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TOTO
ISOLATION


Le 17 Février 2021 par AHBAHOUI

"Toujours est-il qu'on peut se demander si ce n'est pas la voix de Bobby que l'on entend au sein des chœurs opulents de "Holyanna" ou de "Carmen"…"

-- Sûrement que oui, puisqu'il est notifié dans le livret en tant que musicien additionnel sur l'album "additional background vocals"

Et avec une version de "Lion" avec sa voix en lead qui traine sur YouTube :

youtube.com/watch?v=2oIkXfPNf3E





HEXECUTOR
BEYOND ANY HUMAN CONCEPTION OF KNOWLEDGE...


Le 16 Février 2021 par THE SEVENTH SON


Cher Positron,

Cet album me fait penser au "666 Goats"...de BÜTCHER chroniqué par toi-même !
Je me trompe ?
Il faut que je le réécoute pour comparer.
Ici aussi, des influences, des influences et encore des influences plutôt bien assimilées.
De mémoire le chant m'avait paru beaucoup plus supportable chez BÜTCHER !

Néanmoins certaines parties instrumentales de celui-ci sont assez grandioses !
Quatre étoiles pour ces fameuses parties et une écoute à travailler encore !


Par Nightfall In Metal Earth

Bonjour 7th son

Cette comparaison est tout à fait compréhensible : les deux groupes jouent dans style relativement similaire (la différence entre Blackened Speed et Blackened Thrash, bon, hein, vous avez quatre heures) et partagent sans aucun doute l'amour d'un nombre considérable d'albums, et ce bien qu'ils aient leurs façons différentes d'écrire et de jouer, sans parler de l'esthétique quand même un peu plus "fun" chez BÜTCHER.

De même, il me semble que s'il est possible avec HEXECUTOR de trouver de l'influence en pagaille, ces influences sont affichées de manière moins "ostensible" chez eux. BÜTCHER est vraiment à fond dans le trip retro-worship avec des citations et des références partout ce qui n'est pas le cas d'HEXECUTOR. On pourrait résumer ça en disant qu'HEXECUTOR aurait pu exister à la fin des 80s/début des 90s alors que BÜTCHER non, même en jouant de la musique qui respire cette époque. Cela n'est pas pour autant une critique à l'encontre de "666 goats" qui est l'album de Metal que j'ai le plus écouté en 2020 et que je suis d'ailleurs actuellement en train d'écouter par ta faute.

Ta remarque sur le chant est également compréhensible tant celui de Jey est beaucoup plus Black Metal, très agressif (et avec une agression qu'on sent travaillée au cours des sorties) alors que celui de R Hellshrieker (chez BÜTCHER) est plus à mi-chemin avec un chant Heavy ou Speed. Je n'ai pas de peine à comprendre qu'on puisse aimer l'un et plus difficilement supporter l'autre.

Bises

Posi





SKUNK ANANSIE
WONDERLUSTRE


Le 16 Février 2021 par LE FéLON MASQUé


Certaines œuvres sont accueillis dans un océan d’indifférence pourtant passé le cape de la vieillesse le résultat vieillit comme un excellent vin conservé dans une cave. Déborah envoie du lourd parmi ses morceaux imparables.





HEXECUTOR
BEYOND ANY HUMAN CONCEPTION OF KNOWLEDGE...


Le 16 Février 2021 par THORWALD


Ma plus grosse attente de l'année 2020 et je n'ai pas été déçu.

J''avais parlé avec le guitariste Joey Demönömaniac à l'occasion d'un concert de SHAKIN STREET au Mondo Bizarro (RIP) en 2019. Lui posant la question de l'avancement du second album, celui-ci m'avait prévenu qu'il y aurait un certain changement dans la composition. Les titres allaient être plus lents que sur le premier effort, avec une ouverture à des influences bien plus larges. Je ne sais pas si c'est moi qui avais mal compris le propos, mais je m'attendais à une mutation beaucoup plus radicale que ce qu'est finalement ce "Beyond Any Human Conception of Knowledge".

Certes HEXECUTOR a systématisé l’étirement des morceaux sous formes de voyages à tiroirs. Certes ils ont un peu levé le pied sur l'accélérateur. Mais on reste malgré tout dans la lignée de la fabuleuse formule de "Poison Lust and Damnation". Soit un thrash amoureux de heavy et passionné de black, qui a pour ambition de tirer le meilleur de ses influences en évitant à tout prix le worship décadent et autres gimmicks détestables qui pullulent aujourd'hui. Le groupe travaille toujours autant son écriture, cherche en permanence le riff qui tue et y parvient quasi systématiquement. Il faut écouter les leçons de composition que sont l’épique « Tiger of The Seven Seas » ou l’infernale « Belzebuth’s Apocryphal Mark » pour s’en rendre compte.

Les références au folklore breton font également plaisir et il faut noter que la version vinyle comporte en poster une vieille carte de la région sur laquelle sont répertoriées la localisation des légendes évoquées dans les chansons.

Et en plus les gus sont de Rennes. Vous avez pas idée à quel point je suis fier d’eux.





OCEANS OF SLUMBER
OCEANS OF SLUMBER


Le 16 Février 2021 par MR TINKERTRAIN


Pas du tout d'accord avec la chronique. "OCEANS OF SLUMBER veut être plus Prog et plus démonstratif". C'est tout le contraire, le groupe veut être moins Prog, plus accessible, et lorsqu'il ne l'est pas, on a droit à des infamies telles que le premier titre. Ce qui est vraiment agaçant, et je crois que Volthord est un peu comme moi là dessus, c'est les speederies hors de propos de la batterie (je trouve). C'est peut être là que Volthord dénonce la démonstration. Bref, si on excepte les deux titres ultra violents qui font tache on a un superbe album, poignant oui parfois. Mais ca reste du Metal et résumer l'album à "ballades Prog poignantes" est ultra réducteur je trouve. Et dommage car ça enlève l'envie de découvrir au quidam metalleux un tant soit peu curieux. Et puis omettre de parler de la fantastique reprise de TYPE O NEGATIVE qui clôt l'album est une erreur impardonnable qui mérite une flagellation publique à coup de poireaux covidés (je ne suis plus du tout objectif car fan absolu des TON). Merde c'est un vrai bon album de Metal avec une chanteuse extraordinaire qui fait du bien aux oreilles.





ZYBILLIN SPRÄCH
WARRIORS OF EMPTINESS


Le 16 Février 2021 par FITCH ZARDÛ


Merci Fenryl. Super chronique qui donne envie de "savourer" le disque. J'ajoute une précision. Je n'étais pas tout seul sur ce disque. "DemAterializeD_guests_mix" fait la part belle aux soli d'Aymerifff, Brunz et Guisan. Leur contribution magnifie le morceau.





HEXECUTOR
BEYOND ANY HUMAN CONCEPTION OF KNOWLEDGE...


Le 16 Février 2021 par HEAVY METAL KID


L'album engendre le dithyrambe depuis sa sortie. Le premier album (EP inclus) me passionne autant que celui-ci m'ennuie. Je ne saurais dire précisément pourquoi. Le travail de composition est toujours soigné ; davantage même, et c'est peut-être le souci de paraître plus mature qui sonne un peu faux ? Emphase qui se trahit un peu par certains titres de chansons, par ailleurs. L'énigme demeure chez moi. C'est bien, ça frise le très bon, mais ça fait pschitt.





HEXECUTOR
BEYOND ANY HUMAN CONCEPTION OF KNOWLEDGE...


Le 16 Février 2021 par LE MANCH


Nos frenchies nous pondent un des meilleurs albums de Black/Thrash de 2020. Jey gueule comme un possédé et montre une variété dans sa gamme impressionnante (cette montée dans les aiguës !) et les guitares virevoltent et s'accompagnent dans une frénésie de riffs et de solos à te briser la nuque.
Un album où les chansons (dont la moitié dépasse les 7 minutes) sont remplies de twist & turns qui rendent l'album hyper fun et jamais lassant.
Je découvre HEXECUTOR avec cet album et ils ont gagné un fan. J'espère que "Beyond Any Human Conception Of Knowledge" leur ouvrira en grand les portes de l'international. Ils le méritent amplement !





IRON MAIDEN
L'ODYSSéE DE LA BêTE


Le 15 Février 2021 par JULIEN G.


J'ai ce bouquin, il est très plaisant, très bien illustré.
Un vrai régal même si ce n'est pas le plus détaillé des ouvrages sur MAIDEN.
Les photos et les documents rendent la lecture très "ludiques", digeste.

Le principe des chroniques de chaque album est bon mais alors il faudra sérieusement revoir celle de "Somewhere In Time" qui se fait descendre (???)

J'ai également apprécié le fait que chaque période du groupe est équitablement traitée, alors que certains bouquins s'éternisent sur les débuts et passent vraiment trop vite sur la fin de carrière.

Achat plus que recommandable !





DARK TRANQUILLITY
MOMENT


Le 14 Février 2021 par LE FéLON MASQUé


Plus de vingt années d’attente pour avoir une recette aboutie. Une remise en question était nécessaire ainsi qu’une prise de risque. La longueur des titres est raisonnable. Un indispensable du Death Mélodique en cette année 2020.





BLACK SABBATH
SABBATH BLOODY SABBATH


Le 14 Février 2021 par FEELGOOD


Voici ce que m'inspirait ce disque en 2013 (huit ans plus tard, rien n'a changé) :
... des riffs grandioses et totalement inédits jaillirent de la guitare de Tony Iommi, en particulier ceux de "Sabbra Cadabra" et du célèbre morceau éponyme introducteur. On retrouve aussi le traditionnel instrumental, "Fluff", agréable et paisible intermède acoustique, sorte d'hommage à un certain Alan "Fluff" Freeman, l'un des rares animateurs de la BBC appréciant sincèrement le Sab', ainsi que la ballade de rigueur, "Who Are You", hélas alourdie par des synthés flasques et gluants. Ce qui frappe, à l'écoute du disque, c'est la façon dont le groupe a évolué et s'est drastiquement éloigné du son si caractéristique des quatre premiers albums. "A National Acrobat", "Sabbra Cadabra", "Looking For Today" et "Spiral Architect" surprennent par leur ambition, leur densité sonore, la richesse de certains arrangements et la présence d'orchestrations inédites. Le recours à des instruments aussi variés que le piano, le mellotron, le synthétiseur et les cordes enrichissent considérablement la musique du Sabbath Noir qui devient du coup, moins monolithique, plus aérienne. On notera à ce sujet la présence pour le moins inattendue de Rick Wakeman, célèbre musicien de Rock Progressif et claviériste du groupe YES, sur l'impressionnant "Sabbra Cadabra". Il n'en fallut pas plus pour que certains amateurs du groupe se croient obligés de qualifier "Sabbath Bloody Sabbath" d'album "Prog". Le Sab' cuvée 1973 n'en est pas moins l'un des disques les plus fous, les plus originaux de nos Anglais et n'a rien d'une œuvre boursouflée et prétentieuse. Cette évolution est certainement à mettre sur le compte de Tony Iommi, celui-ci ayant toujours été caractérisé par un goût pour l'expérimentation qui ira en s'amplifiant dans les années qui suivront, provoquant d'ailleurs une cassure irréversible au sein du groupe. Le public ne s'y trompa pas, réservant un accueil triomphal à ce cinquième album, tout comme, une fois n'est pas coutume, la critique institutionnelle. "Sabbath Bloody Sabbath" demeure indéniablement l'une des productions les plus achevées du Sab'. Si l'on ajoute à cela une superbe et inquiétante pochette signée Drew Struzan, futur concepteur de celle du mythique "Welcome To My Nightmare" d'ALICE COOPER, on se dit que 1973 fut décidément une grande année musicale.





ELECTRIC ANGELS
ELECTRIC ANGELS


Le 14 Février 2021 par BO

Les mecs z'avaient rien compris : en 1990, ils auraient du se mettre au Grunge, pas singer POISON. Y a des visionnaires, comme ça...





IRON MAIDEN
NIGHTS OF THE DEAD, LEGACY OF THE BEAST LIVE IN MEXICO CITY


Le 13 Février 2021 par LE FéLON MASQUé


IRON MAIDEN massacre ses classiques pour le plus grand bonheur de ses fans. Pour la plupart des artistes, vieillir est un véritable maléfice. Dans dix ans peut-être que Bruce sera incapable de pousser sa voix en live. Il serait tant de penser à la retraite au risque de se ridiculiser à l’avenir.





DAN REED NETWORK
SLAM


Le 13 Février 2021 par JéRôME OZENDRON


À ma grande surprise, l'aiguille de mon Ringardomètre© n'a pas bougé d'un millimètre à l'approche de cet album... Alors que je croyais l'engin détraqué, l'explication s'est en fait avéré beaucoup plus simple : j'avais négligemment laissé l'appareil toute une nuit sur une pile d'albums de Ratt, ce qui a forcément eu raison des piles... Bref, rassurez-vous, le Ringardomètre© fonctionne, et ce Slam est ringard bien comme il faut. Il a déjà été très bien décrit dans la chronique et les précédents commentaires, je me permettrais juste de souligner l'intelligence de composition dont fait preuve ce très bon disque, le son absolument énorme et que Dan Reed est peut-être le seul homme qui pourrait me faire renoncer l'espace d'un instant à mon hétérosexualité. Bref, un superbe album de Hard Fusion, sexy as fuck, qui sera sûrement ignoré par les fan-boys de Venom, mais dont tous les ringhardos un minimum ouverts d'esprit se repaîtront autour d'un barbecue entre potes, et qui leur donnera une irrémédiable envie de se lancer dans un concours de jongle de merguez, le tout affublés d'un collier de pérugines du plus bel effet.
Tandis que MACHINE HEAD pleure parce que personne n'est venu à son goûter d'anniversaire, DAN REED NETWORK se demande s'il aura le temps d'honorer ses invitations au Festival de Cannes et à la cérémonie des Oscars.





CRY OF LOVE
BROTHER


Le 13 Février 2021 par JéRôME OZENDRON


Si l'on ne devait décrire cet album que par un seul adjectif, "authentique" correspondrait tout à fait. "Cry Of Love" prend son inspiration dans un esprit assez 70s pour nous proposer des morceaux assez dépouillés mais servis par une production aux oignons rendant bien hommage à chaque instrument. Le mix est assez aéré, ce qui tranche radicalement avec les productions modernes qui ont tendance à saturer l'espace. Au niveau des compositions c'est du tout bon, on navigue dans une ambiance très Rock et nostalgique qui saura ravir tous les ringhardos. Toutefois, les ayatollahs des 80s s'agaceront peut être de certaines sonorités typiques de la décennie antérieure, notamment un orgue Hammond peu présent mais pas toujours très bien géré (si cet instrument a jamais pu être bien géré un jour...). Et comme le mentionne très justement Franck B (à n'en pas douter un sage parmi les sages), le travail du guitariste est absolument phénoménal et mérite à lui seul l'acquisition de cet excellent album totalement méconnu.
Tandis que NINE INCH NAILS est affecté en garnison près d'un village peuplé d'irréductibles Gaulois, "Cry Of Love" boit une rasade de potion magique.





BLIND GUARDIAN
THE SACRED WORLDS AND SONGS DIVINE TOUR 2010


Le 13 Février 2021 par NAPALMFRED


Tout est dit dans la chronique, mais je pense au contraire que ce "papier" est très pertinent.
Il s'agit à mon sens plus d'un E.P., un titre studio et quarante-cinq minutes de live de BLIND GUARDIAN dont le son est brut. De par ce son brut, je le préfère au "Live Beyond The Spheres", dont la production le rend un peu indigeste. Cinquante minutes de BLIND GUARDIAN très sympathique. En attendant la chronique du cd "The Tides Of War"...





HAVUKRUUNU
UINUOS SYöMEIN SOTA


Le 13 Février 2021 par HEYDRICH


Ne pas oublier de mentionner que c'est un Black avec parfois (trop souvent ?) une voix claire, qui détruit l'effet voulu... Dommage car le reste est très agréable à l'oreille mais bordel, pourquoi tous les chanteurs doivent nous prouver qu'ils peuvent chanter avec une voix claire (de merde ?) ? Va pour les chœurs mais cette satanée voix claire... La souffrance !





PAYSAGE D'HIVER
DIE FESTUNG


Le 12 Février 2021 par BORIS LE BORGNE


"Eishalle" est incontestablement un joyau de poésie electro-hivernale. Toute l'influence de la scène Krautrock, en particulier Klaus Schulze, se ressent ici.

Malheureusement, après un très sombre "König Winter", on tombe dans de l'Ambient assez quelconque et redondant. Schade !







HAVUKRUUNU
UINUOS SYöMEIN SOTA


Le 12 Février 2021 par TONTON JO


L’album qui a le plus tourné l’été dernier chez moi ! Une furie mélodique imparable. La voix black est puissante (elle me fait penser à Shagrath période "Enthroned Darkness Triumphant") et les chœurs hyper prenants, c’est bien simple, on n’a qu’une envie, gueuler avec eux le poing levé.
Le chanteur qualifie le groupe de « Heavy Metal furieux avec le son de l’hiver dans leurs voix », ça ne s’invente pas !





DARKTHRONE
UNDER A FUNERAL MOON


Le 12 Février 2021 par FEELGOOD


Entièrement d'accord avec Guillaume The Elder : au début des années 90, la presse spécialisée française a été en-dessous de tout dans son traitement du phénomène BM. Ce n'est que dans la seconde moitié de la décennie que des groupes de BM ont eu droit à une médiatisation conséquente et à des couvertures (mais il s'agissait essentiellement de CRADLE et DIMMU). J'ai parcouru récemment mes vieux Hard Force, Hard'n'Heavy et Metal Attitude en quête d'articles (ou de chroniques de disques) sur le genre et j'avoue avoir trouvé très peu de matière. Pire : les journalistes donnaient souvent l'impression de ne pas savoir de quoi ils parlaient... Il est vrai qu'ils étaient plus à l'aise lorsqu'il s'agissait de nous relater ad nauseam les frasques de GUNS N'ROSES, METALLICA et autres NIRVANA (groupes que j'apprécie par ailleurs).
Quel rapport avec "UAFM" ?
J'aurais aimé être informé de l'existence de ce disque lorsqu'il est sorti. Découvrir sur le tard des albums, arriver après la bataille est toujours frustrant. Surtout lorsqu'il s'agit de tels monuments ! Il y a une différence de taille entre le fait de découvrir à l'adolescence des disques parus alors qu'on était mioches (ou de vagues projets) et le fait de passer à côté de chefs d'oeuvre enregistrés lorsqu'on avait la vingtaine bien tapée...
Dès les premières secondes de "Natassja...", j'ai l'impression d'être happé par une bourrasque glaciale et d'être emporté dans une sombre et sinistre forêt norvégienne (rien à voir avec le fameux "Norvegian Wood" de Lennon). Et de m'y perdre comme les crétins du « Projet Blair Witch » dans le Maryland. Ou comme les protagonistes du « Rituel » du talentueux Adam Nevill (dont l'action se situe en Suède). Les quatre compositions suivantes sont fabuleuses. En lisant leurs titres, j'avais pourtant failli pisser de rire. "Summer Of The Diabolical Holocaust" (j'adore ce titre qui semble sorti tout droit de l'imagination débordante d'un collégien), "The Dance Of Eternal Shadows", "Unholy Black Metal", "To Walk The Infernal Fields". Mais leur écoute ne prête pas à l'insouciance, loin de là. Surtout "To Walk..." qui rappelle effectivement le cultissime "Enter The Eternal Fire" de BATHORY. En ce qui me concerne, l'album pourrait s'arrêter là. Le morceau-titre et les deux dernières chansons, aussi bonnes soient-elles, ne me procurent pas les mêmes frissons.
L'écoute de cette « lune funèbre » constitue une expérience intense, quasi-mystique. Je conçois parfaitement que certains considèrent qu'il s'agit là du meilleur disque de Black Metal de tous les temps...
4,5/5.







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