Le 24 Mars 2021 par BAKER

J'ai un problème avec cet album... C'est que chaque fois que je tombe sur une de ses chansons, je suis pris au piège.

C'est de la Pop. De la bonne Pop, très mélodique, avec du gros son comme Kim WILDE ou A-HA savaient nous en offrir, avec de la générosité et un petit côté épique.

Je ne note pas l'album car je ne l'ai pas encore découvert en tant que "tout", mais alors que son prédécesseur m'avait horrifié avec des fautes de goût grosses comme.... grosses, celui-ci est truffé de petits refrains qui foutent un bon taquet derrière le cou. Et si SONATA doit définitivement tourner le dos ET au Speed Mélo qu'il a vaillamment honoré ET au Speed-semi-Prog ambiancé qui a fait aussi une belle carrière pour devenir un groupe de Power Pop, je suis prêt au sacrifice.

Le 24 Mars 2021 par ALTHOR

J'ai un petit problème avec SONATA ARCTICA : tout ce qui est antérieur à "Stones Grow Her Name" j'ai du mal à écouter (mes goûts ayant évolué) et tout ce qui vient après est tellement navrant... À part ce "Pariah's Child". À sa sortie je l'avais bien apprécié et encore aujourd'hui il me botte toujours autant. Il y a une fraîcheur inhabituelle et de chouettes ambiances qui se dégagent de ce disque. C'est plaisant.
"Cloud Factory", "Blood", "X Marks The Spot", "Running Lights" et "Take One Breath" sont mes gros kiffs. Même "Love" n'est pas si mièvre que ça et passe. Le reste est très correct également.

Je raconte ma vie, mais mine de rien mais "Pariah's" Child est dans mon top 3 album sur last.fm, derrière "Unia" et "Reckoning Night".

Le 24 Mars 2021 par FIGHTITBACK

Dieu qu'il est dur avec cet album (qu'est-ce que ça va être avec le Part II moins bon?!). Je sais que tout cela est subjectif mais quand je lis toutes les critiques dithyrambiques sur "Golgotha" (six ans pour neuf titres déjà entendus là aussi) j'ai du mal à comprendre ce que je lis parfois sur "Still Not...", ce premier "Neon God"...! Alors certes ce n'est pas "Crimson..." en terme de qualité globale mais il y a des titres... WAOUH !!! ("Sister Sadie" (cité dans la chro), "Asylum Number 9", "What I'll Never Find", "X.T.C. Riders" et "Raging Storm") Perso, il y a un moment que j'aborde la valeur d'un album à la durée de ce qui me plaît dessus et ce "Neon God" en cinq titres fait à quelques secondes près les sept titres que j'adore du premier de '84, comme quoi...
P.S.: note réelle 3,5 mais je mets 4 pour "relever" la note globale !

Le 23 Mars 2021 par KAMU2MALIAK

Bordel... Et dire qu'ils sont passés dans un petit bar-concerts tout prêt de chez moi en 2020 et que j'ai eu la flemme de bouger ce soir là. Quand je vois la situation actuelle, j'me foutrais des baffes.
Enfin, ce deuxième album est là pour me consoler d'être une grosse feignasse.
Fidèle successeur du formidable premier, c'est du tout bon.

Le 23 Mars 2021 par LE DUC ROUGE

Wow je ne pensais pas voir HEILUNG se faire descendre en flèche sur NIME !
Je trouve la chronique très dure et plutôt condescendante. Mais bon, notre ami Volthord assume sa démarche de boomer de dire que HEILUNG est un groupe de poseurs et que WARDRUNA c'est mieux alors ok, on est pas non plus dans la mauvaise foi éhontée.

Bah moi WARDRUNA je trouve ça beau ... mais chiant ! Trop propre, trop élitiste ... alors que HEILUNG me fascine pour tous les défauts qu'à cité notre ami Playmobil. J'aime le côté hypnotique et chamanique de ce tempo martial, j'aime la mise en scène avec ces nombreux guerriers sur scène prêts à en découdre, j'aime la divine grâce de cette chanteuses aux bois de cerf décorée .... et quelle claque sur scène ! J'ai eu la chance de les voir au Hellfest, malheureusement en plein jour, et je peux vous dire que les basses qui vous rentrent dans le bide à chaque coup c'est enivrant.
Je ne vois pas du tout pourquoi Volthord parle d'electro ... on est pas non plus sur du DANHEIM.

En tout cas c'est toujours un coup de coeur pour moi, j'admets par contre que la version CD est trop propre. On perd tout l'impact du live. Je n'écoute d'ailleurs que la version live. C'est peut-être ca finalement la grande faiblesse d'HEILUNG ? N'être finalement qu'une performance scénique ?

Le 23 Mars 2021 par BAPTISTE89

Bon là ce n’est pas compliqué : on tient la quintessence du Rock Progressif. Kerry Livgren s’occupe de la plus grande partie de la composition pour pallier le manque d’idées de Steve Walsh, qui seconde quand même le guitariste sur quelques titres.

L’album du groupe qui s’est le mieux vendu, notamment grâce au hit "Carry On Wayward Son", qui est un des titres les plus connus de KANSAS avec "Dust In The Wind" et qui sera notamment repris par DREAM THEATER. Il ne faut toutefois pas résumer cet album à ce seul titre : tout est réussi sur "Leftoverture". Il y a eu beaucoup de finesse dans le travail de composition, et l’album nous fait passer par de nombreuses émotions. Comment ne pas avoir des frissons en écoutant "Cheyenne Anthem" ou "The Wall" ? Comment ne pas se laisser emporter par la mélodie de clavier et l’entrain de "Questions Of My Childhood", la légèreté de "What’s On My Mind" ou les montagnes russes de "Miracles Out Of Nowhere" ? Le tout est sublimé par le chant de Steve Walsh, impérial.

Je ne vais pas approfondir, il faut écouter cet album, c’est un passage obligé dans la découverte du Rock Progressif. Comme l’écrirait un chroniqueur dont j’apprécie beaucoup les écrits, tout est beau sur ce disque.

Le 23 Mars 2021 par MAIDEN666

Encore un superbe et magnifique album pour The RUINS OF BEVERAST, le meilleur depuis "Foulest..." pour moi, les pistes 1, 2 et 5, 6, 7 c'est vraiment du bonheur !!!! Ce groupe (one man band) mérite vraiment d'être connu et écouté surtout !!!!!

Le 23 Mars 2021 par BAPTISTE89

Dix ans après la sortie de "Bat Out Of Hell" et des dizaines de millions d’albums vendus (surtout du chef d’oeuvre de 1977, les ventes des albums suivants ayant marqué le pas), le premier Live officiel de MEAT LOAF voit le jour. Si on est familier avec l’univers du Pain de Viande, on sait qu’il faut s’attendre à du kitsch, et on est servi ici, notamment avec ces chœurs qui donnent un charme suranné à l’ensemble. Et bien sûr, quand on regarde des concerts de cette tournée, on ne peut que sourire au vu des accoutrements et des coupes de cheveux d’un autre temps. Une tournée très importante pour le chanteur, qui a connu de gros problèmes d’argent au cours des années 1980 et qui joue de nouveau dans des salles importantes à la fin de cette décennie. Une tournée couronnée de succès, qui amènera Jim Steinman à collaborer de nouveau avec l’artiste.

Ce qui frappe d’entrée de jeu, c’est le rendu très Hard Rock de ce Live, qui délaisse le côté très boursouflé de la musique de MEAT LOAF. Les gros riffs de "Blind Before I Stop" le montrent bien : ce titre qui, en studio, voyait son aspect Heavy noyé sous des synthétiseurs et l’écho de la batterie montre tout son potentiel ici. Même chose pour "Rock’N’Roll Mercenaries", chanté en duo avec le guitariste de tournée. "Midnight At The Lost And Found" est très musclée également et se montre plus intéressante en concert.

Vu le succès astronomique de "Bat Out Of Hell", il est impossible pour MEAT LOAF de faire l’impasse sur cet album culte. L’interprétation de "You Took The Words Right Out Of My Mouth" est superbe : la version studio est largement épurée, et les chœurs discrets donnent beaucoup de charme à ce titre. Les interprétations de "Paradise By The Dashboard Light" et de la chanson-titre sont très énergiques, comme on pouvait s’y attendre. Si je devais garder un titre extrait de cet album, ce serait "Two Out Of Three Ain’t Bad" : le chanteur y est tout en sensibilité, et cette version Live est allongée de plusieurs minutes, permettant à Bob Kulick de s’illustrer.

Le gros écueil de ce Live, qui l’empêche d’accéder à une quatrième étoile, c’est sa setlist : elle fait totalement l’impasse sur le très bon "Dead Ringer", qui est un des trois meilleurs albums de MEAT LOAF avec les deux premiers "Bat Out Of Hell". Un choix assez incompréhensible : la présence de "Peel Out", de "I’m Gonna Love Her For Both Of Us", de "More Than You Deserve" ou encore de "Dead Ringer For Love" aurait tellement tiré ce Live vers le haut... On peut aussi lui reprocher sa durée (1h10 au compteur) et l’absence de version vidéo, ce qui est très important pour MEAT LOAF dont les shows ne cesseront de gagner en théâtralité avec l’arrivée de Patti Russo. Un bon Live tout de même, même s’il y en a de meilleurs de l’artiste (je pense notamment au "History Live" de 1994).

Le 23 Mars 2021 par SAM

Bon, ce "Welcome To The Absurd Circus" ne vaut probablement pas 2/5 comme le précédent ne valait vraiment pas 4/5. D'ailleurs ils reprennent ici de temps en temps des gimmicks du précédent (sur les soli par exemple...)
Finalement j'ai bien trop de LABYRINTH dans ma discothèque ("Return To Heaven Denied I et II", "Sons Of Thunder", "Architecture"...) et c'est quand même dur de s'y intéresser longuement. On se lasse vite.

L'Italie n'y est pas pour grand chose, j'écoute beaucoup NOVERIA depuis 1 an, et aussi ASTRA ou des anciens DGM. Vus depuis la France, c'est quand même du bon, du très bon !

Le 22 Mars 2021 par ALBIRéO

9 titres : 8,5 tueries.
J'écoute cet album depuis sa sortie sur le même vinyle et je prends toujours autant de plaisir ! Il n'y a pas de frisson mais un plaisir d'écoute de ces titres simples, directs et terriblement bien fichus au niveau des mélodies.
"Burn In Hell" est effectivement l'un des sommets du disque. Il y en a d'autres.
"Horror Terria" est magnifique et l"ambiance inquiétante de "Captain Howdy" m'a toujours enthousiasmé et je trouve "Street Justice" plus banale même si plus punchy.
"The price" est une ballade superbe !
Et alors "The Beast" est un autre sommet de l'album avec ce riff lourd, ce chant grave... Descriptif.

pourquoi 8,5 ? "Don't Let Me Down" m'ennuie. Déjà, elle coincée entre deux titres parmi les plus réussis. Et puis, je la trouve gnan gnan et trop longue. Seule la partie instrumentale centrale avec les guitares qui se répondent éveille mon intérêt. Toutefois, je ne la zappe pas lorsque j'écoute le disque.

Donc 4,5/5, arrondi à 5.

Le 22 Mars 2021 par PATATUS EMERITUS

J'ai beau essayer, et récemment encore, cet album ne m'emballe pas. "Unholy Warcry", l'excellent "Sacred Power Of Raging Winds", et "Shadows Of Death" sont dignes du niveau des premières offrandes des Transalpins, on trouve cette grandeur musicale, ces riffs, orchestrations et solos inspirés, ces refrains entraînants. Ce n'est qu'une opinion personnelle, aux antipodes des critiques dithyrambiques que le disque a reçu, mais l'album se limite à ces trois morceaux. Le reste est poussif, ça ressemble aux autres albums, en beaucoup moins bon ("Never Forgotten Heroes" est ridicule). Ça manque d'emphase, de cavalcades épiques, les refrains ne sont pas terribles. Une déception.

Le 22 Mars 2021 par JOHN DUFF

Merci à Chapouk et Jeff pour la kro de cet album.
Comme beaucoup, cela a été à l'époque une véritable claque, un excellente porte d'entrée vers le Metal.
Le groupe est en maîtrise totale sur les douze titres. Zéro longueur, du riff de bûcheron, de la mélodie imparable. Depuis que je l'ai découvert à sa sortie, j'y reviens régulièrement avec toujours autant de plaisir
Putain que j'aime cet album.

Le 22 Mars 2021 par PILGRIMWEN

J'ai écouté les morceaux déjà disponibles en ligne. Le son est clair, très clair. Est-ce pour se rapprocher des productions Metal des années 2000 ? Si le reste de l'album est dans la continuité de ces titres, alors je doute d'être conquis... Ça manque de "profondeur" sonore (navré, je ne suis pas ingénieur du son). Et honnêtement, les Metal Opera, j'en ai soupé ! Chacun veut SON Metal Opera, avec plus ou moins de succès à la clef (j'ai par exemple souvenir du AVALON de Timo Tolkki, bof bof bien qu'attendu impatiemment à l'époque...).

Je vais laisser une chance à ce disque. Parfois à ne rien attendre, je suis parfois agréablement surpris.

Le 21 Mars 2021 par FINISHERFRANKY

Comme Helheim j'ai eu cet album à l'époque. Je l'adorais. Dès le premier titre, "Forged In Fire", il y a une grandiloquence un peu sombre qu'on avait moins dans les précédents, prolongeant des titres comme "March Of The Crabs" ou "666". Ce break central lent aux guitares hypnotisantes avant le solo, ça n'était pas commun. Rebelote avec le refrain de "Free As The Wind", qui rompt le rythme effréné des couplets pour une ambiance quasi planante. Avec la baisse de ton sur le mot "Wind" on croirait entendre JUDAS PRIEST. "Never Deceive Me" est une respiration que j’aime bien avant les furieux "Butter-Bust Jerky", "Motormount" ou le grandiose "Winged Assassins", mais ça crée une incohérence. À l'époque ça ne me gênait pas. Les JUDAS PRIEST eux-mêmes se permettaient des incohérences bien plus daubesques ("Living After Midnight", "Evening Star"….). Avec cet album je pensais à une autre carrière pour ANVIL même si, selon mes goûts, je trouvais ce nom de groupe, cette enclume omniprésente ainsi que les facéties de Lips sur scène, entre grimaces et godemichet, bien décrédibilisants.

Le 21 Mars 2021 par LYSSA

Fan de TROB devant l'éternel, j'ai beaucoup de mal avec cet album, je n'arrive pas à identifier les thèmes et les atmosphères, ça ne passe pas du tout pour moi même au bout de pas mal d'écoutes, même "Blood Vaults" (que je considère comme moyen) me fait plus d'effet avec son ambiance. C'est très loin d'être mauvais mais je ne ressens absolument rien à l'écoute de cet album et ça me chagrine fortement. Il me faut probablement plus de temps, j'ai mis un certain temps avant d'assimiler "Rain Upon The Impure" et c'est maintenant mon album de BM préféré de tous les temps.
Pas de note tant que je reste aussi perplexe.

	Par Nightfall In Metal Earth Je te comprends parfaitement! Je ne te garantis pas que tu verras la lumière au bout du tunnel après maintes écoutes, mais tu trouveras assurément du plaisir !

Le 21 Mars 2021 par FRED

"Médiévalo-progressiste" ? Oui, tout à fait ! JETHRO TULL est une influence d'Harris, ainsi que WISHBONE ASH ! En plein dans le mille, Cpej !
Quel plaisir d'entendre ENFIN une prise de risque chez ces fonctionnaires du Heavy Metal que sont, aujourd'hui plus que jamais, les IRON MAIDEN.
Malheureusement, ce ne fut qu'un feu de paille : en 2021, le groupe se contente de nous livrer un Live à la setlist aussi prévisible et passionnante qu'un discours de Jean Castex ou que le programme économique néo-libéral de Macron.
Mais c'est aussi ce que demande leur public, à première vue, donc... C'est moins fatigant et plus lucratif : pourquoi se fouler ? Et puis quand Harris se fait plaisir en sortant un album solo un peu moins roboratif que de coutume, il en vend cinquante, ça lui coûte de l'argent et il se fait descendre par une bonne partie de ses "fans". Demandez à Smith ce qu'il en pense : l'indépendance artistique, c'est bien, mais c'est quand même primordial, la sécurité financière ! Et si en plus il y a une demande, alors...

Le 21 Mars 2021 par INKOLOR

L' un des meilleurs album du ALICE COOPER BAND, pour moi ça ne vieillit pas et leur errance Jazz cabaret j'adore, "Blue Turk" avec ses solos qui se mélange je ne m'en lasse pas, "Alma Mater" j'adore aussi, c'est album est divers et varié, musicalement c'est très bon ! pas du tout surcoté, juste énorme cet album, je le trouve moins ennuyeux que l'album "Killer" et je n'aime pas trop le titre "School's Out" trop commercial à mes oreilles, des fois je zappe le morceau ! et vive Bob Ezrin si c'est grâce à lui que cet album sonne de cette façon-là !

Le 21 Mars 2021 par NATEAG666

Si "Caravan Beyond Redemption" n'a pas la cote auprès des fans de CATHEDRAL c'est parce que cet album est atypique.

En effet, ce qui caractérise CATHEDRAL sur tous ses albums c'est l'homogénéité.

À l'exception de ses trois albums Doom ("Forest Of Equilibrium", "Endtyme" et "The Last Spire", mes trois préférés, CATHEDRAL excelle dans le style), tous leurs albums sont constitués d'un Stoner hyper dense que j'avoue trouver indigeste à la longue.

Et ici, on a leur album le plus diversifié, accessible, (presque) commercial.
Il est aéré par des tubes en puissance, les géniaux "The Unnatural World", "Captain Clegg", "Kaleidoscope Of Desire", ainsi que l'interlude "The Caravan" directement inspiré par une chanson de BLACK SABBATH, autant au niveau de la musique que du titre.

Et en fin d'album, les deux derniers titres reviennent au Doom et là, sans surprise, CATHEDRAL déchire tout. Avec majesté, beauté, drame, désespoir... De la très grande musique.

Le quatrième indispensable du groupe.

Le 20 Mars 2021 par FRED

Quel est l'intérêt, en 2021, de sortir un tel "produit" ?
Comment s'enthousiasmer pour un tel objet ?
C'est quoi, cette version poussive de "Run To The hills" ?
Steve Harris s'est-il fait faire des implants capillaires ?
N. McBrain a-t-il des varices ?
Franchement, on me paierait pour aller voir le groupe, je n'irais même pas.
Déjà, je commence à devenir sourd, et puis je n'aime pas la foule, la voix de Bruce pas tellement davantage, surtout qu'elle ne va pas s'améliorant.
Bref... j'ai aimé MAIDEN, autrefois.

Le 20 Mars 2021 par ENDLESSPAIN

Content de voir cet album recevoir les éloges qu'il mérite : peu de monde devait s'attendre à l'excellence après le peu ambitieux et trop formaté (mais sympathique) "All Killer, No Filler".

Cet opus a marqué mon adolescence plus que n'importe quel autre grâce à ses influences Metal, nettement plus marquées ici que chez les groupes moins originaux auxquels le groupe est fréquemment comparé. Un joli condensé d'influences évidentes, mais totalement assumées. Un excellent tremplin vers d'autres groupes (dont certains, mentionnés dans le commentaire négatif plus bas, ont aussi sorti leur lot de bouses infâmes).