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HYDROGRIND  |  STUDIO

Lexique death metal
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- Style : Deadfuck
- Membre : Malevolent Creation

CEPHALIC CARNAGE - Lucid Interval (2002)
Par JOHN DUFF le 3 Octobre 2024          Consultée 1187 fois

KOL est un mec que j'apprécie beaucoup. On s'écrit régulièrement, il m'a fait découvrir des groupes et vice-versa mais le bougre a lancé une bombe dans l'équipe : la Kro-x à contre-emploi. Le principe ? Les chroniqueurs doivent kro-xer le plus objectivement possible des groupes ou des albums qui ne rentrent pas dans leur domaine de compétence/d'intérêt.

Je tiens à préciser qu'il y a eu un tirage au sort afin que notre bourreau soit choisi de manière aléatoire. C'est l'ami FREDOUILLE qui est tombé sur moi. Franchement il me connaît, je n'aime pas spécialement le Prog, le Djent, des styles qu'il chronique quoi. Bon quand il m'a annoncé la couleur avec le groupe CEPHALIC CARNAGE, je suis tombé de ma chaise. Vu le nom, je me suis dit "bon c'est du Death, j'aime pas le Death". Mais j'étais loin de m'imaginer que ce salaud allait me refourguer du Grindcore. Du putain de Grindcore oui.

C'est typiquement un style que je n'affectionne pas des masses donc. Mis à part quelques formations telles que WORMROT et GRIDLINK, je n'aime pas les grands noms du genre (REPULSION, DISCORDANCE AXIS, TERRORIZER…). Bon quand faut y aller...

Bon, l'album dure 1 heure, dans ma tête c'est déjà dur. Le Grindcore c'est pas des albums de 30 minutes et basta ? Bon, il y a quand même une certaine recherche de la violence que je trouve intéressante. Le groupe va vite et le fait bien. Les vocaux sont également à saluer, je m'attendais à du pig squeal pendant une heure mais au final ce genre de growl me cause. J'ai noté d'excellentes ambiances comme sur "Pseudo" ou "Black Metal Sabbath" mais j'avoue ne pas comprendre les délires des morceaux comme "Cannabism" qui tente le flamenco ou encore le jazzy "Puff De La Morte". Je comprends par contre les titres méga courts pour la recherche de violence intensive. Je suis obligé d'évoquer le titre de vingt minutes "Aronist Savior" qui a…dix minutes de vide. Merci les gars. Pour terminer sur une cacophonie générale où cuivres et Grindcore s'entremêlent. Vous auriez pu vous abstenir.

Bon, vous l'aurez compris, le Grind ce n'est clairement pas fait pour moi. J'en comprends le principe et respecte les gens qui aiment mais ça manque de morceaux marquants. Tout s'enchaîne sans que j'en retienne finalement grand-chose. Mais c'est très bien exécuté, les musiciens sont monstrueux (big up au batteur) et ça a le mérite de défouler. Réécouterai-je cet album ? Je ne pense pas. Merci Fredouille. (enfoiré va)

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   DARK MORUE

 
   JOHN DUFF

 
   (2 chroniques)



- John Merryman (batterie)
- Steve Goldberg (guitare)
- Leonard 'lenzig' Leal (vocaux)
- Zac Joe (guitare)
- Jawsh Mullen (basse, chœurs)


1. Scolopendra Cingulata
2. Fortuitous Oddity
3. Anthro Emesis
4. The Isle Of California
5. Pseudo
6. Friend Of Mine
7. Rebellion
8. Zuno Gyakuzastsu
9. Black Metal Sabbath
10. Cannabism
11. Lucid Interval
12. Misguided
13. Redundant
14. Arsonist Savior
15. Untitled



             



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