Hello,

Ceux qui suivent PGC pourraient dire que « Nico des Savanes » n’est qu’une variation de « Mentor, mentor ». Soit toujours l’histoire d’un petit con qui se croit plus malin et d’un « grand-frère » par procuration qui ne sait plus trop comment contenir la bestiole.

Sauf que non pas tout à fait.

Déjà parce que le « Nico » en question était un hardos, devenu jazzeux par la faiblesse des choses. Puis parce que ça va plus « loin », que le final vous laissera sans doute mal à l’aise mais pas comme dans « Mentor ». Puis surtout parce qu’il est en réalité question de deux pions dans un système, d’une partie d’échecs à sens unique. Sur fond de Satriani et de Malmsteen.

Les chemins de la musique mènent-ils tous au Jazz ?
(Question subsidiaire : Même quand à la base, on est fan de Metallica ?)

Après, il y a ceux qui aiment PGC et pour ceux-là pas tellement la peine d’en dire plus. Et il y a les « autres » (les mécréants) qui s’en foutent et pour ceux-là je dirais simplement que dans « Nico des Savanes » il est question de Slash qui joue comme une brèle comparé à Steve Vaï et d’un certain Allan Holdsworth qui boufferait soi-disant trois Joe Satriani au petit déjeuner.
Alors merde, si avec ça vous n’êtes pas intrigué(e)…

Je poste cet édito avec un peu de retard par rapport au site « volontairement » et pour deux raisons : 1) ça sera la saga « nimienne » de l’été pour ceux qui veulent 2) au moment de la publication sur PGC on était en plein reports de festivals (priorité à l’actu quoi…).

M’enfin, ça vous fera de la lecture d’un coup et sans « suspens » infernal entre deux épisodes.

Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
Partie 5


RDV à la rentrée pour une nouvelle chronique.
Bonne lecture !

Canard WC

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