Le 10 Février 2005 par DN

Rassures-toi THIEDZIM, j'aime bien la musique de Deicide quand même (j'ai tous les albums) mais bon n'empêche qu'on murmure aussi que Benton et ses compères seraient très racistes.
Et je n'ai même pas osé parler du chanteur de Burzum se vantant à qui veut bien l'entendre d'avoir brûlé des églises et assassiné des curés le mec est d'ailleurs lui aussi incarcéré vraiment pitoyable tout cela.
Pour en revenir à Deicide, en ce moment le torchon brûle entre Benton et les deux frères du groupe, j'ai lu un truc délirant sur un autre site, comme quoi Benton se serait marié en fait à l'église et qu'il ne jouerait aucune partie de basse sur le dernier album, ces propos sont tenus par Brian himself moi ça m'a bien fait marrer sur le coup mais mine de rien le mythe en prend un sacré coup.

Le 10 Février 2005 par JU

Je ne comprends pas ceux qui osent rabaisser within temptation au niveau d'evanescence.Ce n'est vraiment pas pareil! Franchement,je ne sais pas comment on peut trouver des ressemblances entre Within et evanescence, c'est carrémenent une insulte pour un si bon groupe! (qui existe depuis bien plus longtemps qu'evanescence rappelons-le...)C'est quand même incroyable que lorsqu'un groupe devient un peu plus connu il est inévitablement repoussé (genre: "Bah within temptation c'est devenu commercial, J'aime plus heuuu...") Soyons clair: Within N'EST PAS commercial et ne le sera probablement jamais.Personellement je trouve que cet album est le meilleur de Within Temptation (Mother Earth étant plat et beaucoup plus pop à mon goût). Les mélodies sont accrocheuses,les compositions tiennent la route et la voix de Sharon est toujours aussi sublime Le seul point négatif selon moi est la batterie qui sonne assez "étoufée". Pour moi ce sera 4/5 vu que la perfection n'existe pas (sauf pour RHAPSODY...)

Le 10 Février 2005 par INCONU

Le cd new obscurantis order d'anorexia nervosa mérite plus d'aplaudissements que drudenhaus selon les chroniques d'un peu partout... ce cd se mérite un 9.5/10 donc leur grand succès n'est pas drudenhaus mais bien new obscurantis order.Passé 3 mois en enregistrement tandis que drudenhaus était un "test" si on peut dire, ce qu'anorexia voulait faire c'est forger leur style dans cet album et ils ont bien réussi

Le 10 Février 2005 par STRYKE LE RENARD

J'écoute justement Windir en découvrant ta chronique. J'ai malheureusement découvert ce merveilleux petit bonheur avec Walfar ein Windir. Après Bathory qui a dit que les meilleurs partent les premiers ?

Le 09 Février 2005 par ANGEL D

je ne connais pas cet album
Je voudrais juste rectifier quelque chose au commentaire de requiem :
Body count na pas monté leur groupe à la suite de cet album de black sabbath car leur album éponyme date de 1992.

Le 09 Février 2005 par LE Nü METALLIAN

"leur bassiste a d'ailleurs été guest dans un groupe de rap" looool, c'est quoi cette connerie ? Phoenix, le bassiste de LP, n'as connu comme groupes que Linkin Park et The Snax, groupe de punk chrétien !!
Enfin, cher ami, ton commentaire revient à considérer des millions de personnes comme de gros cons !
Il faut se faire une raison : si ce groupe était si mauvais, il ne rassemblerait pas une aussi grande communauté de fans ! De plus ces derniers sont loins d'êtres majoritairement des groupies ... Et la plupart écoutent d'autres groupes de metal, bien souvent du neo, mais certainement pas Britney Spears !
Alors franchement les gens, réfléchissez un peu, ne cassez pas sans raisons et sans savoir de quoi vous parlez, dans ce cas vous feriez mieux de vous taire ! Surtout si c'est pour donner de fausses infos !!!

Le 09 Février 2005 par FRANçOIS BECQUART

Ce deuxième album de Led Zeppelin sort en octobre 1969 et connaît un succès encore plus énorme que le premier. Il parvient même à détrôner les Beatles au sommet du hit-parade. Il débute avec le morceau qui va devenir le plus célèbre du groupe (avec “Stairway to heaven“) : le terrible "Whole lotta love", fortement inspiré d’un titre blues de Willie Dixon appelée "You need love". Ce titre déroule un riff énorme et fait la part belle à la voix ultra-sensuelle d’un Robert Plant en transe. Au martèlement plombé succède une hallucinante montée vers un délire psychotrope, où Jimmy Page distille une série de sons expérimentaux, angoissants et tapageurs. Les sirènes se déchaînent quand Plant approche du Nirvana ultime et la section rythmique replonge dans la fournaise. Les hostilités se terminent lorsque Plant agonise dans une chambre d’écho et relance une dernière fois ce riff magique qui n’a pas fini de frapper les imaginations. Les choses semblent se calmer avec "What is and what should never be", un titre typiquement zeppelinien où la douceur cohabite avec la force de frappe. Les riffs saccadés de la guitare de Jimmy Page sont tout à fait intéressants. La bataille reprend avec du blues lourd ("The lemon song") et les ambiances sidérurgiques atteignent leur paroxysme avec le terrible "Heartbreaker", fleuron de ce style nouveau qu’on n’appelait pas encore Heavy Metal mais qui est déjà une réalité grâce à Led Zeppelin. La guitare de Page n’a jamais été aussi lourde et le groupe propose ici un pilonnage dans les règles, façon usine à canons un après-midi de juin. On a aussi droit à de la belle ballade avec "Thank you" ou "Ramble on", tout en beauté sauvage, comme un galop de chevaux blancs sur les falaises de craie des Cornouailles, toujours le même après-midi de juin. C’est le blues qui a le dernier mot avec "Bring it on home", autre classique revisité à la sauce forte, avec final brutal et souffle d’harmonica presque dérisoire comparativement à ce qui vient de nous passer entre les oreilles. L’album passera sept semaines en tête des charts américains et se classera numéro un en Angleterre. Une version courte de "Whole lotta love" publiée en 45 tours sort chez Atlantic sans l’approbation du groupe et atteint la quatrième place des charts américains.

Le 09 Février 2005 par FRANçOIS BECQUART

Cet album est enregistré au moment crucial où Kiss est en train de faire basculer les Etats-Unis dans son camp. Pour enfoncer le clou, l'édition d'un album live semble une idée judicieuse. Le concert sold-out au Cobo Hall de Detroit le 27 mars 1975 est mis en bobine par le célèbre producteur Eddie Kramer (Jimi Hendrix, notamment), qui enregistre également d’autres concerts dans la région. L’album "Alive!" sort le 10 septembre 1975. Les auditeurs peuvent apprécier des versions des principaux titres des trois premiers albums, rendus ici avec une énergie supplémentaire par rapport aux albums studios. "Deuce", "Strutter", "Got to choose", "Come on and love me", "Parasite", "Cold gin", "Rock and roll all nite", sont jetés dans la foule avec la puissance de feu d’un croiseur et flottent sur une mer de cris hystériques de fans en ébullition. Les résultats de se font pas attendre : l’album atteint les 500 000 ventes en deux mois, devenant ainsi le premier disque d’or du groupe. Mieux : en janvier 1976, l’album franchit le million d'exemplaires et décroche la timbale de disque de platine, une distinction toute récemment créée par l’industrie du disque américaine. Depuis ce jour, "Alive! " a été écoulé rien qu’aux USA à quatre millions d’exemplaires.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Draw The Line finit la trilogie magique du AEROSMITH des années 70. Comportant des morceaux classiques du groupe, DTL sonne plus dûr et plus crû que les 2 précédents. Même si la qualité est là, on sent que ça commence à se barrer en couille au sein du groupe. On ressent une tension et un énervement dans ce disque. Il y a pourtant des perles ici, comme "Kings And Queens" que je trouve magnifique, ou la chanson titre qui est de la pure dynamite. On reste dans le très bon, ce qui ne sera pas forcément le cas de 1979 à 1987.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Done With Mirrors sonne le retour du vrai AEROSMITH : avec Joe Perry et Brad Whitford aux guitares. Une satisfaction après des années de galères. Cependant, même s'il est sympathique, sorti de "Let The Music Do The Talkin'", je m'ennuie un peu à son écoute. DWM n'est pourtant pas mauvais mais comporte quelques morceaux dits de "remplissage", qui trainent parfois en longueur justement. Disque coincé entre 2 époques, DWM n'arrive pas à retrouver la magie du AERO des années 70, ni à fournir suffisamment d'accroches pour adhérer à fond, contrairement à la suite.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Permanent Vacation. Ou comment des stars du rock qui ont connu presque une décénnie de la déchéance la plus noire reviennent squatter les plus belles places des hits parades et le coeur des fans. Avec ce skeud, Tyler, Perry and Co. retrouvent les amis de 15 ans et un public aussi plus jeune. Le hit "Dude (Looks Like A Lady)" a servi de détonateur. Un grand album d'AEROSMITH et de rock'n roll ... mais je ne mettrais que 4/5 car j'accroche moins qu'à Pump.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Que dire qui n'a pas été dit sur Pump ? Pump est tout simplement une collection de hits hard rock, le genre d'album composé avec feeling et énergie. AEROSMITH prouve alors qu'il est bel et bien de retour au premier plan. Des titres comme "Love In An Elevator", "Young Lust", "F.I.N.E." ou "Monkey On My Back" sont le genre de titres qui vous foutent une patate d'enfer, "Janie's Got A Gun" plus calibrée radio est de toute beauté, et la ballade "What Is Takes" est un pur bijou. "Hoodoo/Voodoo Medicine Man" est pour moi le titre le plus moyen de l'album sans être catastrophique. En gros, Pump est à AEROSMITH ce que le café est au petit déjeuner. A posséder absolument.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Get A Grip a un premier défaut (mais c'est pas de sa faute) : il succède au monstre Pump.
L'album à la peau de vache recèle pas mal de bons morceaux rock. Cependant, l'impact des ballades (pas seulement d'un point de vue diffusion radiophonique mais aussi sur l'album en tant que tel) fait à mon sens du tort à l'ensemble du disque, et celui-ci malgré ses bons moments me semble plus fade que son prédécesseur ou son successeur. Ni catastrophique mais pas non plus chef d'oeuvre, Get A Grip se laisse écouter et réserve son lot de bonnes choses et de plus moyennes.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Nine Lives est certes fondu dans le même moule que Get A Grip, son aîné de 3 ans. Pourtant, j'aurai tendance à le préférer à l'album à peau de vache. Je trouve qu'à côté d'excellents morceaux rock, les morceaux "ballades" sont moins mis en avant que sur le précédent. On en resort finalement avec un album beaucoup plus plaisant et équilibré. Même s'il ne fait pas partie des classiques du groupe, Nine Lives reste un très bon disque du AEROSMITH moderne, et j'aime bien l'écouter de temps en temps.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

Premier album pour ce groupe qui surgit de cette si prolifique scène goth/metal hollandaise. AFTER FOREVER prend ici le train en marche mais arrive à proposer un premier album classieux. Cependant, l'identité du combo n'est pas encore tout-à-faut affirmée sur ce disque qui, s'il ne s'avère pas aussi essentiel que la suite n'en demeure pas moins sympathique; il faudra attendre le suivant pour voir le groupe des Jansen gravir 2 échelons d'un coup.

Le 09 Février 2005 par POWERSYLV

J'ai découvert cet album sur le tard (janvier 2004) pour me préparer au concert à la Loco (avec NIGHTMARE, AMARAN and Co.). Je connaissais déjà le premier album qui ne m'avait pas marqué plus que ça, même s'il y avait de la qualité. Par contre, ce Decipher représente l'explosion du groupe et l'affirmation de son identité. Ici, ce n'est plus un double au carbone de THEATRE OF TRAGEDY et consorts, c'est clair. Floor s'affirme avec une voix plus percutante et émotionnelle qu'avant, sans verser dans le chant "Castafiore" systématique. De plus, les arrangements somptueux, les interventions plus appropriés des vocaux death (plus rares) font de ce disque un véritable joyau.

Le 09 Février 2005 par MIHAI

Salut. Je joue aux syntés dans ce groupe.

Merci pour la chronique.

Je vais seulement ecrire le lien vers notre site (où on trouve des mp3s):

www.dirtyshirt.home.ro

(il y a une page en francais)

Le 09 Février 2005 par POSSOPO

je ne connaissais cet album que de vue (et encore de très loin) mais s'il est sorti sorti en 1995, alors, BODYCOUNT lui est antérieur de trois bonnes années. Ernie C figurait également sur de vieux albums d'Ice-T en solo.

Le 09 Février 2005 par WILDBEN

Un bon album, que je trouve néanmoins inférieur au premier, véritable révélation pour moi de l'année 2000 (2001?) avec le Freternia.
The Hunter m'avait surtout scotché par sa spontanéité (qui lui donnait certes parfois un petit côté brouillon) et la variété de ses influences (Maiden, Megadeth, les premiers MetallicA...). Ici, le son est meilleur, mais le tout manque de folie et sonne trop uniformément comme du Blind Guardian.
Bref, c'est pas mal du tout, mais on est assez loin quand même de la bombe que cela aurait pu (dû?) être.
En tout cas, le point positif est que contrairement à leur compatriotes de Freternia (dont le second album était catastrophique et a précipité le split), il reste un espoir qui ne demande qu'à se voir confirmé.

Le 09 Février 2005 par REQUIEM

Le lien de cet album avec Body count ne s'arrête pas à la production : le titre "The Illusion Of Power" contient une participation du rapper Ice-T (qui monta par la suite le groupe de fusion Body Count) venu payer son hommage au groupe de Metal le plus respecté par les artistes Hip Hop (vous pouvez compter le nombre de reprises et collaborations de posse Hip Hop avec Black Sabbath, vous n'avez pas fini de sitôt).