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SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 23 Octobre 2022 par FRED


Au moins, j'aurais appris quelque chose avec ce disque. Oui ! En anglais, on dira "SKID ROW are back", au pluriel, donc. D'après la pub, donc.
Sinon, que dire ?
Que déjà à l'époque je trouvais ce groupe fort médiocre, mais que maintenant ils me font plutôt pitié, avec leur jeune chanteur inodore et sans personnalité, ce qu'avait, au moins, S. Bach, à défaut d'une technique de chant aboutie.
Qui ce disque pourra encore intéresser en 2022... hormis parmi les anciens combattants dont je fais partie, bien sûr. Chez les jeunes, quoi ?
Grosse interrogation métaphysique de ma part.






DEATH ANGEL
THE ULTRA-VIOLENCE


Le 23 Octobre 2022 par DJINN


Je suis très fan du chant sur le morceau "Thrashers". Il me semble que c'est Rob Cavestany qui s'époumone. C'était le chanteur parfait pour DEATH ANGEL. Pourquoi diable avoir laissé le micro à Mark Osegueda sur les autres titres ? Certes, il ne démérite pas, mais j'aurais vraiment aimé entendre l'ensemble du disque avec Cavestany au chant.

Et le reste donc, tant par la voix d'Osegueda que par le style des compos, me fait penser un peu à ANTHRAX. Énergique donc, mais pas forcément méchant. On reste dans une moyenne haute bien entendu. Mais "Thrashers" tout de même, c'était autre chose...





GAMMA RAY
POWER PLANT


Le 21 Octobre 2022 par PILGRIMWEN

Un album "Power Plant" relativement direct dans son approche. J'aime le dépoussiérer de temps à autre. Ce disque a, je pense, défini la suite discographique des Allemands.





SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 21 Octobre 2022 par EDDIE VAN GILBERT


3 étoiles et demi bien tassées.
Comme cela a été dit un bon millier de fois, voilà une résurrection inespérée.
Certes, les solos sont toujours aussi peu mémorables (en même temps, la paire de gratteux n'a jamais été réputée pour sa virtuosité), mais le chant est vigoureux (certes dans un registre moins agressif et varié que Bach) et les morceaux s’enchaînent à la vitesse de la lumière sans que l'on éprouve une quelconque lassitude, bien épaulés par des riffs puissants.
Un bon disque de Hard US, ce qui devient rare par les temps qui courent.





Bruce DICKINSON
THE CHEMICAL WEDDING


Le 21 Octobre 2022 par NES MAX


Chef d'oeuvre. À l'instar de plusieurs fans d'IRON MAIDEN, j'ai longtemps boudé la carrière solo de Dickinson. Grave erreur -- du moins pour ses trois dernières parutions en date (2005, 1998 et 1997). "The Chemical Wedding" a un son et une ambiance uniques, des mélodies à couper le souffle et un Dickinson revigoré -- la voix erraillée de "Seventh Son...", "No Prayer..." et "Fear Of The Dark" est chose du passé.





IRON MAIDEN
VIRTUAL XI


Le 21 Octobre 2022 par NES MAX


Sans vouloir faire preuve d'un esprit de contradiction (en réponse au commentaire précédent), j'ADORE "Futureal" -- c'est d'ailleurs l'un des meilleurs morceaux d'ouverture de la carrière d'IRON MAIDEN. La vitesse et l'énergie qui s'en dégage demeure unique dans la discographie de MAIDEN. Quant à "Como Estais Amigos", il s'agit là d'une des meilleures conclusions d'album du groupe britannique. Entre ces deux titres jouissifs ce n'est pas toujours aussi réussi, mais ça se laisse bien s'écouter. Toutefois, je peux comprendre la déception et le ressenti des fans qui ont acheté et écouté à la sortie du disque : la réalisation fait quelque peu amateur (à l'instar de "X Factor" que j'adore pourtant). Mais 25 ans plus tard on s'aperçoit que ça demeure quand même du MAIDEN, mais moins raffiné que ce à quoi on était habitué d'entendre.





SAMAEL
PASSAGE


Le 21 Octobre 2022 par BALAAM


La pochette représente bien le côté sombre et envoutant de la musique. L'ambiance est étrange et tourmentée. Le talent d'écriture achève de rendre l'album captivant.
Un chef d'œuvre.





DOKKEN
SHADOWLIFE


Le 21 Octobre 2022 par SWISSIDOL


Déjà que, d'habitude, DOKKEN ne m'inspire que mépris, le groupe pousse le bouchon du mauvais goût un peu plus loin avec cette purge pseudo Grungy-Heavy-je ne sais quoi. A oublier





DEF LEPPARD
HIGH' N' DRY


Le 21 Octobre 2022 par BLUEMASK


On peut résumer la carrière de DEF LEPPARD à deux albums : "High' N' Dry" et "Hysteria".
Dans tout le reste, il y a de l'excellent, du bon, du médiocre, mais ces deux albums synthétisent parfaitement le parcours du groupe.
"High' N' Dry", c'est le groupe Rock, Hard Rock, juvénile, flamboyant, direct, et cet album est clairement l'acmé de cette facette. Tout est parfait : aucun titre faible et une avalanche de titres forts, une production simple et tranchante, des musicos en symbiose, une énergie et une confiance en soi inébranlable.
Un album d'une classe incroyable, qui n'a pas pris une ride.





ANCIENT
THE HALLS OF ETERNITY


Le 20 Octobre 2022 par QUELQUEDEUX


J'en aurai mis du temps à le refourguer celui-là. Encore un disque acheté trop vite, sur lequel je n'ai rien de positif à dire. Heureusement que le ridicule ne tue pas.

Apparemment, ANCIENT serait un des grands anciens à respecter. Ce disque ne m'aura certainement pas donné envie d'aller découvrir le reste de leur discographie.





GRAVEWORM
AS THE ANGELS REACH THE BEAUTY


Le 20 Octobre 2022 par QUELQUEDEUX


C'est rare que ça m'arrive, mais je ne me souviens absolument pas comment cet album a atterri dans ma collection. Je ne l'ai plus ressorti depuis des années, et un commentaire que je viens de voir sur un de leurs autres albums m'y a fait repenser, donc hop, je reteste.

Comme je m'en souvenais, le premier morceau était superbe, à grands renforts de violoncelle bien utilisé. Ils y ont mis tout ce qu'ils avaient, tant et si bien qu'en ce qui me concerne, le soufflé retombe dès le second morceau. Sans tomber dans le mauvais, la dynamique lancée dans le premier morceau est complètement cassée. L'interlude du troisième morceau remonte le niveau, mais après ça c'est pareil, je décroche, je n'ai plus la patience d'écouter la suite (qui encore une fois, comporte son lot de bons et beaux moments, dont l'outro).

Dommage, bons musiciens, mais la sauce ne prend pas -- ou plus.





IRON MAIDEN
VIRTUAL XI


Le 20 Octobre 2022 par MUSTIS 666


Un album très mitigé que "Virtual XI" Tue je viens de réécouter.
Alors que j'avais beaucoup aimé "X Factor" avec d'excellents morceaux (les trois premiers avec un énorme "Sign Of The Cross") et d'autres plus dispensables, MAIDEN nous livre le pire des débuts d'album ("Futureal" bancal avec un chant que je trouve pataud et surtout "The Angel And The Gambler", le tut tut horrible du début fait froid dans le dos et que dire du refrain répété abusivement : on tient là à mon sens, le pire morceau de MAIDEN).
Ensuite ca s'améliore - on a même un hymne avec "The Clansman" - mais ca reste anecdotique et trop long.
Si on ajoute une pochette affreuse et un Blaze Bayley poussé vers la sortie après la tournée (qui n'a pas démérité mais passer après Dickinson ou Halford est un sacré challenge), on tient un album qui tire plus sur le moyen que sur le bon.
J'étais resté sur une mauvaise impression lors de sa parution - le constat est moins radical mais la qualité reste trop éloignée des standards du groupe.
"Brave New World" par son excellence, clora les débats sur cette période particulière et l'ère Bayley.





SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 20 Octobre 2022 par REN


Les Kids du New Jersey ont réussi leur retour avec cet album !
Je regretterai toujours de ne pas savoir ce qu'aurait pu donner l'association plus osée avec ZP Threat, mais force est de constater que l'association plus conventionnelle avec le blond chanteur Erik Grönwall marche parfaitement.
C'est d'ailleurs l'ancien vainqueur de l'émission suédoise Idol qui, d'après moi tire le mieux son épingle du jeu. Sa voix versatile, parfois proche de ce que pouvait faire Bach à son meilleur, domine l'album.
Les titres sont énergiques, bien rentre-dedans, la doublette qui débute l'album est excellente, le plus lourd "Time Bomb" une franche réussite, tout comme "Resurrected" plus catchy. Quant à "When The Lights Come On", plus original et varié, c'est la pépite de l'album.
Pour le reste on pourra regretter des soli un peu trop convenus, une ballade assez mièvre ("October's Song") voire le manque de variété d'un album un peu trop homogène.
Cela reste quoiqu'il en soit un retour des plus réussis. 3,5 arrondi à 4 pour la surprise et la nostalgie.





RHAPSODY
THE EIGHTH MOUNTAIN


Le 20 Octobre 2022 par KANART

Je suis toujours étonné que l’on considère que les premiers albums du groupe ayant remporté tant de succès, parfaitement mérité il est vrai, caractérisaient une vraie créativité du groupe.
La véritable créativité du groupe pour moi reposait moins sur la créativité mélodique que la créativité d’adaptation et d’orchestration de très nombreuses mélodies traditionnelles médiévales et Renaissance.

En fait le constat peut être plus sévère : retirez toutes les parties de musiques folkloriques traditionnelles médiévales ainsi que tous les morceaux qui ont été dérivés directement de ces mélodies là et il ne restera pas grand chose de vraiment original…

Ce que je veux dire c’est que toute cette période tant chérie et adorée par tous et toutes n’est certainement pas la plus originale en termes de compositions musicales même si ces albums ont un panache extraordinaire.

En comparaison les productions les plus récentes et notamment les trois derniers albums tentent de s’affranchir de ce pillage de mélodies pour n’en conserver que les ambiances en proposant de vraies compositions originales plus ou moins inspirées.

Et si tout n’est pas probant il est vrai, le groupe parvient toujours à montrer qu’il maîtrise parfaitement l’environnement qu’il a créé et qu’il a su faire évoluer dans ses colorations, notamment plus sombres, plus Heavy aussi sans pour autant perdre d'identité.

Une évolution d’ambiance que j’aime bien comparer à celles des Harry Potter depuis l’entrée à l’école des sorciers au combat final face à Voldemort.





SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 20 Octobre 2022 par SWISSIDOL


J'ignore pourquoi mais je le sentais bien, cet album ! Et j'avais raison : on a l'impression que les gars du groupe ont 25 ans tant ils ont la pêche et l'inspiration ! Les trois premiers titres dépotent grave et le son est superbe (quelle basse !). Il manquerait juste un tube à la "18 & Life" pour que le disque soit parfait mais, globalement, je le classerais deuxième, derrière "Slave To The Grind" !
L'album qu'on n'osait plus espérer.





GRAVEWORM
COLLATERAL DEFECT


Le 19 Octobre 2022 par SIEGFRIED


Cet album a été une grosse déception pour moi. J'avais pris une claque avec "(n)utopia" en découvrant le groupe (pourtant pas du tout le meilleur de GRAVEWORM), mais ici...
Après tout ce temps qu'est-ce que j'en retiens ? Pas grand-chose, peut-être "Suicide Code", et encore.

En fait, la seule piste que je réécoute régulièrement, c'est la reprise de "I Need A Hero", qui est ridicule au possible mais que j'adore paradoxalement. Et c'est problématique quand tu finis par te dire que les reprises du groupe sont meilleures que ses dernières productions.

Donc, je conseille d'écouter "I Need A Hero", pour le reste c'est limite même plus du Black Metal. À moins d'être fan de ce genre de music plus Black Friday que Black à mes yeux, passez votre chemin.





The DILLINGER ESCAPE PLAN
CALCULATING INFINITY


Le 19 Octobre 2022 par I AM THE GROWL


Pour moi, le seul album valable du groupe. Hardcore jusqu'au bout des ongles, agressif et fin tout à la fois, et surtout singulier. Parce que les FAITH NO MOREries aseptisées de la suite avec le chanteur trop fan de Patton m'ont gonflé très rapidement... Là, ça y va sur la jugulaire, ça tranche, ça s'excuse pas, ça s'essaie pas à des refrains mélodiques au chant. D'ailleurs, réécouter "Miss Machine" après celui-là, c'est clairement voir que le template de celui-là ils l'ont repris tel quel (les tempos des morceaux et même les riffs dévalent pareil), tout en essayant de le rendre accessible, vaguement. Ce n'est pas tant le résultat que la démarche qui me répugnait à l'époque, ça faisait de ce groupe extrême un produit qu'on essayait de vendre aux masses de djeunz comme le nouveau KORN. La suite ne m'a plus intéressé du tout, je me suis senti trahi.

Bon, pour en revenir à "Calculating Infinity", c'était vraiment énorme à l'époque. Rien ne sonnait comme ça en 1999. Les saccades violentes, les spasmes de blasts et les syncopes rectangulaires c'était absolument nouveau, l'année 2000 arrivait, et on avait enfin le son du millénaire à venir. Une belle catastrophe avec le recul. On croirait avoir un reflet auditif de la cacophonie des forums Internet, avec leurs trolls, leurs érudits, leurs hipsters et leurs gentils passionnés. C'était comme le pendant agressif de "Kid A", sorti un an plus tard, nanti de la même patine entre digital et organique, orné des mêmes sonorités électroniques par moments. Ouais, quand j'y pense, nos temps d'innocence nous ont préparés au pire...





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 19 Octobre 2022 par MISS OF PUPPETS


"Master" est un monument, une légende. C’est mon constat très personnel, qui j’imagine est partagé par une ou deux personnes dans ce monde peut être !!!

C’est pour cette raison que lorsque j’ai lu le dernier commentaire en date, j’en ai loupé mon brushing, car c’était un dimanche matin, je m’en souviens parfaitement. Désolée si certains d’entre vous n’ont plus la tignasse qu’ils avaient à vingt ans pour en faire, mais moi ce n’est pas le cas et franchement j’ai été dégoutée (pour le brushing je parle).

Bref, parlons musique plutôt.

La codification nimienne étant ce qu’elle est, je ne peux pas mettre 6 étoiles à "Ride The Lightning", alors tant pis, je joue le jeu. Il s’agit pour moi de l’album le plus intouchable de tous les temps, tout genre confondu. Une sorte de graal ou une quête inatteignable.
"Master..." quant à lui est un monument ; une œuvre majeure qui durera dans le temps. Une sortie de cinquième symphonie du Metal.

La violence rencontre la beauté. La rapidité s’allie parfaitement à la musicalité et aux mélodies. Les paroles témoignent de la sombre réalité. La technique devient la manifestation du subtil et des émotions.

Le titre le plus fort est pour moi "Master Of Puppets", comme beaucoup. La construction du morceau est superbe. Pleine de montée en puissance, aidée par une mise en scène laissant place au suspens, puis à une délivrance finale en apothéose. Il regroupe à lui seul tous les superlatifs possibles : il n’existe pas dans la langue française suffisamment de mots pour le décrire. Les paroles sont tellement réalistes que ce titre devrait être étudié en cours par les plus jeunes, en prévention des addictions. La violence qui se dégage montre à quel point il est possible de magnifier tout ce qu’il y a de pire dans l’être humain. Cette violence devient belle, et sert probablement les démons des uns ou des autres.

L’un des plus beaux instrumentaux du Metal est à mon sens "Orion".
Si "The Call Of Ktulu" reste celui qui m’emporte le plus, dans un imaginaire effrayant, "Orion" titille la première place du podium. Il m’emporte, il est mélodieux et est très varié dans sa construction. Encore une fois, la folie guète mais ne vient pas au contraire, elle fait corps avec les instruments et devient une composition majeure.

La construction de "Master Of Puppets" reste dans la continuité de "Ride The Lightning" tout en constituant un aboutissement (comme le précise la chronique principale). La maturité s’exprime pour le bonheur des mélomanes encore plus de trente ans plus tard.
Quelle joie de pouvoir de nos jours m’extasier sur cet album.





RUSH
MOVING PICTURES


Le 19 Octobre 2022 par LUDWIGRETSCH


À chaque fois je ne peux m'empêcher de m'extasier en écoutant ce chef d'œuvre du Rock Progressif que l'on appelle "Moving Pictures" ; au même titre que ses deux prédécesseurs d'ailleurs...
RUSH a réussi l'exploit d'accoucher en 1981 d'un grand disque de musique, de ceux qui s'adressent autant au néophyte qu'au puriste. Une œuvre universelle à la fois accessible, complexe et radiophonique (dans le bon sens du terme !).
Et tout ça évidemment ne serait rien sans des magic... euh musiciens accomplis et surdoués, à commencer par ce batteur phénoménal porté sur un jeu architectural et athlétique où breaks et descentes de toms (Nicko McBrain et Brann Dailor s'en sont d'ailleurs fortement inspirés !) insufflent une puissance et une très forte identité à la musique des Canadiens... C'est la marque RUSH !!!
L'autre particularité de ce disque et de ce groupe vient évidemment de la signature vocale haut perchée de Geddy Lee armé de sa surpuissante Rickenbacker ; d'aucuns là trouveront déroutante voire agaçante, pour moi elle est parfaitement indissociable du groupe et participe grandement à l'aura et à la singularité de ces sept merveilleuses pièces musicales, de même que la créativité débordante du guitariste Alex Lifeson qui n'en finit plus de s'éclater et de régaler tout en se mettant au diapason avec la Cathédrale Neil Peart (R.I.P.)...
"Moving Pictures" est un grand disque indispensable que tout le monde se doit de posséder immédiatement... Même toi là, qui regarde la Star Academy... Je rigole !!!





SUMERLANDS
DREAMKILLER


Le 19 Octobre 2022 par MISS OF PUPPETS


SUMERLANDS, tout comme ETERNAL CHAMPION, font partie de ces groupes qui me font aimer profondément le Heavy.
À l’instar des groupes cultes du genre et ceux de la NWOBHM, les nouveaux modernisent le tout (productions notamment), et nous présentent une musique extrêmement variée croulant sous les influences multiples. En conséquence, cela me donne encore plus envie de me plonger dans le Heavy des origines.

J’avais déjà bien accroché au premier album, plus épique certes, mais le second est tout simplement magnifique également. Je continue à être conquise car la qualité des compositions est là et bien présente.
L’épique justement, on s’en éloigne. À la vue de la pochette, je suis tout de suite embarquée dans un futur proche de l’univers de Mad Max, qui confronté à notre époque, confèrerait presque une touche très réaliste, tout du moins un futur par si dystopique que cela.

Dans cet album, il y a de tout : de la ballade, "Nightride", de l’aérien, "The Savior’s Lie", du rapide comme il faut "Dreamkiller" et j’en passe. Il est vrai que le tempo a été accéléré par rapport au premier et ce n’est pas fait pour me déplaire. C’est un peu plus rentre-dedans et j’avoue je savoure à fond.
Pour ce qui est du chant, le changement de frontman ne me pose aucun problème ; Brendan Radigan comme Phil Swanson sont parfaits dans ce rôle.
Le côté vintage quant à lui, où quand on se réapproprie à merveille ce qui a marqué une époque, magnifie superbement ce disque pourtant bien ancré dans le XXIème siècle. L’utilisation de la réverb' une fois de plus me parle beaucoup, tout comme les claviers d’ailleurs.

Cette formation m’a une fois de plus totalement convaincue, ainsi j’attendrais le nouvel opus avec impatience la prochaine fois.







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