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HARD ROCK  |  VHS/DVD/BLURAY

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WHITESNAKE - Live In The Still Of The Night (2006)
Par POWERSYLV le 17 Avril 2006          Consultée 8400 fois

Voilà bien longtemps que David Coverdale n’avait plus fait parlé de lui. Les derniers rares albums sont restés plutôt confidentiels et seuls les fans « jusqu’au boutistes » étaient au courant de l’actualité du Serpent Blanc. Les heures de gloire des années 80 sont maintenant loin et depuis la fin de cette décennie, les reformations étaient épisodiques, certains albums n’étant même sortis que sous le propre nom de leur géniteur (Restless Heart en 1995 par exemple). Est-ce l’apparition ces dernières années du fameux COMPANY OF SNAKES, groupe composé de ses anciens compères (Bernie Mardsen, Mickey Moody et Neil Murray) qui aura fait remuer le sensuel chanteur pour le pousser à relancer une nouvelle fois la machine et même à se produire en live avec un groupe à la mesure de la légende – car, excusez du peu, mais Doug Aldrich (ex-BAD MOON RISING, ex-DIO), Reb Beach (ex-WINGER, ex-DOKKEN, ex-ALICE COOPER) et Tommy Aldridge (déjà auparavant de WHITESNAKE mais aussi ex-OZZY OSBOURNE, ex-MANIC EDEN, ex-Patrick Rondat et autres …), c’est pas du gratin ça ? Encore une fois, le beau David a su bien s’entourer pour cette tournée aux airs de renaissance.

Le beau David ? Car les nombreuses femmes (que l’on imagine aisément avec des rides, la cellulite et quelques bouts de tissus en moins plusieurs années plus tôt) présentes dans les premiers rangs n’ont pas oublié le jeunôt qui avait fait ses premières armes dans DEEP PURPLE, avant de monter WHITESNAKE en 1976. Et c’est donc sous cette horde de fans et avec cette équipe de rêve que se présente le groupe sur la scène du mythique Hammersmith Apollo, avec une scène flamboyante et des lights éblouissants. David Coverdale est l’homme de la soirée, même s’il ne targue pas à mettre aussi un peu en avant ses acolytes. Malgré sa cinquantaine bien frappée, l’homme a toujours cette sensualité et ce dynamisme à fleur de peau. Bon, lorsqu’on le voit de près, il fait son âge, c’est sûr. Chemise blanche entrouverte et cheveux au vent, il est le point de mire du show.

Les 2 duellistes ne sont pas en reste, avec un Doug Aldrich inspiré et heavy rock, successeur des John Sykes, Adrian Vandenberg et Steve Vai qui firent la gloire du Serpent Blanc lorsque celui-ci mua dans sa seconde peau à la fin des années 80, celle du hard’n heavy made in USA. A ses côtés, Reb Beach assure bien lui aussi, le guitariste est en mouvement régulier autour de son patron. Marco Mendoza à la basse assiste à sa façon le terrible Tommy Aldridge, vraiment impressionnant à la batterie (cf. les nombreux plans vu de derrière). Le claviériste Timothy Drury n’en fait pas trop et ses interventions servent parfois à enrober le heavy rock du combo sans le vider de sa substance et de son efficacité.

Depuis le « Are you ready ? » de son leader puis tout le long de ce concert, WHITESNAKE déploie sa puissance et même si l’on a là affaire à du déjà entendu, force est de constater que le combo reste redoutable scéniquement. D’autant que le show est filmé de manière superbe avec 26 caméras. La set list est bétonnée pour contenter tout le monde, même les fans du DEEP PURPLE Mark III car le show démarre en trombe sur une version tonitruante du hit « Burn » définitivement irrésistible, où se mêle d’ailleurs un passage de « Stormbringer ». Les tubes se succèdent, on trouve même certaines reliques des tous premiers albums qui à l’époque n’avaient pas vraiment eu de retentissements (« Ain't No Love In The Heart Of The City », album Snakebite, 1978 – ou « Take Me With You », album Trouble, 1979). Le point d’honneur est mis sur le mythique 1987, même si certaines des chansons de ce disque immense proviennent d’albums antérieurs : « Bad Boys », le slow « Is This Love », « Give Me All Your Love », « Cryin’ In The Rain », « Here I Go Again » ou le terrible « Still Of The Night ».

Non WHITESNAKE n’est pas mort. Espérons en tous cas que cette nouvelle incarnation enthousiasmante nous concoctera une gâterie studio digne de son talent. M’enfin, quand je vois ce DVD, je me dis : « Vivement le Wacken ! » car David et sa troupe sont prévus cette année, et ça risque de le faire !

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- David Coverdale (chant)
- Doug Aldrich (guitare)
- Reb Beach (guitare)
- Marco Mendoza (basse)
- Tommy Aldrige (batterie)
- Timothy Drury (claviers)


- dvd
1. Burn
2. Bad Boys
3. Love Ain't No Stranger
4. Ready An' Willing
5. Is This Love
6. Give Me All Your Love
7. Judgement Day
8. Blues For Mylene
9. Snake Dance
10. Drum Solo
11. Cryin' In The Rain
12. Ain't No Love In The Heart Of The City
13. Don't Break My Heart Again
14. Fool For Your Loving
15. Here I Go Again
16. Take Me With You
17. Still Of The Night

- cd
1. Burn
2. Give Me All Your Love
3. Is This Love
4. Love Ain't No Stranger
5. Judgement Day
6. Ain't No Love In The Heart Of The City
7. Fool For Your Loving
8. Here I Go Again
9. Take Me With You
10. Still Of The Night



             



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