Le 16 Avril 2020 par DEFLEP666

A sa sortie, cet album avait reçu une critique plutôt correcte de la part des médias Metal et je m'étais décidé à acheter l'album.

C'est sans doute l'un des albums que j'ai le moins écouté. A l'époque je ne savais même pas que Bruce Dickinson avait fait partie de ce groupe. J'ai écouté l'album trois ou quatre fois puis direction poubelle ou plutôt ma collection de disques.

Aujourd'hui, je l'écoute d'une nouvelle oreille mais ne suis toujours pas persuadé que ce groupe soit mon genre de groupe.
Ni bon, ni mauvais mais quand même plutôt mauvais. Quelques étincelles par ci par là mais rien d'époustouflant.

Un groupe correct sans avenir à mon sens. Et je dis cela sans faire référence aucune à Bruce Dickinson.

Je vais mettre un trois car je suis dans un bon jour.

Le 16 Avril 2020 par DINICED

Pour certaines personnes, la douleur peut-être une énorme source d'inspiration et nous ne serons pas étonnés d'entendre que Jonathan Davis est une de ces personnes. (Je ne souhaite évidemment pas de malheur aux artistes portés sur l'introspection pour alimenter ma platine).
Rien que l'artwork donne le ton, KORN est revenu. La cornemuse, le ton plaintif à la limite des larmes, le growl et surtout les compositions mélodiques et puissantes, tout ce qui est bon chez KORN est là.
Je pense quand même qu'il ne faut pas trop en abuser en cette période d'isolement tellement le mal-être est palpable.

Le 16 Avril 2020 par BIFIDUSMETALLUS

Bonjour à tous,

Comme Fredouille, je pense qu'ANNIHILATOR est un des groupes les plus sous estimés de la scène, surtout qu'en live ça dépote autant que sur album !

Concernant cette dernière galette, je la trouve bonne, mais je trouve l'engouement pour celui-ci un peu exagéré lorsque je lis qu'il serait dans le top 3 (ou 4 ou 5 on s'en fout), qu'il tiendrait la comparaison avec "Alice..." Ou "Never...".
Pour moi il est du niveau habituel d'un bon album d'ANNIHILATOR, mais je le trouve clairement en dessous d'un "For The Demented" (qui pour moi rivalise avec ses illustres ainés) ou encore l'éponyme.

Ça ne m'empêche pas de prendre mon pied sur un "Armed To The Teeth" ou l'imparable "Psycho Ward" entre autres!

Objectivement ça serait un 3/5 pour moi, mais j'éprouve une sympathie non dissimulée pour la bande à Jeff Waters, donc ça sera un 4/5.

Le 15 Avril 2020 par MR G

Voici donc le nouvel album d'ALCEST, groupe que j'adore depuis que je l'ai decouvert sur le tard avec Shelter, album assez difficile à appréhender tant je trouve que le virage plus métallique change quelque peu le son du groupe que l'on reconnait quand même sur le fond et fort heureusement d'ailleurs !
ALCEST murit, telle une chrysalide se transforme et mêle sa poésie à des sonorités plus modernes dirais-je ! L'album est bon, pas transcendant comme a pu l'être son prédecesseur, mais reste d'un haut niveau de composition ! Les morceaux sont tous bons à l'instar de "Les Jardins De Minuit" qui ouvre l'album. Chaque chanson possède son moment fort mais il manque peut-être l'étincelle qui a fait de certains autres albums du groupe des chefs d'œuvre ! Les 6 morceaux s'écoutent quand même avec plaisir sans que l'on recherche pourtant à vraiment y revenir souvent à l'inverse des albums précédents ! Un bon album malgré tout ! 3.5/5 voire 4/5!

Le 15 Avril 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

J'ai toujours bien aimé ce groupe à classer pourtant en deuxième division des combos de Hard Mélodique US ; pourtant, le côté désinvolte de leur musique mêlé à des mélodies souvent teintées par l'empreinte des Beatles, ça m'a toujours beaucoup plu car très original et très bien fait. L'ensemble de leur discographie mérite un coup d'oreilles même si ce "Strength" est sans doute le meilleur, excellent même.

Le 15 Avril 2020 par GASOLINE DREAMS

Un an après "Alice In Hell", Waters nous livre son deuxième album.
Ce deuxième suit les traces du premier.
Le changement de chanteur, Pharr à la place de Rampage, apporte moins d'agressivité mais plus de justesse. Ce manque de fureur ce ressent sur les titres les plus rapides.
Le tempo est moins rapide globalement. Cela convient bien à Pharr, un peu moins à moi.
Des titres sortent du lot: "The Fun Palace" et "Never Neverland".
Le reste est dans la lignée du premier album.
Il manque quand même cette immédiateté et cette folie pour égaler "Alice In Hell" et surtout je trouve un titre en dessous, "Kraf Dinner", qui pour moi fait baisser la note.
Mais ne vous y trompez pas, on tient encore un très bon opus de thrash.

Le 15 Avril 2020 par FIGHTITBACK

Ouais... BOF BOF BOF ! J'adore la voix de Robin car fan de Michael Schenker et la première fois que j'ai vu MSG c'était avec lui à Bercy en première partie de DEF LEPPARD (ça ne me/nous rajeunit pas) le premier titre mis en ligne est une tuerie et m'attendais à des titres dans cette veine sauf que... NON ! Alors ce n'est pas le seul bon titre mais pas de quoi fouetter un chat non plus comme on dit ! (déjà revendu pour ma part) deux mais qui tire + vers 2,5 car les soli de Reb Beach sont à tomber aussi ! P.S. serait-on censuré ici maintenant sous réserve qu'on défend Paul DI'ANNO auprès de gens qui le critiquent mais ne semblent pas avoir vraiment suivi grand chose (ni ancien ni récent) de sa carrière ? dommage !

	Par Nightfall In Metal Earth Ah non camarade ! Il suffit de parler de l'album en étant constructif a minima (en résumé suivre la charte des commentaires).

Le 15 Avril 2020 par CACA GENEREUX

Aussi surprenant que cela puisse paraître, oui, les Four Horsemen sont de retour. Si le succès inexplicable de "Lulu" tend à s'estomper singulièrement, cette piètre prestation musicale (oserais-je dire) n'a semble t-il pas découragé le groupe de poursuivre l'aventure en pondant ce... Truc... Nommé "Hardwired... To Disappoi.. heu Self-Destruct", relayé dans les bacs à partir du 18 Novembre 2016. Le tout faisant suite au single "Hardwired", entêtés qu'ils sont, persuadés de proposer un rapport qualité-prix suffisamment intéressant pour en légitimer l'achat. Ça bien sûr, nous le savons déjà, sans aucun préjugé, mais voici la question que vous vous posez-tous : Comment ont-ils fait pour atteindre un niveau aussi bas ? Ne cherchez plus ! C'est ce que nous allons demander au grand monsieur James Hetfield que nous accueillons ce soir et qui a gentiment accepté de répondre à nos questions ! Mesdames et messieurs, je vous demande une standing ovation pour M. James Hetfield et les membres de Metallica !

*musique d'accompagnement, projecteurs et sourire de propagande, c'est parti*

CACA : Mr. Hetfield, vous êtes passé maître en matière d'albums pourris. Avez-vous suivi une formation particulière ? Que conseilleriez-vous aux jeunes metalleux souhaitant se spécialiser en matière de daube sonore ?
JAMES HETFIELD : Et bien je pense qu'il faut avant tout avoir ça dans le sang. Ça ne s'apprend pas vous savez. L'amour des choses mal faites et un sens bien développé de la fainéantise sont de précieux atouts. Ensuite il faut trouver l'idée. Quoi qu'il en soit, l'originalité est à bannir si vous souhaitez arriver où nous en somme aujourd'hui.

CACA : Ah oui, je vois. Donc l'artwork de votre album "Hardwired... To Self-Destruct" semble avoir bénéficié d'un travail graphique particulier. Pouvez-vous nous parler un peu de ce point ?
JH : Oui tout à fait. Je suis bien content que vous ayez remarqué cet aspect. Tout le travail graphique a été confié à mon neveu de quatre ans. J'en suis très fier, vous savez. Je lui ai acheté une jolie boîte de crayons de couleur et il s'est occupé de la pochette. Ensuite, nous avons rentré son artwork directement dans le livret. Rien n'a été retouché. Le résultat est très faible. J'en suis vraiment très heureux. Je pense qu'esthétiquement on a réussi notre pari.

CACA : Vous semblez, sur certains titres, chanter comme si on vous avait greffé un cul à la place de la bouche ?
JH : Je vois où vous voulez en venir. Vous faites sûrement référence à ce ridicule "MurderOne". C'est dû a une crise hémorroïdaire qui m'a foudroyé en studio, et ça tombait à pic pour pouvoir massacrer cette chanson, quel timing n'est ce pas ? Je pense que Lemmy serait fier ! Quant au terme "chanter", n'exagérons rien.

Metallica


CACA : Avez vous utilisé une technique particulière pour parvenir à une si mauvaise qualité ?
JH : Tout à fait. Nous nous sommes appliqués à rendre l'ensemble des compos le plus bancal possible. Et bien évidemment, pour rendre le tout encore plus indigeste : un double album. Mais je pense que nous aurions pu pousse la chose encore plus loin. Nous y travaillons. Malheureusement nous avons constaté trop tard que certains auditeurs coriaces parvenaient à arriver jusqu'au deuxième CD. Et pire encore, certains ouverts d'esprit arrivaient même à apprécier nos compos après plusieurs écoutes. Mais je vous assure que nous rendrons nos prochaines productions encore plus imbuvables, faites nous confiance !

CACA : Oui j'ai pu constater que certains morceaux peuvent être appréciés par de rares individus. Mais rassurez-nous, la durée de l'album devrait limiter ceci ?
JH : Oui absolument. 77 minutes ! Je ne le répéterai jamais assez : la quantité ne fait pas la qualité. Ce qui fait qu'en remplissant un album, on maximise nos chance de faire de la bouse. Comptez trois min pour "Hardwired" la plus courte et placée au début pour être tranquille, tout le reste est à partir de 5min45, jusqu'à 8min15 pour "Halo On Fire", la plus longue. Nous mettons un point d'honneur à ce que les chansons soient le plus insupportable possible indépendamment de leur longueur, afin que l'auditeur n'ai aucun refuge possible. D'ailleurs si vous jetez une oreille sur nos albums les plus récents, ce procédé semble avoir fait ses preuves ! Comme d'habitude, c'est moi qui ai écouté le mixage final afin d'évaluer le potentiel commercial. En général si je jette le casque au bout de quelque minutes en gueulant : "Mais qui a bien pu me sortir une diarrhée pareille ?", c'est que l'album est bon à sortir.

CACA : Au niveau des compos justement, les fans de vos productions minables risquent d'être déçus. Des titres tels que "Moth Into Flame" ou "Atlas Rise"sont très biens par exemple. Qu'avez-vous à répondre à ça ?
JH : Ah oui, "Moth Into Flame"... C'est vrai que ce morceau plaît assez. J'étais opposé à ce que ce titre soit sur l'album, il devait finir sur une face B pour le plus mauvais candidat à sortir en single afin qu'il fasse un bide, mais nous avions picolé au moment de faire la tracklist définitive, et nous avons eu l'idée délirante de la mettre sur l'album. Quant à "Atlas Rise!", Nous nous sommes aperçus trop tard que le responsable avait fait du bon boulot. Je pense que ce problème aurait pu être évité si j'avais passé plus de temps à m'assurer lors de son entretien d'embauche qu'il était aussi mauvais qu'il paraissait. Je n'aurais jamais pu me douter que derrière son look de type paumé se cachait un producteur qui savait ce qu'il faisait. Malheureusement j'ai complètement bâclé son entretien. C'est vrai que pour en arriver où nous en sommes aujourd'hui, le "je m'enfoutisme" a toujours été une qualité, mais je pense que la prochaine fois que nous devrons recruter quelqu'un, nous prendrons plus de temps pour bien connaître nos collaborateurs. Il est hors de question pour les prochains albums de travailler avec des personnes faisant bien leur boulot ! C'est pourquoi je m'entends si bien avec Kirk d'ailleurs.

CACA : On en vient presque à regretter qu'il n'y ai pas eu trois autres bus n'est ce pas ?
JH : À qui le dites-vous. Mais vous savez, je pense qu'il faut en tirer le positif : ces bons morceaux étant sortis en single, on en tirera bien plus de pognon comme ça. Voyez-ça comme de la publicité mensongère. Nous ne pouvons réaliser un album qui soit bon, cela irait à l'encontre de nos idées. "Ride" et "Justice" sont de regrettables erreurs que nous ne reproduiront plus. Je pense qu'à partir de "Load" nous avons prouvé que nous avions retenu la leçon de ne plus faire de bon album !

CACA : Monsieur Hetfield, auriez vous une dernière chose à dire à nos lecteurs ?
JH : Oui, je tiens à remercier Rock Fever pour leur soutien. Continuez de chroniquer nos albums. Je tiens également à rassurez vos lecteurs sur une certaine rumeur qui dirait que nous sommes sur un gros projet de bon album au concept novateur. Il n'en est rien ! Rassurez-vous, nous continuerons à bâcler nos galettes. Si nous ne le faisons pas qui le fera ?

CACA : M. Hetfield je vous remercie infiniment pour vos réponses, et vous souhaite une excellente continuation, ainsi qu'une bonne année 2020 !

Le 14 Avril 2020 par PATATUS EMERITUS

Un très bon disque d'ANATHEMA, annonciateur du virage moins Metal qu'adopteront les Britanniques par la suite.

Le début de l'album est superbe. "Shroud Of False" introduit magnifiquement l'énergique (radio friendly?) "Fragile Dreams". On ne peut que ressentir une vive émotion sur cette courte introduction. Ces murmures suivant cette jolie mélodie au piano, précédant l'entrée en matière des guitares bien grasses, c'est du grand art. Un art de véhiculer des sentiments à fleur de peau que l'on retrouve sur l'énorme "Empty", pierre angulaire de l'album avec le titre éponyme. Ce morceau est génial, tout en montée de tension et en explosion, Vincent Cavanagh y livre une performance époustouflante. L'élargissement de sa palette vocale n'est plus à prouver, le chanteur nous communique littéralement sa rage et sa douleur. Un titre dont on ne peut sortir indemne, suivi du sublime "Lost Control" par lequel on entre doucement dans la future facette, plus Rock atmosphérique, du groupe. On ressent l'amour des frères Cavanagh pour les PINK FLOYD sur le solo de guitare, plus que réussi.

"Alternative 4" est donc l'autre tuerie ultime de l'oeuvre. Un morceau inclassable, effrayant, ambient mais brutal, sur lequel la basse de Duncan Patterson fait merveille avec ce leitmotiv des plus menaçant, entêtant et étouffant. Quant à cette nappe de claviers, et ce chant hanté... Ce titre me colle des frissons à chaque écoute, tout comme l'émouvant et progressif "Feel", à la conclusion très électrique, prouvant qu'en 1998 ANATHEMA est encore un groupe de Metal.

J'éprouve toutefois une légère déception face à des titres comme "Disconnect" ou "Inner Silence", sans que cela n'altère la qualité d'ensemble d'un album charnière dans la discographie des autres gars de Liverpool, qui produiront l'excellent "Judgement" dans la foulée.

Le 14 Avril 2020 par I AM THE GROWL

Un disque très inspiré, dans les deux sens du terme. Auto-plagiat sur "Something Out Of Nothing", le pont c'est celui de "Out Of Hand" sur "Wolverine Blues". "The Itch" c'est total RATM worship. Un petit coup de "In The Flesh" bien Doom avec riff directement piqué à BLACK SABBATH. "Year In Year Out" y a du SONIC YOUTH, PAVEMENT, dedans. Beaucoup de NEUROSIS sur les deux premiers morceaux. Je suis pas trop fan non plus du chant de LG Petrov sur celui-là comme sur "Same Difference" et "Morning Star", trop aigu, pas rauque et Rock comme sur "To Ride" ou "Inferno". Mais tout ça est vendu avec une telle énergie et une telle hargne que ça peut que te gagner et te réchauffer les cervicales quand t'es coincé chez toi à taper des commentaires pour que les autres lecteurs NIME headbanguent avec toi. Salutations à vous tous, amis du Metal !

Le 14 Avril 2020 par BALAAM

Ce premier EP est un pur moment de bonheur. C'est dynamique, moderne, finement élaboré et les mélodies sont imparables. D'autant plus que la chanteuse à la voix belle et puissante est vraiment excellente. Impossible de ne pas se laisser totalement envoûter.

Le 14 Avril 2020 par MEGIDDO

Je me souviens de la découverte du book du cd avant même la première écoute. Cela m'avait littéralement tué sur place : Les cheveux coupés, Kirk Hammett avec ses bretelles et son cigare, ses pompes noires et blanches ou arborant fièrement son joli borsalino ! Lars Ulrich les yeux pleins de mascara, portant une veste en moumoute blanche... Le look qui vous flingue une carrière. La première écoute qui s'ensuivit fut fatale. Du coup, j'ai essayé de le refourguer de suite, sans succès.
Bien qu'étant moins étanche au concept au fil des années, il en reste un album beaucoup trop long, voire indigeste pour les fans de la première heure. Ok, pour le voyage dans les racines du Rock américain mais là c'est vraiment trop.

Le 14 Avril 2020 par DINICED

Bon ou mauvais, difficile à dire quand il s'agit d'un groupe aussi expérimenté, ayant traversé plusieurs "époques", comme METALLICA. Et justement je pense qu'on retrouve un peu de tout ce que le groupe a joué au cours des années, concentré avec plus ou moins de réussite sur ce double album. Un résumé du parcours en quelque sorte.

Le 14 Avril 2020 par DINICED

Ce qui me frappe sur cette abomination, ce sont les soli de guitares. Par apport aux deux albums précédents, je les trouve plus nombreux mais surtout plus typés, en complète harmonie avec le morceau dans lequel ils sont joués. FIRESPAWN n'a pas l'air de se contenter du fan service et cherche à donner plus.

Le 14 Avril 2020 par MORVEüS

Le must en matière de Rock atmo avec des breaks et ambiances magnifiées par des musiciens au top...

Le 14 Avril 2020 par GASOLINE DREAMS

Culte ou pas cet album est très bon.
Il y a trente ans déjà, j'ai découvert une mixture entre Speed Metal et Thrash. Et une production nickel, avec une basse bien présente et qui n'a pas vieilli.
Une machine à riff sur des tempos rapides, quelques arpèges par-ci par-là et un chant adapté à ces compos (quoiqu'en pensent certains, Randy Rampage c'est Bobby Blitz en moins bon).
Des rythmiques d'enfer, des solos inspirés et des passages mélodiques sur chaque morceau (sauf sur "Human Insecticide" qui dévaste tout sur son passage) font de cet album un must du genre, sans concession de la part de Waters.
Des riffs et des titres que l'on arrive à retenir.
Pas de ballade sur cet opus.
À écouter absolument.

Le 14 Avril 2020 par I AM THE GROWL

En voilà du vrai. Les tremolos à la guitare, les growls, les blasts et ce son craspec années 90 juste assez clair mais pas trop. Avec un long morceau de fin qui ressemble à l'Enfer sur Terre. Mes voisins, obligés d'être chez eux en ce moment, kiffent à mort !!!

Le 13 Avril 2020 par SWISSIDOL

J'ai une certaine tendresse pour cet album. Certes, le groupe fait encore des concessions aux charts ("Waiting For The Night") mais les compositions sont très réussies, avec une dose de fun ("Party Til You Puke"). A part quelques erreurs de parcours ("Empty Promises", entre autres), ça tient franchement la route. Tellement supérieur au pitoyable "Destiny".

Le 13 Avril 2020 par SWISSIDOL

Une jolie claque, à l'époque. La lourdeur de Sabbath, par instants, avec des sonorités et une fougue modernes. Rien que pour la voix flippante du gamin sur "Seance fiction", je recommande. Quel riff de basse !!

Le 13 Avril 2020 par LUDWIGRETSCH

Quoi de tel qu'une bonne dose de Sleaze pour bien commencer la semaine, et croyez-moi, les grands crus Sleaze se comptent sur les doigts d'une main et il vaut mieux être sélectif !
Et ce "Cocked And Loaded" arrive alors à point nommé ! Sorte de mixture parfaite entre l'excellentissime "Pump" de vous-savez-qui et le non moins excellentissime "Appetite..." de vous savez encore qui... Et ça fait vraiment du bien ! C'est toujours fun, enjoué et efficace avec ce qu'il faut de savoir-faire. On se prend alors à rêver de fêter ça avec les potes sur une plage de Malibu en headbangant jusqu'à l'aube !
L'album parfait d'un genre vite oublié et broyé par la vague Grunge qui n'allait pas tarder à déferler...
D'autres pépites comme "Screw It!" de DANGER DANGER, "Don't Come Easy" de TYKETTO ou encore "The Lizard" de SAIGON KICK valent également leur pesant de ben & nuts dans un style proche !