D’abord, la présence vocale de sieur Vortex me transcende une fois de plus, exclusivement lorsqu’il se met en mode clair ! Et là, c’est un régal. Cependant, la musique me déconcerta quelque peu car, là où - chacun dans son approche - "The Olden Domain" ainsi que "The Archaic Course" arrivaient à nous emmener loin des rivages conventionnels de l’époque, l’album rouge avec son gros "Q" me fit l’effet, dès lors, d’un tir raté…

Heureusement, il y a Findus… euh, il y a ce phénomène ultra puissant à mes esgourdes qui vient à l’instant de débarquer ; j’ai nommé "Colossus", quatrième plage de nos Vikings de la quintessence (tu parles) ! Là, deux fois oui, nous sommes dans le drakkar qui combat la tempête ! Malgré l’écume rageuse, ce rythme majestueux dans son interprétation vocale impériale tirée de son exécution musicale - allez, hop, festival - me régale ! Le rendu de ce titre est époustouflant de vigueur, d’hargne et d’harmonie. Même son final est grandiose : en moins de quatre minutes et demies, des plumes en forme de corne me sont poussées sur un casque inexistant avant l’intro - métal de surcroît - et je me retrouve à taillader dans mon bureau avec mes pinceaux de fortune. Argh, j’ai soif de découvertes musicales, de piller des marchands de disques et de m’enfiler des discographie de tout poil : « A nos deux, anodins, les Odins d’abord » !!!

Ensuite ? Bah, je déteste le titre suivant. Quant au reste, l’émotion du morceau quatre m’étreint toujours alors, rarement, je finis d’ouïr la seconde partie de l’album afin de jouir d’un des morceaux les plus captivants qu’il m’est été donné d’écouter…