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SLIP SOUR EXPERIMENTAL  |  STUDIO

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- Style : Memorrhage
- Membre : Murderdolls, Stone Sour, Corey Taylor
 

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SLIPKNOT - The End, So Far (2022)
Par FENRYL le 1er Juillet 2023          Consultée 543 fois

"Ah, oui ! Je dis oui ! ..." ... Merci à Julien Lepers pour son intervention en guise d'introduction...

SLIPKNOT est de retour et redistribue les cartes de manière sacrément maline...

Trois ans après un "WANYK" dans la continuité d'une certaine forme de médiocrité et d'inconstance, les natifs de Des Moines frappent un drôle de coup, là où on ne les attendait finalement pas trop. Et cela débute inévitablement avec la claque "Adderall" qui n'a pas fini de diviser ! Moi, j'adore ! On pourrait y trouver beaucoup de points communs avec les Allemands de The OCEAN notamment. Un titre Post, inspiré du Metal Moderne qui fait mouche... mais qui fera forcément fuir les plus extrêmes métalleux fans du combo.

Les surprises sont bien de la partie, disons plus simplement que STONE SOUR et SLIPKNOT ont depuis assumé leur liaison extra-conjugale aux yeux de tous : STONE KNOT/SLIPSOUR.
La voix de Corey est toujours aussi caractéristique et marquante. Si elle perfore indubitablement dans le chant clair (STONE SOUR), pas ma tasse de thé, inutile de vous dire que quand elle éructe, elle fait toujours mouche. Le gaillard n'a pas son pareil : "Medicine For The Dead" illustre parfaitement cela (quand le chant est posé, il est pénible voire quelconque) mais quel plaisir d'entendre la rage fondatrice de ses growls ! Dans le même genre, "The Dying Song (Time To Die)" s'ouvre avec un refrain en voix claire - pénible - avant de se retrouver dans un déluge de décibels plus tard, autrement plus intéressant.

C'est donc ces montagnes russes qui vont définir ce "The End, So Far" : "Acidic", mélodieux mais ennuyeux, "The Chapeltown Rag" puissant, un "Warranty" avec des choeurs malins, le bestial "H377", le mélodieux lorgnant sur AVATAR et parfois DARK TRANQUILLITY période "Projector" (on dirait du Stanne !)... "De Sade" me laisse indifférent autant que "Finale" (seuls les choeurs me font penser à la bande-son de la saga des "Dark Souls" de From Software).

Les 57 minutes de ce "The End, So Far" sont agréables, un poil longues (douze titres, c'est sans doute trop). Elles permettent de proposer à mon sens le meilleur album de SLIPKNOT depuis très longtemps : bien débuté, plus dur sur la fin car moins intéressant toutefois.

Note réelle : 3,5/5.

Top : "Adderall", "The Dying Song (Time To Sing)".

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   (3 chroniques)



- Corey Taylor (chant)
- Mick Thompson (guitare)
- Jim Root (guitare)
- Alessandro Venturella (basse)
- Jay Weinberg (batterie)
- Shawn 'clown' Crahan (percussions, chœurs)
- Sid Wilson (platines, claviers)
- Craig Jones (samples)
- Michael Pfaff (percussions)


1. Adderall
2. The Dying Song (time To Sing)
3. The Chapeltown Rag
4. Yen
5. Hive Mind
6. Medecine For The Dead
7. Acidic
8. Heirloom
9. H377
10. De Sade
11. Finale



             



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