Il y a eu trois éléments déclencheurs qui m'ont conduit à l'écoute de cet album de RIVAL SONS.

1. La chronique de Dark Beagle où je me suis juré d'écouter cet album.
2. Premier rappel : Kol qui me demande si je vais voir RIVAL SONS à Paris car c'est un groupe qui me plairait. Fuck j'ai pas encore pris le temps d'écouter !
3. T-Ray qui me scie les jambes en disant que c'est son album préféré de l'année 2023. C'en était trop, écouter ce "Darkfighter", je devais !

Vu que vous voyez la note avant de (peut-être) lire ma chronique, vous aurez compris que j'ai été totalement conquis par cet album. Mettre un 5/5 n'est pas chose aisée surtout que je ne le trouve pas parfait. Pourquoi? À cause de "Guillotine", un peu trop bancal à mon goût et ses quelques moments un peu lourdingues. Et le reste ? Du tout bon pardi ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi emballé et transporté par un album. La voix de Buchanan y est pour beaucoup bien sûr, le bougre étant impérial dans tous les domaines (les frissons sur "Darkfight" et "Rapture").

Ce Hard Rock des seventies si délicieux fait mouche et il frôle même parfois la décennie précédente. Écoutez "Bright Light" et "Rapture", n'entendez-vous pas CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL ? Quel plaisir que d'enchaîner autant de morceaux de qualité, ayant une efficacité si immédiate et une identité propre à chacun.

Si on m'avait que je pourrais être décontenancé par un album de RIVAL SONS, je n'y aurais pas cru mais c'est finalement arrivé. Et dire que "Lightbringer", sorti à peine quelques mois plus tard est aussi de haute volée, que demander de plus ?