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Blind Guardian
A Night At The Opera
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le 04 Février 2004 par BENOIT DE SPINOZA


Pour ma première chronique, j'avais envie de parler du plus bel album que la Terre ait porté à ce jour : A night at the opera ! C'est avec ce disque que j'ai découvert Blind et que je suis devenu un tifoso de première. Un mot pour cette rondelle : bombe ! Hansi Kursh le dieu explose sur l'album; Les choeurs sont du plus bel effet, l'oscillation entre sa voix puissante et sa voix douce est magnifiée par son timbre unique (c'est bien simple, pour moi c'est le plus grand chanteur). Les autres membres ne sont pas en reste. Le batteur martele avec maestria sa batterie, et les deux gratteux assurent vraiment (tous les instruments sont en parfaite harmonie, forment un seul bloc). Quant aux morceaux (chose la plus importante), il n'y a tout bonnement rien à jeter. Mention spéciale à Under The Ice (quel refrain !), Sadly Sings Destiny et le sublime And Then There Was Silence. Avec cet album, un nouveau style de musique est née, merci Blind Guardian. En esperant que le prochain (et lointain) album sera du même acabit.

le 21 Août 2003 par SOUFLETTE


Sans nul doute un des albums les plus étranges, les plus fascinants, les plus grandiloquents qu'il m'ait été donné d'écouter. Blind Guardian ne reste pas sur ses acquis comme nombre de groupes à succès (je ne nomme personne ;)), au contraire, il pousse toujours plus loin, plus fort, plus haut, quitte à pondre ce mastodonte musical, qui ne peut s'apprécier qu'après moultes écoutes, et qui n'en finit jamais de livrer ses secrets. On comprend alors la réaction des fans de la première heure (voire même ceux qui ont découvert le groupe avec NIME), forcément désorientés par une telle évolution. BG complexifie sa musique, quitte à livrer des titres difficilement jouables sur scène, avec moins de refrains fédérateurs.
Oeuvre baroque, bourrée de choeurs majestueux qui prolongent à l'infini la voix magique d'Hansi Kürsch, emmenée par la guitare virevoltante d'Olbrich et la rythmique béton de Thomas Stauch, ANATO est un disque énorme tout simplement...

le 27 Février 2003 par MOMO HEARTBREAKER


Perso, j'avoue ne pas être un grand connaisseur de Blind Guardian mais j'ai adoré ce disque. Gorgé d'hymnes et de trouvailles toutes plus ingénieuses les unes que les autres, c'est mon album de heavy préféré de l'année 2002. Extrêment riche, il faut toutefois un grand nombre d'écoutes pour en apprécier toutes les subtilités. Au royaume des aveugles, les borgnes étant rois, je vais de ce pas me procurer les albums précédents.

le 27 Février 2003 par PUMPKINSTEF


Difficile d'écrire un commentaire sur un album comme celui-là. Tout simplement car la musique de BG ne ressemble à celle de personne d'autre. Mais ce qu'il est facile de voir, en revanche, c'est qu'on tient là un grand album, tout simplement.
A savoir un alliage parfait entre la puissance absolue (à côté d'eux certains groupes comme Stratovarius ou Freedom call passeraient pour de la variétoche) et l'indicible beauté des mélodies de pratiquement tous les refrains, réhaussés par un côté épique des plus marquants.
Côté puissance, donc, on est servi. La plupart des 10 chansons de l'album contiennent des riffs et des rythmiques définitivement ravageuses. Mais, bizarrement, toute cette puissance qui débouche profondément les cages à miel, n'altère en rien les grandes mélodies des refrains que vous vous surprndrez bientôt à chanter sous votre douche le matin ("Precious Jerusalem", "Sadly sings destiny", "And then there was silence"...). Surprenant mélange! Séduisant mélange!
De plus le travail fourni par le groupe à cette occasion est tout simplement pharaonique: Un an et demi de travail acharné de studio pour mettre l'album en boîte. Et tout ce travail se sent. Fans de musique simple, voire simpliste passez votre chemin. Ici tout est incroyablement développé à commencer par les multiples arrangements, ce qui fait que l'on a parfois l'impression d'écouter plusieurs chansons en une. Par exemple 180 pistes furent nécessaires pour le monumental "And then there was silence" (Et croyez moi que 180 pistes, ça prend du temps à enregistrer). Et si celà rend l'album complexe, surtout à la 1° écoute, celà le rend surtout incroyablement riche. Et au final, il s'agit là d'un album dont chaque écoute apporte un petit quelque chose de nouveau, et dont on ne se lasse jamais.
Pour finir, la voix d'Hansi Kursch est véritablement surpuissante, et même si elle peut en rebuter quelques uns de par sa "spécificité", elle n'en est pas moins le témoignage d'un véritable talent.
Quoi qu'il en soit, BG nous sert sur un plateau une musique unique. BG fait du BG et rien d'autre. Et en ces temps de clonage intensif où débarque chaque année une flopée de jeunes groupes qui ne font rien d'autre que copier leurs aînés, celà fait sacrément du bien.

le 06 Octobre 2002 par JANéTHEFUCKINJURIST


Avec le recul, je crois qu'il est temps de réviser un peu mon jugement sur cet album. Rien à dire sur le boulot efectué sur ce disque, C'est du grand art, du perfectionnisme. Pourtant, quand je le compare à d'autres albums de BG, je déplore que l'aspect direct, accessible ait un peu été mis de côté. Je crois qu'enlever un peu de choeurs pour rajouter des parties instrumentales ou des solis de guitare (comme sur NIME) auraient permis au groupe de franchir un nouveau pallier, d'atteindre la perfection. J'abaisse donc la note que j'avais mise sous le coup de l'émotion : 8,5/10













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