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HOLOCAUST
THE NIGHTCOMERS


Le 03 Octobre 2022 par FRED

Sans doute un album candidat au titre de meilleur disque de Heavy Metal jamais sorti.
Dommage que trop peu de gens connaissent : trois commentaires seulement, dont déjà le mien, il y a trois ans.
Quand je pense que certains portent aux nues des productions totalement, à mon sens, anecdotiques, j'ai bien du mal à comprendre.
Enfin, cela n'engage que moi.
Déjà noté.





EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 03 Octobre 2022 par FRED


Plus que BON JOVI, comme le dit DS, c'est plutôt RAINBOW période JL Turner qui me vient à l'idée à l'écoute.
Background plutôt européen, comme J. Norum, qui doit beaucoup à M. Schenker et G. Moore.
Le son est quand même, il est vrai, un peu trop américanisé, même si la guitare reste mordante.
Le tout tient encore bien la route, malgré quelques passages mièvres, en particulier certaines lignes de chant.
Le tout est honorable, en faisant fi de l'effet "Madeleine de Proust" et de la locomotive représentée par le title-track et son solo de guitare astucieux et très bien vu.





EUROPE
THE FINAL COUNTDOWN


Le 01 Octobre 2022 par KID66


Merci pour la réécriture. J'ai toujours adoré cet album, gorgé de tubes jusqu'à la gueule. Passé la fameuse chanson titre on tombe sur une "Rock The Night" encore meilleure... Et la suite est du même acabit, c'est vraiment du haut niveau. Mention spéciale à John Norum dont les soli sont superbes, c'est pas compliqué je peux tous me les réciter sans avoir écouté l'album récemment, c'est à mon sens la marque des plus grands.





ANGRA
HOLY LAND


Le 01 Octobre 2022 par DJINN


Un album qui a bénéficié d'une très bonne promotion en France et en a récolté les bénéfices. La France fut donc plus addict à la Matos-era de ANGRA que d'autres pays qui lui préfèrent Edu Falaschi.

Je suis ici parfaitement français : promo ou pas, l'album est fabuleux. Je n'aime pourtant guère la production de la guitare rythmique et de la batterie, mais la force de la musique et du chant est suffisante pour triompher de l'auditeur.





ENSLAVED
ISA


Le 30 Septembre 2022 par DJINN


Je mets ENSLAVED dans la même catégorie qu'un ULVER, avec lequel il partage le goût de l'expérimentation et du changement de style, à chaque fois avec une certaine réussite. Et un groupe appréciable de fans qui les trouve géniaux.

J'avoue une certaine perplexité. Le changement de style a pour moi un goût de stagnation. Les fans assurent régulièrement que le groupe a sorti son magnum opus. Surtout avec "Isa". Mais ça ne prend pas avec moi. J'entends toujours sur "Isa" un groupe expérimental pas encore arrivé à maturité.

Par moments, "Isa" me fait penser à certaines productions Holy Records de 96-97. C'était déjà expérimental, même production sommaire et ça avait le charme de la nouveauté. En parallèle, CRADLE OF FILTH, EMPEROR devenaient les grosses machines. ENSLAVED sortait "Eld", et restait plus dans la continuité d'un metal inventif underground, et a continué sa route ainsi.
Hélas pour moi le charme artisanal de 97 n'a eu qu'un temps, et j'ai laissé ENSLAVED à ceux qui sont restés.







David Lee ROTH
EAT 'EM AND SMILE


Le 30 Septembre 2022 par BLUEMASK


VAN HALEN période David Lee Roth ne m'a jamais passionné. Je préfère l'orientation, certes plus sage et Pop, prise avec l'hagard Sammy. En fait, j'ai toujours trouvé les premiers albums de VAN HALEN trop décousus, trop irréguliers, et DLR souvent irritant.
Donc aimer son album solo n'était pas acquis. Et pourtant, je trouve ce disque excellent.
David Lee Roth en fait toujours des caisses, cabotine en permanence, mais avec classe cette fois. Ça tient à peu de choses : de vrais morceaux bien écrits et bien construits, des styles finalement assez variés, une production excellente, rutilante mais pas écrasante, et un esprit fun et décomplexé qui irrigue le tout.
Grosses mentions aux morceaux qui sortent du sillon Big Rock : le laid-back "Ladies's Nite In Buffalo" et "That's Life", entre Louis Amstrong & Sinatra sous électricité...
Un vrai gros bémol avec "Shy Boy", inintéressante et répétitive.





MACHINE HEAD
ØF KINGDøM AND CRøWN


Le 30 Septembre 2022 par JOS THE MACHINE HEAD


Superbe album !

Dans l'air du temps, ils savent se réinventer en fonction de l'époque.

C'est du bon.





LED ZEPPELIN
LED ZEPPELIN DVD


Le 30 Septembre 2022 par SWISSIDOL


Un magnifique objet avec des passages amusants comme cette télé française devant un public perplexe. Des concerts fabuleux comme le "Royal Albert Hall" (ce solo de batterie !!). J'aime un peu moins le "Knebworth" : la magie s'était en grande partie évaporée et les vêtements sont nases. Mais un DVD quand-même indispensable !





PAIN OF SALVATION
12:5


Le 30 Septembre 2022 par SWISSIDOL


Joli live acoustique qui met en valeur les sublimes mélodies de "Dryad Of The Woods", "Chainsling" ou "This Heart Of Mine" sans artifices, juste le talent des musiciens et la voix si expressive de Gildenlöw.





MACHINE HEAD
ØF KINGDøM AND CRøWN


Le 29 Septembre 2022 par NY JETS


MACHINE HEAD à La Laiterie à Strasbourg....c'était vraiment une putain de tuerie, un concert Uber-sweat qui a bien résumé un (nouveau) retour en force de ce superbe groupe.
Ce nouvel album n'a aucune faille, les interludes sont souvent décriés mais on s'en fout c'est une minute maxi.
Il y a de vrais hymnes, je pense que dans dix ans ils joueront l'album en entier parce que... déjà classique !
Je ne m'attarde pas sur le chant de Robb, des soli monstrueux, des riffs carrément à la hache, de l'ambiance en général.
C'est magnifique, "... Ashes Of Empire..." reste mon album préféré mais il sent le souffle chaud de "Of Kingdom..." dans sa nuque.
Vivement le 12 Octobre à Paris.





Luca TURILLI
PROPHET OF THE LAST ECLIPSE


Le 29 Septembre 2022 par QUELQUEDEUX


Le voilà donc, ce fameux album qui d'après le consensus qui semble se dégager serait le meilleur de la carrière solo de Turilli. La grosse surprise est évidemment le passage à des sons bien plus électroniques, un virage qui n'est pas sans rappeler la transition de BAL SAGOTH de "Battle Magic" à "The Power Cosmic". Pas d'inquiétude, cela dit, il y a encore tout plein de vrais instruments et de vrais musiciens. Mais j'apprécie beaucoup moins ce genre d'univers futuriste, et je dois donc me forcer un peu plus que d'autres. Surtout que là, ce n'est pas juste l'imagerie, il y a quand même beaucoup de sonorités techno, et d'effets assimilés (ce son de grosse caisse).

Alors, réel coup de génie ? Bah en fait, je trouve qu'il joue fort dans la surenchère. Beaucoup trop, même. Plus fort, plus vite, plus orchestral, plus frénétique, plus électronique (trop à mon goût), plus... "tout", en fait. Plus ridicule par endroits aussi ("New Century's Tarantella", et ces "lalalalalala" dans "Rider Of The Astral Fire", mon Dieu ... j'ai failli tout arrêter là, d'ailleurs c'est ce que j'ai fait à la première écoute). Le ralentissement du quatrième morceau est une pause bienvenue pour décompresser, mais tout de même, je sature, et je me surprends à zapper la suite. Je comptais me plonger dans les différentes incarnations de RHAPSODY pour voir si j'avais raté quelque chose depuis 2006, mais je crois que là il va me falloir un petit break rempli d'autres styles.

On remarque par ailleurs quelques recyclages par endroits. Par exemple, la fin du refrain de "War Of The Universe" suit exactement la même mélodie que celui de "Mystic And Divine" sur l'album suivant. Point positif, je trouve que Hayer (qui n'était pas mauvais non plus hein) a progressé depuis l'album précédent. Ou alors ils ont chargé sa voix d'effets comme tout le reste, et je me fais avoir...

Il mérite probablement un peu plus que ce que je lui attribue comme note, mais je le trouve encore un cran en-dessous de "Dawn Of Victory", donc par souci de cohérence...





ARCH ENEMY
STIGMATA


Le 29 Septembre 2022 par CHUCK MAURICE


Malgré quelques longueurs je trouve que c'est un très bon album et je fais partie de ceux qui préfèraient ce groupe avec Liiva au chant. Je comprends que l'arrivée d'une fille au chant ait pu booster sa carrière, mais franchement les vocaux d'Angela Gossow étaient sans intérêt, c'était monocorde et sans relief. Alissa est plus jolie qu'Angela à mon goût mais musicalement je trouve que AE avait tout dit sur ses trois premiers albums.





ARCH ENEMY
DECEIVERS


Le 29 Septembre 2022 par BANE


Le meilleur avec Alissa en ce qui me concerne, avec du gros tube et du gros refrain !
Contrairement à ce que j'ai pu lire ici et là, moi, j'aurais bien repris un peu de chant clair sur quelques morceaux de plus...





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 29 Septembre 2022 par BANE


Une tuerie, y a pas d'autres mots.
Très étonné de voir Dave pondre un album aussi bon, qui va dans mon top 5 du groupe, en 2022.





JUDAS PRIEST
RAM IT DOWN


Le 29 Septembre 2022 par FREDIAN


Après l'intermède mi-figue mi-raisin "Turbo", que ce soit artistiquement (un album hétérogène) et commercialement (qui s'est bien vendu mais assez loin des attentes du groupe) et le relatif échec commercial du pourtant très bon "Priest...Live!", JUDAS PRIEST tape du poing sur la table (ou plutôt sur le monde du Metal) et revient plus fringant que jamais avec ce "Ram It Down" d'apparence plus agressif. La pochette, qui marque le début de la collaboration du groupe avec Mark Wilkinson, ne peut être moins équivoque et le rugissant opener éponyme vient confirmer la tendance.

La réalité n'est pas aussi manichéenne que ces premières impressions et "Ram It Down" s'inscrit en fait dans l'évolution permanente du groupe depuis ses débuts. Ainsi "Ram It Down" est en quelque sorte un double pont entre d'un côté à ma gauche "Defenders...", à ma droite "Turbo" et de l'autre côté "Painkiller". Ces échos inter-albums, c'est une caractéristique marquante chez JUDAS (*1). Ici, c'est le cas des deux meilleurs titres (de loin): l'excellent éponyme, sorte d'étape intermédiaire entre "Freewheel Burning" et "Painkiller" et la superbe power-ballad "Blood Red Skies", le chainon manquant entre "Turbo Lover" (les couplets) / "Out In The Cold" (la progression, le refrain fédérateur) et "A Touch Of Evil"? Au-delà de ces ponts qui me tiennent à coeur, "Ram It Down" est aussi, à sa sortie, la deuxième partie du projet avorté "Twin Turbos" (*2). Curieusement (ou non (*3)) et excepté "Heavy Metal", cela correspond aux morceaux les plus vindicatifs ("Ram It Down", "Hard As Iron") et les plus Heavy ("Love You To Death", "Monsters Of Rock"), ce qui confirme l'orientation délibérément commerciale de "Turbo" (*3).

"Ram It Down" se veut plus varié que ses prédécesseurs des 80ies (excepté "Point Of Entry") et propose une certaine dichotomie entre le retour de l'agressivité qui atteint son paroxysme au chant et préfigure nettement "Painkiller" (e.g. "Heavy Metal" sorte de morceau pilote à la "trilogie" "All Guns Blazing"/"Leather Rebel"/"Metal Meltdown", le rouleau-compresseur "Hard As Iron" gâché par un refrain un peu tarte, même le plus nuancé mais moyennasse "Love Zone" voit Rob à l'attaque sur ses couplets), et une volonté toujours présente de séduire la bande FM (le sympathique mais anecdotique "I'm A Rocker" au refrain entrainant, la reprise endiablée de "Johnny B. Goode" qui voyait le groupe tenter de réparer l'énorme erreur de "Reckless" (*4), en vain (*5)). Et quand JUDAS essaie de combiner ces deux aspects, il se plante: le pataud "Come And Get it" et le mièvre "Love Zone" (nonobstant un joli solo rock'n'roll dans l'esprit).

JUDAS renoue aussi avec les curiosités dont il parsemait ses albums et qui étaient absentes des deux derniers opus (*6). Ainsi le groovy mais lourdaud "Love You To Death", dont le riff bien Heavy me rappelle un peu le "Zero The Hero" du SAB' période Gillian, peut faire écho (certes ultra Heavy) à "Burnin' Up" et voit Rob s'éclater au chant dans un improbable croisement entre "Love Bites" et "Island Of Domination". Et le pachydermique, presque Doom, "Monsters Of Rock" exploite ce que le groupe avait commencé sur "Heavy Duty", en allant beaucoup plus loin pour un rendu que je trouve plus réussi ; il s'en dégage une atmosphère, un souffle pesant, presque malsain dans un esprit B.O. dont Glenn est d'ailleurs très friand.

Cet album marque une rupture dans la carrière du groupe et amorce une fin de cycle (j'ai déjà évoqué le changement d'illustrateur) puisque ce sera le dernier produit par Tom Allom (présent depuis "Unleashed...") avant son retour plus de trente ans plus tard (*7). C'est aussi la dernière prestation studio de Dave Holland qui quittera le groupe à l'issue du "Mercenaries of Metal Tour" qui suivra. Prestation partielle qui plus est puisque le groupe décida d'utiliser une boîte à rythme en guise de batterie sur la majorité de l'album (je lus que Dave était malade/blessé pendant l'enregistrement et que le groupe préféra cette option à la recherche d'un batteur de session), ce qui lui donne un côté synthétique et mécanique, très froid. C'est particulièrement flagrant et désagréable sur les morceaux les plus agressifs ("Ram It Down", "Hard As Iron" sur lesquels Dave ne pouvait sans doute pas assumer la double pédale). En outre, le son de caisse claire, surgonflé et artificiel, est gonflant (justement) à la longue.

La réédition 2001 de l'album propose deux titres supplémentaires. Deux lives. Pas d'inédit studio ici (apparemment celui qui y était destiné a été perdu...). Un "Night Comes Down", issue du "Metal Conqueror Tour '84", un peu poussif et un "Bloodstone", tiré du "World Vengeance Tour '82", fidèle. Encore une fois, ces choix de bonus tracks pour les Remasters 2001 sont à minima curieux pour ne pas dire incohérents. Pourquoi ne pas avoir inclus ici les deux inédits des sessions de "Ram It Down"? Le puissant "Thunder Road" (ajouté à "Point Of Entry") et l'aérien "Fire Burns Below" et son solo acoustique (sorti sur "Stained Class"). Tous deux excellents en plus, en tout cas meilleurs qu'une bonne moitié de l'album (bien que gâchés, eux aussi, par leur batterie synthétique, particulièrement ridicule sur le second cité), montrant une nouvelle fois que le groupe avait perdu de son flair.

Au final, "Ram It Down" est un album inégal, encore teinté de compromis preuve d'un groupe qui se cherchait en cette fin des 80s et qui ne semblait pas encore tout à fait certain de la direction artistique à prendre pour aborder les 90s. Résultat ? Deux albums bilan qui ouvraient beaucoup de portes mais qui ne s'affirmaient qu'imparfaitement. Ici, au-delà du manque d'inspiration et de créativité qui balaye une bonne moitié de l'album, ce dernier est plombé par quantité de refrains bas de gamme ("Heavy Metal", "Hard As Iron", "Love Zone", "Come And Get It"...) et par cette batterie programmée qui finit par agacer. Pour finir sur une bonne note, saluons à nouveau le retour (enfin !) de la ballade épique made in JUDAS (la dernière remonte à "Beyond The Realms Of Death", dix ans plus tôt!) portée par des guitares orgasmiques et un Rob impérial. "Blood Red Skies" est assurément un des plus grands morceaux du PRIEST.


Note: 2,5/5 descendu à 2 pour les mauvais refrains et la batterie programmée

Le monument : "Ram It Down"
Le hit : la cover endiablée "Johnny B. Goode"
La perle absolue : "Blood Red Skies"
La curiosité : "Monsters Of Rock"


(*1) On peut ainsi s'amuser à relier "Rocka Rolla" à "Jugulator" (voire "Demolition") et de finir par en admettre une certaine filiation qui, de visu, semble impossible. Quelques "séries" non exhaustives:
"Cheater" - "Starbreaker" - "Evening Star" - "Leaving After Midight" - "...Another Thing Comin"
"Run Of The Mill" - "Here Come The Tears" - "Beyond..." - "Blood Red Skies" - "A Touch Of Evil" - "Cathedral Spires"
"Call For The Priest" - "Exciter" - "Screaming..." - "Freewheel..." - "Ram It Down" - "Painkiller" - "Jugulator" - "Machine Man"
"You Don't Have To Be Old To Be Wise" - "Point Of Entry" de manière générale - "...Chains" - "Some Heads..." - "Wild Nights..." - "I'm A Rocker"

(*2) La 3ème partie, nous la découvrirons dans les Remasters 2001 et sur la compil' Metalogy (2004).

(*3) "Twin Turbos" devait présenter les différentes facettes musicales du groupe. Les morceaux les plus commerciaux ont été réunis sur "Turbo" (tout en gardant 2-3 titres plus musclés). Restaient les plus agressifs qui ont tous finis sur "Ram It Down". Ceux que l'on découvrira sur les Remasters 2001 et sur Metalogy sont pour la plupart des ballades. Ce choix était donc une véritable volonté de rattraper par la manche les fans déçus par "Turbo".

(*4) Ils ont refusé qu'il fasse la BO de Top Gun, malgré des paroles en adéquation avec le film, pensant que ce dernier ferait un flop et sous prétexte que le titre n'aurait alors pas figuré sur "Turbo" (des questions de droits).

(*5) Cette reprise servit de "soundtrack" au film Johnny Be Good (Toutes folles de lui en français) qui fut un flop retentissant.

(*6) "Love Bites" est un morceau assez singulier certes, mais qui s'inscrit dans les deux premiers tiers "in your face" de "Defenders...", sorte d'encyclopédie du Heavy en six tomes.

(*7) Tom Allom produira les Lives "A Touch Of Evil" et "Battle Cry" et reviendra aux manettes en studio pour "Firepower".





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 28 Septembre 2022 par SEPTICAL MIND


4/5 car la rythmique est un peu simpliste sur certains des morceaux.
Sinon, un petit retour à la source ne fait pas de mal.
Un compromis entre "Rust In Peace" et "Countdown...".

Dave Mustaine, merci pour cet album de 2022.






INSOMNIUM
HEART LIKE A GRAVE


Le 28 Septembre 2022 par ALTHOR


Il m'aura fallu du temps pour me faire un avis définitif sur cet album. À l'époque j'avais été conquis mais avec le temps j'ai un peu revu mon jugement. C'est un très bon album mais un cran en-dessous de "Shadows Of The Dying Sun" que je trouve encore aujourd'hui incroyable.

La faute à quelques titres moyens, notamment "Neverlast", "Mute Is My Sorrow", "And Bells They Toll" (j'ai vraiment du mal avec ce refrain) qui entachent l'ensemble.

On y trouve heureusement de belles réussites qui rassurent : "Valediction", "Heart Like A Grave", "Twilight Trails", ou encore "Karelia" avec son ambiance incroyable (la version 2049 est encore plus dingue). Sans oublier le monument signé Markus V. "Pale Morning Star".

Si l'arrivée de Jani sur ce disque reste modeste et qu'il ne signe (ou co-signe) pas les meilleurs titres, sur scène c'est un bel atout. Contrairement à Markus V. qui baignait déjà dans le Melodeath avec OMNIUM GATHERUM, Jani vient du monde du Power Metal. Mais je sens qu'il a un rôle à jouer dans l'alchimie actuelle du groupe.

J'espère également que pour le prochain album, Ville pourra nous gratifier de davantage de titres. Quand on voit l'énorme "Valediction", on se dit qu'on aimerait en entendre plus de sa part.
Mon triptyque : "Valediction", "Pale Morning Star" and "Heart like A Grave".





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 28 Septembre 2022 par KA AH


Une demi déception cet album. Quelques bons titres ("We'll Be Back", "Celebutante", "Night Stalkers") mais je trouve que l’album est assez monocorde dans son ensemble. Dave est hargneux mais son chant manque de nuances. Les guitares cisaillent, tronçonnent mais à part les titres suscités, ça manque encore de nuances. Je trouve que l’apport de Kiko Loureiro est moins marqué que sur "Dystopia" même si je crois savoir que son apport à l’écriture des titres est conséquent. Le sentiment que l’idée directrice était : on thrashe, on riffe, on fait fi des possibilités ouvertes sur "Dystopia". Il manque un soupçon de folie créatrice!
2,5/5 arrondi à 3 (par pure empathie pour ce groupe).





MEGADETH
THE SICK, THE DYING... AND THE DEAD!


Le 28 Septembre 2022 par ESKAPEESKAPE


Quelle joie de retrouver MEGADETH avec un album aussi réussi après bien des déboires : cancer de Mustaine, exhibition sexuelle puis départ du bassiste fondateur Ellefson...

La belle et extrêmement riche pochette avec un beau Vic Rattlehead accompagne des titres qui déroulent l'album avec un plaisir, on le sent, non dissimulé des musiciens.

Certes la voix de Dave est très rauque et grinçante et finalement moins nasale/nasillarde qu'avant (ce qui n'est pas plus mal) et ne semble pas retouchée. Ainsi les versions live vues et entendues sur le net sont rassurantes, il a bien gardé sa voix. Les riffs sont assassins et basse et batterie sont à l'avenant. Les solos sont propres en toujours à propos.
La production 'Big Rock' est je trouve moins clinique que sur le magnifique précédent album "Dystopia" et est plus agréables.

Il n'y a pas de problème d'identité sur cet album, on reconnaît sans problème le MEGADETH de "Peace Sells..." mais aussi un MEGADETH 2.0 avec une vraie digestion de carrière.
Ainsi on se surprendra à trouver la batterie et les structures 'jazzy' des trois premiers albums, on aura des passages purement Thrash 80' (des albums "Killing Is..." à "Rust In...") sur "Life In Hell", "We'll Be Back" ou "Dogs Of Chernobyl" accompagnés de parenthèses heavy (de "Countdown To Extinction") sur "Celebutante" et expérimentales (de "Risk" ou "Super Collider") sur "Mission To Mars" (que j'adore) sans dépareiller aucunement.

L'album est long (60 minutes) mais cela est surtout dû aux deux reprises et au longs interludes ou intro de certains titres qui les font dépasser les cinq minutes sans aucune redite.

Les reprises sont très sympathiques et réussies mais n'étaient pas indispensables tant l'album est plein et qualitatif.

MEGADETH n'a aucune panne d'inspiration et à part peut-être deux refrains poussifs mais sur une heure de musique, cet album est magistral !
4,5/5.





METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 28 Septembre 2022 par SWISSIDOL


À l'image des photos de l'époque, dévoilant des post-ados acnéiques et laids, ce premier album est crade et peu subtil mais il annonçait déjà la future trace que laisserait METALLICA dans l'Histoire. Comment résister au riff de "Seek And Destroy" ? À la violence de "Hit The Lights" ? Au Heavy de "Jump In The Fire" ? La voix de James est criarde et le style mal dégrossi mais cette première baffe fait du bien. Vraie note : 3,5/5.







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