Le 29 Janvier 2021 par DJINN

Apparemment on ne peut pas commenter sur "Them". "Conspiracy" présentant les mêmes défauts structurels, amoindris par des morceaux un poil supérieurs, c'est lui qui va prendre.

Grand fan des débuts de MERCYFUL FATE jusqu'à "Don't Break The Oath", longtemps je ne me suis pas expliqué mon désintérêt pour KING DIAMOND.
Désintérêt relatif puisqu'adulant "Abigail", une chute d'intérêt brutal s'installe à partir de "Them".

Les vrais fans ont une appréciation inverse de la mienne : le KING mature commencerait avec "Them". Et voici mon explication : "Fatal Portrait" et "Abigail" sont remplis de riffs typiques de MERCYFUL FATE. Michael Denner n'était pas pour rien l'autre trait d'union entre les deux groupes. La vraie rupture intervient après son départ : King va proposer des compositions plus opératiques, plus basées sur les claviers et le chant, moins sur les rythmiques martiales appuyant les soli.

Le souci c'est que c'est MERCYFUL FATE qui va s'inspirer du style KING DIAMOND, lors du retour de 93. Ce qui fait que depuis 88, je dois reconnaître m'être forcé pour écouter ce que les deux groupes proposent.

3 pour "Them", 3,5 pour "Conspiracy", mais ça ne veut rien dire : j'aime pas, c'est tout.

Le 29 Janvier 2021 par MISS OF PUPPETS

"Pronounced Leh-nerd Skin-nerd" est pour moi un album incontournable du Rock de manière très générale.
Fallait trouver le titre déjà, ils ont d'ailleurs bien fait de mettre les points sur les i et les barres sur les t car même leurs compatriotes n'auraient pas forcément prononcé correctement le nom du groupe.

Bon et bien rien à dire de plus que ce que tout le monde sait déjà : "Tuesday's Gone", "Simple Man", et "Free Bird" sont dantesques. Ils donnent envie de prendre l'apéro avec des potes sur sa terrasse au soleil couchant...

Je voulais juste le commenter pour vous transmettre toutes les ondes positives de cet album et les miennes aussi car j'en ai à revendre, sauf pour celui qui s'est fait larguer et qui écoute "Free Bird". Allez un(e) de perdu(e) et vous connaissez la suite.

Belle journée ensoleillée dans les cœurs à tous, par ce qu'en vrai il fait moche.

Le 29 Janvier 2021 par KOL

J'ai mis un peu plus de temps, bizarrement, sur celui-là, que pour "Atoma", "Damage Done" ou "Projector". Mais au final, j'ai plongé dedans pour ne plus en ressortir avant un bout de temps.

J'ai du mal à comprendre le commentaire précédent : "indigence de composition" ? Soyons sérieux 2 secondes. On peut reprocher à DARK TRANQUILLITY beaucoup de choses (on peut même ne pas aimer, si si, j'en connais) : les claviers très présents, un côté mielleux parfois, un manque de violence à la limite, la voix de Stanne pour les réfractaires aux growls, mais NON, pas une indigence de composition. La recherche mélodique, le travail clavier/guitares/basse, la noirceur, ça ne tombe pas tout seul. C'est au contraire hyper élaboré. On peut écouter 100 fois une chanson et continuer à découvrir des mélodies cachées ici et là.

Sur "Haven", on retrouve tout cela, en concentré, sur chacun des titres : "Feast Of Burden", "The Wonders At Your Feet", "Haven", "The Same", autant de concentré du meilleur de DARK TRANQUILLITY. Allez, si on veut chipoter, peut-être un poil trop de Mid-tempo pour une balance parfaite. Mais je ne suis pas chipoteur, alors j'embarque directement et je me laisse porter par la magie que seul DARK TRANQUILLITY est capable de produire. Souvent imités, jamais égalés.

Le 29 Janvier 2021 par MISS OF PUPPETS

Ah Jb Christoffersson et sa voix envoûtante... Bon je reprends mes esprits !

Cet album est parfait le matin quand je ne suis pas réveillée ou le soir en rentrant d'une journée bien remplie et que j'ai besoin de courage pour affronter celle qui va arriver à la maison.
Lundi soir par exemple, c'était l'idéal pour supporter les bouchons du couvre feu. Je m'imaginais telle une walkyrie sur son champ de bataille défonçant tout le monde sur son passage ! Bon je n'ai défoncé aucune voiture bien évidemment, juste le fait de fantasmer faisait retomber la pression.

Pour parler de l'album, je suis proche du quatre étoiles et j'avoue être dingue des deux titres à la suite que sont "Fight" et "Triumph And Power". Qu'est ce que ça peut me foutre la patate !
Il y a peut être "Steel Versus Steel" que j'aime moins, mais franchement le reste tient bien la route.

Quand je pense que je devais aller au concert en mars 2020 avec mon mec, quelques jours après le premier confinement. Le rendez-vous est pris pour mars 2022 à présent. L'espoir fait vivre dit-on, du coup je me remémore le concert du Graspop de 2019 lorsque le groupe s'est mis en route sur "Stormbringer" d'un groupe très peu connu DEEP quelque chose. Cette reprise figure sur l'album "Sword Songs" je n'étais donc pas très étonnée, juste super contente.

Le 28 Janvier 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Album de pur Heavy Rock comme on n'en fait plus... Ça sent la bière, la sueur et les filles faciles. J'adore ce disque qui contient tous les ingrédients d'un bon album de Rock : du groove, de la désinvolture et des compos réussies.

Mention spéciale au titre "Bardot Damage" que je trouve fameux... Pas loin d'être un chef d'oeuvre ce disque, pourtant passé inaperçu à sa sortie en 1985, une injustice pour ce groupe, dinosaure du Hard Rock des débuts.

Perso, ça fait trente-cinq ans que cet album me régale, et ça durera pour toujours c'est sûr.

Le 28 Janvier 2021 par THORPEDO

À la première écoute, il m'a bien plu ce disque.
À la deuxième aussi, si je dois être honnête.
Par contre, à mon grand étonnement, ce disque n'a pas fait long feu chez moi.
Il ne passe pas du tout l'épreuve du temps.

C'est beau et bien fait, certes, mais la nouvelle direction entreprise par Steven WILSON ne me convainc pas totalement.
C'est moins bon que les grands artistes Pop dont il dit s'inspirer : TEARS FOR FEARS, PRINCE, BOWIE, etc.

Du coup, je l'ai assez rapidement mis de côté et les quelques écoutes des quatre singles du nouvel album m'inspirent encore moins puisqu'il s'essaye maintenant à de l'Électro-Pop.
Serais-je en train de le perdre définitivement ?

Le 28 Janvier 2021 par THORPEDO

Tout juste, Auguste... euh Death by French Tv!
Le dernier grand album de Steven WILSON selon moi. Je n'ai déjà pas réussi à rentrer complètement dans son "To The Bone" alors le dernier, je ne vous dis pas, ma p'tite dame !
Ce n'est pas nul, loin de là même mais ce n'est juste pas ma tasse de thé.
Je risque de passer mon tour, en tout cas concernant l'achat de l'album.

De sa carrière solo, mes deux préférés sont "The Raven..." et ce "Hand. Cannot. Erase".
Deux chefs d'oeuvre selon moi.

"Hand. Cannot. Erase" représente certainement le sommet de la carrière musicale de Steven WILSON. Je trouve qu'il reste extrêmement Prog tout en ayant un côté plus facile d'accès que le sombre "The Raven...". Il s'agit là sûrement du point d'équilibre de la musique de Steven WILSON avant qu'il ne sombre trop du côté clair de la force (en tout cas, à mon goût).
Tous les morceaux sont fantastiques et y a rien à zapper là-dedans.
Cela s'écoute tout seul.

J'ai lu quelque part que Steven WILSON le considérait un peu comme son "The Wall" de vous savez qui. Y a un peu de ça, un concept très intéressant (moins complexe que celui des FLOYD) mais très digeste musicalement.

Chapeau, l'artiste !

Sûrement un des disques prog de ces dernières années...
Vraiment dommage qu'il ait raccroché les guitares et mis un terme définitif à PORCUPINE TREE, qui reste ce que je préfère de Steven WILSON.

Le 28 Janvier 2021 par MISS OF PUPPETS

Quel commentaire rédiger après quarante-trois autres aussi dithyrambiques les uns que les autres?
Je ne pense pas pouvoir apporter grand chose, si ce n'est afficher au grand jour ma révélation : j'aime beaucoup, voire énormément cet album !

En toute transparence je ne suis pas une accro du genre, pour le moment en tout cas, et honnêtement je suis incapable de dire pourquoi.
Comme je suis très curieuse, j'ai commencé comme un certain nombre d'entre vous, par STRATOVARIUS qui est bien sûr une bonne porte d'entrée.
Pour ma part, c'est avec "Fourth Dimension" que tout a commencé (j'adore la mélancolie qui s'en dégage), mais il est vrai que "Ecliptica" éclipserait (trop facile à faire ce jeu de mot désolée) presque les plus anciens. Une grande puissance dans les mélodies se dégage c'est certain et c'est quasi addictif comme "Fullmoon" pour ne citer que ce titre. Impossible de m'en lasser. C'est fou un tel talent si jeune !

Les goûts changent et c'est tant mieux, mais bon c'est pas pour autant non plus que je vais me mettre à écouter FOREIGNER, même si je respecte ceux qui aiment évidemment.

Le 28 Janvier 2021 par DEATH BY FRENCH TV

Pour rappel, à l'heure où Lord Wilson sort l'album le plus ambitieux de sa carrière et le plus décevant, le "Hand. Cannot. Erase." demeure un chef d'oeuvre de Progressif et de belle Musique.

Le 27 Janvier 2021 par ICARE

Excellent album tout en subtilité où on décèle un peu de TOOL, un peu d'ANATHEMA, un peu d'OPETH. Neuf titres qui sont autant de perles, on retiendra le magnifique "Lotus". Le chanteur est très bon, les autres musiciens ne sont pas en reste et on reconnaît la patte de Martin Lopez derrière les fûts. En attendant le prochain album qui sort ces jours-ci et qui s'annonce lui aussi excellent.

Le 27 Janvier 2021 par NORTHMATHR

Cette première giclée sonore de BLACK LABEL SOCIETY sent vraiment le bourbon, la sueur, la tourbe et le cuir. Avec un feeling encore très 90s, on tient ici un condensé apothéosiaque du Rock et probablement le meilleur album du groupe. Zakk Wylde déclinera (et améliorera) sa recette avec plus ou moins de succès par la suite, mais ce "Sonic Brew" garde une aura spéciale qui plus de vingt ans après est intacte. Culte !

Le 26 Janvier 2021 par NATEAG666

TYRANNY est dans le versant Dark du Funeral Doom, on est vraiment écrasé par une chape de plomb et l'ambiance est vraiment lourde et morose.

Les growls sont aussi parmi ceux des plus graves et des plus lents. Ça rajoute à l'ambiance.

En mode déprimé je ne trouve rien qui puisse me seoir davantage.

"Bleak Vistae" en trois titres et quarante-cinq minutes me délecte de la plus désespérante félicité.

Le 26 Janvier 2021 par BORIS LE BORGNE

Bien baroque et massif, ce Live est une excellente porte d'entrée dans l'univers si singulier d'URFAUST.

À ranger dans la catégorie "Chansons à boire et à manger du 21ème siècle". Et à consommer sans modération, évidemment.

Le 26 Janvier 2021 par THORPEDO

J'aime beaucoup SYMPHONY X et cet album est très certainement le vrai départ de ce super groupe. En effet, l'arrivée de l'incroyable Russell Allen, combinée au talent de Michael Romeo (et de Michael Pinnella qui composait beaucoup sur les premiers disques) va définitivement lancer la machine.
Et quelle machine !
Un chanteur hors du commun, dans le Top 3 du Metal Prog (pour ne pas dire dans le Top 1 !), des virtuoses à la guitare et aux claviers et une section rythmique d'enfer, ma préférée du groupe, je préférais Thomas Miller à l'actuel Mike LePond, je dois bien le dire et le sensationnel Jason Rullo et on obtient là un groupe à part.

Pour autant, ce premier "vrai" album de SYMPHONY X est loin d'être parfait, y a du bon et du moins bon et on est encore loin du chef-d'oeuvre qui suivra un an plus tard, à savoir "The Divine Wings Of Tragedy", quelle claque à l'époque !
Je retiens avant tout la trilogie initiale et notamment la sublimissime "The Edge Of Forever" ainsi que le morceau qui clôture l'album, "A Winter's Dream", le reste étant largement en-dessous selon moi.

Ce n'est pas grave, cela reste un album fondateur d'un groupe important à mes yeux, ça vaut bien un petit commentaire! 3/5.

PS : SYMPHONY X n'a pu tourner qu'après la sortie de "Twilight In Olympus" en 1998. J'avais eu la chance d'assister à leur concert, un de leur tous premiers donc, dans une petite salle - le Jas'Rod pour ne pas la nommer - aux alentours de Marseille. Résultat, c'était déjà dantesque, tant ce groupe est excellent en concert et les mecs étaient si contents de tourner enfin qu'on avait pu passer une bonne heure à plaisanter avec eux après le concert. Un très bon souvenir.

Le 26 Janvier 2021 par THORPEDO

J'avais envie de chroniquer un album d'ICED EARTH parce que je suis un peu triste de ce qu'il arrive au père Schaffer... alors oui, bien sûr, il l'a cherché et devra faire face à tout cela comme un bonhomme. Je ne cautionne pas ses idées mais ici, on parle musique, alors ce qu'il peut penser, je m'en fous un peu. J'ai toujours aimé sa musique et c'est bien là l'essentiel.

Ce qui m'attriste le plus, c'est que l'on perd définitivement ou en tout cas pour un bon moment ce super groupe qu'est ICED EARTH.
J'aurais pu choisir un album de l'époque Barlow qui reste la meilleure du groupe - j'aime bien aussi avec The Ripper au chant, moins avec Block, le monsieur chante bien mais les compositions sont moins inspirées - mais j'ai préféré commencer par celui-ci.
Comme un pied de nez aux évènements récents !

Cet album, le premier post Septembre 2001 est divisé en deux parties.
La première est en fait l'album à proprement parler avec dix chansons, onze si on compte la version Unplugged de "When the Eagle Cries", qui comme le souligne justement l'ami Fredouille retrace différentes grandes batailles de l'Histoire. On va donc de Napoléon à Attila, en passant par la Première Guerre Mondiale et l'armée américaine. La deuxième est en fait un seul et unique morceau, "Gettysburg 1863" qui nous parle bien sûr de la bataille en question et disons-le tout de suite, c'est le chef-d'oeuvre de ce disque.

Du premier disque, je retiens les excellentes "Declaration Day", "The Reckoning", "Greenface" et "Waterloo". Les autres morceaux sont corrects mais pas au niveau des meilleures productions d'ICED EARTH. Les deux ballades, par exemple, sans être mauvaises, ne sont pas à tomber par terre non plus, la voix de Barlow fonctionnait mieux sur ce genre de morceau.

Parce qu'en définitive, "The Glorious Burden" est un très bon album mais il vaut surtout son achat pour la pièce maîtresse, "Gettysburg 1863" donc, dans laquelle, il faut le noter, Jon Schaffer ne prend pas vraiment parti et se contente (fort justement) de relater les points de vue selon les camps (Nordistes/Sudistes).
Allez, peut-être que l'on sent pointer un peu de compassion envers les Sudistes mais pas plus que ça. On est encore loin du Schaffer complotiste que l'on peut "admirer" en ce moment.
Il s'agit là incontestablement d'un des meilleurs morceaux du groupe et l'interprétation de Tim Owens y est absolument impeccable.
Sur le dernier album, "Incorruptible", il y a un morceau dans la même veine, "Clear The Way", mais je le trouve franchement moins réussi.

Ma note finale sera de 4/5.
3/5 pour "The Glorious Burden" et 5/5 pour "Gettysburg 1863".

ICED EARTH va nous manquer, c'est sûr !

Le 26 Janvier 2021 par CLANSMAN57

3 étoiles pour la rose et le miroir. Je préfère la version originale de "As The Shadows Dance".
Pas les meilleures chansons du groupe, mais ça reste sympa.
Surtout "Der Spiegel" en fait.

Le 26 Janvier 2021 par CLANSMAN57

"Samantha" n'est pas exceptionnelle, son absence sur "Aégis" (version normale) ne m'étonne pas.
Par contre, "Virago" est splendide, à écouter impérativement si on aime "Aégis".

Le 26 Janvier 2021 par JéRôME OZENDRON

On a beau être athée jusqu'à la moëlle et revendiquer l'usage de la rationalité, il faut parfois se rendre à l'évidence : les miracles existent. Autrement comment expliquer qu'en 2006 SODOM nous propose un album tout simplement gigantesque ? Certes, après une série de disques aussi bourrins qu'ennuyeux, "M16" commençait un peu à redresser la barre. Mais l'écart entre celui-ci et l'éponyme de 2006 reste colossal. C'est simple, tout fonctionne sur cet album, aucun titre n'est à jeter, ni même en dessous des autres. Même si certains sont au dessus ("Buried In The Justice Ground" en tête). Par rapport à "Agent Orange", on remarquera l'atténuation des influences MOTÖRHEADiennes au profit d'une approche plus agressive, époque oblige. Aucun autre groupe de Thrash, hormis KREATOR, n'a proposé un aussi bon album dans les années 2000. Un miracle je vous dis...
Tandis que TRIVIUM rate son virage et termine dans un tas de fumier, SODOM franchit la ligne Maginot en trottinette électrique.

Le 26 Janvier 2021 par THORPEDO

Je comprends tout à fait la critique de Mefisto.
Je ne la partage pas parce que je n'ai pas son ancieneté en la matière mais j'imagine que l'effet "lassitude" viendra taper à ma porte d'ici quelques années car en effet, c'est très particulier et cela peut sûrement rebouter à la longue.
Je n'en suis pas là... Je kiffe !

J'ai découvert THY CATAFALQUE, Tamas Katai donc, avec l'album "Meta" et pour moi ce "Naiv" est indubitablement un des albums de l'année 2020.
C'est riche, c'est varié, ça part dans tous les sens et c'est extrêmement bien foutu quel que soit le style abordé.
Bravo monsieur !

J'ai encore pas mal de choses à découvrir dans l'univers THY CATAFALQUE et je m'en réjouis.
J'y vais doucement, tranquillement pour éviter justement de m'en fatiguer trop vite !

Le 26 Janvier 2021 par THORPEDO

Quel bel album que voilà !
EXGENESIS propose un Doom/Death à la fois mélodieux et efficace.
La classe, il faut bien le dire.
J'apprécie particulièrement le travail du guitariste, Jari Lindholm, son approche mélodique fonctionne à merveille sur chacun des morceaux du disque.
D'habitude, j'ai une préférence pour les chants alternés voix claire/growl comme peuvent le proposer des groupes comme BARREN EARTH ou SWALLOW THE SUN mais là, je dois bien avouer que ça passe très bien chez moi grâce à un excellent Alejandro Lotero, capable de passer d'un growl profond et grave à la limite des chanteurs de Funeral Doom à un growl plus agressif et dynamique flirtant avec le chant Death.
Je partage donc l'optimisme de T-Ray quant à l'avenir de ce groupe, une franche réussite que ce premier album. C'est simple, il n'y a pas de moments faibles.
Et merci encore pour la découverte, ça tourne en boucle chez moi en ce moment !