Le 31 Mars 2020 par TONIO

La douche froide ce disque ! Et dire que c'est avec cet album que j'ai découvert BATHORY, autant dire que j'ai boudé le groupe pendant longtemps. Du Thrash hyper basique à base de riffs simplistes, un disque sans aucune ambitions à mille lieux des œuvres mémorables du passé. Quelle régression !

Le 31 Mars 2020 par CLANSMAN57

En vrac, lorsque j'écoute "Amaranthine", "Maximize" ou encore "Hunger", il n'y a que le chant d'Elise que je garde.
Ses mélodies sont bonnes en plus.
Quel dommage pour ce mélange... C'est bien d'essayer des choses, mais bon, ça le fait pas toujours.
J'espère qu'elle se lancera dans un projet 100% Pop un jour, ou encore Electro-Pop...
Aidée par une bonne équipe derrière, ça pourrait très bien marcher et qui sait, elle pourrait faire carrière dans ce milieu.
Le physique, elle l'a déjà, comme tout le monde a pu le remarquer à juste titre.

Allez Elize, fais-moi un bon disque de Pop !
M'enfin, à bien y réfléchir, tu as déjà l'étiquette "Metal" collée sur le front, ça porte souvent préjudice lorsque tu es issue de ce courant et que tu souhaites faire autre chose par la suite...
Pourquoi t'as pas commencé toute seule dans le bon registre ??? Grrrr !!!
Je t'aime bien et je te déteste.

Le 31 Mars 2020 par TONIO

Du pur Thrash Death comme il s'en faisait à l'époque. Le sujet est maîtrisé, les musiciens compétents, certes la production manque d'épaisseur mais rien de dramatique. Le problème vient surtout de la composition des morceaux. Ceux-ci s'étalent inutilement sur de longues minutes, ce qui leur fait perdre beaucoup de leur impact, surtout que le mid tempo est souvent de rigueur. L'album atteint pas loin de une heure, c'est trop ! Certaines compositions sont tout de même très bonne, à l'image du titre d'ouverture mais dans l'ensemble malheureusement l'ennui finit par pointer. Dommage, il y avait matière à faire mieux. 2/5 seulement car dans le style on trouve largement mieux sans problème...

Le 30 Mars 2020 par BAKER

Rien à faire, je passe chaque fois à côté. Je l'ai pourtant essayé, cet album, en long et en large, mais il ne me parle pas. J'aime beaucoup pourtant l'intro et le dernier titre, mais entre les deux, à part les voix d'outre-tombe sussurées dans.... j'ai oublié le titre, et les cuivres originaux et décalés de Meggido, je ne trouve pas d'accroche, pas d'émotion dans la puissance, j'ai l'impression d'écouter plus un groupe de Thrash qu'un précurseur du Metal extrême.

Je reconnais en revanche l'impact à l'époque. Le premier PARADISE LOST vient de là, pas possible autrement.

Le 30 Mars 2020 par BORIS LE BORGNE

Du bel ouvrage.

Bien sûr il y a du remplissage, mais un disque qui commence avec "Christian Woman" et finit par l'imparable enchaînement "Blood & Fire" / "Can't lose you" ne peut pas être mauvais.

Le 30 Mars 2020 par METALPROG84

Pas le meilleur du groupe, mais ceci n'engage que moi. Je préfère nettement "Frontiers" ou "Infinity" (ainsi que les trois premiers albums, mais ceux-ci sont trop différents pour pouvoir les comparer à "Escape"). Ca commence très bien avec l'excellent "Don't Stop Believin'" mais après, j'ai du mal avec les refrains de la plupart des morceaux, que je trouve un peu mièvres. C'est dommage, la musique n'est pas mauvaise et les arrangements sont souvent de qualité, mais cet album ne me fait pas vibrer. Allez, 3/5 quand même.

Le 30 Mars 2020 par NATEAG666

Pas trop d'accord avec la chronique, sur le fait qu'il faille écouter"Tests Of Manhood" juste par curiosité, "Holding Patterns" logé à la même enseigne et "Summer" seul
hymne mémorable.

Pour moi "Tests Of Manhood" est bien "Shrek 2" et pas les coulisses de "Shrek", pas de doute là-dessus.
Avec des titres comme "Methuselah", "Gulag", "Total Collapse", comment pourrait-il en être autrement ? Il s'agit des meilleurs titres composés par Devin depuis un moment, beaux, grandiloquents, classieux...
Il y a sur beaucoup de titres un esprit hippie, baba cool, serein où on est transporté au ciel et où on écoute béatement cette musique qui masse de façon orgasmique notre cerveau.
Un peu à la façon du "All Day" de MINISTRY (titre divin), et c'est flagrant sur "Methuselah" avec ses beats électro et Devin qui susurre les paroles, ce genre de titre est rare et précieux, un grand moment de l'album.

À côté de ça on a des pop-songs boostées à la Townsend qui sont magnifiques, de vrais standards, "The Contrarian" et "This Is Your Life", qu'est-ce-qu'elles font sur un album bonus ?

En tous cas ce "Tests Of Manhood" n'a pas beaucoup à voir avec "Empath", c'est un tout autre état d'esprit ici. Et il n'y a aucun temps mort.

Et dire que quand l'édition limitée de "Empath" sera épuisée "Tests Of Manhood" ne sera plus distribué, voire même pas disponible en téléchargement comme c'est le cas pour "Epiclouder", j'en suis malade pour les retardataires...

Ah oui, j'ai failli oublier, "Holding Patterns" est super et "Summer" plutôt moyen, désolé Jaz.

Le 29 Mars 2020 par JULIEN G.

The Final Frontier est l’album le plus inégal de la Vierge de Fer.
On commence par le bon :
- "The Final Frontier", MAIDEN s’essaie dans un rythme assez groovy et ça fonctionne ! Super refrain et solo ébouriffant.
- "El Dorado", la basse claque, les guitares mordent. On a un pré-refrain qui fait monter la pression vers un refrain libératoire. Morceau impeccable et logique premier single.
- "Coming Home" est une power-balad réussie. Belle émotion, bonne rythmique en triolet. Encore un refrain qui tape dans le mille. À noter une magnifique solo limpide de Dave Murray.
- "The Alchemist" est un titre rapide que je n’aimais pas mais qui a su me convaincre. Pondue par Janick Gers, cette chanson est efficace grâce un bon refrain et des guitares acérées.
- "The Talisman" est ma chanson préférée de l’album. Cette cavalcade typiquement MAIDENienne arrache tout sur son passage. MAIDEN sait se montrer irrésistible.
- "When The Wild Wind Blows" est une longue pièce écrite par Steve Harris. On y entend de bonnes mélodies celtiques et les passages instrumentaux très typiques du groupe se savourent sans laisser le moindre ennui s’installer.

-On finit par le bof :
-L’intro "Satellite 15" sympa mais BEAUCOUP trop longue.
- "Mother Of Mercy", pas la pire mais Bruce Dickinson souffre dans le refrain trop haut perché.
- "Isle Of Avalon" pose un problème : je m’endors avant que ça démarre et je me rendort sur les parties instrumentales.
- "Starblind", je l’aimais bien avant mais je la trouve fade. J’aime bien la guitare solo qui tricote une bonne partie du morceau et le refrain est pas mal sans plus.
- "The Man Who Would Be King" je n’ai jamais accroché, je n’en retiens rien. Totalement anecdotique et fort long et ennuyeux.

6 morceaux sur 10 que j’adore donc 3/5.

Le 29 Mars 2020 par HEMISPHERES

Certains considèrent cet album comme un des meilleurs de toute la carrière de DIO, le côté lourd, SABBATHien lui allant comme un gant et j'ai souvent vu quelques titres régulièrement cités comme des classiques injustement oubliés. Autant dire que je me réjouissais d'écouter cet album. Malheureusement, après de nombreuses écoutes et après y être revenu à plusieurs reprises en essayant de comprendre ce que j'aurai manqué, mon avis reste le même : la voix d'or du maître, il n'y a rien à redire dessus, elle est toujours là même si le côté un peu hargneux prend le pas sur le côté lyrique, pour aller de paire avec la musique et les mélodies sont ainsi moins évidentes.

Mais le problème vient de la musique elle-même car n'est pas Tony Iommi qui veut. Composer des titres lourds c'est peut-être à la portée de beaucoup mais en faire des morceaux mémorables, c'est une toute autre affaire. Il faut dire que pour gâcher le tout, les deux premiers titres de l'album sont parmi les plus mauvais de toute la galette, ce qui ne donne pas envie d'écouter la suite. Ce qui est dommage car la chanson-titre qui suit n'est pas mauvaise du tout et peut-être même la meilleure du lot. Ensuite, il y a d'autres morceaux qui restent plaisants ou contiennent quelques parties intéressantes à l'image de "Hollywood Black", le refrain de "One Foot In The Grave, l'intro tout en douceur de "Give Her The Gun" ou "Evilution" mais on est très loin des pépites des quatre premiers albums. Ces albums étaient sûrement bien plus joyeux mais là n'est pas tant la question, c'est plutôt la qualité des compos, des chansons que l'on retenait et qui nous donnait envie de revenir directement dessus, une fois arrivé au terme de l'album.

Un disque comme "Strange Highways", c'est l'album-type que vous écoutez, si vous avez décidé de réécouter toute la discographie d'un artiste - ce que je fais en ce moment - ou quand expressément on se dit "tiens, cet album ne me dit rien du tout, à quoi il ressemble déjà ? Écoutons pour voir". En aucun cas, il n'est de ceux que l'on ressort spontanément quand on a envie d'écouter un excellent DIO ou qu'on a envie de faire découvrir tout le talent du lutin à la voix d'or à un néophyte.

Le 29 Mars 2020 par LEO

Tout à fait d'accord avec Jeff Kanji !

Pour un album estampillé 'Punk', "Never Mind The Bollocks" est relativement soigné et très peaufiné si on le compare aux premiers albums des DAMNED ou The CLASH bien plus bruts et secs au niveau du son et à la production plus naturelle, quasi-'live' en un sens. Mais rien d'étonnant à cela puisque Steve Jones a empilé ses parties de guitare pour leur donner une sonorité massive, finalement pas si éloigné que ça du Hard Rock, à l'inverse du son plus cradingue et 'garage' de Brian James (The DAMNED) ou du tandem Joe Strummer/Mick Jones (The CLASH).
Il n'est donc pas surprenant que VALEK (plus habitué au heavy metal comme il le décrit) accroche au son de cet unique album en studio des SEX PISTOLS !
Perso, je n'ai jamais adhéré aux PISTOLS ni à ce 33 tours. premièrement parce que j'ai toujours eu du mal à supporter le chant nasillard de Johnny Rotten (que ce soit ici ou plus tard avec PIL) mais aussi justement à cause de ce son presque surproduit qui ferait presque passer le punk-rock du groupe pour du Hard Rock et surtout, parce que je ne suis simplement pas fan de toutes ces compos un peu à l'identique.
De mon point de vue les SEX PISTOLS est un groupe important, mais plus pour avoir suscité des vocations parmi ses pairs, que pour son Rock certes rageur, mais aussi assez passe-partout au final.

@ Valek : si tu veux continuer à découvrir le Punk Rock de cette époque, fais un essai avec "Damned, Damned, Damned" le premier album des DAMNED enregistré fin 1976-début '77, ainsi qu'avec le premier album du groupe australien The SAINTS, intitulé "(I'm) Stranded" (enregistré en 1976 et paru début '77).

Le 29 Mars 2020 par TONIO

J'avoue avoir été déçu en découvrant cet album après avoir écouté jusqu'à plus soif "The Years Of Decay". "Horrorscope" est plus lourd, plus massif mais moins immédiat et moins accrocheur. Certes, il y a de bonnes parties, certains riffs et soli sont maousse costauds mais je ne trouve pas de classiques immédiats comme sur le disque précédent. Même niveau ambiance, je trouve "The Years" bien plus prenant et abouti. Chacun ses gouts, oui, "Horrorscope" est un disque que je sors bien peu souvent...

Le 29 Mars 2020 par TONIO

Premier VENOM que j'ai découvert, ce disque m'a marqué alors que je ne jurais que par le Death et le Thrash le plus violent. Comme quoi ce disque est plutôt bien foutu.

Cette première piste de 20 minutes n'est pas exceptionnellement bien construite, c'est juste une suite de parties différentes sans réel lien entre elles mais ça fonctionne très bien. Cet assemblage de riffs simples, de gueulantes démoniaques, de soli débridés et d'arpèges mélodiques parvient réellement à créer une ambiance excitante. Quelle envie de gueuler avec Chronos !

Les autres morceaux de facture plus classiques sont bien torchés, seul le jusqu' au boutiste "Aaaaaargh" est bien dispensable bien que marrant la première fois. Cet album ne peut plus faire peur à grand monde mais il est éminemment sympathique.

Le 29 Mars 2020 par ATOMIC PLAYBOY

Il est plutôt sympa cet album. Un groupe de Speed qui tente un best-of acoustique, le pari est foutrement osé... mais réussi ! A part "Eagle Fly Free" qui pue franchement du cul, le reste est soit sympa, soit carrément bluffant.
Comme les commentaires précédents, je souligne le travail énorme accompli par le groupe pour réarranger ses morceaux. Du coup on se retrouve avec un album original, à mi chemin entre le best-of et la nouveauté, bien plus utile aux fans que la traditionnelle compile, agrémentée ou non de deux ou trois titres inédits. Bravo et respect pour la démarche, la citrouille "light" c'est du tout bon.

Le 29 Mars 2020 par BUBBA

Merci pour la chronique. Je suis content de lire que mon enthousiasme pour ce disque est partagé. J y reviens régulièrement, c est bon signe. Je suis d'accord pour dire que le chanteur apporte vraiment un plus, une couleur et ue originalité bienvenues.
Vivement le prochain

Le 28 Mars 2020 par MEGIDDO

Mon album favori du groupe tout simplement. Après un premier album coup de poing et surprenant par sa rapidité d'exécution, SLAYER nous sort un EP venu d'au autre monde avec des structures plus complexes et un niveau de violence situé encore un cran au-dessous. Je me souviens de Kerry King annonçant avant la sortie de l'album suivant qu'on ne connaissait pas encore qu'il serait "100 % plus heavy" que ce qu'ils avaient sorti jusqu'à présent. Je me disais "c'est possible ça ?". Pauvre naïf que j'étais. Et l'album est paru !
Une intro venu tout droit de l'Enfer de Dante avec ces incantations inversées pour finir sur le premier riff tueur prolongé par un rythme imposé par un Dave Lombardo possédé qui deviendra culte mais on ne le savait pas encore. Sept titres, sept portes pour l'Enfer. Sans doute l'album le plus Black, le plus Black Metal de SLAYER. Ultra malsain. Un son impossible, une batterie nucléaire et des riffs d'une violence incroyable (à resituer dans le contexte de 1985). Après le premier titre, celui qui me semble être aussi significatif de cette transformation de la Bête en Monstre est "At Dawn They Sleep" : une structure jamais entendue dans le domaine : cette intro en contre-temps, cette basse vrombissante, cette voix sortie d'un cauchemar, ces soli qui crissent comme un ongle sur tableau. Ce break central aux relents de Doom, le retour des incantations en échos pour finir sur une basse qui donne le la entraînant les guitares dans la danse macabre jusqu'à la répétition obsessionnelle du mot fatal et ultime Kill! Kill! Kill! pour aboutir sur l’accélération finale.
Culte ! Tom Araya a la rage du début à la fin et le duo King/Hanneman en mettent partout. ça riffe à tout va. Tout est nouveau, inspiré, fou. Sans doute le premier album avec une double basse en tant que telle. Lombardo vient de se couronner lui-même en tant que Roi.
... Et le son de l'album ?! Ce son qui ne sera plus jamais reproduit peu de temps avant de passer dans la machine à produire de Rick Rubin et quasiment ne plus en sortir.
Toujours autant de plaisir à sortir le vinyle pour conforter tout le bien que pense de ce joyau.
Celui qui connaît SLAYER mais n'a jamais écouté "Hell Awaits" ne connaît pas SLAYER.

Le 28 Mars 2020 par VALEK.

Désolé je ne savais pas je découvre ce style. Habituellement je suis habitué au Heavy Metal.

	Par Nightfall In Metal Earth Aucun problème, il faut se prémunir des affirmations trop péremptoires pour éviter les retours de bâton. Il est tout naturel de ne pas tout connaître, et quelque part je t'envie de découvrir un album aussi fondamental que "Nevermind The Bollocks". Cordialement, Jeff Kanji

Le 28 Mars 2020 par ZEPEKENIO

l'album parfait pour faire connaissance avec SLAYER, un des patrons du Thrash Metal.

Car il y a tout ici : l'atmosphère putride de "Hell Awaits", la violence de "Reign In Blood", l'orientation plus mélodique de "South Of Heaven".

Un groupe au sommet de son art, un parfait résumé de son oeuvre.

"Spirit In Black", "War Ensemble" sont implacables, violents et d'une efficacité chirurgicale.
"Dead Skin Mask" donne des frissons, récit glaçant des pires névroses d'un malade mental, ça fout les jetons mais on kiffe.

Quant au titre éponyme, c'est l'extase pure et simple : majestueux, hypnotique, puissant, une beauté vénéneuse... Un de leurs plus grands titres.

Indispensable.

Le 28 Mars 2020 par ZEPEKENIO

Pas l'album le plus connu de SLAYER mais une perle indispensable.

Ce qui frappe dans ce deuxième opus, c'est cette ambiance absolument irrespirable qui s'en dégage.
Nombreux sont les disques de ce style à sonner résolument evil mais ce "Hell Awaits" a quelque chose de particulier.
C'est un voyage de trente-sept minutes en enfer, tout simplement. Il porte d'ailleurs à merveille son titre.
Rien qu'avec cette mythique intro, on est transporté dans un univers terrifiant, glauque, inhumain, antre de la souffrance et du mal.
Les guitares sont crasseuses à souhait, les solos de guitare délicieusement désaccordés et barrés, Tom Araya en état de démence, la basse sournoise et menaçante tandis que Dave Lombardo cogne impitoyablement sur ces fûts.
Un album extrêmement précieux, une personnalité unique, on se vautre sans complexe dans les bras de Lucifer.

Chef d'oeuvre du genre.

Le 28 Mars 2020 par GASOLINE DREAMS

Un album dont la K7 s'est usée dans mon walkman durant mes années lycée.
Une pochette kitsch mais un putain de LP.
Que des brûlots qui défoncent les cervicales avec ce Thrash matiné de Heavy.
Des titres fédérateurs plus travaillés que sur l'opus précédent, avec deux titres dépassant les six minutes, mais aussi des uppercuts comme "Powersurge", "Deny The Cross" ou "Wrecking Crew".
Une production d'Alex Perialas (TESTAMENT, S.O.D., M.O.D., ANTHRAX, NUCLEAR ASSAULT...) correcte pour l'époque et un mix équilibré.
L'album se termine sur "Overkill II" avec ses derniers arpèges glaçants.
The nightmares continues...
Seulement 4,5 car un titre plus faible "Electro-Violence" (Quoique !).
Ramené à 5, nostalgie oblige.

Le 28 Mars 2020 par VALEK

Un groupe de Punk qui a conservé l’attitude destroy. Il n’a pas été pollué par la maison de disques. "Nevermind The Bollocks Here’s The Sex Pistols" est un véritable album de Punk sans concession. Mes titres préférés : "Liar", "God Save The Queen", "Problems", "Seventeen", "Submission", "Pretty Vacant".

	Par Nightfall In Metal Earth Hello, Dire que la maison de disques n'a pas pollué les PISTOLS c'est méconnaître leur histoire. "Nevermind..." est l'album le plus léché en termes de production de la première vague Punk, et le groupe lui-même a été monté de toutes pièces par Malcolm McLaren. Cordialement, Jeff Kanji