Le 29 Avril 2004 par LEECHMASTER

Ouais, complètement d'accord avec vous tous. Cet album est une excellente leçon de thrash, et même si ce "Tempo of the Damned" n'est pas un chef d'oeuvre absolu, il reste vraiment très bon, essentiellement grâce à des riffs dévastateurs présents sur chaque moreceau. On retiendra particulièrement des bombes comme "War is my Shepherd", "Blacklist", "Forward March" et "Throwing Down". Pour une resurrection, celle d'Exodus se passe dans les meilleures conditons et on ne peut que saluer ce retour parmi l'élite qui, on l'espère, se verra suivi par d'autres réalisations encore meilleures que celle-ci.

Le 29 Avril 2004 par LEECHMASTER

Nous sommes le 6 décembre 2003. Je me trouve près d'un rayon métal en quête de la dernière perle rare. Et là...Qu'est-ce que je trouve? "Through the Ashes of Empires", le nouveau Machine Head!!!Mais merde, on m'avait même pas prévenu!!! Joyeux comme un gamin ayant trouvé son joujou, je fonce à toute allure chez moi m'écouter ce nouvel opus. La pochette, sombre, sobre et magnifique m'intrigue. "Machine Head a viré au black?!" me suis-je demandé un moment. J'installe donc le cd dans ma platine et là...un accord de guitare timide parvient à mes oreilles. "Imperium" démarre. L'orgasme aussi. Une puissance de feu imparable, des guitares furieuses, une basse lourde et grasse, des vocaux hurlés thrash et aussi calmes par moment, voilà la nouvelle recette magique du groupe. Et elle est simplement monstrueuse. Bordel, écoutez-moi ces perles que sont "Imperium", "In the presence of my Enemies" ou bien "Descent the Shades of Night" qui clotûre l'album avec sa guitare acoustique incroyablement émotive. La furie hardcore est omniprésente sur quelques titres, comme "Bite the Bullet" ou bien "Wipe the Tears" et rappele un certain "Struck a Nerve". Après un "Supercharger" intéressant mais sans plus, Machine Head se devait de rebondir. C'est désormais chose faite avec ce nouvel album qui ravira tout le monde, les déçus de "Supercharger" comme les die-hards du début.

Le 29 Avril 2004 par FUCKLALIFE

je confirme, c' est un bon album, çà change un peu du black traditionnel.

Le 29 Avril 2004 par VOLTHORD

le meilleur album de Sear Bliss (quoique je ne connaisse pas The pagan winter), une petite perle de black atmosherique éthéré et envoutant, qui, mis a part quelques passages rapides un peu foireux est un pur chef d'oeuvre...
A classer soigneusement aux côtés d'un Enthrone Darkness Triumphant de Dimmu Borgir!

Le 29 Avril 2004 par SNIPER

il est pas mal mais on est loin de l'intensité et la classe du mythique "The ultra violence", dans l'absolu, je préfère le nouvel exodus "Tempo of the damned" qui est une pure bombe thrash.

Le 29 Avril 2004 par LEECHMASTER

Un bombe, un pain dans la face, un obus, une grenade à déflagration...Merde, pour cet album, il faudra trouver d'autres qualificatifs parce qu'on atteint des sommets de brutalité. Pour ceux qui ne possèdent que les dernières réalisations du groupe, je vous conseille vivement de vous procurer cette rondelle de plastique infernale qui se révèle être une déflagration sonore sans précédent. Onde de choc assurée.

Le 29 Avril 2004 par MARCO

Je trouve cet album assez mauvais dans l'ensemble. Timo est un excellent chanteur et ça il n a plus à le demontrer mais malheureusement ses talents de compositeur sont encore à prouver.
Les chansons, bien qu il y en a quelques unes de sympas (Reasons, Around), sont sans surprise et sans originalité et surtout leur structure est archi linéaire couplet/refrain *2 /solo/refrain pour toutes les chansons. Il n y a aucun break ou changement de rythme dans une meme chanson. Même les solos (d'une pointure comme Romeo notamment) sont courts et ultra-conventionnels. Bref, ce que je conseillerais à Timo c'est de composer sa musique avec d'autres compositeurs (comme Roméo) parce que là c'est pas terrible.
Le seul point positif de ce disque c'est de réentendre la superbe voix de Kotipelto malheureusement sur des compos indignes de son talent.

Le 29 Avril 2004 par LEECHMASTER

Un joyau de death magistralement mélodique 10 carats. Je ne connaissais que les dernières productions du groupe (reroute, clayman et colony) mais je peux aisément vous dire que "The Jester Race" les surpasse les trois en même temps. Le chant d'Anders mêle subtilement la rage du death à la haine du black (alors florissant dans les contrées voisines) et les guitares altèrnent tour à tour lourdeur électrique et douceur acoustique. La section rythmique est imparable et on retrouve (comme sur chaque album de death mélodique) une bonne rasade de double grosse caisse. Bref, "The Jester Race" est un album incomparable, qui n'a absolument rien à voir avec les productions actuelles de ce style si unique. Inutile de préciser qu'il est indispensable à tout amateur du genre. Si vous n'accrochez pas à la première écoute (ce qui était mon cas), faites l'effort de rééssayez car cet album a beaucoup de choses à vous proposer.

Le 29 Avril 2004 par JULIEN

Eh bien Possopo, on cherche à monter une école culinaire parallèle à la mienne (cf ma chronique du THE KOVENANT "In Times Before The Light" édition 2000 et la future recette du "Life Is Peachy" de KORN) ?
Bon, tes cuisiniers n'ont pas l'air maladroit, alors ça ira ! En tout cas, ça fait un sacré petit moment que cet album me fait envie... ta note me confirme que les quelques souvenirs très positifs qu'il me reste d'une fugace écoute en magasin n'ont pas perdu de leur pertinence... Allez, un de plus sur la liste des acquisitions à venir...

Le 29 Avril 2004 par JULIEN

Le son est puissant et cru, la voix claire belle et unique mais vraiment juste en bien des instants, avec un certain manque de mordant... mais bordel que ce disque est bon ! Les riffs sont superbes, les choeurs captivants, l'ambiance générale épique en diable, très inspirée des débuts de MANOWAR (tout un passage de "The Gates Of Valhalla" est d'ailleurs reproduit sur "Blood on Ice", et les clins d'oeils aux américains foisonnent ici), et le tout compose un tableau Viking à la musculature Heavy Metal évidente, truffé de morceaux cultes (le magnifique "The Lake", "The Stallion", le génial et super entraînant "Gods Of Thunder Of Wind And Of Rain" pour ne citer qu'eux)... un esprit qui s'émoussera un peu sur le plus lourd et emphatique "Hammerheart" ("Blood on Ice" est, chronologiquement, antérieur à ce disque). A noter aussi un épais livret qui, en plus de nous présenter l'histoire ici contée (et dont Janet vous a donné un bel aperçu), nous renseigne sur la génèse de cet album et le pourquoi de sa parution ultérieure à l'époque de son élaboration. J'aime ! "Gods Of Thunder Of Wind And Of Rain", yeah !

Le 28 Avril 2004 par IRONDADA

Eh non ! Ce n'est pas une chronique de plus du dernier Maiden, mais plutot un avis concernant la version dvd audio de l'album. Ca commence donc,assez mal d'ailleurs, par "Wildest dreams", pas de grande différence avec la version stéreo sinon que le son parait un peu plus spatial. On passe au chose serieuse avec Rainmaker (ouf!), un morceau vraiment puissant où les guitares rhytmiques sonnent à merveille dans les enceintes arrières, tandis que le riff principal resonne à l'avant et nous balance toute la pêche ... Terrible !!! Ensuite vient le dernier single en date, No more lies, qui n'est pas trop mal encodé, mais n'apporte pas grand chose de plus que la version original ... déjà que je trouve ce morceau sans interêt, çà sonne Virtual XI et le refrain est repetitif ... Montségur commence très bien, façon rainmaker, mais çà retombe après le refrain, de même que quelques riffs après les solos ...dommage, ca aurait pu être bien meilleur ... Ah! Dance of Death, rien à dire, c'est beau à en pleurer; l'équilibre entre les guitares et les orchestrations, plus présentes que sur le cd, est vraiment parfait ! Gates of tomorrow, la pire chanson de l'album, dispose d'un son correct, mais qui ne suffit pas à lui redonner de l'interet !! New frontier, le refrain est plutot bien mais le reste manque cruellement de presence et il y a un effet de flanger juste avant le refrain qui est trop prononcé, ca casse les oreilles !! Dommage c'est un titre plutot sympa. Enfin voila le morceau le plus attendu avec dance of death, Paschendale, c'etait magnifique sur le cd, mais là je ne peux trouver de superlatif tellement c'est superieur !! ouahh !!! Face in the sand, et la qualité retombe (encore :-( ) ca manque de presence, c'est fade ... ce defaut est corrigé sur Age of innocence et enfin on retrouve un son merveilleux sur un morceau merveilleux, Journeyman, on a presque l'impression d'avoir les gratteux a coté tellement c'est bon !!! La qualité de ce Dvd est donc plutot mitigée, généralement bonne sur les morceaux plus "orchestraux" mais souvent plus fade sur les morceaux plus "rentre dedant" ... Je met donc 2.5 etoiles pour le produit .... mais 5 pour l'album ;-)

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Stiff Upper Liff montre encore un album de qualité, AC/DC a désormais trouvé son rythme de croisière pour sortir des albums de très haute volée. Je dirais même que Stiff Upper Liff est plus audacieux et à la fois encore plus authentique que Ballbreaker, avec cette fibre bluesy qui se réaffirme.
Par contre, même problème que pour Ballbreaker : c'est un disque qui sur la longueur s'essouffle un peu je trouve, ce qui est paradoxal avec ce que j'ai écrit plus haut je l'avoue. Et j'avoue aussi que j'ai du mal à l'expliquer. Bref, pour être plus clair, lorsque j'ai envie d'écouter du AC/DC, mon choix ne se porte pas quasiment sur celui-là. Peut-être devrais-je le rédécouvrir davantage ... mais pour l'instant, tel est mon sentiment.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Ballbreaker est un très bon album d'AC/DC qui mérite une attention particulière.
Contrairement aux années 80 où le groupe sortait ses albums plus vite (ce qui n'était pas à son avantage vu que la qualité était largement moins bonne), la gestation des albums est plus longue, mais le principal est qu'à la fin la qualité est là.
Un disque qui vaut le détour et qui montre les australiens à un niveau excellent. Pourtant, contrairement à Razors Edge que je réécoute très souvent, je me suis quelque peu lassé de Ballbreaker.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

On a ici affaire au deuxième live des kangourous, le premier avc Brian Johnson au micro. Et c'est clair qu'il s'agit d'un superbe best of éclatant de la carrière des Australiens, qui démontre (mais en était-il besoin) qu'AC/DC sur scène, ça reste un moment rare et exceptionnel. Mais comme mentionné dans mon commentaire du live précédent, je suis trop attaché à If You Want Blood Pour placer ce Live au dessus. Phénoménal cependant.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Il s'agit sans conteste du meilleur AC/DC, 10 ans après le cultissime Back In Black. Pour ma part, quasiment rien à jeter, on dirait qu'AC/DC a retrouvé le Saint Graal. On retrouve des marques des premiers temps mélées à un son et une production digne de l'époque. AC/DC retrouve ce côté authentique qui lui manquait dans les années 80 et qui pointait le bout de son nez sur l'opus précédent. The Razors Edge est avec Back In Black mon disque préféré des Australiens pour ce qui concerne l'époque Brian Johnson. Un Brian Johnson dont la voix est plus naturelle d'ailleurs et moins irritante qu'avant. Une évolution vocale qui se poursuivra ensuite.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Il est vrai que cet hybride entre B.O.F. et compilation est finalement dispensable. Néanmoins, les titres inédits valent le coup, avec un Angus qui a metallisé son jeu de guitare. Le morceau "Who Made Who" est typique du AC/DC du milieu des années 80 à ce titre, j'aime bien. A noter qu'à cet époque, les australiens rentrent dans le moule du business artistiquement, notamment via des clips bien produits même si un peu burlesques :)
A la limite, autant se faire un 3 titres avec les inédits ;)

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Le complément US et européen indispensable de l'ère Bon Scott. Le groupe aurait pu peut-être les sortir plus tôt. Cependant, rien que pour Jailbreak et la voix de Bon Scott ... Miam !

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

1983, c'est l'année de l'explosion des genres (heavy, speed, thrash) ... Pourtant on ne peut pas dire qu'AC/DC se soit donné les moyens de lutter car cet album manque cruellement d'inspiration. Pour moi, à son écoute, rien ne décolle réellement, aucun titre ne me marque réellement. C'est terne, tout comme la pochette.
Je ne dirais pas qu'il est nul, loin de là, mais contrairement à d'autres albums du groupe (même par rapport à Fly On The Wall que pas mal s'accordent à dire qu'il est pas top non plus), ben j'accroche pas à ces compos qui manquent d'audace, d'accroche.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

For Those About To Rock n'est pas pour moi l'album le plus catastrophique. Le problème est qu'il succède à une tripotée d'albums sans faille, Back In Black étant encore dans tous les esprits.
Il est vrai que certains titres sont moins inspirés, mais la majorité est quand même satisfaisante. Sans oublier le génialissime titre éponyme qui fait partie de mes préférés. Avec For Those ... AC/DC commence à prendre un tournant plus "metallique" et mélodique, moins typiquement bluesy. Peut-être une façon de s'adapter à un monde métallique en mouvement et au succès grandissant des jeunes loups de la NWOBHM. Les années suivantes et les albums suivants prouveront que ce n'était peut-être pas la bonne opération et il faudra attendre la fin des années 80 (et surtout Razors Edge) pour que le groupe rectifie le tir.
Car il faut bien avoue que le successeur de l'album au canon, pour moi, est le véritable début de la vague creuse d'AC/DC.

Le 28 Avril 2004 par POWERSYLV

Gros succès commercial que ce cultissime Back In Black. Les fans ne s'y sont pas trompés : ils ne se sont pas jetés sur l'album uniquement pour rendre hommage au groupe et à un Bon Scott trop tôt disparu, mais aussi tout simplement parce que cet album est excellent et ne comporte aucune faille. Tout comme Highway To Hell et Let There Be Rock d'ailleurs. Ca sera bien le dernier AC/DC dans ce cas (quoique je trouve Razors Edge excellent également).
Un grand coup de casquette à Brian Johnson qui a gardé sa personnalité et n'a pas cherché à faire oublier son illustre prédécesseur (mais était-ce possible ?). L'homme chante avec conviction et c'est sans doute l'album où il fait ça le mieux (son chant étant à mon sens "forcé" sur les autres albums des années 80). Quant aux hymnes, rien à dire, ils sont intemporels et essentiels.