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IRON MAIDEN
LIVE AFTER DEATH


Le 03 Mai 2020 par CHRIS


Eh bien, 25 ans aprés ma premiére écoute, excusez moi les vieux de la vieille mais je trouve que ce live a quelque peu vieilli niveau production mais reste toujours aussi intense niveau ambiance, cette intro avec Churchill... Euh j'ai fini !





HELDMASCHINE
PROPAGANDA


Le 03 Mai 2020 par WONKPUTE


Cet album est une tuerie. Je les suis depuis le tout début (quand ils s'appelaient VOLLKERBALL), cet album m'a tout de suite emballé. J'ai fait abstraction que le grand R+ existait afin que mon avis ne soit pas faussé, et woaw. Parmi mes préféré on retrouve l'intro d'album avec "Chefsache", "Todespiel" fut même une de mes musiques préférées fut un temps, ou "Kreuzzug" et son petit passage synthé au son de flûte (ou quelque chose comme ça).

Bref je trouve juste dommage de comparer systématiquement à R+.





ANNIHILATOR
CRITERIA FOR A BLACK WIDOW


Le 02 Mai 2020 par NY JETS


"Criteria For A Black Widow", c'est le retour aux affaires.

Jeff Waters s'est réveillé, et après une série de très bons albums, a décidé de revenir au thrash pur et dur... En rappelant son bon vieux pote punk Randy Rampage !

Qu'on l'aime ou pas, ce gars là avait un sacré style, vénéneux à souhait.

Je pense que le meilleur titre d'ANNIHILATOR, c'est "Bloodbath" (suivi de près par "The Trend").
Si bien que cette chanson et "Back To The Palace" forment une double mandale particulièrement brutale et efficace.

Rampage de retour au bercail, tout le monde compare cet album à "Alice In Hell". C'est un peu le but du jeu clairement avoué par Waters, qui a besoin de relancer la machine en terme de ventes.

Les puristes crieront à l'arnaque. Mais j'en suis un et je pense que "Nothing Left", "Double Dare", "Schizos III", et surtout le terrible "Sonic Homicide" auraient eu leur place en 1989.

Bref, j'adore cet album ; il a mine de rien remis le groupe en selle, à une époque où la déferlante des groupes dits "Neo Metal" était omniprésente.

Bah moi je préférais les millions de notes jouées par Waters et la voix de vieux chat de Randy.





HATE FOREST
SCYTHIA


Le 02 Mai 2020 par BORIS LE BORGNE


Un premier jet plus que prometteur. Totalement à l'opposé des mélopées ridicules façon CRADLE OF FILTH et autres daubes en vogue à l'époque.

Particulièrement violent et vrai.





AC/DC
DIRTY DEEDS DONE DIRT CHEAP


Le 02 Mai 2020 par FEELGOOD


J'ai découvert cet album il y a bien longtemps dans la version que les gamins de mon âge pouvaient trouver au Prisunic local, entre "The Elder" de KISS et "The Number Of The Beast". La pochette signée Hipgnosis, qu'il semble être de bon ton de dénigrer de nos jours, ne fut pas pour rien dans la fascination que ce disque exerça alors sur moi. J'adore les pochettes signées Hipgnosis. En ces temps anciens où l'on allait acheter des disques dans des magasins, elles jouaient un rôle primordial. La concurrence était rude. Et pourtant, j'ignorais qu'elles avaient été conçues par les mêmes génies créatifs. Celle de "Dirty Deeds..." invitait les collégiens que nous étions dans un monde trouble et interlope qui ne pouvait que nous fasciner, surtout quand on vivait dans un trou situé au fin fond de l'Ardèche, autrement dit au milieu de nulle part pour nos amis parisiens... Musicalement, "Dirty Deeds..." m'a toujours fait vibrer, dès cet excitant premier titre devenu un classique. Le reste est très bon et je pourrais citer tous les titres, notamment "Ain't No Fun" et "Problem Child" (nous nous sentions tous concernés à l'époque). J'ai cependant toujours eu un faible pour le gluant "Squealer" qui terminait l'album, morceau atypique mais porté par une ligne de basse jouissive. Quant à "Ride On", ce titre ferait pleurer un mort...
Du grand AC/DC vintage. Indispensable pour tout amateur de rock au sens large.
4,5/5.





OBTAINED ENSLAVEMENT
WITCHCRAFT


Le 02 Mai 2020 par NEPTUNE


Pfffiou... Difficile de décrire pareil monument sans se laisser aller dans un excès d’admiration subjective… Une magnificence sonore prenant vie sous des atours simplement somptueux : ceux d’une fresque orchestrale aussi violente que féerique.
Comment faire preuve de mesure face au trip éjaculatoire que procure une telle incandescence mélodique ; un tel déferlement de notes et de violence ?
Comment ne pas être tétanisé face à l’incroyable hystérie vocale de Pest, dont les hurlements évoquent ceux d’un meurtrier en pleine démence ?
Comment rester de marbre face à la flamboyance de ces riffs de sorcières distillant leurs mélodies magiques forgées par ces guitares en fusion ? Mélodies superbes que viennent sublimer les splendides parties de claviers néo-classiques de la cheftaine Morrigan…
Comment ne pas être pris de convulsions jouissives sous un tel déluge rythmique, véritable marteau de l’apocalypse personnifié par cette batterie cataclysmique enflammant ce brasier épique ?
Chaque morceau est une pépite de cristal noir. Impossible de ne pas se laisser aller, ému et déboussolé par cette beauté barbare ; par cette mélancolie poignante faisant couler des rivières de sang noir sur nos joues blêmes... "Witchcraft" est une chevauchée fantastique ; une parade nuptiale célébrant peut-être la plus belle union entre la beauté et la fureur.

Oh et puis merde la passion m'égare !
Les superlatifs se révélant au final bien fadasses pour tenter de dépeindre cette fastueuse cérémonie nocturne; cette cathédrale maléfique érigée à la gloire de la nuit et du royaume des ombres, inutile donc de lui résister davantage. Je n'en ai de toute façon ni la force ni l'envie, "Witchcraft" m'ayant depuis longtemps déjà emporté et emmuré à jamais dans ses geôles célestes.
Le plus grand disque de BM symphonique jamais écrit. Basta.





NAWATHER
WASTED YEARS


Le 02 Mai 2020 par RED CLOUD


Écouté à la suite d'AETERNAM "Al Qassam".

Ici, l'ambiance orientale prend le pas sur le côté Metal. On se laisse immerger dans un rêve arabe dans lequel un djinn ferait face à une enchanteresse.

En fait, il n'en est rien. D'après Raouf Jelassi, les thèmes abordés seraient le temps qui passe, la vieillesse, les désirs inassouvis. Un titre traiterait également de la guerre et du terrorisme.

Une belle découverte. Ma quatrième étoile se justifie par le dépaysement apporté.





GOREFEST
MINDLOSS


Le 02 Mai 2020 par NEPTUNE


Un bon petit album tombé dans les limbes de l'oubli, mais toujours agréable pour les nostalgiques d'une époque bénie et définitivement révolue...





ULCERATE
STARE INTO DEATH AND BE STILL


Le 02 Mai 2020 par NEPTUNE


"The Destroyers Of All" m'avait bien fait décoller. "Vermis" n'était qu'un gloubi-boulga hermétique insupportable pour mes oreilles, tandis que "Shrines Of Paralysis" m'était complètement passé au-dessus.
Ici par contre, je retrouve avec plaisir le souffle charbonneux, l'épaisseur magmatique, la puissance atmosphérique et la lisibilité mélodique qui m'avaient tant botté sur le cru 2011.
Le riffing me parle à nouveau car il s'impose naturellement, même si on reste dans un trip alambiqué assez cérébral, et surtout, l'ambiance générale est juste incroyable : abyssale, tellurique, inexorable, épique, insalubre, aliénante, voire même tragique... Oui, tout ça à la fois et bien plus encore.
Ce disque se vit comme une transe noire aux allures de voyage intérieur. La laideur du beau, la beauté de la laideur ; un mastodonte malfaisant échappé des entrailles du monde d'en bas et pourfendeur d'espoir, cette vertu d'esclaves comme disait Cioran... Trippant donc addictif et totalement indispensable.





AC/DC
WHO MADE WHO


Le 02 Mai 2020 par FRED


Anecdotique… peut-être pour celui qui avait cinq ans en 1986 !
Par contre, pour celui qui en avait seize à l'époque et qui n'avait pas connu la période magique de "Back In Black", c'était le grand retour d'AC/DC, voire la découverte, avec le grand concours des sosies d'Angus, pour ceux qui se souviennent !
Il faut savoir replacer un disque dans son contexte, les jeunots !
Un disque important dans l'histoire du groupe, qu'on le veuille ou non : ça a été le déclencheur d'un retour en grâce après 2-3 albums boudés par la critique et le public, retour en grâce confirmé par "Blow Up Your Video".





Ozzy OSBOURNE
ORDINARY MAN


Le 02 Mai 2020 par YANN


Avant toute chose, je vais dépeindre le tableau : je suis fan d’Ozzy (BLACK SABBATH et en solo).
Et je fais partie des rares qui ont bien aimé certains de ses albums récents, pourtant tant décriés ici.

Donc (pour moi), que vaut cet "Ordinary Man" ?
J’aime beaucoup !
Voire J’adore !!!
Même si je ne lui mettrais qu’un 3/5 (plutôt 3,5/5, que je n’arrondirai pas à 4/5).

Pourquoi un tel décalage entre ma note et mes propos ?
Je m’explique.

Cet album comporte dix titres (j’exclus la onzième piste, qui n’est pas un titre d’Ozzy mais un morceau rajouté là sur lequel Ozzy participe, on sait pas bien pourquoi il a été foutu là...).

Donc sur ces dix titres, deux pour moi sont absolument excellents (je veux dire du genre hits absolus) :
- "Under The Graveyard" (avec en plus son clip juste parfait)
- "Scary Little Green" (j’adore ce titre, et pas qu’un peu !!!)

Quelques autres sont (pour moi, toujours) vraiment très bons :
- "Straight To Hell"
- "Ordinary Man" (pour une fois qu’Ozzy chante une ballade pas trop mielleuse… Avec en plus des paroles pleines de sens, tristement… Et là encore, le clip est très bon !)
- "It’s A Raid" (hyper catchy !)

"Eat Me" se laisse écouter.

"Goodbye" fait énormément penser à du BLACK SABBATH…. Mais pas le plus inspiré malheureusement… Ca me fait penser à un patchwork : quelques riffs, quelques idées éparses, le tout assemblé en un seul titre, sans cohérence...

J’en suis donc à 5/6 titres sur 10 qui me plaisent (un peu, beaucoup, passionnément, à la folie).

Pour les autres titres, que des ballades (ou mid-tempi), totalement indigestes pour moi, sans aucune saveur.

Concernant certains commentaires que j’ai pu lire :
- bien sûr que la voix d’Ozzy est trafiquée ! elle l’est depuis de nombreuses années !!! Et alors ? j’ai envie de dire…. Le bonhomme a soixante-onze ans, rarissimes sont ceux de son âge capables de chanter « sans assistance » ;
- cet album a été fait à la va-vite, via échanges de fichiers entre les musiciens, Ozzy se contenant de poser sa voix à la fin, en quelques jours seulement. Là encore : et alors ? Il fonctionne comme ça depuis des années !
- Ozzy est déclinant, incapable de se montrer en position debout… Du coup, me fait encore plus apprécier cet album !

Après tout, on est en train de parler de Dieu là non ?





TRIVIUM
SILENCE IN THE SNOW


Le 02 Mai 2020 par MANU

En vérité, ce qui a surtout poussé Matt Heafy à opter pour un chant clair constant sur cet album ce sont les très gros problèmes de santé qu'il a eus.
En effet, lors des premiers albums de TRIVIUM, le chant scream n'était pas du tout maîtrisé et fait avec la gorge, ce qui a très fortement endommagé ses cordes vocales et l'a obligé à se faire opérer. Il a donc dû arrêter pendant quelques temps le scream, pour laisser ses cordes vocales se reposer et prendre des cours pour apprendre à le pratiquer correctement sans qu'il ne risque d'endommager ces dernières. D'où sur cet album, l'absence totale de screams mais qui a fait son retour sur les albums d'après.





CONQUEROR
WAR CULT SUPREMACY


Le 01 Mai 2020 par MYSTIFYTHEGOAT

L'Alpha et l'Omega du Bestial, la définition même de la violence et de la haine, la plus pure représentation musicale de la guerre, la vraie.

CONQUEROR maître course !





AC/DC
WHO MADE WHO


Le 01 Mai 2020 par FEELGOOD


Je me rappellerai toujours la vision en salle de ce Maximum Overdrive si dénigré... C'est l'un des meilleurs souvenirs de mes années "fac", ère festive et joyeuse s'il en fut, séance mémorable durant laquelle j'étais accompagné par mes meilleurs potes de l'époque. J'ai revu le DVD aujourd'hui, en pleine période de confinement, et affirme fièrement qu'il s'agit là de l'une des séries B les plus jubilatoires des années 80, un film qui reflète bien cette époque heureuse et insouciante. J'avoue préférer Maximum Overdrive au They Live de Carpenter, réalisateur que j'admire énormément par ailleurs.
Quant à la musique d'Assedesse, elle apporte une indéniable valeur ajoutée au long métrage, lui conférant à la fois authenticité et excitation. Dans les années 80, la tendance était aux B.O. synthétiques (TANGERINE DREAM, A. HOWARTH, etc.). L'utilisation du gros Rock qui tache d'AC/DC était en rupture totale avec les usages de l'époque et aux antipodes d'un certain Rock FM prisé par Hollywood. En revoyant le film, encore une fois bien meilleur que ce que prétendent certains, les différents titres s'intègrent parfaitement dans l'ensemble. Les extraits de "Back In Black" sont intouchables, tout comme celui de son successeur. Les morceaux tirés du mésestimé "Fly On The Wall" sont sympas. Les trois inédits s'avèrent plaisants. Le morceau-titre et son clip d'enfer ont beaucoup fait pour le retour en grâce du groupe et les deux instrumentaux accompagnent à merveille les images, surtout "D.T.", mon chouchou. Et le magnifique "Ride On", merveilleux Blues des petits matins difficiles, nous permet de revivre la magie de l'ère Bon Scott.
Quatre étoiles, tant pour les souvenirs que pour la qualité intrinsèque des titres.





RUSH
ROLL THE BONES


Le 01 Mai 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


1er Mai 1992 Le Moungepedoun était au Zénith de Paris pour l'unique date hexagonale de l'histoire du trio ; de cet album, le groupe jouera les trois premiers titres, "Dreamline" est vraiment un excellent morceau tout en progression représentant bien le savoir-faire du combo je trouve ; la pièce maîtresse étant le titre éponyme un peu à part avec son break rapant. Bon album dans l'ensemble à réécouter j'espère.





ANNIHILATOR
WAKING THE FURY


Le 01 Mai 2020 par NY JETS


"Waking the Fury" devrait être, encore en 2020, le meilleur album d'ANNIHILATOR.

Mais non. Dans la droite lignée de "Criteria..." et "Carnival Diablos", Annihilator est de nouveau un groupe, et les compositions sont vraiment inspirées. Cette triplette éclate, à mon sens, celle de "King Of The Kill", "Refresh The Demon" et "Remains".

Tous les riffs, les solos, le chant, les parties de batterie de cet album sont incroyables, aucune faiblesse à ce niveau-là.

Mais qu'est-ce qui est passé dans la tête de Jeff Waters de nous affubler de ce son de guitares rythmiques ?

J'adore l'Indus, pas de problème, mais là pour le coup ça ne colle pas, et ça devient même épuisant sur les longues plages musicales de certains titres ("Lunatic Asylum", "Blackest Day").

Ca gâche tout, et pour le coup c'est vraiment le seul album d'ANNIHILATOR que j'adore détester.

"Schizo Deluxe" en a profité pour prendre cette place de meilleur album trois ans plus tard...

2,5/5 en réel.





CONQUEROR
WAR CULT SUPREMACY


Le 01 Mai 2020 par DEATHRASH


Le disque ultime du genre, jamais le War Metal n'aura aussi bien porté son nom.





Ozzy OSBOURNE
ORDINARY MAN


Le 01 Mai 2020 par MEGIDDO


Ozzy est et restera une Légende du Heavy Metal. Respect total pour son parcours d'artiste d'abord avec BLACK SABBATH puis dans sa carrière solo, tant qu'il était accompagné de Bob Daisley. Après c'est mort et bien mort.
Son comeback de 2011 avec son groupe d'origine a été réussi, hormis ses prestations scéniques catastrophiques.

Depuis, il y a eu une chute de quad plus grave que prévue, une "grippe" qui a fait l'objet d'une convalescence qui a durée presque toute l'année 2019. Ensuite, l'annonce de l'aggravation de son Parkinson a été un mauvais signe enchaîné par une apparition pitoyable en playback avec ce rappeur lors d'une prestation télévisée, en position assise. Et enfin cette sortie officielle d'un album fait en quelques jours seulement paraît-il avec tous les noms cités dans la critique. On notera aussi les vidéos diffusées avec un Ozzy toujours assis. Pas bon ça. Encore et toujours ce mauvais karma qui n'augurait rien de bon. Excepté les Slash et Duff, je n'aimais déjà pas les autres avant.

Clairement, je pense qu'Ozzy ne remontera plus sur scène mais j'espère me tromper.
Soyons honnêtes, j'ai écouté l'album trois fois grand maximum, c'est bon j'ai ma dose. Je n'ai écouté que partiellement les deux dernières merdes, appelons un chat un chat. L'autotune est un cancer pour la musique actuellement.
L'album a un son ultra-préfabriqué, des compos formatées comme jamais, tout est artificiel. Tout. À commencer par la voix du Madman. Là, c'est trop. Juste insupportable. Quant au reste, on nous avait déjà fait le coup des références aux anciens morceaux dans "13" mais au moins les titres étaient écrits par les immenses Tony Iommi et Geezer Butler. Des clins d’œil légitimes.

Ici, on a affaire à une bande de mecs hétéroclites qui ont échangés des fichiers via internet pour aboutir à une mise en boîte synthétique comme jamais pour masquer ce que l'on sait de ce constat imparable : Ozzy ne sait plus chanter sans assistance technique depuis des années, a des gros soucis d'élocution, perd la mémoire pour les raisons de santé et n'écrit plus rien depuis des lustres.
Déçu d'autant plus qu'on nous avait annoncé en février 2017 qu'Ozzy avait finalisé un album avec Steve Stevens et Billy Morrison. Ils avaient tous deux écrit le dernier album de Billy IDOL "Kings & Queens Of The Underground", une réussite. C'était une très bonne nouvelle. Enfin un album sans Zakk mais avec des partenaires qu'allaient apporter quelque de neuf et de qualité. Espoir rapidement douché par la suite.
Par défaut, on nous propose ce produit Pop édulcoré tout sauf authentique à l'image de la pochette, soutenu uniquement par un bon titre, "Ordinary Man" avec Elton John. Cette collaboration ultime avec l'autre rappeur me dégoûte au plus haut point.
Une fin de parcours qui laisse un goût amer au vu du parcours du bonhomme. Il méritait tellement mieux. Il fallait arrêter sur "13" mais $haron en avait décidé autrement, la santé de son mari étant ce qu'elle est, il a fallu faire vite. Et ce n'est pas fini, le fiston vient d'annoncer le retour des Osbournes sur les écrans. Pauvre Ozzy.





Ozzy OSBOURNE
ORDINARY MAN


Le 01 Mai 2020 par JULIEN G.


Cet album est produit par Andrew Watt qui ne vient pas du tout du Metal, je dirais même que cet album est surproduit: gros son un peu synthétique, multiples arrangements et orchestrations ou instruments additionnels.

Les musiciens qui accompagnent le Godfather du Metal sont des pointures internationales: Chad Smith, Duff McKagan, Slash, Tom Morello et même en guest Elton John.

Il en résulte un album très accrocheur.

Les refrains sont très soignés et se vissent longtemps dans la tête: "All My Life", "Under The Graveyard", "Today Is The End" ou "Scary Little Green Men".
De nombreux sons de guitares sont utilisés ce qui donne une couleur propre à chaque chanson, "Under The Graveyard" en est un bon exemple (le clip de ce titre est génial).
Ozzy se permet un petit air d’harmonica pour ouvrir "Eat Me" et sa grosse ligne de basse.
"Ordinary Man" est une balade réussie, renforcée par un piano, un orchestre et un chœur féminin. La ligne de chant est émouvante et le duo avec Elton John est aussi surprenant que réussi. Slash lâche deux superbes soli dans la même veine que ceux de "November Rain".

Bien ouvert par l’énergique "Straight To Hell", cet album réussi se termine par "It’s A Raid", délire punk très moyen évoquant la cocaïne et l’immonde bouse auto-tuné de Post Malone, "Take What You Want" sur lequel Ozzy était un guest...

L’atmosphère et les mots évoquent une certaine mélancolie (je pense à "Today Is The End") pour probablement le dernier album de ce monument qu’est Ozzy Osbourne.

Un bon gros 3,5 que j’arrondis à 4 parce que c’est Ozzy (et je me fiche de l’influence qu’ait pu avoir Sharon...)





DÖDSRIT
SPIRIT CRUSHER


Le 01 Mai 2020 par MR LARSEN


Plus classique dans la forme et Black dans l'esprit que son prédécesseur il est vrai, mais ce nouveau long-format de DÖDSRIT remplit le cahier des charges. On retrouve le souffle épique et conquérant déjà aperçu sur l'album éponyme, mêlé à quelques instants d'anthologie (le riff Black effrayant qui emprunte à EMPEROR sur "Spirit Crusher" et son lead final incandescent qui rappelle le meilleur de "The Void" sur la précédente mouture). DÖDSRIT prend aussi le temps de ralentir un peu le tempo en proposant quelques passages plus atmosphériques (superbe pont central de "Ändlösa ådror"). Une belle réussite... qui reste toutefois légèrement en-deçà de la baffe prise avec "DÖDSRIT" il y a trois ans. Mais cet opus laisse imaginer un avenir radieux pour ce barde metallique de temps immémoriaux. Vivement la suite !







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