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71 commentaires notés [?]
Iron Maiden
Virtual Xi
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le 26 Juillet 2017 par BAPTISTE89
Décidément, les deux albums de l'ère Bayley sont vraiment sous-estimés. "Virtual XI" n'est pas l'oeuvre infâme que l'on décrit ici et là, et je ne suis pas d'accord quand certains disent que Blaze est une erreur de casting. Il a très bien prouvé sur "The X-Factor" qu'il est loin d'être dénué de talent, et il le montre encore sur cet album, même s'il est vrai que la froideur du CD précédent lui correspondait mieux.
On y retrouve le titre court et efficace qui ouvrira souvent les futurs albums de la Vierge ("Futureal") et d'autres chansons plus longues qui sont vraiment réussies ("When Two Worlds Collide", qui est mon titre préféré de l'album, ou encore "The Clansman", très représentatif du MAIDEN des années 2000). Le groupe conclut avec un morceau plus calme et émouvant, le très joli "Como Estais Amigos". La paire Murray / Gers signe des soli de guitare vraiment réussis (notamment sur "When Two Worlds Collide" et le dernier titre), et tire l'album vers le haut.
Bien sûr, "Virtual XI" n'est pas exempt de défauts, et n'a pas entièrement volé la volée de bois vert qu'il a reçue. "The Angel And The Gambler" est un titre beaucoup trop long. Avec un dégraissage de quelques minutes, on aurait eu une chanson sympa. Quant à "Lightning Strikes Twice", il s'agit d'une bonne chanson, mais son refrain est quand assez bancal.
Dernier album avec Blaze, donc, avant le retour de Bruce. Retour pour le meilleur... mais pas seulement, malheureusement.
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le 07 Mars 2017 par BABAR
Erreur de casting ou style musical totalement inapproprié ? Mon coeur balance...
Je suis persuadé qu'avec Bayley ils auraient pu sortir de très bons disques bien musclés. Pour preuve des anciens titres lives avec un Bayley bien badass au chant. J'ai souvenir d'une version de "The Trooper" vraiment hargneuse qui fait son petit effet.
Mais sur ce disque ? Du Heavy Metal sophistiqué et complètement aseptisé. "The Angel And The Gambler" est une horreur sans nom, interminable en plus. Ils ont même poussé le vice à le sortir en single.
Bizarrement "Como Estais Amigos" est pour moi le meilleur titre de l'album, et n'a rien à voir avec le style de MAIDEN. Tout le reste est ultra kitsch. Même "The Clansman", souvent cité comme un classique, me semble ultra convenu et facile.
Le pire de MAIDEN, de très loin, et quelle pochette hideuse ! Eux qui sont pourtant les spécialistes de l'artwork qui tue...
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le 07 Janvier 2016 par HALOPEL
Oh mais quelle erreur de casting !
C'est dommage je suis sûr que l'album aurait pu être sympa avec Bruce au chant, ou du moins un chanteur adéquat !
A la limite enlever quelques longueurs à "Angel And The Gambler" pour que ce morceau soit sympa n'aurait pas été du luxe !
Mais Blaze, non je suis désolé mais c'est une énoooooorme erreur !
"When Two Worlds Collide" est la preuve ultime que Mr. Bayley n'a pas sa place sur ce disque !
"When two worlds collâiiiiiiiiiiiiiiiiide" beurk c'est moche !
Il ne donne aucune puissance, aucun relief et aucune nuance dans son chant !
Des morceaux comme "Futureal", "The Clansman" (heureusement disponible en live avec Bruce Dickinson), "Don't Look To The Eyes of A Stranger", "Lightning Strike Twice" ou encore la ballade finale sont complétement gâchés par le chant monotone de Blaze.
Fort heureusement, Bruce et Adrian vont revenir au bercail et permettre à IRON MAIDEN de renaître de ses cendres.
Album à écouter avec des pincettes sans tenir compte de la voix.
PS: Je ne crache en aucun cas sur l'homme qu'est Blaze Bayley, car outre le fait que ça soit un mec exeptionnel et surtout avec un coeur en or, il fallait avoir du cran pour tenir autant de temps au sein d'un groupe comme IRON MAIDEN sans pouvoir assumer l'interprétation des titres correctement !
La faute revient à Steve Harris qui a fait une énorme bourde en recrutant ce monsieur, qui s'en sort parfaitement bien dans son groupe solo ou dans son ancienne formation qu'est WOLFSBANE.
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le 07 Janvier 2016 par ZEJACK
J'aimerais comparer ce "Virtual XI" à "Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal".
Ils n'ont tout simplement pas existé.
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le 18 Octobre 2015 par PERE_FOUGASSE
J’aime bien manger chez Steve. Même s’il a tendance à surcharger un peu les assiettes avec toujours un peu plus de gras et de sucre depuis les banquets qui ont fait sa réputation. Alors quand pour une fois on se retrouve enfin de nouveau avec un menu à huit plats au lieu de la dizaine devenue un peu trop habituelle, on a encore plus envie de croire qu’on va se régaler.
S’il y a bien un domaine où on était rarement déçu, c’est dans les amuse-gueules. "Futureal" n’est rien de plus qu’un combo tranches de saucisson avec Pringles et une toute petite quantité de toasts au saumon fumé parce que ça fait bien. C’est tout ce qu’il y a de plus classique, presque cheap, mais on grignote, on en reprend, on finit tout et tout le monde est content. Par contre, nous servir cet infâme plateau de macédoine de "Angel And The Gambler" juste derrière, on touche sans aucun doute la plus grande faute de goût du Chef. Et tant qu’à faire, autant en apporter une bonne grosse marmite de dix kilos pour que tout s’éternise bien…
- Oh mais il en reste encore, vous en reprendrez bien une louche.
- Euh.. Non merci, j’ai pas encore fini ma première assiette (et le chien ne veut même pas m’aider, il a préféré repartir sur son quignon de pain rassis)
- C’est pas grave je laisse le plat ici, il faut tout finir. Je vais pas garder tout ça on est que cinq à habiter ici.
Rah, beurk beurk beurk. “Don’t you think I could Save You?” OUI VOUS POUVEZ !! ARRÊTEZ DE DEMANDER ET PASSEZ À AUTRE CHOSE !!
Après cet étouffe-athée, "Lightning Strikes Twice" est une petite bouffée de fraîcheur, pas non plus du saumon au champagne mais un petit ramequin avec quelques noix de St Jacques, cabillaud et les petits chorizos qui font la différence. Un des titres qui font qu’on aura quand même envie de revenir quelques fois, un des rares où la sauce au Bayley (pas qu’elle soit particulièrement crémeuse pourtant) semble adaptée.
Cette sauce gâche d’ailleurs un petit peu la belle entrecôte du "Clansman". Belle pièce de 450g d’origine charolaise certifiée, c’est sûr ! Sur le coup la qualité est évidemment très appréciable. Mais une fois qu’on a découvert la même pièce à la sauce Bruce à manger avec des couverts en argent Rock In Rio, on observe une légère moue devant ce "Clansman" présenté dans une assiette en plastique "Virtual X"I qui ne met vraiment pas en valeur les « no we can't let them take anymore ».
Et puis surtout, quelle idée de la servir accompagnée de ces immondes salsifis en boite de "When Two Worlds Collide" ?? Un bon vieux refrain estampillé « marque pouce » (les couplets ne valent pas forcément mieux mais faut bien accuser quelque chose en particulier pour les crampes d’estomac).
On est loin d’être dans un jour de fête donc pour le trou normand, on reviendra une autre fois. On passe directement au duo de desserts 100% Harris. J’ai beaucoup aimé le "Educated Fool" d’une finesse certaine, onctueux et solide comme il faut. Il m’aurait largement suffit de finir là-dessus, parce que s’enfourner la brioche "Don’t Look To The Eyes Of A Stranger" derrière, ça a en été écœurant. Steve a l’air d’avoir vu que tout le monde s’est rendu compte qu’elle datait de la semaine dernière et qu’elle était bien trop sèche. Il a ramené un fond de crème anglaise pour faire passer la deuxième moitié plus facilement mais il n’en avait vraiment pas assez… Les dernières bouchées n’en ont été que plus difficiles.
- « Comment ça va les amis ? »
- Mouais, il se fait un peu tard je vais pas trop traîner.
- Camomille, verveine, tilleul…
- T’as pas du cognac ou même un café plutôt ??
- Non mais j’ai mieux, y a Janick et Blaze, mes deux nouveaux employés qui m’ont dégoté une tisane de chez eux !
- Mouais, on peut pas dire que ça casse l’ambiance vu qu’il n’y en avait pas vraiment mais là j'ai peur de m'endormir en finissant là dessus...
- "No More Tears"
- Non mais je pleure pas, je me frotte juste les yeux, c'est pire que du Toplexil leur truc.
Pas de fromage ? Je m’en fous j’aime pas ça.
En ce qui concerne le vin, s’il y a bien quelqu’un qui s’est foutu de la gueule du monde, c’est bien le sommelier Mc Brain. S’il n’avait pas envie de venir travailler, il n’avait qu’à le dire plutôt que de nous déboucher des plans si insipides tout le long. Dîner avec du Cellier des Dauphins, on a vu mieux pour mettre en avant les quelques saveurs qu’on peut trouver sur ce disque.
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