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DREAM THEATER - When Dream & Day Unite (1989)
Par JEREMY le 22 Mars 2006          Consultée 17022 fois

L’histoire de DREAM THEATER commence à la fameuse école de Jazz de New York, la Berklee High School Of Music. John M. et John P. sont deux amis d’enfance. L’un joue de la basse, l’autre excelle à la six-corde. Les deux sont fans d’Iron MAIDEN. Un jour, ils remarquent sur le dos d’un batteur un T-Shirt à l’effigie de TALAS, autre groupe à vocation électrique. Mike devient leur ami, et les trois commencent à répéter ensemble. Kevin, qui était au lycée avec les deux John, les rejoint rapidement. Un chanteur, Chris Collins, arrivera peu après pour compléter le line-up de Majesty, mais sera remplacé par Charlie Dominici peu après.

Pour des raisons légales, Majesty devient DREAM THEATER, et enregistre un premier disque, « When Dream And Day Unite » en 1989. A ce propos, le changement de nom ayant eu lieu à la dernière minute, il est encore possible de trouver sur google les images de la pochette originale, avec le nom de Majesty dessus. Huit titres composent ce CD pour une durée de 56 minutes. On sent déjà le groupe à l’aise avec les longues pistes, ce qui en fera une de ses marques de fabrique plus tard.

Bien que réellement en dessous des chef-d’œuvres que composera le groupe par la suite, « When Dream And Day Unite » est un bon album de metal progressif qui vaut amplement le détour, ne serait-ce que pour voir le nombre de groupe de prog qu’il influença. De plus, Charlie Dominici, bien que souvent décrié et manquant quelque peu de « coffre », s’en tire avec les honneurs, surtout sur les titres les plus heavy (« A Fortune In Lies », « Afterlife »), où sa voix atmosphérique colle parfaitement à la musique. Mais la véritable identité de DREAM THEATER s’écrit avec le titre « The Ytse Jam », longue piste instrumentale, où la technique est mise purement et simplement au service des émotions. Les nombreux changements de rythme alliés à des mélodies imparables font de ce titre l’un des plus cultes de DREAM THEATER, et vaut à lui seul l’achat du disque.

A la liste des très bons titres qui ponctuent cet album, on notera, en plus des pistes citées plus haut, l’excellent « The Killing Hand », riche, varié et chargé d’émotion. A un niveau moindre, on appréciera « Status Seeker », et « Light Fuse And Get Away ». Les autres titres, bien qu’inférieur qualitativement, ne sont pas ici pour l’anecdote : « The Ones Who Help To Set The Sun » ou « Only A Matter Of Time » sont fréquemment oubliés par le groupe en concert, mais pas forcément à juste titre. Même si on ne peut qu’admettre que DREAM THEATER fera beaucoup mieux plus tard.

Bien que souffrant d’un mixage très moyen, « When Dream And Day Unite » mériterait sans aucun doute une étoile de plus s’il n’avait pas été composé par un tel groupe, mais au vue des albums suivants (« Images And Words », « Metropolis Part II – Scenes From A Memory », « Six Degrees Of Inner Turbulence », …), il est quand même un cran en dessous. Un album de qualité, bien que relativement banale… Mais finalement, quoi de plus banal qu’un groupe anonyme parmi tant d’autres ? Mais ce que ne savent pas encore Kevin, Mike et les deux John, c’est qu’ils ne vont pas tarder à écrire ensemble les plus belles pages de l’histoire de la musique progressive…

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   (2 chroniques)



- Charlie Dominici (chant)
- John Petrucci (guitare)
- Mike Portnoy (batterie)
- John Myung (basse)
- Kevin Moore (claviers)


1. A Fortune In Lies
2. Status Seeker
3. The Ytse Jam
4. The Killing Hand
5. Light Fuse And Get Away
6. After Life
7. The Ones Who Help To Set The Sun
8. Only A Matter Of Time



             



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