Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 ...>...>>... 2667
Comment poster un commentaire ?


SONATA ARCTICA
UNIA


Le 16 Juillet 2021 par DJINN


Je suis surpris par de si bonnes notes, je pensais que ce disque était majoritairement décrié, à part dans la presse. Pour une fois que je me sentais du côté de la masse.

"Unia" n'est pas un ovni. On n'y trouve ni la grande richesse, ni le cassage de codes que certains entendent. Il y a de la ballade nulle ("Under Your Tree", "My Dream"), de la rythmique bourrine qu'on joue quand on n'a pas trouvé de riff ("Caleb").

Évidemment tout n'est pas linéaire, il y a plein de breaks sympas ("For The Sake Of Revenge", encore "Caleb", en fait sur la plupart des morceaux). À se demander s'ils n'auraient pas du partir des breaks pour composer l'album. SONATA ARCTICA a encore des idées et Tony Kakko chante toujours très bien. Mais il y a des tas de groupes de Heavy Speed qui ont des morceaux aux structures non conventionnelles bien plus réussis.

Je suis certain que la grosse perte de vitesse qu'on prétend avoir identifiée en 2016 vient des choix de 2007 pour lesquels on avait parlé d'audace. À un moment, ceux qui parlaient d'ouverture d'esprit ont fini par se rendre à l'évidence que tout le monde était passé à autre chose.






METALLICA
RELOAD


Le 15 Juillet 2021 par ESKAPEESKAPE


Je ressors cet album (et "Load") après plus de vingt ans de placard (l'album, pas moi).
Les pochettes des "Load" et "ReLoad" me plaisaient car je connais le travail du photographe Andres Serrano ; le jeu de mot (éjaculation) est bien potache.
Mais le bilan reste loin d'être bon.
Se mettre à réécouter cet album revient à faire un douloureux pèlerinage et constater le désœuvrement qui régnait au sein de METALLICA.
En effet, si le retrait du Thrash traditionnel s'est révélé payant pour le Black album, force est de constater que les expériences "Load" et "Reload" sont catastrophiques.
- Au niveau des compositions on peut croire que METALLICA aspire au western ou à la Country (le bon "Low Man's Lyric") mais en fait on lorgne carrément vers PEARL JAM, SOUNDGARDEN, ALICE IN CHAINS ("Where The Wild Things Are") sans le talent ; puis la vague Emo qui se profile.
- Au niveau des arrangements on "Beatlise" à la "Sergent Pepper" avec des effets ici et là, pas forcément justifiés (vocoder, beaucoup beaucoup beaucoup de wah wah, sons inversés...).
Les effets sont souvent trop chargés car "Reload" est tout de même très très long, 1h16 mn et ils n'apportent rien aux titres contrairement à ceux des BEATLES qui servaient les chansons.
- Au niveau de l'interprétation, rien à dire, c'est propre, carré, c'est METALLICA ; mais mon Dieu, James n'arrêtera plus les "Ho, Yeah Yeah" et ce timbre de voix où il a les dents serrées qui est horripilant ; notamment lors des chœurs et voix doublées de James ("Attitude").
- La production est propre, assez proche du Black album ; on distingue bien chaque instrument, mais comme pour le Black album, elle manque de respiration et est très (trop) monochrome et devient lassante et monotone malgré les passages de flûtes, viole (etc.).

En conclusion, METALLICA a clairement perdu sa capacité à faire concis et à aller au but ; "And Justice..." le préfigurait déjà et le Black album était clairement trop long.
Les titres se perdent en circonvolutions inutiles ; par exemple le riff de "Prince Charming" est sympathique mais les breaks l'annihilent totalement.
Les soli sont collés, pas forcément amenés et c'est dommage.
Le résultat est moyen car poussif et vain car les titres sont noyés par tout ce que j'ai dit précédemment ("Fixxxer").
METALLICA n'en tirera aucune leçon puisqu'ils remettront le couvert avec le double album "Hardwired... To Self-Destruct" avec très exactement les mêmes reproches (!) mais avec en plus un son trop écrêté et surcompressé.
Ma note 2/5 (1 pour "Load" et 1 pour "ReLoad") si cela avait été un unique album de 60 mn.





DEEP PURPLE
MADE IN EUROPE


Le 15 Juillet 2021 par SWISSIDOL


Un vrai bon petit live, certes court, mais avec des versions magiques de "You Fool No One" ou "Lady Double Dealer". Après, j'avoue n'avoir jamais adoré "Mistreated" que je trouve un peu lourdingue, à la longue, et qui arrive trop tôt dans la set list. Heureusement que le splendide "Burn" rattrape tout cela.





BRING ME THE HORIZON
SEMPITERNAL


Le 14 Juillet 2021 par DINICED


C’est le seul album que je possède de BMTH et il me plaît bien suivant certaines humeurs du moment. Le côté « sensibilité affleure de peau » du chant me touche, parfois jusqu’au frisson le long de la colonne vertébrale.
J’ai essayé de retrouver ces sensations sur d’autres albums écoutés sur le web mais effectivement BMTH est assez bizarre… soit Metal hurlant, soit Pop Électro… Le groupe a l’air assez changeant.
Mais ce "Sempiternal", il est très bon. Il élargit agréablement mon domaine métallique.





RATT
REACH FOR THE SKY


Le 14 Juillet 2021 par TERRORIZER

Salut à tous,

Bien ce commentaire sur cet album excellent de RATT. Comme je l'ai toujours dit, ce groupe a une disco bien supérieure aux CRÜE mais les frasques en moins. Tous leurs albums sont de qualité, des morceaux imparables, on pourrait en parler encore et encore. J'ai enfin trouvé le cd sur d
Dodax.





EXODUS
TEMPO OF THE DAMNED


Le 14 Juillet 2021 par JéRôME OZENDRON



Les miracles du Metal, épisode 3. Si en Bretagne on cultive le chou-fleur, Exodus cultive la lose. Et dans les deux cas, c'est intensément. En effet : un premier album culte mais sorti quelques mois trop tard pour épater la galerie qui s'est déjà mangé quelques belles mandales (et la huitième gifle fait beaucoup moins mal que les trois premières), un troisième album formidable mais qui sort lui quelques années trop tard (tout le monde commençait à être blasé du genre) et un live dantesque sorti en... 1997 ( "Du Thrash? Hein? C'est quoi ça ? Ça s'écrit comment ?"). Bref, Exodus c'est une Chevrolet de 300 bourrins qui se prend toujours 400 m dans la vue par la concurrence à force de caler au feu rouge.
Et ce Tempo of the damned alors ? Et bien lorsque Paul Baloff (la version maléfique de Paul Baloche) a la mauvaise idée de mourir et qu'on rappelle Steve Souza en catastrophe pour enregistrer 10 ans plus tard le successeur d'un Force of Habit qui s'est fait atomiser par la critique, on peut dire que sur le papier ça sent pas la réussite. Et pourtant... Dès le premier morceau, le très cynique Scar splanged banner qui évoque énormément The last act of defiance, on se dit qu'on tient quelque chose. Et effectivement, Exodus a parfaitement négocié le virage du nouveau millénaire (contrairement à beaucoup de ses collègues qui ont fait un tout droit monumental pour se ramasser lamentablement dans le ravin de la consternation) et propose un Thrash vindicatif, efficace, mais qui a su garder le petit supplément de fun des 80's. Les compositions sont soignées, le son énorme et les solos aussi bordéliques qu'incendiaires, pour notre plus grand plaisir. Parmi les morceaux qui tuent on remarquera particulièrement l'irrésistible Blacklist sur lequel Souza muscle son jeu et ne se cantonne plus de singer Bon Scott en faisant "Gniark Gniark". Le Robert Pires du Thrash nous offre une autre démonstration de haute volée sur le dévastateur Shroud of Urine, à l'instar de l'incroyable Tom Hunting qui montre à l'occasion qu'il s'agit d'un des meilleurs batteurs du genre. On pourrait faire la fine bouche et regretter quelques morceaux plus bourrins et moins inspirés dans la deuxième partie de l'album, apprécions cette tuerie pour ce qu'elle est : une des toutes meilleures sorties Thrash des années 2000.
Tandis qu'Exodus résout l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès, Five Finger Death Punch finit en garde à vue pour avoir envoyé par mégarde une "dickpick" à sa belle-mère.





RATT
REACH FOR THE SKY


Le 13 Juillet 2021 par ATOMIC PLAYBOY


Content de voir une réhabilitation de cet album injustement décrié à mon goût. Car en dehors du côté "More Of The Same", il n'y pas grand chose à lui reprocher. A l'époque, j'avais également été légèrement gonflé par l'aspect répétitif de la discographie des rongeurs mais j'écoutais néanmoins l'album avec plaisir. C'est vrai qu'à part l'extraordinaire "Way Cool Jr" (ce clip !) il n'y a pas grand chose de nouveau à l'horizon, mais ça déroule, et ça déroule bien ! Si tout le monde est plus ou moins d'accord sur la qualité des trois premiers titres, chacun y va de sa chanson préférée dans les sept autres, pour ma part ce sera "What I'm After".

Je suis presque tenté de lui mettre quatre étoiles, vu que je l'écoute encore à l'occasion 31 ans après, ce qui n'est pas rien, mais je vais rester objectif et lui coller un bon gros trois.





METALLICA
SOME KIND OF MONSTER


Le 13 Juillet 2021 par ZEJACK

Je viens de le voir pour la première fois (merci Netflix). Et avant tout je ne connais pas "St Anger"(seul album du groupe que je n'ai jamais écouté).

Je suis partagé entre la fascination pour l'aspect perdu du groupe (Jamz avoue qu'être dans METALLICA est difficile car tout le monde te donne tout le temps raison, le tâtonnement dont il fait preuve lors des moments de composition de "St Anger" qui semble vraiment un album à part dans le processus) et la "déception" de voir qu'ils sont finalement "humains".

Pas mal d'interventions sont assez moyennes (Mustaine larmoyant ça fait fake à mon goût) et Trujillo semble sympathique mais il donne l'impression de débarquer sur Mars (c'était davantage zen chez SUICIDAL ?!).

En revanche 2 points reviennent tout au long du documentaire : Lars semble être vraiment "pénible" pour ne pas utiliser d'autre mots et le psy une belle arnaque. (4OK$ par mois il a flairé le coup).





PARADISE LOST
OBSIDIAN


Le 13 Juillet 2021 par JOE IS LOST


Depuis "Tragic Idol" que j'aime beaucoup, j'ai quand même l'impression que l'on écoute
tout le temps la même galette.

Je ne comprends pas ce retour primitif définitif, je préfère le PARADISE LOST de "Faith Divides Us..."

Question de goût c'est sûr.

Vivement qu'ils reviennent à un style plus mélodieux et moins plombé car là franchement je commence à m'ennuyer ferme.





METALLICA
SOME KIND OF MONSTER


Le 13 Juillet 2021 par CHRIS


Ce documentaire est le reflet d'un train de vie de gens qui sont complétement décalés.
Mais au final, les rock stars sont des êtres humains à part entière avec leurs pets de travers.
Quel était leur but ?
On est bien mieux à rester dans son coin, devant une horloge ou devant une télé !






NEANDERTHAL NOISE MACHINE
NEANDERTHAL NOISE MACHINE


Le 13 Juillet 2021 par HELHEIM

Je me permet de reprendre quelques lignes de la chronique de Citizen en changeant un ou deux mots "encore un groupe de merde à la mords-moi-le-nœud… Hé, ducon, si je voulais écouter du MOTORHEAD des années 80, c’est ce que je ferais, pas besoin d'un groupe de néanderthalien à la con, tu m’fais perdre mon temps, vas-y casse-toi, gnagnana…"

Bon voilà tout est synthétiser dans cette phrase, ça vaut même pas le coup de mettre une note.





STRATOVARIUS
NEMESIS


Le 13 Juillet 2021 par JéRôME OZENDRON


Dans mon commentaire sur l'album éponyme de SODOM sorti en 2006 je parlais de "miracle". En voici un autre, tout aussi inattendu. D'emblée, le fan de STRATOVARIUS ne peut qu'être interloqué : exit les pochettes pseudo classieuses dans les tons froids, welcome le kitsch assumé dans les tons chauds. A l'écoute du disque les surprises se poursuivent : mais où sont donc passées les influences progressives qui commençaient fortement à alourdir le propos au fur et à mesure des années ? Et pire que tout : pas de ballade pompeuse en hommage à l'hiver finlandais ? Se pourrait-il que STRATOVARIUS ait... évolué ? Et si le départ de Tolkki était finalement une bénédiction ? Avouez qu'il y a de quoi s'étonner. Et ce n'est pas fini. Car figurez vous que Jens Johansson (indiscutablement l'homme du match de cet album) nous en fout plein la gueule avec des sonorités... modernes. Oui oui, des sonorités... modernes. Enfin, modernes pour un Ringhardos, mais modernes quand même. Visiblement lassé d'être le faire-valoir de Tolkki qui l'obligeait à imiter ad nauseam le clavecin du Concerto Brandebourgeois, notre claviériste aux cheveux de spaghetti se lâche complètement. Et le résultat est des plus réjouissants. Vous l'aurez compris, "Nemesis" est un album atypique dans la carrière de STRATOVARIUS, mais c'est l'album qu'il fallait sortir après deux disques de chauffe qui ont servi à se rassurer suite au départ de Tolki. "Nemesis" est une indiscutable réussite, à ranger sans hésitation aux côtés de "Visions", "Destiny" ou "Fourth dimension".
Tandis que STRATOVARIUS met au point un vaccin efficace à 100% contre tous les variants du COVID, DAGOBA ne comprend toujours pas pourquoi son téléphone ne vole pas alors qu'il l'a mis en mode "avion".





JUDAS PRIEST
NOSTRADAMUS


Le 12 Juillet 2021 par CPEJ


Évidemment, il faut s’armer de patience et d'une bonne zapette pour digérer ce double album, 23 titres dont quelques interludes ! Mais on est récompensé de ses efforts lorsque l'on débusque certains excellents morceaux, "Revelations", "Exiled" et "Future Of Mankind" sont pour moi les meilleurs.
Arrangements symphoniques, ambiance sombre, tempo plutôt middle donnent au Heavy Metal de JUDAS PRIEST, une certaine originalité, c'est une belle réussite pour le groupe avec un line-up au top, la dernière participation pour K.k. Downing, dommage.





ETERNAL CHAMPION
RAVENING IRON


Le 12 Juillet 2021 par MISS OF PUPPETS


"Ravening Iron" est un album avec une pochette très… esthétique.
En toute honnêteté, je le pense, même si les succubes (ou tout ce qui y ressemble) ne représentent pas vraiment un fantasme pour moi.
Et bien sûr, il n'est pas dispo en streaming, du coup mon cher et tendre me dit "on a qu'à l'acheter". Ben voyons, et pourquoi pas en vinyle tant qu'on y est, en CD ça serait trop petit !!!

Pour parler de musique, cet album est pour moi plus agressif que "The Armor Of Ire", ce qui me plaît davantage par ailleurs, et en même temps moins direct. Du coup j'ai mis plus de temps à l'apprivoiser, néanmoins le plaisir est identique au premier, au final.
Le petit bémol est peut être le dernier titre qui est plus alambiqué que les autres donnant l'impression de s'y perdre un peu.

J'aime beaucoup ETERNAL CHAMPION. Ce groupe rassemble bien les critères que je recherche parfois: agressivité, compositions, riffs, mélodies…





BLUE ÖYSTER CULT
CURSE OF THE HIDDEN MIRROR


Le 12 Juillet 2021 par GRONF


Un album très moyen, mais qui reste honnête dans le fond et dans la forme. La comparaison avec le précédent opus est compliquée: le single "Pocket" fait pale figure comparé à "Harvest Moon", certaines paroles sont confondantes de niaiseries (BÖC a toujours fait des chansons fun, mais là on touche le fond), mais on retrouve des titres qui ne dépareillent pas dans la discographie du groupe ("The Old Gods Return", "Stone Of Love").
Au final, pas le meilleur album du BÖC, loin de là, mais il reste honnête pour une production du début des années 2000, surtout si on le compare à certaines productions de groupes issues des années 70s. Un 2,5 arrondi à 3 par nostalgie.





UNISONIC
UNISONIC


Le 11 Juillet 2021 par LE FéLON MASQUé


La musique malsaine d’HELLOWEEN a disparu au profit d’une musique lisse. Ça fait longtemps que Michael KISKE ne va plus dans ce sens. A la place il nous réserve un travail extrêmement professionnel. Mon seul regret est cette transformation de la musique qui fait souvent illusion mais qui gâche certains passages. Une nouveauté réservée aux fans d’HELLOWEEN.





SKYFOREST
UNITY


Le 10 Juillet 2021 par MISS OF PUPPETS


Il y a des moments dans la vie où le hasard fait bien les choses.
Le jour où cette chronique est tombée, mon esprit avait besoin de se projeter dans un autre monde histoire de faire face aux deux journées de dingue que je devais affronter. Cette chronique m'a replongé dans "Unity" et m'a complètement aidé.
C'est fou ce que la musique peut nous faire comme effet.

Comme Anima, "Unity" est pour moi plus mature que "Aftermath": les compositions sont mieux maitrisées et plus riches. J'adore également la grande variété d'instruments.
Il est vrai que cet album s'écoute facilement d'une traite tellement il est cohérent, chaque morceau répondant presque à celui d'avant.
Mon titre préféré est "The Swan" avec tout l'envol magistral d'un cygne. "Reminiscence" me fait quant à lui quasiment pleurer, l'intro au piano est magnifique.

Des bonnes idées comme ça j'en n'ai pas tous les jours, la prochaine sera probablement dans dix ans !
Merci Anima pour l'intérêt porté à cette chronique. C'est un régal de te lire ainsi que tous les autres chroniqueurs.





BLUE ÖYSTER CULT
CURSE OF THE HIDDEN MIRROR


Le 10 Juillet 2021 par FEELGOOD


"Curse Of The Hidden Mirror" (que j'abrégerai par la suite par ses initiales) est un album singulier, complètement déconnecté du contexte du début des années 2000, ce qui n'est, à vrai dire, pas pour me déplaire. La pochette, très réussie, nous renvoie intelligemment au visuel passé du groupe. Mathieu Bollon et Aurélien Lemant l'ont analysée avec beaucoup de finesse dans leur passionnant ouvrage sur le groupe de Long Island intitulé « Blue Öyster Cult la carrière du mal » . L'impression de « déjà entendu » que déplore Dark Beagle, si elle est indéniable, ne contribue pas moins au charme de l'ensemble. Contrairement au (fort bon) disque précédent sur lequel j'espère avoir le temps de revenir un de ces jours, "COTHM" privilégie des ambiances plus contrastées évoquant le BÖC de la fin des années 70, caractérisé par un certain raffinement et un son conçu pour séduire les ondes FM. COTHM n'est en aucun cas un brûlot rentre-dedans et agressif et c'est ce qui me plaît dans cet album. Toutes les compositions sont intéressantes. "Showtime", "Here Comes That Feeling" et "Stone Of Love" génèrent une atmosphère empreinte de rêverie.
D'autres s'avèrent cependant plus marquantes. Le riff de "Dance On Stilts" accroche immédiatement l'auditeur qui ne peut qu'être séduit par la construction de cette chanson. On retrouve ici l'ambition et la musicalité qui caractérisaient "Golden Age Of Leather". Et c'est vrai qu'on n'avait pas l'habitude d'entendre D. Roeser interpréter seul le titre liminaire.
Parmi mes morceaux préférés, citons les excellents et classiques "The Old Gods Return", "One Step Ahead Of The Devil" et "Eye Of The Hurricane".
J'adore aussi les insidieux "I Just Like To Be Bad" et "Good To Feel Hungry".
Quant à "Pocket", le single, je le trouve très sympathique, avec son excellent riff et ses chœurs entêtants.
J'ai longtemps cru (pendant près de vingt ans) que "COTHM" serait le dernier disque du groupe et cela ajoutait à son charme. La sortie inattendue de l'excellent "The Symbol Remains" a heureusement démenti mes craintes.
3,5/4.













METALLICA
SOME KIND OF MONSTER


Le 08 Juillet 2021 par FRED


Ce qui m'a marqué le plus, c'est l'immaturité des membres du groupe, particulièrement Lars et surtout Kirk, véritable carpette inexistante, sauf quand on lui retire son joujou (ses solis !).
Mais même là, il ne parvient qu'à dire l'exact contraire de ce qu'il pense, cela en est incroyable, pour, quelques minutes plus tard, dans la voiture, s'aplatir de nouveau lamentablement. J'en ai pitié pour lui.
Édifiant.





METALLICA
SOME KIND OF MONSTER


Le 08 Juillet 2021 par BAKER


Oui, un très bon documentaire (et pas rockumentaire ou making-of) avec quelques moments forts. Kirk doit parler quatre fois en 2h30, mais ce qu'il dit est si lourd de sens...

* SPOILER * Le moment où le psy déclare qu'ils ont fait d'immenses progrès et que ce serait con de s'arrêter là alors repartons pour quatre mois, c'est un très grand moment de cinéma-vérité, avec la tête d'Hetfield (de mémoire) qui d'un coup se rend compte que le type l'a escroqué pendant tout ce temps.

Et évidemment si vous êtes alcoolique ou en vacances prolongées, il y a le drinking game : un shot de vodka à chaque claquement de langue de Lars 'Giscard' Ulrich. Fin bourré après quinze minutes, le pauvre spectateur.







Commentaires :  1 ...<<...<... 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 ...>...>>... 2667






1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod