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WINTERSUN
WINTERSUN


Le 07 Octobre 2022 par GOLGOTH 68


Un album extraordinaire qui ne sera jamais égalé par le peu que le groupe produira ensuite malgré toutes ses promesses (si vous voulez rire, lisez les publications du groupe sur Facebook et les commentaires -lucides- qui suivent chaque post). WINTERSUN semble au final le groupe d'un seul album (celui-là mais vraiment excellent) à la fois épique et sombre et dont je ne me lasse pas. Mention spéciale à "Beautiful Death" qui est à mon avis le top de l'album et le meilleur morceau du groupe.





FIVE FINGER DEATH PUNCH
AFTERLIFE


Le 06 Octobre 2022 par DARKMORUE


Je déteste viscéralement ce groupe. Alors que c'est rare mais vraiment je peux pas.
Je suis allé les voir vite fait au Hellfest et c'était aussi efficace que malaisant tellement ils sont agressivement américains. Vraiment y a rien qui va.

Du coup j'ai écouté ce dernier album histoire de rigoler un bon coup.
Je me suis bien fait avoir, j'ai trouvé ça extrêmement cool. Parce que le son est complètement coloré d'Indus, c'est millimétré et ça claque, et ça en fait des hymnes plus proches de Rob ZOMBIE que de PANTERA. Je me sens sali. Mais bon, tant pis.





SCREAMING TREES
DUST


Le 06 Octobre 2022 par LUDWIGRETSCH


Difficile de passer après un disque aussi addictif et rafraîchissant que "Sweet Oblivion"...
On s'éloigne de plus en plus du Grunge avec cet ultime album des arbres qui crient !
Homogène, bien produit, avec un doux parfum British seventies plutôt agréable, "Dust" manque de cette pincée d'épices et de fougue qui auraient pu le rendre incontournable...





PRIMUS
SAILING THE SEAS OF CHEESE


Le 06 Octobre 2022 par LUDWIGRETSCH


Incroyable ce disque quand même, tellement audacieux et décalé, surtout pour l'époque !
L'album le plus vendu et référentiel de PRIMUS est aussi l'un des plus barrés et étranges avec "Pork Soda" ; fini les décharges métalliques et la fougue juvénile de "Frizzle Fry", le trio déjanté lâche totalement la bride ici en poussant le curseur "expérimentation" à son max... Nous voilà prévenus !
Cette voix si particulière et vilaine (disons-le), cette basse extra-terrestre qui prend aux tripes, cette guitare folle et cette batterie survoltée donnent un cocktail aussi déroutant que réjouissant, pour peu que l'on adhère à leur style unique...
J'avoue quand même lui préférer d'un poil le fort jouissif "Frizzle Fry" et le très sombre "Pork Soda" !





PEARL JAM
VERSUS


Le 06 Octobre 2022 par LUDWIGRETSCH


Bien que "Ten" soit un disque précurseur et historique j'ai toujours trouvé que "Versus" lui était supérieur en tout point ; plus équilibré, dynamique et mieux produit !
Ça commence très fort avec l'énergique et enlevé "Go" et se termine en apothéose avec le délicat et envoûtant "Indifference"...
On se laissera aussi séduire sur la route par l'irrésistible "Daughters" avant de se faire broyer par le rouleau-compresseur émotionnel "Reviewmirror" !
La prod quant à elle est parfaite, les guitares hurlent, la basse gronde et la snare "coup de fusil" claque à n'en plus finir...
Un régal auditif qui n'a pas pris une ride du haut de ses presque trente ans !





BLACK STAR RIDERS
ANOTHER STATE OF GRACE


Le 06 Octobre 2022 par BONJOUR


Arrêtez la comparaison avec LIZZY, c’est juste ridicule. THIN LIZZY c’était prise de risque, agressivité, une main de fer dans un gant de velours, swing et incandescence. BSR c’est cliché, pose devant la glace et raideur à tous les étages. Le chanteur et le batteur font une sacrée paire de lourdingues. Passe ton chemin amateur de musique !





STATUS QUO
NEVER TOO LATE


Le 06 Octobre 2022 par MAGNU


entièrement d'accord avec Csamsa, le dernier bon album de QUO. Mention à "Take Me Away" et "Riverside".

3,5 boules.





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 05 Octobre 2022 par KRIS10


Le bon côtoie le moins bon. Ouverture très classique, de bons titres Thrash, de bons heavy mais l'album se perd dans sa longueur, trop trop long et pas vraiment d'identité.
La section rythmique est... Euh, quasi inexistante. Quand tu vois SEPULTURA qui a Casagrande à la batterie, là tu tiens un batteur incroyable... MEGADETH bah, je sais pas, sûrement l'âge mais c'est pas foufou.
Reste MegaDave et Kiko toujours incroyable. Ce dernier, depuis ANGRA démontre son talent et sa palette artistique variée et hors du commun.

J'adore MEGADETH mais ça serai un 2,5/5 arrondi à 3 parce que Kiko quand même.





MACHINE HEAD
ØF KINGDøM AND CRøWN


Le 05 Octobre 2022 par KRIS10


Que dire de cet album, pas grand chose à part que c'est outrageusement bon.
Je ne m'attendais à rien, j'ai même été réticent à l'écouter, le dernier en date m'ayant tellement refroidi mais pour le coup.... Riffs puissants, incisifs, c'est violent, c'est le MACHINE HEAD qu'on aime.
Fan service peut être, assurément même, à l'instar du dernier SYMPHONY X ils livrent la prestation que les fans attendaient, mais c'est tellement bon, on ne peut pas regretter cette heure passée avec les américains.

La comparaison avec "The Blackening" est juste, l'ouverture d'album est au moins digne dudit album. De là à dire que c'est mieux, je ne sais pas, mais le 5/5 est amplement mérité. De la violence a l'état pure, un beau voyage sonore, qui sait outil va, possédant une identité puissante. L'un des meilleurs albums de MACHINE HEAD assurément. Et l'album de l'année à mes yeux.





DARK TRANQUILLITY
MOMENT


Le 05 Octobre 2022 par GOLGOTH 68


Un album à écouter en automne quand les jours raccourcissent... Je découvre DT avec lui et j'apprécie beaucoup l'atmosphère et la mélancolie qui s'en dégagent et l'alternance entre les 2 chants.

Comme je ne sais pas encore bien le situer dans ce que je vais découvrir du groupe, je me "limite" à 4 étoiles.





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 05 Octobre 2022 par FRED1987


Depuis "Dystopia", le père Mustaine est tombé dans la fontaine de jouvence et il a retrouvé une seconde jeunesse ainsi qu'une bonne dose d'inspiration. J'ai toujours envie de réécouter cet album technique et rempli de feelings. Il n'y a aucun doute, MEGADETH est revenu au bon vieux Thrash tout en ayant une sonorité moderne. Bravo !!!





HOLOCAUST
THE NIGHTCOMERS


Le 05 Octobre 2022 par FRED1987


En effet, j'ai la chance d'avoir ce monument en vinyle "first press" et il s'agit bel et bien d'une œuvre culte ! Un album qui transpire la spontanéité et l'honnêteté artistique. Quarante ans plus tard, cet album n'a rien perdu de son impact.





VANDEN PLAS
CHRONICLES OF THE IMMORTALS - NETHERWORLD [PATH TWO]


Le 05 Octobre 2022 par METALPROG84


Excellent album je trouve. Ne connaissant du groupe que le très bon "The God Thing", je trouve "Chronicles Of... II" encore supérieur. Assez facile à appréhender (pour du Metal Prog), on passe un très bon moment avec cet album mélodique (malgré plus d'une heure d'écoute !). Les tempos sont plutôt lents (malgré quelques accélérations par-ci par-là) mais cela ne nuit aucunement à la qualité de l'ensemble. En plus, la production est impeccable et la voix d'Andy Kuntz est vraiment superbe. Un album très classe (c'est déjà dit dans les commentaires mais c'est l'adjectif qui le définit le mieux).
Note : 4,5/5 arrondi à 5.





BILLY IDOL
REBEL YELL


Le 05 Octobre 2022 par FINISHERFRANKY


Je ne résiste pas à l'envie d'être le premier à ajouter mon petit mot ici tant cet album m'est cher. Toujours aujourd'hui le titre "Rebel Yell" me secoue, me bouleverse, me donne le feu ... et d'autant plus que j'ajoute depuis un certain temps déjà cette putain de nostalgie que je n'avais pas il y a quarante ans. Cette voix de Billy Idol, cette attitude, cette recette fine entre Hard Rock, Pop et New Wave des années 80 font pour moi aussi comme Stephen Page que cet album est unique. Billy IDOL semble adresser à l'amateur de Rock un clin d'œil complice : voyez comment je sais faire du Rock subtilement caché sous cette fine apparence de Pop commerciale. Je l'écoute toujours régulièrement, j'y reviens toujours parce que c'est une pièce maitresse de mon Hall Of Fame. Et quand en 2014 Billy IDOL sort "Kings & Queens Of The Underground", mon cœur a failli s'arrêter tant j'y ai retrouvé la veine de ce "Rebel Yell", plus précisément avec le titre "Postcards From The Past" qui tutoie "Rebel Yell" sans le copier... Billy pointant consciemment par le choix du titre la similitude des deux chansons je pense (j'aime le croire en tous cas). Billy Idol est vraiment un très Grand Monsieur du Rock.





HOLOCAUST
THE NIGHTCOMERS


Le 05 Octobre 2022 par METALPOUET


Tu as raison. Il faut sortir cet album de l'ombre !
Et la discographie passionnante de ce groupe également. Vivement les autres chroniques même s'il s'agit peut-être de leur meilleur album.

Album de "tubes" avec une sacrée atmosphère. J'ai souvent envie de m'écouter un "Mavrock", un "Death Or Glory" ou un "The Nightcomers" ou un ... Oui, j'ai souvent envie d'écouter l'album.





HOLOCAUST
THE NIGHTCOMERS


Le 04 Octobre 2022 par SAPERLIPOPETTE!!!


Je ne sais pas si c'est le plus grand album de Heavy Metal de l'histoire, mais c'est sans contestation un petit bijou. D'abord parce qu'il a très bien vieilli contrairement à certains albums de l'époque. Ensuite parce les guitares sont tranchantes, les riffs imparables et les morceaux excellents tout simplement. Et un chanteur qui me convient parfaitement peut-être limité techniquement mais qui sait rester sobre contrairement à d'autres qui en font des caisses. Et ça j'apprécie.
Un album qui restera sans doute toujours dans l'ombre et c'est bien dommage.





STATUS QUO
NEVER TOO LATE


Le 04 Octobre 2022 par CSAMSA


Le dernier très bon album (et pas seulement parce que c'est le dernier avec le batteur Coghlan) d'une décennie 1972-1981 quand même assez exceptionnelle. J'en rajoute une couche sur le titre "Take Me Away" (signé Parfitt/Bown). Voilà le genre de pépite à déterrer car jamais sur les compils, jamais joué en live (à ma connaissance) alors que ce titre à la rythmique très puissante, est une totale réussite, agrémentée d'un solo à la fois mélodique et tranchant.





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 04 Octobre 2022 par FREDIAN


"Painkiller" est un mythe. Un culte. Une pierre angulaire. Un album qui, au même titre que "British Steel" (*1) mais en plus paroxysmal, a marqué l'Histoire (du Metal hein, n'exagérons rien). Un simple constat : "Painkiller", le morceau, a été repris par ANGRA et DEATH, deux des groupes les plus originaux, dans des styles différents, des 90s. Ça en dit long je trouve sur son impact (*2). C'est aussi une sorte de chant du cygne, la matérialisation définitive de la fin d'une époque : les années dorées du (Heavy) Metal. Les 90s vont ainsi voir s'affirmer et se développer la dernière grande mutation stylistique du Metal (Death, Black, Prog', Power, Groove, Grunge, Indus, etc...) et les géants du Heavy traverseront tous cette décennie de manière chaotique. Pour JUDAS, ce sera le split houleux, l'arrêt (momentané) du groupe qui en plus, va se retrouver, avant même la sortie de "Painkiller" qui sera d'ailleurs repoussée de ce fait, empêtré dans un procès ridicule mais qui non seulement va nuire à son image mais aurait pu avoir des implications terribles pour la musique Metal (*3).

Sur la fin du "Killing Machine Tour", JUDAS avait ouvert pour AC/DC (European Leg) et si le virage stylistique du groupe avait commencé dès "Killing Machine" et que "British Steel" en était un successeur finalement logique, on ne peut s'empêcher de penser que ce partage d'affiche leur avait donné quelques idées. Il en va de même pour la génèse de "Painkiller". SLAYER a ouvert pour le groupe sur les dernières dates américaines du "Mercenaries Of Metal Tour" et comme pour son glorieux ainé de 1980, si "Ram It Down" préfigurait (clairement avec le recul) "Painkiller", on peut également imaginer que les Californiens auront influencé nos chers Brummies.

"Painkiller" intronise le nouveau batteur du groupe, Scott Travis (RACER X), fan du groupe qui va réaliser son rêve en les rejoignant (*4). Et pour marquer le coup, c'est lui-même qui lance les hostilités sur le titre éponyme avec cette intro de batterie (devenue culte), double grosse caisse en avant. Les présentations sont faites d'entrée, Scott n'est pas là pour rigoler et va insuffler une agressivité à la musique du PRIEST qui n'a jamais été aussi vindicative. Les guitares sont acérées tels les crocs du Metal Monster qui orne la pochette et le chant de Rob ultra agressif. "Painkiller" poursuit la tradition PRIESTienne des openers flamboyants. C'est un morceau très bien construit, riffs, ponts, thèmes et soli s'enchaînent avec fluidité pendant plus de six minutes. Un grand titre. Assurément.

La production à la fois moderne et brute de Chris Tsangarides (pas un inconnu du groupe puisqu'il était ingénieur du son sur "Sad Wings...") tranche avec le côté synthétique des deux précédents opus et les astuces de Chris boostent la puissance de l'album (e.g. Don Airey (*5), ici claviériste de session, a doublé toutes les lignes de basse au Minimoog pour mieux rendre compte des basses (les sons) (*6)). Revenons un instant sur la pochette qui recycle l'ange déchu de "Sad Wings..." (un clin d'œil au retour de Chris ?) dans une version robotique qui chevauche une moto au corps de dragon avec des scies circulaires en guise de roues. Le "painkiller" s'inscrit dans la lignée des héros fictionnels SF made-in JUDAS (à mi-chemin entre Robocop et Freezer ? huhu). Mais la combinaison de cette "cover" furieuse (*7) et de cette entrée en matière tambour battant servie par une production puissante est trompeuse quant au propos musical de l'album, plus diversifié qu'il n'y paraît.

D'autant que "Painkiller" est, à l'image de "Defenders...", très mal construit, ce qui exacerbe son côté monolithique. À nouveau, le parallèle avec "British Steel" qui s'avère plus varié que prévu quand on le dissèque, est frappant (*8). Si on raisonne en terme de vinyle ou de K7, on a une side A sans réel répit, violente, agressive, Speed Thrash avec pour seule respiration un "Hell Patrol" qui, malgré un final furieux (*7), vient tempérer quelque peu les ardeurs extrêmes du titanesque title-track, et une side B beaucoup plus nuancée qui ralentit les tempi et laisse plus de place à Don Airey pour développer des atmosphères qui, si elles sont plutôt sombres et inquiétantes ("Nightcrawler", "A Touch Of Evil"), aèrent le propos musical globalement jusqu'au-boutiste de l'album. La contribution de Don traduit aussi la volonté du groupe de sonner moderne, il a ainsi parsemé l'album de petits bruitages bien sentis (explosions sur "All Guns Blazing", marteaux percutants sur "Between The Hammer...", cloche sur "A Touch Of Evil", etc...).

À l'exception du titre éponyme, je trouve cette face B bien plus intéressante et réussie que la face A qui comporte quelques lourdeurs ("All Guns Blazing", "Metal Meltdown"). Au-delà des tempi ralentis et de l'apport de Don, on retrouve d'excellentes lignes de chant (e.g. refrain et pré-refrain sur "Night Crawler", couplets sur "Between...", toutes sur "A Touch Of Evil"). "Between..." se permet même une double référence à la discographie du groupe entre son riff évoquant la période "Screaming..."/"Defenders..." et son enchainement lié à "A Touch Of Evil" (ce qui n'avait plus été le cas depuis "Sin After Sin" si je ne m'abuse). "A Touch Of Evil", c'est LA pépite de l'album, co-écrite avec Chris Tsangarides (on en redemande des participations de ce niveau). L'habile mariage d'un riff lourd invitant au headbang et d'un refrain mélodique qui pousse à accompagner Rob. Et cette partie médiane qui porte les soli est une pure merveille. Enfin, une fois n'est pas coutume, JUDAS termine son album par un moment fort. "One Shot At Glory" et son intro instrumentale "Battle Hymn" est un hymne Heavy-Speed en puissance au refrain fédérateur qui a sans doute fait des émules parmi les formations Power Metal.

À l'heure où le Thrash atteint son apogée ("Seasons In The Abyss", "Rust In Peace") et les studios Morrisound ("Altars Of Madness", "Spiritual Healing", "Piece Of Time", "Eaten Back To Life", "Cause Of Death", "Harmony Corruption", "Deicide", etc.) et Sunlight (e.g. "Left Hand Path", "Sumerian Cry") répandent le Death sur la planète Metal (accompagnés notamment par le label Earache qui lance quantité de groupes Death/Grind e.g. MORBID ANGEL, NAPALM DEATH, ENTOMBED, CARCASS, BOLT THROWER, etc.), JUDAS PRIEST, qui fait figure de vétéran, réussit à se mettre au niveau en poussant le Heavy à ses limites. Cette attitude, qui aurait pu paraître ridicule, accouche d'un album paroxysmal, adoubé par les jeunes d'alors (ce qui est une performance en soi), prouvant à nouveau le talent et la capacité d'adaptation du groupe. JUDAS PRIEST, c'est un peu le grand-père qui surfe sur son smartphone. Le revers de la médaille c'est que "Painkiller" finira par quelque peu occulter la discographie passée du groupe et deviendra une référence très peu représentative (et peu recommandable) de sa carrière. "Painkiller" est un aboutissement. Mais le chemin, entamé seize ans plus tôt, pour y parvenir est tout aussi passionnant et bien plus révélateur de l'essence même du groupe.

La réédition 2001 de l'album propose un inédit, la pseudo-ballade "Living Bad Dreams", un bon titre qui aurait aéré davantage l'album et mérité un chant plus conventionnel de Rob ; là je le trouve gâché par ce chant suraigu qui frise le ridicule sur le refrain. Et une version live de "Leather Rebel" qui dépote mais montre aussi les limites de ce chant suraigu et agressif.


Note : 4,5/5 arrondi à 5/5 pour l'Histoire (*)

Le monument: "Painkiller"
La pépite: "A Touch Of Evil"
Le "hit": "Nightcrawler"
Le final épique: "One Shot At Glory"

(*) Je copie/colle (et rectifie) ma remarque sur "British Steel". Personnellement, je lui mettrais plutôt 4/5 à cet album que je trouve tout de même un peu surestimé. Mais je ne peux nier son importance et son influence Historique.

(*1) KK Downing estime que pour JUDAS PRIEST et, par une extension prétentieuse mais pas complètement erronée, pour la musique Metal en général, tout ce qui a précédé "British Steel" consistait à atteindre cet album et tout ce qui a suivi en résultait.
Lien : https://blabbermouth.net/news/k-k-downing-on-british-steel-that-was-the-album-for-judas-priest-that-consolidated-everything

(*2) L'impact de "Painkiller" ne fut pas immédiat. Entre le procès des messages subliminaux, la guerre du Golfe qui éclata à la fin de l'été 1990, soit à la sortie de l'album et le départ de Rob à la fin du "Painkiller Tour", qui entraina un hiatus de cinq ans, les ventes de l'album restèrent modérées et avec le manque d'actualité et de visibilité du groupe, l'impact de "Painkiller" tendit même à s'estomper. Si son influence "artistique" au sein des sphères Metalliques fut évidente, le retour aux affaires du groupe avec "Jugulator" (et leur nouveau chanteur Tim Owens) relança ses ventes et finit par octroyer le statut qui est le sien aujourd'hui.
Lien : https://www.invisibleoranges.com/the-making-of-judas-priest-painkiller/

(*3) Dans le contexte de l'époque avec le PMRC (responsable des stickers "Parental Advisory: Explicit Lyrics") qui s'offusquait de l'influence néfaste des contre-cultures populaires (dont le Metal), le fameux procès (très médiatisé) de l'hypothétique message subliminal dans "Better By You Better Than Me" aurait pu tourner vinaigre si le juge n'avait pas finalement rejeté ces allégations. Quid des implications sur le monde du Metal ? Chansons/albums bannis, groupes interdits de se produire sur scène, maisons de disque refusant de signer des artistes trop sulfureux, etc.
Lien : https://www.loudersound.com/features/how-a-suicide-pact-was-almost-the-end-of-judas-priest

(*4) Lien : https://www.invisibleoranges.com/the-making-of-judas-priest-painkiller/ (2ème partie)

(*5) Cozy POWELL, RAINBOW, BLACK SABBATH, Ozzy OSBOURNE, Gary MOORE, WHITESNAKE entre autres participations.

(*6) Lien : https://www.invisibleoranges.com/the-making-of-judas-priest-painkiller/ (4ème (fin) et 5ème partie)

(*7) Qui convoquent les Furies, divinités romaines infernales.

(*8) Je trouve intéressant de remarquer que ces deux albums archétypaux sont très souvent cités par les fans comme leurs préférés (ils trustent en tout cas les top 3), comme si finalement la majorité plaçaient au second plan la caractéristique principale du groupe : sa constante évolution qui amène "Rocka Rolla" à "Demolition" presque logiquement.





CRADLE OF FILTH
CRUELTY AND THE BEAST


Le 03 Octobre 2022 par BLACK RYAN


Cet album est magistral, les ambiances aux claviers et les nombreux hurlements sont absolument sublimes aussi. Le son est un tout cohérent où l'élément rythmique, en fond mais toujours audible, renforce les passages symphoniques de toute beauté sans oublier la voix (et les cris) de Dani en premier plan du mix pour une meilleure compréhension de ce thème gothique et romantique à souhait, la comtesse Bathory. Tout ceci fait de ce disque un des chefs d’œuvre absolus du Black Metal !
C'est pourquoi je reste assurément sur la version de 1998 et non celle qui a été remixée faisant suite à tout ce brouhaha sans intérêt dû indirectement au caca nerveux d'un batteur trop imbu de sa (grosse) personne.

Cinq étoiles qui n'en finiront pas de briller... jusqu'à l'infini.





JUDAS PRIEST
RAM IT DOWN


Le 03 Octobre 2022 par FRED


Disque sorti à la mauvaise époque.
En pleine tourmente Thrash et alors que le virage "américain" de "Turbo" avait été diversement apprécié (euphémisme).
Pourtant, on y retrouve bien l'ADN de JUDAS, avant l'horripilant coup de volant à droite que constituera "Painkiller", et sa porte désormais ouverte à tous les futurs abus ("Jugulator").
Ego te absolvo, "RID" ! Rien que pour cette relecture de Chuck BERRY.







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