Le 06 Août 2024 par SAM

Pourquoi pas (même si je ne sais pas si je le catégoriserais en Metal personnellement), mais finalement je ne ressens rien en écoutant, je ne vibre pas.
En réalité j'ai plus envie de headbanger ou de hurler en écoutant carrément de la Techno hardstyle ou gabber (RADICAL REDEMPTION, ANGERFIRST...) que ça.

Le 05 Août 2024 par DINICED

Simplement horrible. Pire que ce que j'avais imaginé en lisant la chronique. Sincèrement j'essaye de m'ouvrir au monde musical moderne, sans aucun succès.
Black Metal Party ? Death Rave ? Pour moi personnellement, ça ressemble davantage à une soirée Tomorrowland où l'on s'amuserait à mixer du Black à petite dose.

Bizarrement, BURZUM, DARKTHRONE, PERTURBATOR, passent plus ou moins le mélange des styles à mes oreilles, sans plus. Mais VMO est autrement plus difficile à encaisser.

Alors Anima, je lis tes chroniques avec plaisir. Vérité vraie. J'écoute à chaque fois les curiosités que tu proposes. Poney Metal compris et je te remercie de partager tous ces ovnis sur le site. Mais non de Dieu là je suis sur le séant. Je ne suis même pas arrivé au bout de l'album. Au secours.

Le 05 Août 2024 par STEVEN

J'ai l'impression de me répéter après mon commentaire sur "A Heartless Portrait", mais quatre albums en six ans dans un monde où on est assommés de sorties chaque année, c'est criminel.
EVERGREY continue sur son rythme de sorties effréné. Pour conserver une actualité continue sur les réseaux sociaux/plateformes de streaming ? Par obligation contractuelle ? Justification d'un nouveau cycle de tournée ?

Le rythme était le même dans les années 2000, mais chaque album avait un son, une identité propre, et ne suivait pas une formule standardisée.
Depuis "Escape Of The Phoenix", une chanson d'EVERGREY c'est : "Chug chug chug", couplet émotionnel, refrain fédérateur, "chug chug chug", pour une durée moyenne d'environ 4mn30.

Même la voix de Tom Englund que je trouvais sublime il y'a même pas quatre ans commence à me sortir par les yeux, tellement les mêmes inflexions sont utilisées d'album en album.
Le plus triste c'est que je suis persuadé que la qualité est là, notamment sur "Falling From The Sun" qui m'a motivé à écouter l'album.
Mon discours aurait été sûrement très différent si j'avais découvert le groupe avec cette sortie, car EVERGREY est stylistiquement assez unique dans le paysage Metal. Preuve en est, les chiffres d'écoutes sont très bons.

Seul changement notable, le passage de Nolly (ex-PERIPHERY) à la production, en lieu et place de Jacob Hansen à la barre sur les cinq albums précédents. En résulte un son de batterie un peu plus sec et naturel, mais rien de flagrant à l'échelle du groupe.

Je râle, mais j'ai également participé aux chœurs de "One Heart", j'aime beaucoup le principe !

Le 04 Août 2024 par BALAAM

À la première écoute, j'ai été surpris par la voix expressive mais avec un sentiment de désincarnation. Comme si elle venait d'un autre monde. Elle est un point fort de ce groupe et contribue à l'ambiance macabre.

Le mélange des styles est une évidence et les parties de guitares sont très accrocheuses autant dans le style Doom que Black.

Voilà vraiment un groupe qui sort du lot.

Le 02 Août 2024 par FINISHERFRANKY

Ah que ça fait plaisir de se replonger dans cette période de RIVERSIDE, période où leur force créative mélodique est d'une richesse incroyable. Ce "Conceving You" est tellement beau, idem pour "I Turned You Down". Alors oui difficile de noter un single qui n'apporte presque rien à l'album mais je mets le maximum parce que j'adore. J'en suis d'ailleurs à regretter cette période quand j'écoute le dernier album "ID.Entity".

Le 31 Juillet 2024 par JOE IS DSO

Avec le recul et après 50 000 écoutes de tous les albums de DSO celui ci est le plus beau, le plus puissant, le plus jouissif, le plus bandant...

"Epiklesis" sonne comme une alarme, ça va faire très mal... "Wings Of Predation" est d'une violence sans nom, quelle énergie, un ouragan qui arrache tout. "Abscission" est sublime, c'est la perfection encore une fois et ce passage à 2 min 15 est grand ! "Death" arrive à point pour respirer après ce départ tonitruant, profitez en car... Phosphène va vous exploser les esgourdes, c'est démoniaque, ce groupe c'est Satan en personne ! Quel putain de morceau mes amis, quelle haine, c'en est jubilatoire, la batterie est tout simplement stratosphérique, cette basse rampante et dégoulinante, ces voix d'écorché vif, mon dieu y'a bien qu'un groupe comme KATHARSIS et son "VVorldVVithoutEnd" qui sente autant le charnier et peut soutenir la comparaison. Et cette fin magnifique qui s'élève, seul DSO sait faire ça, j'en bande encore, c'est à se foutre en l'air tellement c'est jouissif ! "Epiklesis II", magnifique temps de repos musical, comme pour mieux vous préparer à la déflagration qui va suivre, oui oui encore une ! "Malconfor", oh que ce titre porte bien son nom, encore du grand art ! Et cette accelération à 0 min 54, énorme, quel feeling ! Et alors l'enchainement avec "Have You Beheld The Fevers?" est une grosse tuerie !!!! Un morceau court mais quel morceau de dingue encore, mais jusqu'où iront-ils ? Et le meilleur est à venir ! Si si avec et je pèse mes mots un morceau d'une violence sans égale ! Voilà que déboule "Devouring Famine", rien que le titre aurait du vous mettre la puce à l'oreille, mais quelle introduction ! J'ai jamais entendu cela ! Le son est tout simplement hors du commun, à écouter au casque pour une plongée directe pour les enfers, my god j'en frissonne encore. "Devouring Famine" quoi avec ces guitares dissonantes, cette batterie qui martèle sans cesse.. Lourd ! "Apokatastasis Pantôn"... Aucun morceau au monde n'arrive à la cheville de celui-ci !

Je suis amoureux de ce cet album que voulez vous. Le plus gros coup de poing que j'ai reçu d'un groupe et en plus ils sont Poitevins.
Vive DSO - je vous aime les gars d'avoir enfanté une oeuvre pareille ! Du grand art !

Le 31 Juillet 2024 par DAWIL

Raaah ! Merci Dark Schneider pour la citation, mais je le trouve très bien cet album ! Je me sens en mode "Tout ce que vous direz pourra être utilisé contre vous devant une cour de justice".
Pour moi, Blaze est toujours au top, même s'il est un cran en dessous des sommets atteints avec sa trilogie "Infinite Entanglement".

Le 31 Juillet 2024 par F@B

Au regard du nombre d'étoiles, on comprend vite que je ne suis pas du même avis que Mefisto. C'est ça le charme du Death Metal. J'avais quatorze ans à la sortie du premier méfait de Benton et de sa bande. Ce son a donc bercé une bonne partie de mon adolescence. Glen Benton, aussi caricatural soit-il, demeure mon héraut préféré des enfers. La musique de DEICIDE, c'est comme ma madeleine. J'aime y revenir, j'aime la retrouver. J'y ai mes repères et cela me plait. On peut même faire le parallèle avec AC/DC. À part la pochette, rien ne change sur un disque de DEICIDE. "Banished By Sin" est donc une réussite. Le cahier des charges est rempli. La production est en Béton armé. Le son est plus clair, laisse respirer les instruments et gagne en efficacité. Le riffing se fait tantôt heavy, parfois groovy. Les titres s'enchainent sans longueur. Un vrai bonheur.
Il y a tout de même un élément qui vient gâcher ce doux moment de Death. C'est le prix du vinyle. Que cela soit sur Amazon ou la Fnac, on tourne autour des 40 € minimum. Pour 40 minutes de musique, cela me semble excessif. On peut s'interroger sur les motivations de certains artistes et de certains labels qui se disent qu'ils peuvent "saigner" sans scrupule un public de passionnés. Cela me semble être un pari risqué et me rappelle cette fameuse fable, La poule aux oeufs d'or qui commence par ce vers : L'avarice perd tout en voulant tout gagner...
Mais si l'on met de côté ces considérations commerciales et financières, ce disque assure un très bon moment de Metal, alors pourquoi sans priver ?

Le 29 Juillet 2024 par BORAHKRETH

Je suis un peu choqué qu'il n'y ait toujours aucun commentaire, donc à défaut de mettre une note "définitive", je viens au moins inviter tous les amateurs à y jeter une oreille.

Globalement, je me suis plus ou moins désintéressé du Black Metal depuis quelques années, qui je trouve sonne souvent pareil et n'évolue pas des masses (sauf dans des niches, mais bon, les trucs dissonants et frénétiques ou qui mélangent cinquante styles, on commence à en avoir à la pelle depuis dix ans par exemple).

Je suis toujours surpris de voir des gens faire dans les années 2020 la même chose que dans les années 90. J'ai par exemple voulu comprendre l'enthousiasme de Storm et d'un commentateur en écoutant DJEVEL : je n'ai pas compris. C'est objectivement bon, mais sans déconner j'ai l'impression d'avoir entendu le même genre de musique que depuis le premier EMPEROR, qui date d'il y a trente ans. C'est pas que la musique n'est pas bonne, c'est que j'ai du mal à comprendre l'intérêt, au moins en tant qu'auditeur.

Aimant être surpris, j'ai tendance à privilégier des groupes qui apportent quelque chose de nouveau, ou alors qui atteignent un niveau d'efficacité et de synthèse proche de la perfection. Mais (et là c'est personnel), plutôt qu'entendre quelque chose de déjà entendu en "mieux", je préfère encore aller creuser d'autres styles musicaux. Il y a une telle richesse musicale sur un siècle de musique enregistrée, ça serait dommage de se cantonner à un style, d'autant plus si on commence à être blasé, non ?

Ceci dit, peu importe le style, il y a toujours des groupes qui ont quelque chose d'unique, qui cherchent à repousser les limites artistiques, dans le Black Metal ou ailleurs. Je pense par exemple à BLUT AUS NORD qui ne s'est jamais reposé sur ses lauriers en trente ans (à part un peu sur ses derniers albums), qui mérite notre respect, indépendamment qu'on apprécie ou non la musique. Et puis bon, je dis ça, mais je sais qu'il y a encore pas mal de dingueries qui sortent (si vous suivez ce webzine, normalement, vous n'avez pas pu les rater), c'est juste que je suis moins client qu'avant. C'est terrible de vieillir.

Mais bref, dans le cas du Black Metal, au-delà de cette volonté d'aller plus loin d'un point de stylistique, de repousser les limites, de croiser les genres et d'expérimenter (avec plus ou moins de succès), il y a aussi cette démarche de revenir à un fondamental trop souvent oublié et majoritairement inexistant : rendre le Black Metal à nouveau maléfique et flippant.

Parce que je suis désolé, mais le Black Metal c'est quand même assez souvent inoffensif, c'est violent musicalement mais ça ne fait pas "peur". Le satanisme de supermarché, le sang de cochon et les blasts, c'est rigolo cinq minutes, et si les zikos font parfois un peu peur (parfois plus pour leurs inclinaisons politiques que pour leur corpse paint, d'ailleurs), la musique, bof, pas vraiment non.

Et puis il y a AKHLYS.

J'invite quiconque étant amateur de sensations fortes à partir tout seul dans la forêt par une nuit sans lune avec du AKHLYS à fond les ballons, vous allez m'en dire des nouvelles.

Je serais bien en peine de noter "House Of The Black Geminus". Pour une raison sur laquelle je n'arrive pas à mettre le doigt, j'ai l'impression de le trouver inférieur à "Melinoë". Sauf que sur certains points, je le trouve plus abouti. Je me demande donc si ce n'est pas simplement que l'effet de surprise de la découverte de "Melinoë" a disparu, et que si j'avais commencé par cet album, je l'aurais trouvé supérieur. Et peut-être que si je réécoutais "Melinoë" plusieurs années après sa découverte, je le trouverais moins bon que dans mes souvenirs.

Quoi qu'il en soit, j'invite tous les amateurs de Black Metal au sens large, et les amateurs d'authentique noirceur et expériences sensorielles intenses à écouter cet album, ainsi que "Melinoë" (qui, je l'espère, sera chroniqué un jour, il le mérite). C'est un des rares albums de Black Metal qui peut faire jeu égal avec du Dark Ambiant en terme de potentiel de flippe, voire même les enterrer de par la violence implacable qui s'abat sur vos gueules. Les mots "suffocant" et "oppressant" sont souvent exagérés quand il s'agit de musique. Ici, AKHLYS est l'exemple qui apparaît sous la définition du dictionnaire.

Je ne dis pas que ce sont les seuls à proposer une musique de ce type, ni que ce sont les meilleurs. D'une part parce que les goûts sont subjectifs et qu'il y aura bien quelqu'un pour citer une démo d'un combo obscur avec un EP tiré à cinquante tapes, et d'autre part parce que des groupes réellement uniques dans leur genre, il n'y en a que très peu.

Mais clairement, AKHLYS arrive à remplir son objectif à la perfection (invoquer musicalement les démons et cauchemars de Naas Alcameth), à le faire avec une efficacité musicale redoutable et une concision exemplaire, et en plus d'être quasiment "catchy" dans le résultat. Dès la première écoute, vous serez hypnotisés par ces mélodies, ces riffs et ces ambiances. Ce qui change des albums qui durent 1h15 et nécessitent dix écoutes avant de rentrer dedans, j'ai tellement plus la patience pour ça, merci à eux.

Note réelle : entre un 4/5 et un 4,5/5 extrêmement incertain et subjectif à l'échelle de la disco d'AKHLYS, un 5/5 indiscutable à l'échelle du Black Metal et un moyen de renouer avec le genre pour les blasés (ce disque comme le précédent).

PS : le son est absolument parfait, ça fait plaisir du Black correctement produit.

Le 29 Juillet 2024 par BLUEMASK

Assez d'accord avec cette chronique. Si j'adore Patton comme chanteur, je trouve que le garçon a besoin d'être un peu canalisé, et en cela FAITH NO MORE était le parfait écrin. Quand il prend en charge l'écriture, bon... ce n'est pas forcement brillant. Cela l'est parfois ici, comme sur tango vicieux "Violenza Domestica" ou "Merry Go Bye Bye" et son passage Death, mais pour le reste, il n'est ni Frank ZAPPA, ni John ZORN et empiler des séquences de manière frénétique ne fait pas forcement un morceau.
Bien sûr, il s'agit de musique "expérimentale" et dissonante, l'adorer permet de paraître érudit lors des soirées chez l'ambassadeur, mais il y a des musiques expérimentales et dissonantes bien plus captivantes (SKINNY PUPPY ou EINSTÜRZENDE NEUBAUTEN, par exemple) qui permettent de snober avec plus de plaisir.
L'album est long, très long, et rapidement on a l'impression de bouffer un sablé à la farine sans beurre, même si régulièrement, des passages sont bien marquants.

Le 29 Juillet 2024 par NES MAX

Zzzzzzzzzzzzzzzz... Désolé, j'ai essayé mais c'est atrocement ennuyeux et pourtant j'aime les deux disques précédents! Je vais revendre ma copie de celui-ci et garder les deux autres.

Le 29 Juillet 2024 par LATIMUS

Un très bon album de W.A.S.P. ! Je ne lui mets pas la note maximale car il rappelle pas mal d'autres disques du groupe (et tous les morceaux du combo sont plus ou moins basés sur la ou les mêmes trames, Rock couillu et/ou ballades épiques et puissantes) mais dans l'absolu il est excellent.

La voix de Blackie est ensorcelante au possible, et le plutôt méconnu Doug Blair est un soliste au "tone" et au feeling monstrueux ! Dans l'esprit, ses soli me rappellent un peu le solo final de "Comfortably Numb" de PINK FLOYD et ses versions live dantesques.

Le 29 Juillet 2024 par BLUEMASK

TRUST semble manquer de confiance pour la première fois avec ce disque. Et comme toute personne manquant de confiance, se réfugie un peu dans ses acquis, et grossit le trait pour faire gros bras. Le disque reste bon, mais surtout grâce à la seconde moitié où l'on retrouve le mordant et la hargne du groupe sur des compositions moins balourdes que la première moitié. Cette première moitié semble un peu forcée, exit le roll du Rock 'N' Roll alors que c'était bien ce qui faisait le sel des deux premiers skeuds. La production globale n'aide pas, moins dynamique également, plus lourde, avec la voix de Bernie, talentueux donneur de leçon, très mise en avant, peut être trop.

Le 29 Juillet 2024 par IRONGE_MAIDENT

Nous sommes en l'an de grâce 2024 ici présent pour la messe du dimanche. Le prêtre barbu arrive et hurle de ses poumons d'acier. Il éructe a la face des Diables et des Dieux. Il parcourt le monde avec la croix, comme le symbole de Poséidon, un trident. Il incante des sorts.
Dans les nuits hurlantes, d'où viennent les vents des décibels ? De facto le prêtre est par son jeu de maitre, protégé par le Bouclier Invincible, se gardant des démons chaque fois qu'il expire et ce aux quatre coins du globe.

Le prêtre est grand, le prêtre est surtout Judas. Il ne se promène pas en Papamobile non mais que croyez vous ? Il voyage tel un Porteur de Lumière. Certes il réfléchit non pas noir mais de chrome. De par ses psaumes, il loue sa production tirée d'aigus et de décibels.
Vous vous demanderez ce qu'il mange, des clous aux cuirs, aux batteries de voiture.
Il n'est pas né celui qui le poussera à la tentation, celui qui lui prendra son trône. Non pas fait de fer, mais de sueur de cri, de terrible son de tambour au loin. Le tonnerre gronda le tonnerre parla. Et le Prêtre Judas qui s'évertue de rajouter des cantiques des incantations aux chapitres de son église Heavy.

La note me direz vous ? Jusqu'aux portes de l'enfer j'apporterai cet album.

Le 28 Juillet 2024 par DOC

Merci au toujours pertinent Stephen Page pour sa chronique. Étant comme lui un fan de RAGE, les voir sortir (encore !) un album de cette qualité est un véritable bonheur. Puissant, mélodique, inspiré de bout en bout, il se classe aisément parmi les meilleures sorties de l'année. La production est aussi époustouflante, le son est précis et surtout très puissant.

Je m'étonne moi aussi du manque de reconnaissance de ce groupe parmi les meilleurs de sa génération et qui mériterait un peu plus de lumière. (Une ptite Kro-X de Fredouille à venir peut-être ?)

	Par Nightfall In Metal Earth Hello DOC, J'avais laissé la chronique principale à Stephen Page non seulement parce que je manquais de temps pour écrire une bafouille sur ce nouvel album, mais aussi parce que je sais que Stephen affectionne tout particulièrement le groupe allemand. J'essayerai de poster prochainement une Kro-X pour le nouveau méfait de Peavy, et mon avis sera très positif vu la qualité proposée. Merci en tout cas de nous lire. Fredouille

Le 26 Juillet 2024 par FC

Content de voir cette chronique arriver et avec un avis différent de ce que j'ai pu lire par ailleurs... beaucoup de chroniques plutôt dithyrambiques à sa sortie m'ont poussée à acheter l'album mais pour l'instant je n'arrive pas à rentrer dedans et je n'ai pas spécialement envie d'y revenir.

Trop tôt pour noter car je n'ai pas un avis définitif mais à priori rien de très accrocheur ici...!

Le 26 Juillet 2024 par HEYDRICH

L'exemple parfait du disque qu'on écoute un peu distraitement et que nous sommes surpris lorsque la fin arrive, puisqu'on était un peu ailleurs. Ça s'écoute vite, ça fait hausser les épaules et surtout, ça s'oublie facilement...

Le 25 Juillet 2024 par SWISSIDOL

J'avoue qu'en découvrant POWERWOLF, j'ai cru qu'il s'agissait d'un groupe parodique, genre NANOWAR OF STEEL, tant la musique est boursouflée de clichés. Les arrangements symphoniques à la NIGHTWISH, les chœurs tantôt opératiques, tantôt typés "chant grégorien", les clips en costumes... Tout cela est d'un ridicule achevé. Pour ne rien arranger, je n'aime pas du tout la voix. Les paroles, les lignes de chant trahissent le fait que le groupe n'est pas anglophone : ça manque de fluidité. Bref, pas grand chose à sauver dans le petit univers "la belle et la bête" des Allemands.

Le 25 Juillet 2024 par PILGRIMWEN

Dans la série "nos Canadiens ont du talent", ce disque de KILLER DWARFS - petite institution dans son pays, au même titre que des Lee AARON, KICK AXE, HELIX ou TRIUMPH - se présente comme un album plus mature (lyriquement comme instrumentalement). La période le veut : la jonction années 80 et 90 amène ces groupes qualifiés "Hard US" à revoir leur copie s'ils veulent survivre dans un monde musical en pleine refonte.

Dans son superbe ouvrage "Metal On Ice" (éditions Dunburn - 2013), Sean Kelly (guitariste au sein de CRASHKELLY, HELIX et Lee AARON) y décrit cette scène canadienne en pleine ébullition. Je recommande chaudement ce livre qui relate les parcours de ces petits prodiges du Hard Rock et Heavy Metal de l'époque n'ayant pas à rougir face à leurs homologues étatsuniens !

Pour revenir à "Dirty Weapons", je pense qu'il s'agit de L'ALBUM par excellence des KILLER DWARFS. Une quarantaine de minutes de Hard Rock acéré, musclé, mélodique, dit US. Le seul point noir au tableau : le chanteur Russ "Dwarf" Graham a tendance à s'époumoner, ce qui a pu parfois me faire tiquer. Le dernier titre "Want It Bad" aurait mérité des lignes vocales plus posées, moins crispantes pour mes oreilles. Ce groupe reste toutefois un monument du Canada en terme de Hard Rock. À découvrir !

Le 25 Juillet 2024 par CLANSMAN57

Moins bon que le précédent missile, en effet.
Il me semble moins fouillé, plus direct.
Les premières pistes sont les meilleures et après "Velvet Damnation", la qualité baisse un peu. C'est moins accrocheur, tout simplement. Pas évident de rester au top continuellement sur le plan mélodique.

Un peu décevant, bien qu'il soit loin d'être mauvais.