonique plus doux que les autres, plus sensible, plus spectral, mélancolique et sentimental parfois.
J'enlève un point car un ou deux morceaux sont un peu en-dessous, sinon c'est du tout bon.

Curieux, rafraîchissant et beau.

Le 10 Mai 2021 par ALMHARAC

Excellent album de RAGE et une référence de Heavy (mélodique) à mes oreilles. L'album forme une sorte de diptyque avec "Soundchaser", tout aussi bon. Impossible d'en choisir un tant les deux tutoient l'excellence.

Aucun mauvais morceau, du plaisir en barre du début à la fin.

Le 10 Mai 2021 par ALMHARAC

J'aime bien l'univers creepy, freaky et borderline de Rob ZOMBIE. Il en ressort une impression de liberté.

L'album, sans être un chef d'œuvre, provoque un sentiment de festivité bordélique et assez variée.

Sympa.

Morceau préféré : le sombre "Crow Killer Blues".

Le 10 Mai 2021 par C19 NOT NATURAL DISA

J'aime bien la sélection du site et mettre 3 étoiles... Bref, pour dire que cet album est comme un bon vin, il se bonifie avec le temps, et qu'à part le titre avec le bébé (inutile à mon sens) tout est parfait ou presque. Un grand cru du groupe !

	Par Nightfall In Metal Earth Juste pour nuancer ton commentaire un brin désobligeant, à son instauration, la Sélection du Site n'avait pas tout à fait la même vocation que maintenant, et ce n'est qu'après qu'il a été décidé de la réserver aux très bons/excellents albums. Sans rancune, Jeff Kanji

Le 10 Mai 2021 par ALTHOR

10 ans déjà, le temps file. À sa sortie j'étais sous le charme de cet album. Avec le recul ce n'est clairement pas le plus riche d'AMORPHIS. Il comporte son lot de réussites, mais aussi de moments moins flamboyants, notamment avec une 2e partie d'album assez moyenne. Après ça reste du AMORPHIS, c'est bien fait. Mais le plus grand problème demeure aujourd'hui dans son positionnement entre son prédécesseur, l'excellent "Skyforger" et de son finalement très bon successeur "Circle".
10 ans après, j'apprécie m'écouter de temps en temps un petit "Battle For Light", "You I Need", "Three Words" et "Reformation". Ça paye un bon 3,5/5.

Le 10 Mai 2021 par BAKER

Je découvre cet album bien sympathique, et c'est incroyable ce que Bon Jovi sonne comme J.J. Goldman quand il part dans les aigus !

Le 09 Mai 2021 par ALBIRéO

Cet album est, certes, bien moins intéressant et enthousiasmant que leur chef d’œuvre "Shout At The Devil", mais il contient suffisamment de titres bien fichus pour être vraiment agréable à écouter.
En tout cas, lui coller une seule étoile est abusé. Mais c'est un parti pris que je comprends : comment est-ce possible d'abandonner ce style sombre si intéressant de l'album précédent et comment ne pas être déçu de ne pas retrouver ne serait-ce qu'un peu de la magie des titres du même album précédent ?
TOP souffre de cette comparaison.

Reste que "City Boy Blues", "Louder Than Hell", "Home Sweet Home", "Use It Or Lose It", "Save Our Souls" et "Fight For Your Rights" sont de bonnes chansons.

J'ai fait exprès de ne pas citer "Smokin' In The Boys Room" : je n'aime pas les reprises, en particulier lorsqu'elles font partie des meilleures chansons d'un album (car c'est hélas ici le cas) et qui mettent en évidence le manque d'inspiration global de cet album.

je l'écoute toutefois de temps en temps avec plaisir.

Le 09 Mai 2021 par JOHN-BOB

Ça fait mal aux fesses de se rendre compte que MORBID ANGEL n'a rien sorti de potable depuis presque vingt ans, et qu'il est devenu complètement has been, alors qu'il était le patron du Death dans les années 90. En écoutant cet album, rien ne laissait présager que huit ans après, Trey sortirait de son silence et irait se défenestrer en sortant un bel étron la même année que METALLICA.

Parce que malgré tout, "Heretic" est un bon album. Il aurait même pu être excellent (mais très en-deçà d'un "Gateways To Annihilation" ou d'un "Altars Of Madness", faut pas déconner quand même) si on avait fait comprendre à Trey et Pete qu'un certain nombre de plage ambiantes et les deux derniers soundchecks n'ont rien à foutre là, et donc ne conserver que 9-10 morceaux au lieu de 14.

Le 09 Mai 2021 par JOHN-BOB

Le meilleur album de RAGE, il n'y a pas photo. Quasiment vingt ans après, il n'a pas pris une ride avec un son toujours d'actualité. Les morceaux ont le parfait équilibre entre puissance et mélodie, avec Mike Terrana et Victor Smolski qui y mettent le feu. J'ai un faible pour l'instrumental qui clôt l'album, avec un super solo du père Victor.