Le 26 Décembre 2007 par IDRISS

Objectivement, il n'existe aucun mauvais album de PANTERA et ils sont tous aussi bon les uns que les autres. C'est le seul groupe qui pouvait jouer n'importe laquelle de leurs chansons en live !
Personnellement je comprends que pour ceux qui découvre juste le groupe, ils parlent de "Cowboys" et "Vulgar" comme des meilleurs… Mais moi qui suis fan depuis le départ, je comprends pas qu'on mette ce cd en dessous des autres ! Rien que 5minutes "Alone" et "Im Broken" suffisent à faire taire tout le monde !
Mais surtout la perle de Dime se trouve sur ce cd : Becoming avec les meilleurs armos de tous les temps !

PANTERA for life.

Le 26 Décembre 2007 par NEOW

Le premier CD est vraiment excellent, aucun titre réellement faible, quasiment que des tubes. C'est clair et net, les dix premières années du groupe sont les meilleures ! Ce disque aurait quasiment pu se suffire à lui-même.

Au regard de la track-list, il est très proche des deux premiers Best Of du groupe (Decade of Decadance et Greatest Hits) j'en conclus immédiatement que cette compilation est largement plus intéressante que les autres ! Voyons donc l'autre disque...
Et là, ça se gâte, je serais moins gentil : Evidemment, il y a quelques bons titres (Anarchy in the UK, Primal Scream, Sick Love Song, Street Fighting Man...) mais c'est globalement assez moyen, parfois carrément nul. Le groupe a vraiment eu un gros passage à vide pendant les années 90 (ou alors le choix des pistes a été très mal fait), mais les derniers titres peuvent laisser à penser qu'il y aurait encore quelque chose à tirer du groupe. A voir sur le prochain album ?

Un excellent premier disque, un deuxième mitigé, Red White and Crüe retrace quand même bien la carrière du Crüe et vaut bien son pesant de cacahuètes. Un bon petit 4/5.

Le 26 Décembre 2007 par JESTEB

Un album indispensable de Marillion.
Fish est brillant autant par sa voix que par ses textes. Les solos de Rothery sont beaux à pleurer.
C'est peut-être un album un peu moins prog que les autres, plus rock mais surtout plus sombre.
Un petit chef d'œuvre.

Le 25 Décembre 2007 par MONSIEUR N

En ce qui me concerne, je trouve les morceaux burnés bien peu bandants comparés aux titres calmes et sensuels qui rappelle le SIN/PECADO.

CAN'T BEE m'émeut à chaque fois. LUSTMORD...m'horripile.

Pourquoi tu t'énerves Fernando ?

Le 25 Décembre 2007 par A.M.E

Salut ! Bon ben, Poulpi, je ne partage pas du tout ton enthousiasme (du moins, la meilleure opinion que tu as que moi de cet album). J'avais fait une petite chro à l'époque de sa sortie. Du coup, je la poste ici:

"Une journée de décembre 2005. Les musiciens de Soilwork s'affairent en toute circonstance à décorer le sapin destiné à trôner fièrement dans leur studio d'enregistrement. Alors que retentit la compilation Death Metal Bells - Butchering Xmas, une voix s'élève soudain:

"Bon, les copains, j'en ai marre, je vous quitte !"

Tout le monde stoppe net toute activité. Même la chaîne hifi marque un temps d'arrêt. Les têtes se retournent d'un seul homme vers Peter Wichers, debout, raide comme un piquet, un carton de guirlandes et autres accessoires dans les mains.

"Peter, on a bientôt fini de décorer le sapin, y en a plus pour longtemps, va.
- Non, j'arrête tout. Le groupe, les tournées, j'en peux plus..."

L'homme lâche le carton qui tombe lourdement (au ralenti) sur le parquet Ikea. Une boule de Noël estampillée d'un crâne roule par terre dans un silence de mort. Les musiciens, sciés, regardent Peter faire demi-tour (toujours au ralenti) et disparaître par la porte, dans le blizzard. Rideau.

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Presque deux ans plus tard sort Sworn to a Great Divide, le septième album studio de Soilwork, et donc le premier réalisé sans le principal compositeur du groupe. Pas une mince affaire, quand on sait combien le bonhomme a enfanté de pépites thrashisantes sur les précédents albums du combo. En deux albums brillants, A Predator's Portrait et Natural Born Chaos, Soilwork s'est imposé comme l'un des fers de lance du death metal mélodique, par l'apport de compositions redoutables mariant avec le plus grand bonheur une agressivité foudroyante avec des mélodies tombées du ciel, un contraste rendu encore plus saisissant grâce aux vocaux versatiles de son charismatique chanteur: Björn Strid.

Et même si Figure Number Five est sorti trop précipitamment et que Stabbing the Drama a commencé à diviser les fans à cause de ses contours plus adoucis, le groupe parvenait toujours à créer la différence avec la foultitude de groupes émergés depuis et qui se réclamaient en partie influencés par Soilwork. Une différence de taille: le feeling.

Et c'est sur ce point qu'il y a fort à parier que Sworn to a Great Divide aura bien mérité son nom. Car si le groupe a décidé de pratiquer le même style que sur ses quatre précédents opus, ce serait se voiler la face que de dire qu'il le fait toujours aussi bien. Oh, certes, ça riffe, ça mouline sévère derrière les fûts, Strid assure toujours aussi brillamment derrière le micro (c'est sans doute sa meilleure prestation vocale) mais... Comment dire ? Il manque le truc, la part de magie, ce feeling dont je vous parlais plus haut. En quittant le groupe, Wichers a tout bonnement emmené avec lui tout ce qui en faisait l'identité.

Sur ce disque, Soilwork cherche désespérément à faire du Soilwork. Les onzes titres proposés sont donc autant de tentatives de retrouver ce qui en faisait l'essence. Las, il faut se rendre à l'évidence: Soilwork n'est plus Soilwork, chaque essai ne sonne pas naturel et n'est qu'un coup dans l'eau. "Exile", l'abominable premier single, en est la plus triste des illustrations: un groupe qui se force sans conviction à pratiquer son style habituel, qui n'est plus que l'ombre de lui-même et, pire, qui se fond dans la masse qu'il a en partie engendrée.

Certes, quelques lueurs parviennent à filtrer du fin fond de cette abîme de médiocrité: le riff Slayerien de "Bleeding Thorns", le chant très new-wave de Strid sur le couplet de "Light Discovering Darkness", les bons titres, en creusant, que sont "I, Vermin", "As the Sleeper Awakes" et "20 Miles Away" (on est loin d'un "Shadowchild" et d'un "Black Star Deceiver", néanmoins), mais ces trop brefs instants créatifs ne constituent pas pour autant un bon album, un album au final indigne du groupe et de sa discographie, et en effet promis à une grande division, outre celle des fans: celle d'un groupe avec son génie créatif qui s'est fait la malle."

Voilà mon avis. @+ :)

Le 25 Décembre 2007 par WALID

Ok Metallica ne fait plus du trash surpuissant comme avant.
Ok Metallica ne fait plus des morcaux speed à la "Damage inc"... Et alors??
Cet album est l'un des plus beaux albums heavy de tous les temps: que des hits, une légende quoi. D'ailleurs, je pense que cet album a sauvé le metal du naufrage total, vu que Nirvana et compagnie ont dévasté le monde des charts. Beaucoup de groupes de heavy et de trash ont jeté l'éponge... Nous devons beaucoup à ce groupe et cet album devenu culte jusqu'à nos jours. Hélas, il s'agit du dernier grand album du groupe...
Merci Metallica de nous avoir fait rêver pendant plus d'une décennie.
Chapeaux bas, Messieurs..

Le 25 Décembre 2007 par GOATLORD

Ce type de projet fondé par des types au niveau musical frolant le néant (ben oui, il faut être honnête de tps en tps, Wintherr a un niveau musical équivalent au niveau d'Andy Warhol en peinture, à savoir nul)se partage en 2 catégories : ceux pour lesquels on entre dans le truc et ceux qui laissent de marbre (NUIT NOIRE, vous connaissez ?)
Vous aurez deviné que je situe PH ds la 1ère catégorie, sinon je ne perdrais pas mon tps à écrire ce commentaire. Ce type réussi à créer une ambiance absolument... glacée. A écouter par une froide soirée d'hiver exclusivement, cela s'entend.

Le 25 Décembre 2007 par SABELTANZ

Bah, de toute façon, on le savait depuis le début, RAMMSTEIN on aime ou on déteste... MARQUE D'UN GRAND GROUPE! (Ahah, j'aime bien la ressortir celle-là de temps en temps...)

RAMMSTEIN s'émancipe ici de ses premières amours (LAIBACH, OOMPH!) et ajoute à ses compositions une grandiloquence digne du compatriote Richard Wagner. Il signe à la fois l'album de sa carrière (on peut considérer que ses deux albums suivants sont un peu "resucés") et s'ouvre les portes du grand public. Et qui aurait cru su'un groupe chantant en allemand, faisant une musique difficilement diffusable sur les grandes ondes et parlant parfois de sujets douloureux et tabous, deviendrait un jour aussi grand que RAMMSTEIN?

Album parfait de bout en bout, mention spéciale à "Sonne" (bah oui, un classique), "Spielhur" et "Zwitter" (on n'en parle pas beaucoup de celle-ci, mais le riff et la mélodie sont fantastiques).

@Possopo: "Lost Highway" est un très bon film de David Lynch, non mais! Tout comme "Eraserhead" d'ailleurs introuvable :-(

Le 25 Décembre 2007 par SABELTANZ

Actuellement, RAMMSTEIN est pour moi le seul groupe capable de donner à ses fans un spectacle aux effets et à la prestation ahurissantes, au même titre que PINK FLOYD auparavant. Et non, ne me parlez pas de MARILYN MANSON, ne vous foutez pas de ma gueule!

Ce live est là pour rappeler l'expérience unique qu'est un live de RAMMSTEIN, et montre aussi que les musiciens ne cachent pas un jeu médiocre sous des effets pyrotechniques "cache-misère": même sans les effets, le groupe est bluffant.

Le 25 Décembre 2007 par SABELTANZ

Le coté martial et répétitif de cet album fait partie de son ambiance et pose en effet les bases du style RAMMSTEIN. Le coté "wagnérien" viendra plus tard avec "Mutter" notamment. Par conséquent, c'est vrai que certains titres sont répétitifs, mais la musique indus se sert généralement très bien de ces répétitions; et ici c'est le cas. Et puis "Du riechst so gut" et "Seeman" sont tout sauf banales dans ce style!!!

Par contre, je me permets de mettre un peu la limite au coté "original" de RAMMSTEIN: non, ils n'ont certainement pas été les premiers à faire de la musique très martiale en chantant en allemand avec une voix grave. Justement, le coté "parlé" des lyrics sur cet album le rappelle: RAMMSTEIN doit beaucoup à des groupes tels que LAIBACH ou NEU! pour ne citer qu'eux. Mais rendons à RAMMSTEIN le mérite d'avoir fait découvrir le style au grand jour, avec un courage et une intégrité musicale dont peu de groupes peuvent se targuer.

En effet, combien d'esprits fermés ont qualifiés -grossière erreur- RAMMSTEIN de neo-nazis en entendant ces chants graves allemands et cet univers quelque peu "militaire" (leurs premières chansons sont très carrées et ne laissent que peu de place à la fantaisie et aux changements de rythmes)? Et combien, à la place de RAMMSTEIN, auraient abandonné, au profit des dollars et de la célébrité, leur identité et leur style sans concession?

Alors bien sûr, il est aujourd'hui très facile de casser du sucre sur le dos du groupe, car il est vrai qu'il se laisse un peu trop sombrer dans la facilité dans ses dernières compos, mais rappelons-nous d'où vient RAMMSTEIN et ce qu'il a fait, et repassons "Herzeleid" pour les en féliciter.

Le 25 Décembre 2007 par VOLTHORD

Entre le temps où j'ai écris cette chronique et sa parution en ligne, il n'y a plus que deux morceaux à télécharger de cette démo sur le site, et (bonne nouvelle), DARKFLIGHT a trouvé un (petit) label pour sortir son prochain album en 2008.

Sinon Joyeux Noël^^^.

Le 25 Décembre 2007 par DIDIER

Un album très éprouvant à l'écoute. A l'époque, il n'y avait pas facilement plus insoutenable.

Meilleur son et meilleures chansons que sur le premier cependant, notamment la nouvelle version de "Merciless Death".

Le 25 Décembre 2007 par TERRY

Un live puissant, rien à y redire. LE live du hard rock. LE live du rock ?
'Well...Could beeeeeeee...', comme dit souvent chez Tex Avery.

Le 24 Décembre 2007 par OLIV

Ah Feel The Fire . C'est quand même un excellent album . Pour le "pompage" ça reste plutôt discret (bon, sur Rotten To The Core, ça ne passe pas inaperçu non plus). Mais franchement, ça change pas grand chose. Les morceaux sont des tueries. Raise The Dead, le superbe Hammerhead et le furieux Blood And Iron (mon préféré). La production sonne très 80's typiquement comme je les aime. Le chant de Bobby Blitz accroche parfaitement à la musique !

Un excellent album en somme!

Le 24 Décembre 2007 par TOUFMAN

Dark Tranquillity s'essaye un peu à écrire leur "Slaughter Of The Soul" mais feu At The Gates n'a vraiment pas de quoi s'inquiéter. Mes aieux, il bourrine cet album ! Mais qu'est ce que je m'ennuie (à faute d'autres mots) quand je l'écoute... Je relève la tête quand "Lost To Apathy", "Am I 1 ?" et "My Negation" prennent le relais sur ma platine mais le reste me semble une bouillie sonore sans relief. Pourtant, les éléments utilisés sur le formidable prédecesseur Damage Done sont bien là : manque juste le travail de composition, quoi...

Le 24 Décembre 2007 par TOUFMAN

Même si le premier titre rappelle certainement Children Of Bodom, le reste de la galette s'envole à des lieues de la bande à Laiho. Et franchement, le travail de composition est impressionant. L'album est trés riche en ambiances et en styles ; Black ? Viking ? Death Melo ? Trash ? Heavy Metal ? Vous reprendez bien un peu de tout ça, ma p'tite dame ? Jari Mäenpää a vraiment servi les petits plats dans les grands avec cette galette et cette fusion des styles fait mouche à chaque titre. En fait, y'a pas que l'école qui devrait être obligatoire, mais aussi cet album de Wintersun ^^

Le 24 Décembre 2007 par GOUNOUMAN

Mon constat sera moins sombre, mais à l'évidence il s'agit du moins bon album du groupe...

Mais ne boudez pas pour autant les précédents opus de la troupe irlandaise (et notamment "The Middle Kingdom" et "Folk-lore") qui offrent d'excellents moments !

Pour revenir à cet album, faut bien l'avouer, "The Morrigan's call", malgré quelques mélodies de qualité, ne décolle jamais vraiment. Très moyen donc, et pas franchement inspiré... Déception.

Le 24 Décembre 2007 par ARAêL

Je vais m'étendre ici un tout petit peu sur la chronique, étant donné la rareté de textes français évoquant le fantastique Paysage d'Hiver, l'album éponyme comme l'oeuvre entière. En tant qu'admirateur absolu de l'univers de Wintherr, je sais ô combien il est difficile de poser des mots sur son extraordinaire musique. Je remercie donc l'auteur de cette chronique pour avoir su "raconter" avec tant de justesse son expérience. Pour ma part, je ne peux pas m'engager ici à décrire ne serait-ce qu'une parcelle d'émotions de ce que je peux ressentir à l'écoute de "Welt Aus Eis" par exemple, sinon ce commentaire deviendrait un véritable roman.

J'espère que d'autres chroniques aussi réussies suivront.

Le 23 Décembre 2007 par J.BEURRE

Et bien mes enfants, quelle baffe ! Avec cet époustouflant The Atrocity Exhibition, EXODUS doit certainement faire pâlir n'importe quel groupe de Thrash Metal sur cette "douce" planète. En effet, on tient là l'un des tous meilleurs albums de Thrash Metal de ces dernières années, à ranger sans conteste aux cotés du fantastique Enemy Of God de KREATOR.

On assiste tout au long de ce magnifique The Atrocity Exhibition" à un flot continue de décibels, certes furibonds, mais diablement contrôlés et hautement techniques. Et oui, EXODUS nous balance dans la tronche des morceaux plus meurtriers qu'un direct du légendaire boxer Mohamed ALI et la prod est vraiment énorme. Les riffs nous arrivent en pleine face et on déguste grave.

Après une intro de premier plan suivi d'un premier titre ravageur, arrive 2 morceaux de choix "Funéral Hymn" et Children of a worthless god" ( peut-être bien mon préféré celui la) Ces 2 longues pièces sont admirables de maîtrises, jamais ennuyeuses et pleines de rebondissements.
Le son est vraiment balaise. Les riffs tranchants suscitent de l'admiration. Quant aux multiples solos de grattes, ils sont inspirés et leurs puissances vous tuent, point barre.

Si "As it was ..." s'avère plutôt de facture classique, il lui succède le morceau éponyme qui lui aussi fait parti des moments forts et jouissifs de cet LP et devant tant de violences, remarquablement maîtrisées, on est carrément scotché sur place. Les 3 derniers morceaux ne sont pas en reste, ça bastonne à tout va. Bref, à l'écoute de cet album, vous vous retrouvez allongé, KO, le foie méchamment meurtri.

En conclusion, si vous avez adoré le délectable Enemy Of God de KREATOR, alors foncez tête baissée chez votre disquaire préféré. C'est tout aussi bon.

Le 23 Décembre 2007 par ALBIRéO

Sympa.
Voix très agréable, compos inspirées (qui s'affaiblissent en fin de disque, à part "State of mind"), production de très haute qualité, jeu de guitare agréable (qui aurait mérité d'être joué par une guitariste plus virtuose)

C'est très agréable, pas ennuyeux et pas prise de tête… J'ai aimé !