En 1990, le thrash a écrit l’une des plus belles pages du metal dans le monde. Voici un des fleurons le plus représentatif du genre.
Grâce, entre autre, à la venue d’un nouveau chanteur Phil(lip) Anselmo. De plus, le groupe qui jouait du heavy metal conventionnel avant, effectua un angle de 90 degrés avec ce classique qu’est « Cowboys from Hell ».

Une énergie dévastatrice, des riffs plus accrocheurs les uns que les autres, tantôt rapides tantôt apaisants et de grande classe à l’instar de « The Sleep » avec l’un des plus fantastiques solo qu’il m’ait été donné d’écouter !
Il ne faudrait pas oublier non plus l’alchimie qui fonctionne de manière magistrale entre le bassiste et le batteur. Même le son est de la partie. Dire qu’il n’était que 4 pour déclencher une avalanche de plaisir pareil …

Cet album annonçait aussi la venue d’un tout grand représentant du metal et la découverte d’un fabuleux guitariste (à l’époque, Dimebag se nommait Diamond Darrell). Nous avions là un virtuose (auditionné par le Dave Mustaine en personne bien avant !) qui, de ses doigts de Texan, nous a offert les plus belles mélodies qui soient: « Cemetery Gates », « Heresy » et bien évidemment le morceau « Cowboy from Hell » ! Ton destin t’a rattrapé mais ton âme musicale est gravée en chacun de nous. So long man …