AFOS est né au monde avec les seize premières minutes de l’incroyable "God".
Seize minutes pour hypnotiser, séduire, convaincre, passionner et rendre accroc. C’est la découverte de cette progression ritualiste, de ce violon fendeur d’âme, les récitations possédées d’un maître de cérémonies à nul autre pareil, de cette cohabitation improbable et magnifique entre le psychédélisme le plus libre et la guitare la plus crue.

"Le cadavre de la renaissance", opus séminal qui contient en gestation toutes les incroyables branches de la Forêt d’Étoiles, branches qui ne cessent de pousser depuis, un choc à sa sortie, suivi d’interminables écoutes, idéal compagnon de ballades solitaires.
Une proposition artistique tellement forte qu’elle résonne encore puissamment aujourd’hui, matière à une inspiration infinie retentissant à travers les autres chefs-d’œuvre qui lui succède.
Difficile à l’époque de concevoir qu’ils en avaient encore énormément sous la pédale, que ce n’était que le début.