Le 21 Mai 2020 par EAD666

Magnifique album. Ça me rappelle dans la démarche mais aussi dans la musique les albums solo de Greg Graffin chanteur de BAD RELIGION, qui quittait le Punk Rock frénétique pour trois albums Folk de toute beauté.

Le 21 Mai 2020 par FAN'OUILLE

J'ai découvert TRIBULATION en première partie de GHOST, et la scénographie me laissait craindre le pire (la fumée, les skull partout, etc...). Puis le groupe s'est mis à jouer, c'était franchement sympa finalement. Mais celui qui m'a bluffée le plus, c'était Jonathan. Le mec il faut le voir sur scène au moins une fois dans sa vie. Son LP est à son image : délicat, virevoltant, courageux et maîtrisé de bout en bout. Une pépite !

Le 21 Mai 2020 par CLANSMAN57

Lee Tarot aimait beaucoup les mélodies apparemment, il devait faire une fixette là-dessus et honnêtement, ça m'arrange.
Les guitares sont souvent très belles dans l'ensemble, les soli font mouche et sont très bien construits.
Le compositeur ne joue pas sur l'album, mais les exécutants choisis ne sont pas des manchots.
Tommy Bloch me fait un peu penser à Joacim Cans et d'autres fois à Tobias Sammet, en plus sobre toutefois.

La petite touche FM 80s qu'on peut entendre à quelques reprises me gêne un tantinet, plus encore pour un album qui date de 1999, comme sur "Lord Of The Winds", à titre d'exemple, ou encore "Come Hell Or High Water".
Elles s'écoutent, mais j'accroche un peu moins et elles font baisser la qualité de l'album à mon sens.
Le refrain de "Blood On The Horizon" dans cette même veine ne me dérange pas pour le coup, c'est une bonne ouverture.

"Troja", très mélodique, ainsi que "The Giant's Eye", sont excellentes et "The Creature Within" me semble être LA perle de cette odyssée.
Elle est plus ambitieuse, tout comme la plus "orchestrale" et sombre "Kingdom Of The Shadows", assez atypique, ou encore le final "Odyssey".
Le rapide et efficace "Flesh And Blood" est très sympa aussi.
Même la ballade "Flame In The Maze" est assez réussie avec sa petite influence SCORPIONS.

Dommage tout de même pour les quelques chansons plus anecdotiques, comme "The One To Bend The Bow", "Siren's Song" (malgré son joli refrain... drôle d'accélération en dernière partie, après les chœurs de sirènes), "Jaws Of Deep" et les quelques unes mentionnées plus haut.

C'est un bon disque de Heavy-Metal avec quelques franches réjouissances, merci encore à Totof de me l'avoir recommandé:)

Le 21 Mai 2020 par GOLGOTH 68

Je reprends ce que j'ai posté sur FP il y a quelques semaines car mon avis n'a pas changé sur le sujet. Je commente le Blu-Ray qui est le support que j'ai acheté.

"C'est un concert qui fait plaisir à voir et à écouter pour le spectateur et on sent qu'il fait aussi plaisir à tous ceux qui sont sur scène. Les costumes sont assez kitch pour certains mais cela va bien dans le contexte du show.

Côté musique, c'est sûr que celui qui n'aime pas "Into The Electric Castle" trouvera le concert plutôt pénible mais ce n'est pas mon cas.
La deuxième partie du spectacle est plus diversifiée et donne l'occasion à la plupart des chanteurs (peut-être tous à part "les deux morts" je n'ai pas vérifié) de s'illustrer de façon plus isolée."

Je comprends qu'on a pas la même perception du résultat quand on a eu la chance d'assister à un de ces concerts mais je trouve qu'il y a plus de cohérence que dans le "Best Of Ayreon Live" qui par son concept enchaînait les artistes et les morceaux sans réel fil conducteur (je prends toujours du plaisir à le regarder).

Le 21 Mai 2020 par MEGIDDO

David Lee Roth l'a toujours dit, il est plus un entertainer qu'un chanteur. en 1984, le constat était clair, il prenait toute la lumière au sein de VAN HALEN, combo devenu trop restrictif pour continuer à développer son personnage qui lorgnait aussi vers Hollywood. La rupture était inévitable.
VAN HALEN va s'assagir côté excentricité en proposant une musique plus en adéquation avec le monde de MTV et des radios. A contrario, Roth va continuer son délire multifacette à travers ce groupe composé de Diamond Dave et du prodige Steve Vai et du maître de la basse Billy Sheehan. Greg Bissonette derrière les fûts ne profite pas de la notoriété des deux pros du manche mais fait le boulot.
Un mot sur Vai en remarquant que le style du groupe colle parfaitement à ses démonstrations exubérantes et expérimentales, ce qui ne sera pas la cas dans WHITESNAKE.
L'album est à la hauteur de la pochette : fantasque, déglinguée, colorée avec David Lee Roth en gros plan.
Le résultat est très varié, partant dans tous les sens mais que c'est bon. Le chanteur proposant ses divers talents vocaux dans différents styles, le tout avec cette voix chargée en testostérone, à la fois puissante et chaude. Let's party!!
En comparant "Eat 'Em And Smile" avec "5150", on pourrait presque penser que l'esprit Van Halen des débuts est du coté de Roth. "Ladies' Nite in Buffalo?" peut en témoigner.

Le 21 Mai 2020 par BAAZBAAZ

Je fais partie des admirateurs inconditionnels de ce disque extraordinaire... Mais je me demande encore pourquoi. A vue de nez, c'est juste du Hard Rock vaguement sudiste teinté d'AC/DC. Sur le papier, j'aurais plutôt tendance à fuir. D'ailleurs, je l'avais acheté sur la foi d'une chronique dithyrambique mais peu explicite dans Hard Rock magazine, et la première écoute avait été décevante.

Mais en fait, c'est un album incroyable : l'air de rien, par petites touches, il installe un feeling incomparable, avec un côté cool, badass et outlaw qui rappelle parfois le LYNYRD SKYNYRD de "Gimme Back My Bullets" (meilleure époque, donc).

"Wanted Man", par exemple : c'est typiquement le genre de riff bouseux qui m'ennuie en général. Même chose pour "Let it Rock" : du sous-AC/DC, un refrain idiot... Mais en fait le talent est partout. Les musiciens son excellents, les chansons sont parfaitement construites, les mélodies tombent au bon moment... Un grand disque, anecdotique et génial.

Le 21 Mai 2020 par THORPEDO

Je partage totalement l'enthousiasme de Mefisto.
Ce disque est un chef-d’œuvre.
Quel groupe, mes amis!
WILDERUN réussit à être Prog, Folk, Death, Sympho, etc. tout en étant homogène et jamais pompeux.
Les musiciens sont formidables et le chanteur fait merveille dans tous les registres.

Un groupe à suivre qui vient de signer chez Century Media Records...
L'avenir s'annonce radieux pour eux...
À quand la chronique de leur sympathique premier album ?

Le 21 Mai 2020 par STéPHANE

Autant j'avais bien aimé Allen-Lande, autant à l'écoute de celui-ci, je me suis ennuyé à un point difficilement descriptible. Clairement pas fan d'Anette Olzon au départ, j'étais au départ très attiré par l'album quand j'ai vu la pochette (l'artwork est pour le coup magnifique), Magnus Karlsson (je recommande les deux CDs de The FERRYMEN) et Russel Allen.

Je ne sais pas comment vous écoutez les albums mais en général, je me lance dans une première écoute "à l'aveugle", avant d'aller voir s'il y a des critiques en ligne. Et là première écoute : à la fin, j'étais franchement content que ce soit fini.

Je vais voir les critiques : a priori elles sont bonnes. Quelques jours plus tard, je décide de donner une deuxième chance au disque en me convaincant que je n'étais peut être pas dans le bon mood la première fois (on devrait toujours faire confiance à ses premières impressions).

Bon bah cette fois, je me suis arrêté au 4ème titre, et j'étais sûr de mon sentiment : je me suis emmerdé. Cette fois je ne peux plus le sauver. Heureusement qu'on peut pré-écouter les albums, j'aurais été dégoûté d'acheter celui-ci.

En conclusion, pour moi, il manque un truc qui fait que la mayonnaise prend : les riffs sont plats, pas vraiment d'envolées lyriques, bref, un disque qu'on oublie (excessivement) vite.

Le 21 Mai 2020 par BANE

Mon coup de cœur de 2018, sans aucun doute. Une réussite totale et une chanteuse envoûtante. Parfait !
(le nouveau est sympathique aussi, quoiqu'un poil moins parfait)

Le 20 Mai 2020 par KENNEDY ALIVE

Alors là les bras m'en tombent concernant l'unanimité générale qui semble entourer cet album, je le trouve au contraire froid, prétentieux, pompeux, clinique avec le sieur Roth qui en fait beaucoup trop, je ne comprends pas...

Le 20 Mai 2020 par ESKAPEESKAPE

"Dehumanizer" n'est peut-être pas sorti à la meilleure période pour BLACK SABBATH :

- Encore plein de regrets, de haines, de ressentiment et d'incompréhensions entre les membres du SAB'
- Le Hard US à la GUNS N'ROSES fait la loi
- Le Grunge vit à plein tube son heure de gloire
- Les vieux groupes essaient de se repenser (Bruce quitte MAIDEN, Halford quitte PRIEST, METALLICA nous prépare les horribles "Load"/"Reload"...).

Et pourtant, "Dehumanizer" est un GRAND album, il faut savoir l'écouter, ce qui se fait facilement.
Tout d'abord, la pochette est moche et ringarde.
Ensuite il faut faire fi de la production qui est hélas ratée.
En effet, le chant de Dio est parfois trop en retrait et la batterie a trop de réverb' avec une caisse claire qui a un son de casserole, mais les guitares et la basse sont magnifiques, rien à dire.
Malgré ces quelques points faibles, la magie est vraiment là, cet album est truffé de pépites.
Dio a la hargne, les morceaux sont carrés et plein de surprises.

Sur cet album le SAB' nous propose une formule qui a fait les grandes heures de "Heaven And Hell" ou "Mob Rules", voire "Sabotage" c'est à dire mélanger arpèges, chant clair, hurlé, rythmes pachydermiques et accélérations soudaines.
On retrouvera même du "Born Again" dans le titre "Buried Alive".
Classique, me direz-vous ? et bien non, car si les mélanges cités sont attendus, ils n'interviennent pas où on les attend !

Nous avons ainsi de véritables perles "I", "Time Machine", "After All", "Computer God", "Buried Alive", "TV crimes", "Master Of Reality"...

Album sous-estimé du regretté Dio avec un chant pratiquement à son sommet qualitatif, album qui est bien dans le lignée sombre et mélancolique de BLACK SABBATH.
Bien touffu, ni trop long ni trop court, juste ce qu'il faut 4 arrondi à 5 car c'est RJ Dio.

Le 20 Mai 2020 par BAAZBAAZ

Album gigantesque, casting de rêve (quoique très 80s).

Je n'ai jamais compris pourquoi certains considéraient DLR comme un chanteur moyen ou limité. Certes ce n'est pas Freddie Mercury (il n'y a qu'un seul Freddie Mercury !) et il ne monte pas dans les aigus comme le tout-venant du screamer Metal, mais il possède une voix chaude et expressive, tout en étant capable de crier ou de crooner magnifiquement. On le reconnait entre mille. Il en fait des caisses ("Tobacco Road" ou "That's Life" sont un festival outrancier !) mais j'aime bien les effets qu'il met dans sa voix.

Je n'échangerai pas un bon petit verre de DLR contre deux barils de Kiske ou de Dickinson.

Le 20 Mai 2020 par LYNCH

À la découverte de cet album, je ne connaissais pas vraiment ce groupe que j'avais du écouter 2/3 fois que d'une oreille. j'ai finalement pu écouter cet opus à sa sortie et j'ai été scotché, j'ai vraiment adoré sa puissance qui se dégage dès le premier titre. Aucun temps mort, une bonne claque.

Le 20 Mai 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

Très bon groupe et très bon album de Hard Rock à l'ancienne qui fut même étiqueté album du mois à sa sortie en 1986 par Enfer Mag si ma mémoire est bonne. Ici, pas de chichis, ça tape du pied et ça headbangue de long en large. Parfois, un retour aux sources de l'adolescence, ça fait du bien. Merci à ces Bataves d'avoir toujours su assurer à ce niveau, même si là on reste cantonné à une ligue 2 européenne.

Le 20 Mai 2020 par ANCESTOR

Complètement d'accord avec cette chronique. C'est un très très beau disque, une oeuvre d'art comme on en fait peu car elle transporte littéralement autre part. À écouter, encore et encore...

Le 20 Mai 2020 par THORPEDO

Un bien bel album de la version de BLACK SABBATH que je préfère celle avec le grand Dio au chant.
On fêtait d'ailleurs les dix ans de sa mort le 16 mai dernier... Et les douze ans de celle de mon papa aussi, même jour, même maladie.
Du coup, je pense à eux en ce moment (mon papa adorait DIO) et je me remets les albums avec le lutin magique derrière le micro.

Selon moi, "Dehumanizer" est un album injustement boudé, je le trouve vraiment bon et homogène. Il passe comme une lettre à la poste !

Un bon 4 pour moi.

Le 20 Mai 2020 par THORPEDO

Avec ton excellente chronique, Dark Beagle, tu as surtout piqué notre curiosité ! Je m'en vais de ce pas écouter cet album... Enfin, pas de ce pas puisque c'est le milieu de la nuit mais enfin bref, vous avez compris !

Le 20 Mai 2020 par POSI

Coucou
J'ai la flemme de krox mais c'est un bon disque, même si je suis pas autant emballé que Beagle.
Écoutez de la Folk.

Bisous

Le 20 Mai 2020 par HEMISPHERES

Je vais probablement aller à contre-courant de l'opinion générale mais en tant que fan absolu de MAIDEN depuis près de trente ans, le meilleur pour moi dans cet album est... Sa pochette et par rapport à l'album éponyme, sa production bien évidemment.
En revanche niveau morceaux je suis très loin d'être emballé et heureusement que MAIDEN a largement relevé le niveau (et le style) de ses compos car s'ils avaient continué sur cette voie, ils ne seraient qu'un groupe parmi tant d'autres et rien ne les distingueraient de la masse.
Dans une interview fin des années 90 pour les ressorties des albums pré-Bayley, Steve Harris en parlant du premier album disait qu'il s'agissait d'un best-of de leurs quatre premières années. Si on tient compte du fait que "Killers" ne comporte que trois nouveaux morceaux, doit-on en conclure que le reste serait par conséquent inférieur à l'album éponyme ? Une conclusion peut-être un peu hâtive mais pas totalement dénuée de sens selon moi.
Un petit track by track pour donner mon point de vue :

"The Ides Of March"/"Wrathchild" : Une superbe ouverture d'album, rien à redire et même si certains se plaignent de "Wrathchild" car trop joué en concert, il y a pas à dire, c'est un sacré morceau et avec l'intro instrumentale qui va parfaitement avec, il y a pas à dire, j'étais bluffé et me réjouissais de la suite.

"Murders In The Rue Morgue" : un des trois nouveaux morceaux, ses points positifs : une superbe intro qui monte en puissance, juste géniale mais après que c'est laborieux tous ces couplets qui s'enchainent, qui s'enchainent et Di'Anno qui doit speeder pour caser tous les mots. Seul autre moment sympa, le passage instrumental mais beaucoup trop court avant qu'on reparte pour de nouveaux couplets à n'en plus finir et le tout pour un morceau qui fait à peine trois minutes (hors intro)...

"Another Life" : une intro sympa sans être transcendante mais après... Ils étaient fatigués après "MITRM" niveau paroles (oui, je sais qu'il s'agit d'un de leurs plus anciens morceaux) mais que c'est répétitif et basique et le tout encore pour un morceau super court. Des solos sympa mais compo vraiment très moyenne

"Genghis Khan" : jamais été fan de morceaux instrumentaux mais celui-ci sans être exceptionnel est assez fun à l'écoute surtout avec le riff qui va beaucoup inspirer le riff principal de "Hallowed Be Thy Name".

"Innocent Exile" : encore un morceau très moyen et où on voit clairement qu'il s'agit d'un des premiers morceaux écrits par Harris qui ne savait pas trop comment le structurer et le résultat est un titre très basique, sympa à l'écoute mais duquel on ne retient rien.

"Killers" v Pour l'intro, je fais un copier-coller de mes sentiments pour "MITRM" mais passé celle-ci même si on retrouve partiellement le fameux rythme galopant, ici au bout de deux-trois répétitions, il tourne sérieusement en rond tout comme la chanson qui encore une fois est sauvé par des solos de guitare très inspirés.

"Prodigal Son" : Une chanson pour le moins originale car quasi totalement en acoustique quelque chose que MAIDEN ne répétera que plus de vingt ans plus tard. Je n'ai pas vraiment de critiques à formuler mais pas de compliments à lui faire, je vais répéter un mot très souvent utilisé dans ce commentaire: sympa...

"Purgatory" : Après toute cette pluie de morceaux "sympas" avec ce titre, là aussi un des tous premiers du groupe, et pourtant celui-ci je l'adore. Probablement ces belles mélodies de guitares sous la voix de Paul lors du refrain "oh another time.." ou encore le pont "please take me away" mais en tout cas voilà le type de mélodies typiquement Maideniennes que j'aurai aimé retrouver plus souvent.

"Twilight Zone" : Un riff sympa et c'est presque tout... Ah oui la partie "oh, oh I'm crying" qui est pas mal mais de nouveau, chanson très basique.

"Drifter" : Sans l'ombre d'une hésitation, le pire morceau de toute la carrière de MAIDEN. Pourtant le riff de départ était intéressant et le petit solo Blues au milieu est pas mal aussi, mais dès le "rock'n'roll" hurlé par Di'Anno, les paroles sans le moindre sens - du genre, improvisés deux minutes avant d'être enregistrées - sans parleur de leur "mélodie", le tout ressemble à un vrai bordel. Le sommet du bordélique est atteint juste avant la reprise du riff initiale (environ à deux minutes), une vraie cacophonie.

MAIDEN avec son premier album avait tout de suite montré d'énormes qualités de composition qui le plaçaient clairement au-dessus de nombre de ses contemporains, un potentiel énorme qu'il a su très bien confirmer par la suite. Mais ce "Killers" est un faux-pas que, heureusement, ils ont su très rapidement corriger car autrement leur carrière aurait ressemblé à celle de nombreux groupes de cette fameuse NWOBHM qui sont partis aussi vite qu'ils étaient arrivés.

Le 19 Mai 2020 par MAGNU

J 'ai toujours boudé cet album, sans vraiment savoir pourquoi d’ailleurs. J'aimais bien "Back Street Kids" et "You Won't Change Me" mais je n'allais plus loin.

Confinement oblige, j'ai eu l'occasion de le réécouter plusieurs fois. Bonne surprise ! Même s'il n'atteint pas les sommets des albums précédents, comme dit Dark Beagle dans sa chronique, il y a quelques titres qui ressortent de l'ensemble dont ce "Dirty Women" que j'avais zappé. Normal, vu que j'allais rarement au bout du disque...