Oh et puis, si, la prod a bien sur son importance dans le Stoner, enfin, pour KYUSS, c’est certain. Chris Goss a fait des merveilles et franchement le groupe lui doit en grande partie son son.

"Welcome To Sky Valley". Meilleur album de tous les temps.

"Welcome To Sky Valley" et "Blues For The Red Sun" valent aussi le détour.

Je dirais comme Long John, surtout parce qu’il est "plus" Stoner. Mais celui-ci est indispensable également. Indispensable juste pour la musique.

LJS a raison. "And The Circus Leaves Town" est néanmoins très bon et c'est avec lui que j'ai découvert le Stoner.

Je pencherais pour l'album sans titre désormais connu sous le nom "Welcome To Sky Valley".

Je pense que vous êtes cinglés de chercher des similitudes dans les enchaînements d'accord à tout bout de champs. Vous allez y perdre la tête...

Les riffs ne sont pas les mêmes, ne sont pas introduis similairement, ne jouent pas le même rôle.

C'est une ressemblance absolument insignifiante.

"Into The Sun", merci pour ta réponse. Je viens d'écouter l'album sur Youtube et le reste n'a rien à voir avec ce morceau vu que c'est du Hard US. Etonnant.

J'ai ce sampler et à l'époque j'avais été (agréablement) surpris par l'orientation prise par VADER sur ce titre. Et là surprise, en lisant ta question et en écoutant le morceau sur You Tube je m'aperçois qu'effectivement ce n'est pas le même titre que sur le sampler Hard Rock Mag... Donc qui est ce mystérieux groupe ?

1) Google : sample 47 hard rock
2) https://rateyourmusic.com/release/comp/various_artists_f2/cd_sampler_47/
3) Masquerade - My Dying Days
Voilà

Prends 5 min de ton temps pour regarder un clip ou une vidéo de concert et tu auras ta réponse.

Fin 1979, Judas Priest cherchait à présent un tempo heavy et non un son orienté groove, avec moins de jeu compliqué inspiré par le Jazz de Binks.
Lorsqu'on lui a demandé s'il pouvait changer de style, Binks a répondu que c'était impossible, et ils se sont séparés en termes amicaux juste avant le début de l'étape nord-américaine de la tournée "Killing Machine". Binks a déclaré dans une interview en 2017 qu'il
est parti parce qu'il avait été embauché comme "batteur de session indépendant" pour JUDAS PRIEST.

Pour corroborer mes dires, voici le lien où l'on peut trouver l'interview de Les Binks postée sur le site de K.K. Downing (www.kkdowning.net) en Mars 2017 : http://kkdowning.net/steelmill/Interviews/beyond-realms-les-binks/

Les Binks a quitté JUDAS PRIEST à cause du management avec lequel il y eut une embrouille.
La raison en est que le batteur n'étant pas sous contrat avec la maison de disque (en l'occurence CBS pour le Royaume-Uni, Columbia aux U.S.A. ou Epic/Sony pour le Japon) il ne recevait donc aucune royaltie sur les ventes de disques. celui-ci était donc payé au cachet pour chaque nouvel album mais le hic c'est qu'à l'époque de la série de concerts que le groupe devait donner au Japon en Février 1979, Binks ne fut pas informé qu'un enregistrement devait se faire pour un futur album en public. ce n'est qu'arrivé sur place qu'il a découvert le studio mobile ainsi que les divers techniciens et ingénieurs du son. Il en parla donc au manager (Mike Dolan) qui a plus ou moins éludé la question en disant au batteur que c'était juste un enregistrement fait pour Sony (mais pas forcément dans le but d'en faire un usage commercial !) et de ne pas s'inquiéter pour l'aspect financier qui serait réglé plus tard.
À l'arrivée, Les Binks ne fut jamais payé pour la série d'enregistrements de ce qui allait devenir l'album live "Unleashed In The East".
Il ne fut pas invité au moment de l'écoute des bandes et du mixage, le groupe ne l'ayant apparement pas soutenu vis à vis du management.
Les Binks décida donc de quitter JUDAS PRIEST à l'été 1979 (l'album live au Japon paraîtra deux mois plus tard).

Merci pour tes explications.

C'est bien ce que je soupçonnais. Tout en espérant une improbable accointance avec le Metal chez ce bon Orson.

Tu as mis le doigt dessus, il suffisait de mettre un paquet de fric sur la table. À ceci près que le paquet n'avait probablement même pas à être si gros que cela. Si Orson Welles est à juste titre considéré comme un génie du septième art, ses relations avec les studios ont toujours été chaotiques et il a dû financer lui-même beaucoup de projets dont bon nombre n'ont jamais pu être achevés faute de budget (Don Quichotte, The Other Side of the Wind...). Il a donc dû accepter pas mal de propositions "alimentaires" surtout sur la fin de sa vie dont des publicités télé, des talk-shows rémunérés et des voix off (il était la voix originelle de Robin Masters dans la série Magnum)... Et les narrations de "Dark Avenger" et "Defender" pour MANOWAR qui ne devait pas disposer d'un budget mirobolant pour un premier album. Les deux ont été enregistrées en même temps au studios Media Sounds de New York même si la seconde est sortie deux ans après sa mort.

A Jeff: "Il dit qu'il voit pas le rapport."

Quel rapport entre le fait que j'ai été grand fan du groupe et cette interview ?

De plus, être fan d'un groupe ne signifie pas perdre toute objectivité, je n'ai clairement pas encensé "Pariah's Child" qui vaudrait tout juste 2,5 avec le recul. Et je n'aurais clairement pas mis 5/5 à "Stones Grow Her Name" moi !!
Et un bon 0 pointé au "Ecliptica Revisited" immonde.

Donc plutôt que sous entendre que j'aurais pu retranscrire une interview comme un fanboy, demande-toi peut-être si ce n'est pas toi qui a un peu sur-réagi à sa lecture.

Je nuancerais seulement en précisant que l'interview a été réalisée par notre ami Guillaume Fleury (alias Fightfirewithfire), à la grande époque membre du fan-club français et qui considère "The Ninth Hour" comme leur meilleur opus depuis longtemps.

Bonjour,

C'est une interview de Tony et de Henrik. On apprend que Tony s'occupe du business et du côté artistique. Il a écrit tous les morceaux et il a validé le résultat final.

Henrik dit qu'il préfère travailler quand Tony n'est pas là pour le surveiller et Tony répond qu'il préfère être là pour les guider et éviter les retours dans le style "C'est naze".

Tony apparaît comme le leader incontesté mais malgré cela, ça ne m'a pas donné l'impression d'une mauvaise ambiance dans le groupe et ils rigolent beaucoup pendant l'interview.

Question effectivement TRÈS intéressante, ce qui justifie que ma très modeste personne y réponde dix ans après. Mais j'arrive à un âge où les questions de temps ont beaucoup moins d'importance... J'ai commencé à acheter des disques, vyniles forcément, à l'époque où Bon Scott, John Bonham ou Bob Marley étaient encore vivants, où un certain Paul Di Anno frontait IRON MAIDEN et où mes parents avaient encore le droit de m'empêcher de faire 50 km en stop (et en soirée) pour aller voir THIN LIZZY et MOTÖRHEAD. Alors j'ai eu tout le temps et le loisir de voir arriver et d'analyser (avant d'apprécier !!!) les Speed Metal, Thrash, Black et Death. Je pense (je sais, je fais des choses folles) pouvoir me représenter l'arbre généalogique de tous ces mouvements, en concevoir les géniteurs, les précurseurs, les magnifieurs et les suiveurs de chacun d'eux pour en avoir bouffé, parfois jusqu'à plus soif, leurs disques, vu leurs concerts, en avoir parlé avec de plus fans-esthètes encyclopédiques ou de plus détracteurs-esthètes encyclopédiques que moi. Mais c'est justement à ce stade de la réflexion que je situe l'hyper-légitimité de la "Question effectivement TRÈS intéressante". Pour quelqu'un suivant de très près le genre et/ou ayant une consommation intense de sa production,je parle du Metal en général, il est facile (quoique pas toujours...) de séparer le bon grain de l'ivraie, de se créer son petit panthéon personnel et de décoder les analyses et critiques en fonction de ses propres (oui je sais, "propre" en parlant de Metal Extrême...) préférences. Je ne peux m'empêcher de penser à ces grands débats où je me suis vu soutenir mordicus (expression de vieux) que chacun de ces courants, ou membres, n'était qu'une évolution somme toute abatardie du courant précédent dans le sens où le prisme d'influence se resserrait forcément au fur et à mesure. Si on prend n'importe quel groupe de Black (ou Death) (ou Prog Metal) (ou Doom) (ou...) actuellement et qu'on analyse la génèse de son style, on ne peut, hormis l'immanquable mauvaise foi, réfuter que chacune de ses influences n'ont, elles-mêmes, gardé comme influence,qu'un spectre de plus en plus retreint de ce que faisaient leurs ainés. Et ce même si sur des points particuliers (je pense à des SHINING, CYNIC, TACTILE GEMMA, ENSLAVED... Liste surtout pas exhaustive) on les reconnaît à la première écoute tant leur style est particulier !!! Mais ce n'est pas le cas général. Ou comment passer, en caricaturant peut-être fortement, de Chuck BERRY à HENDRIX, d'HENDRIX à SCORPIONS, de SCORPIONS à la NWOBHM, de la NWOBHM au Speed 80s, du Speed au Thrash, au Black, au Death... Les différences se faisant beaucoup moins nettes à l'observateur extérieur entre, par exemple, BENIGHTED et EXHUMED qu'à l'auditeur moyen écoutant TEN YEARS AFTER ou LED ZEPPELIN même si tous deux se situent dans le même style Hard Blues. D'où la question éminemment pertinente: "je voulais juste savoir sur quels aspects les amateurs de Death, de Black ou de Grind jugent-ils la qualité de leurs références ?" qui ne peux QUE se poser quand l'oreille moins aguerrie d'un moins acharné se pose sur leur musique. Question à laquelle, en toute mauvaise foi mais je m'en fous vu mes acouphènes, je réponds : suis les conseils/critiques te dirigeant vers les meilleures productions, écoute ces prods en laissant tomber tes a priori et en ne gardant que ce qui te touche réellement (vu la multitude de choix, il devrait forcément t'en rester) et garde ton ouverture en continuant d'écouter de TOUT pourvu que ça te touche. L'avis d'un vieux qui se tape un excellent bootleg de Dickie Betts (ALLMAN BROTHERS BAND) avant de se faire le dernier ANNIHILATOR qu'on m'a dit très bon...

Salut !

Bon, je vais tâcher de répondre précisément et uniquement à la question posée, soit : "sur quels aspects les amateurs de death, de black ou de grind jugent-ils la qualité de leurs références ?"

- Critère n°1 : l'influence du groupe.

Si le groupe a contribué à donner naissance ou à faire progresser considérablement un style de metal (death, grind, black...), que ce soit musicalement ou conceptuellement. Exemple : le groupe DEATH, le "Slowly We Rot" d'OBITUARY, HELLHAMMER pour les prémices du black...
Et si les zicos qui jouent la même musique s'inspirent ouvertement de lui, alors on tient déjà l'un des aspects qualitatifs référentiels. Mais c'est loin d'être le plus important.

- Critère n°2 : la qualité musicale intrinsèque.

S'agit pas de jouer n'importe quoi. Pour ma part, je juge une bonne partie de mes références musicales sur le talent des musiciens au niveau du jeu, de la technique, de la composition... Exemple : HATE ETERNAL, CANNIBAL CORPSE, CYNIC, ATHEIST... Ou EMPEROR dans le black.
Surtout dans le death metal, car c'est un style qui nécessite d'être techniquement excellent et musicalement capable, car on ne joue pas des chromatismes, des dissonances, des arythmies simplement en empoignant sa gratte et en "crachant", comme diraient les Inconnus dans leur parodie des Guns, "Poésie" (grand moment).

Concernant le black, ce critère est moins important, car ce n'est pas une musique qui nécessite forcément d'être un musicien chevronné (tout comme le hard boogie d'un autre côté).

- Critère n°3 : le son et le concept.

Cela vaut pour les trois genres. Ce ne sont pas des styles musicaux "positifs", on attend d'eux qu'ils transportent, qu'ils oppressent, qu'ils mettent mal à l'aise ou qu'ils soulagent. La qualité d'un groupe tient aussi dans sa capacité à instaurer des ambiances, à emmener l'auditeur "ailleurs", à illustrer musicalement le concept pictural qu'il exploite, à imager le plus adéquatement possible ses textes.

Voici ce qui permet de référencer le mieux possible des groupes de qualité, des "références", comme tu dis, dans le metal extrême.

Et toi, relis mon commentaire !
(Même si il est pas très clair...)
Non, en fait ce que je voulais c'était simplement faire une analogie (qui vaut ce qu'elle vaut, je l'admet) : comprendre le metal extrême pour un hardeux, c'est un peu comme comprendre le heavy metal pour un rappeur (j'ai dit que ça valait ce que ça valait...). Tu ne peux comprendre correctement un style que si tu t'y plonges et que tu tâtes un minimum. C'est ce que je préconise.
D'ailleurs, je crois avoir donné quelques éléments de réponse à la question posée : j'ai parlé de qualités référencielles extrêmes comme paroxysme de celle du heavy. Et mon troisième paragraphe traite de l'essence même des qualités recherchées.
Enfin, tout ça pour dire que je donne ce que j'en pense, mais qu'en fin de compte, on a beau essayer de théoriser, l'esthétique est surtout une question de ressenti : on peut IMAGINER l'effet recherché par tel style de metal, mais COMPRENDRE ce même effet me parait plus dur. Bref, c'est de la querelle sémantique, mais je suis sur qu'au fond tu as mal lu ma réponse...
Allez, je t'en veux pas, j'ai conscience de ne pas avoir été très clair, je m'en excuse et ça me frustre. C'est d'ailleurs pour ça que je prends la peine de me justifier. Pour ma peine, je vais quand même les faire ces exercices !
Sans rancune !

Nabomouette, relis la question stp.
On parle des qualités des références extrêmes, pas des métalleux !!!
Hors sujet mon garçon!

- "Votre carnet de correspondance!
Et pour demain, vous me ferez tous les exercices... Plus le problème page 666 !!!"

Effectivement, voici une question trèèèèès intéressante, que je me suis moi aussi beaucoup posée alors même que j'aime ces styles (et je ne vois pas en quoi ça serait de la provoc', chacun ses goûts, non ?). En fait, le problème c'est que tu te places de ton point de vue (ce qui est on ne peut plus légitime) de mec qui aime le heavy, le prog, le hard ou que sais-je. Mais au fond, beaucoup de personnes dites "normales" se posent exactement la même question concernant le metal en général ! Tu ne comprends pas comment on peut aimer les hurlements de brebis égorgées, mais pourquoi devrait-on aussi aimer les guitares saturées et les blast-beats ?
Au fond, je crois que tout est une question d'esthétique : il y a une esthétique du metal (un son particulier, j'entends), il y a une esthétique de l'extrême (qui n'est que la précédente poussée à son paroxysme, quand on y réfléchit), qui touchent chacune le public qui y est sensible.
Il suffit que le son parle, à mon avis. Moi je prends mon pied sur la brutalité du death, sa puissance et ses riffs tranchants, mais aussi sur du black qui te fout mal à l'aise et remue ton côté obscur. Même MARDUK est écoutable, pour peu qu'on soit du genre à aimer se masturber non stop pendant une heure. Pour le grind, je suis pas super fan mais j'imagine qu'il s'agit d'un amour de la boucherie et de l'efficacité.
C'est vrai qu'il est difficile de comprendre une musique à laquelle on n'est pas sensible : quand on écoute du metal, il faut toujours faire face à l'incompréhension de bons nombre de gens à qui ce son ne parle pas. C'est un peu le même problème avec black metal et compagnie.
Bon, j'espère avoir répondu à ta question, et surtout avoir été clair (ce dont je doute fortement, mais tant pis). A plus ;)

Il ne faut pas oublier que ces 3 styles (Death, Grind, Black) sont l'apanage de la jeunesse... Donc de la révolte contre un certain ordre établi... Personnellement j'ai écouté à partir de 16 et jusqu'à 30 ans les trucs les plus violents et excitants : La musique Punk et Hardcore, SLAYER, le Death, un peu de Black avec EMPEROR et MAYHEM...

Maintenant j'ai 40 berges passées et force est de constater que je ne décolle plus avec ceci. Pire ! Je me replonge avec nostalgie et délectation sur les vieux MOTORHEAD (Overkill), LED ZEPPELIN, BLACK SABBATH et surtout le Rock Prog des 70's. Donc, il faut que jeunesse se passe.

Mais je tiens à affirmer que ces styles extrêmes ne le sont que dans l'expression musicale et que ses auditeurs sont forcement mélomanes, attentifs et lucides ; bien loin des pauvres brebis près à ne jurer que par TOKIO HOTEL, la starAc, NTM... et TF1.

La question est simple mais la réponse peut être encyclopédique car bien souvent les amateurs de ces styles en sont passionnés.

Concernant le Grind je ne connais pas car je n'apprécie pas. D'autres répondront à ma place.

Concernant le Death, il y a plusieurs critères et plusieurs écoles. Les qualités intrinsèques à ce style sont :
- la technique (bourrin par opposition au feeling du jazz)
- l'aspect "groovy" des compos : on dit souvent que c'est bon, pas que c'est beau !
- le son massif et la voix la plus surnaturelle possible.
- l'aspect glauque, morbide, putréfié des compositions : une ambiance de mort quoi !

C'est succin mais je ne prétends pas tout savoir ! Les écoles se font en fonction des priorités :
"old school" pour l'aspect grade et le groove ;
"brutale" pour la technique et le son ;
etc...

Pour le black c'est pareil, il y a plusieurs écoles. En général les amateurs recherchent plutôt une ambiance, un malaise, une émotion. La musique a moins d'importance, pourvu que ça soit fait avec des tripes. Le black qui est une musique extrême s'écoute à tête reposée. Le but étant de se laisser gagner par une ambiance et là c'est gagné !

Pour résumé le Black se rapproche un peu du classique pour sa façon de l'écouter et des raves pour l'aspect UG. Le Death s'écoute à la fois comme une musique où l'on recherche le headbang et comme le jazz pour la technique.

Vaste question. En fait, tout ceci est du flan. Je m’explique. Le Death, Le Black ou le Grind ne sont pas foncièrement différents du hard rock car la trilogie guitare / basse/ batterie (qui est la base de la musique rock) les unis... Seul l’accordage et les techniques de jeu changent considérablement.

Donc, pour répondre à ta question je dirais que l’amateur de Death Metal (que je suis) aime la rythmique et le groove (au même titre que le Heavy ou le Hard Rock). L’amateur de Black Metal (que je ne suis pas) aime plutôt l’intensité et l’ambiance maléfique (tout ceci est bien sûr du décorum, sans gravité et il ne faut pas être sataniste pour apprécier un disque). L’amateur de Grindcore (j’en suis) aime la rapidité (oh oui) et l’exubérance (la folie ? Très proche du punk et de Hardcore, quand même).

Les critères sont donc différents (comme tout à chacun). Je comprends que tu prennes des gants mais il ne faut pas aller trop loin : Les amateurs de metal extrême (donc) ont exactement le même comportement qu’un amateur de Hard Rock classique. A savoir : ressentir la musique, le feeling, les mélodies, l’accroche, le groove, l’envie de headbanger, bref de prendre son pied comme n’importe quels autres hardos qui se respecte. Voilà.

Anna Baba (dernière petite amie japonaise de Bon)...
... Certains morceaux, j'aurais pu les expliquer tellement bien, avec beaucoup de confusion et de larmes.
Ceux qui se disent des potes et déclarent qu'ils n'ont rien piqué à son répertoire, l'ont fait avec un insolent culot.
Quelle bande de sournois !
"Shake A Leg", "Rock'N'Roll Ain't Noise Pollution", "Have A Drink On Me"... Et d'autres étaient de toute évidence issues de sa composition dans son cahier répertoire.

En 1997, Angus confia au magazine "Rolling Stone" (australien) :
On avait des chansons qu'il avait écrites et on voulait les finir.
Bon avait assisté à des sessions pour "Have A Drink On Me" (titre définitif) et "Back In Black" (titre non défini).
"Rock'N'Roll Ain't Noise Pollution" fut créée après que le concierge des logements où vivait Bon en 1980 s'était plaint du bruit à une heure tardive (dû à la chaine hi-fi de Bon).

Bonjour,

Il me semble avoir lu à plusieurs reprises que l'album a été totalement réécrit après le décès de Bon Scott, et aucune piste qui avait été composée avant qu'il ne passe l'arme à gauche pour le successeur de "Highway To Hell" n'a été gardée.

Il me semble que non.
Je ne suis pas expert en la matière, mais, outre le fait qu'il me semble déjà avoir lu que ce n'était pas le cas, il me parait assez évident que si ces bandes avaient existé, elles auraient été sorties d'une façon ou d'une autre, depuis fort longtemps : soit officiellement, soit, plus probablement, sous forme d'un bootleg.

Ok. Au moins y a le DVD, Merci de la réponse !!!

Eh bien, non, il y a aucun booklet, rien, nada, même pas une petite pagounette. Le digibook est juste un joli écrin pour les 2 CD et le DVD.
En revanche, l'acheter c'est s'assurer de la possibilité d'écouter et mater ce super spectacle plus confortablement que sur YouTube...

Il y a une légère ressemblance en effet, ceci dit, la chanson de FLEETWOOD MAC composée par Christine McVie est bien meilleure à mon sens. Il est effectivement possible qu'il y ait une influence étant donné que cet album de METALLICA prend une direction un peu plus Rock que les précédents.

Jef.
Contractuellement, si vous ne payez pas vos mensualités de crédit pendant trois mois consécutifs, on parle de déchéance du terme du crédit, c’est-à-dire que tout ce que vous devez encore à la banque devient immédiatement exigible, et vous devez régler à la banque le capital restant du sous trente jours... Quitte à vendre "votre" maison ou à ce que la banque s'en charge pour vous, ce qu'elle est en droit de faire...
Après, je ne sais pas si ils étaient proprios...

Fred, ta réponse est intéressante mais s'ils étaient proprios de la maison que tu mentionnes ils ne pouvaient pas être expulsés... Ou alors peut-être que le fisc anglais a fini par leur envoyer l'huissier pour impôts impayés...

MOTÖRHEAD, c'est 35 millions de disques vendus en carrière, officiellement. Normalement, il y a de quoi en avoir plein les fouilles (sans compter les merchandisings, les milliers de concerts dans de grandes salles pleines à ras bord).

Oui, mais après, c'est vrai qu'il a toujours dit qu'il a passé une grande partie de sa carrière à se faire avoir par d'anciennes maisons de disques qui écoulaient des tonnes et des tonnes de compils sans que le groupe ne touche rien dessus, plus des contrats signés parfois assez foireux pour le groupe.
ça fait beaucoup de pognon qui part sur les 35 millions...


Après, il menait grande vie au niveau de la picole et ça coûte une blinde, surtout à son niveau. Mettons 2/3 bouteilles de whisky par jour à 20 ou 30 boules la bouteille (ou plus ?) plus les bières et les clopes, et ça sur 50 ans.
Ben c'est con, mais ça fait le prix d'une belle baraque, à mon avis. Ou 2 !
Je sais, c'est con, mais c'était Lemmy, un style de vie qu'il ne souhaitait changer pour rien au monde. Il semblait assez généreux aussi et ne courait pas après le fric...

Pour le reste, j'en sais pas plus.
Lemmy ? Le "smicard" du Hard qui aurait dû être millionnaire ? Sûrement une énigme de plus à résoudre pour un personnage qui restera unique, et un mystère sur bien des points...

Je me souviens, en 86-87, le groupe, qui occupait une maison à Londres, avait été expulsé. C'était l'époque Wurzel-Taylor et je crois qu'ils étaient proprios...
À vérifier (source HRM à priori).
Ca n'avait pas l'air d'être la grande prospérité. Je crois que c'est suite à cela qu'il s'est exilé aux USA.

Justement quand il parle avec Thorton, il dit avoir gagné 100000 pour l'album d'Ozzy et que Lemmy a cette époque n'était pas encore ''milionnaire'', mais que cela montait.

Non, assurément Lemmy n'était pas riche.
Il a passé son temps à boire et se faire plumer
Dans le documentaire il discute argent avec l'acteur Billy Bob Thorton et ils comparent leurs revenus.
Lemmy explique qu'il a plus gagné en signant deux chansons pour Ozzy OSBOURNE que pendant toute sa carrière avec MOTÖRHEAD.

Je ne sais pas, mais il faut savoir qu'après "No Sleep til' Hammersmith", les ventes du groupe ont vite dégringolé. En outre, Lemmy a passé son temps à signer des contrats foireux avec des tas de labels différents et n'a à l'évidence pas touché autant de fric qu'il l'aurait mérité. Enfin, il ne faudrait pas oublier sa consommation de clopes, de Jack et de poudre... Tout ceci explique probablement pourquoi le groupe donnait autant de concerts par an.

Ensuite, même si la situation financière de MOTÖRHEAD s'est nettement améliorée depuis les années 2000, avec le retour en grâce des vétérans de la rock music et la multiplication des produits dérivés, il est probable que Lemmy s'est habitué à la vie de nomade et n'a jamais eu de projet privé sérieux à long terme.

Désolé, j'entends absolument pas le refrain des "Rois du monde".
Vraiment pas...

Une mélodie qui pourrait un peu faire penser à l'autre, (et encore, avec beaucoup d'imagination), peut-être, mais absolument pas la mélodie du refrain.
Désolé...

Tu as piqué ma curiosité du coup je suis allée comparer les deux et je te confirme on peut commencer à chanter : "Nous on fait l'amour on vit la vie..." sur les premières notes de "We Are The Wild"

Merci pour ce petit fun fact, je me suis marrée en imaginant "Les Rois Du Monde" version Heavy !!!

Je vois pas trop en quoi Jonathan Valen est devenu "batteur" de JUDAS PRIEST sur cette tournée ! Cette rumeur me parait bien exagérée !
Ok pour le passage de la marche militaire sur "The Sentinel", et les roulements de caisse claire joués sur un kit électronique, ce passage - l'un des moments les plus forts de ce live d'ailleurs - est bien joué par Jonathan Valen. Le son du kit électronique est très différent de la batterie habituelle, et ça s'entend.

Pour le reste, je ne suis pas vraiment convaincu et j'ai du mal à entendre où Jonathan Valen intervient sur "Priest Live...". Je veux bien que l'on m'explique où exactement.
Pour moi, les parties de batterie de "Priest Live..." ne sont pas vraiment complexes et elles sont l’œuvre de Dave Holland, et de personne d'autre. Jonathan Valen intervenait comme technicien pour le matériel de la batterie, pour rendre le son énorme, comme il était de coutume de le faire, durant les années 80 où les avancées technologiques évoluaient très rapidement.

Un simple exemple : sur la tournée suivante de "Ram It Down", il suffit d'écouter l'excellent bootleg "New Haven", et sur ce concert, le son de Dave Holland est absolument énorme. Et Jonathan Valen n'est pas crédité sur cette tournée pour avoir "gonflé" le son de batterie.
Sur cette tournée, le son de Dave Holland n'est vraiment pas éloigné de MANOWAR par exemple. Seul hic : sur le titre "Raw It Down", ça joue vite, très vite même, on peut même parler de speed metal. Et sur ce titre, on voit vite les limites de Dave Holland qui ne jouait pas à la double pédale. Pour l'évolution de JUDAS PRIEST vers des titres plus rapides et "thrashisant", l'arrivée de Scott Travis était nécessaire, pour jouer des titres à la double grosse caisse. Dave Holland n'a jamais joué "Exciter" avec JUDAS PRIEST, il ne pouvait pas le faire car Les Binks jouait de la double pédale dessus.

Pour le reste, Dave Holland était excellent, y compris sur les titres speed comme "Freewheel Burning", "Screaming For Vengeance", "Hell Bent For Leather" ou "Sinner" (joué très speed sur la tournée de 88).

Oui, Jonathan Valen a bien joué avec le PRIEST sur le Fuel for Life Tour. Jeff Pilson de DOKKEN, qui a joué sur cette tournée avec eux, l'a certifié par écrit, et n'a jamais été poursuivi en justice par le groupe. De même, Benji du magazine Rock Hard (et accessoirement président du fan-club français du groupe) l'avait implicitement confirmé lorsqu'il avait chroniqué un livre portant sur l'histoire du PRIEST.

Il n'a pas été recruté pour pallier à l'incompétence de Dave Holland, mais pour doubler ses parties afin de rendre le son plus puissant.

Hello,

Comme beaucoup, je vais dire "Black Hand Inn", sinon tu as "Port Royal" qui est excellent (mais un peu moins speed), "Masquerade" malgré quelques titres un peu plus faibles, envoie bien le pâté.

Dans les récents j'ai plutôt bien aimé "Resilient" ainsi que "Victory" mais ils sont davantage Heavy que Speed également.

"Black Hand Inn" sans hésiter.
Et "Pile Of Skulls" est vraiment excellent aussi, les leads de guitares, les solis et les refrains sont à tomber !

En ce qui me concerne, c`est l'album "Black Hand Inn" !

"Iron Maiden" n'est peut-être par le meilleur album de l'année 1980 tous genres et styles confondus, cependant c'est très certainement l'un des meilleurs albums de Heavy Metal de cette année. Cet album allie sens de la mélodie et agressivité, présente des titres tantôt simples et directs, tantôt complexes et alambiqués ; l'ambiance qu'il dégage est magique.

Disons que MAIDEN a sûrement créé la surprise avec son Heavy à la fois agressif et technique pour l'époque. Et puis entre nous, ce premier album, malgré ses quelques défauts de jeunesse, est franchement bon non ?

La plupart des lecteurs restent des fans de Metal donc je les vois pas vraiment choisir Peter GABRIEL ou YES (auquel je rajouterais le "Scary Monsters" de BOWIE ou le "Closer" de JOY DIVISION).
De plus "British Steel" et "The Game" sont pour moi loin d'être les meilleurs albums du groupe. En Hard Rock/Heavy Metal, même si ce MAIDEN n'est pas mon préféré, je ne vois que "Ace Of Spades", "Heaven And Hell", "Lightning To The Nations" de DIAMOND HEAD et éventuellement "Blizzard Of Ozz" au même niveau.

Bah les classements dans la musique ou tout autre forme d'art,on s'en fout un peu. Ce n'est pas une compétition sportive.
Ce qui compte c'est de se rendre compte à quel point ce groupe a apporté à cette musique, pas de savoir s'il mérite d’être premier ou non. Il n'y a pas de trophée à la fin.
Tout ce qu'on peut dire, c'est que cet album aura été un très important et très influent pour la scène Metal. Et c'est le plus important.

Effectivement, sondage très versatile selon le public et l'année où il a pu être posé...

Dans les albums cités, le MAIDEN resterait pour moi n°1 juste devant MOTÖRHEAD et JUDAS PRIEST.
En élargissant la gamme de styles, on tombe aussi sur BOWIE : "Scary Monsters" et The CURE : "Seventeen Seconds".

Hello,

Boarf tu sais ce genre de votes ou de classements dont assez subjectifs. Ça donne une tendance mais ça n'est pas à prendre comme la sacro-sainte vérité...

Ceci dit dans ta liste, seul le "Heaven And Hell" de SABBATH tient la comparaison, car pour moi c'est le seul qui n'a pas ou peu de titre faible (tout comme le MAIDEN), mais c'est mon avis perso...

MAIDEN N°1... Et pourquoi pas, c'est le public qui décide, donc succès légitime, quand on voit comment le groupe sue corps et âme en live, c'est mérité.

Faut pas oublier...
Ozzy OSBOURNE - "Blizzard Of Ozz"
SAXON - "Wheels Of Steel"
KISS - "Unmasked"
TRUST - Répression"
KROKUS - Metal Rendez-Vous"

1980 est une année charnière et très riche en innovation, avant l'arrivée de la NWOBHM et de
son groupe fer de lance... IRON MAIDEN !

Non, la question n'est pas anodine.
Ce sont certes des accords reggae assez communs, mais sache que l'on retrouve la même partie en boucle sur "Tear Drop" de MASSIVE ATTACK.
Je ne sais pas si William SHELLER est fan de Metal mais c'est un gros fan de Rock pour sûr.

Salut !
J'te connais pas, mais je pense qu'il faut que tu te calmes !
Je trouves que ta question, c'est n'importe quoi !
'Faut arrêter !
Es-tu même sérieux ?
T'accordant le bénéfice du doute, sache que Sheller est fan de Hard Rock. Mais bon...

Hello,

C’est peut-être une question de son... Dans ce cas, comme les commentaires précédents, je te conseille "Diary..." et bien sûr l’excellent Live "Tribute to Randy Rhodes" : niveau titres, "Believer" en numéro 1, "Over The Mountain" (peut-être). Clairement, "Diary..." est moins bon que "Blizzard..." ceci dit. Après, dans les titres excellents (tout dépend des goûts, of course), je dirais :
"Centre Of Eternity", "Waiting For Darkness ("Bark The Moon")
"Shot In The Dark", "Secret Loser", "Fool Like You" ("The Ultimate Sin")
"Bloodbath In Paradise", "Demon Alcohol", "Devil’s Daughter" ("No Rest For The Wicked")

Après, une fois de plus, tout dépend des goûts, sachant que sorti des "Blizzard...", "Diary...", et "Tribute...", le son Ozzy est beaucoup plus produit. Reste BLACK SABBATH...

"Diary Of A Madman", "Believer", "Bark At The Moon", "Forever"... Tu vas te régaler.

En réfléchissant deux secondes va de suite écouter le morceau "Bark At The Moon" sur l'album du même nom.

Si ça ça te donne pas la trique... c'est LA meilleure chanson d'Ozzy et cie pour moi et pour beaucoup de monde.

Étrange que tu n'es pas aimé "No More Tears" en tout cas la chanson titre. La chanson "I Just Want You" sur "Ozzmosis" pourrait te plaire surtout l'ambiance gothique.

"Diary Of A Madman", sur l'album du même nom avec ses violons flippants devrait te satisfaire.

Il faut écouter "Diary Of A Madman" de 1981, la suite de "Blizzard Of Ozz".
Il y a du bandant là dedans, tout du long. Écoute sur ce disque le titre "Diary Of A Madman" ou "Believer" dans le même esprit que "Mr Crowley" ou "Revelation (Mother Earth).