Le 21 Septembre 2003 par FUNERAL_DOOMER

Superbe album. Le style Tristitia est reconnaissable entre mille, un heavy\doom lent et triste magnifié par le magnifique jeu de guitare de Luis B. Galvez... Le premier album "One With Darkness" ou le petit dernier "Garden Of Darkness" sont tout de même un ton au-dessus.

Le 21 Septembre 2003 par FUNERAL_DOOMER

Un chef d'oeuvre. D'une noirceur incroyable tout en restant génialement heavy, ce disque est inévitable dans l'histoire du doom. Un très grand moment. Culte... Ah ces flûtes...

Le 21 Septembre 2003 par FREDOUILLE

Merci pour cette belle chronique qui me donne envie de me procurer le disque dans les plus brefs délais!!!

Le 21 Septembre 2003 par PLANTURAMU

Un album superbe tout simplement beau a pleurer.Voila bravo Opeth!!!

Le 21 Septembre 2003 par ZIGGY

Tout simplement une merveille. Un set parfait, aucun classique mais que des hymnes et en plus c’est original, que demande le peuple ? Un son énorme ? Il l’est (avec les deux grattes séparés en stéréo, la classe). Une interprétation sans failles ? Elle l’est (Kai est divin, mais les autres son également a la fête). Une ambiance de folie ? Il n’y a qu’a écouter le public…
Ce live est tout bonnement parfait.

Le 20 Septembre 2003 par FREDOUILLE

Un monument du metal!!!!! Le meilleur album de QUEENSRYCHE!!!!
Magistral tout simplement.

Le 20 Septembre 2003 par SML66

Tiens, je viens juste de réécouter ce "Balls To The Wall", quelle heureuse coïncidence... Et il ne m'a pas vraiment collé "les couilles au mur" contrairement à ce que le titre annonçait :-p !
C'est un bon album, certes, mais ça ne vaut pas certaines des autres productions du groupe, notamment "Breaker" ou encore (et surtout) "Metal Heart".
Mis à part ces préférences (sûrement subjectives), c'est très bien de parler d'Accept, bravo et merci Julien :-) !

Le 20 Septembre 2003 par JANéTHEFUCKINJURIST

Sympa et originale ta chronique !
Ca fait un moment que je veux acheter ce disque. Tu viens de me décider...;-)

Le 20 Septembre 2003 par MOX

J'ai bien fait de te laisser l'écrire celle-là: tu t'y es bcp mieux pris que moi pour décrire ce MONUMENT (oh non je n'ai pas peur de le dire) du death-metal. Varié (si ce n'est les morceaux du début), superbement interprété, tout y est. Blessed Are The Sick est, à mon goût, la chanson la plus malsaine qu'il m'ait été donné d'entendre: son rythme pesant, menaçant et sa conclusion ultime. Comment oublier le superbe Desolate Ways, tout simplement à chialer?
Et pour la version remastered, le clip de Blessed Are The Sick, qui ne fait que renforcer mon idée sur laquelle ce morceau a une ambiance poisseuse.
Culte, culte, culte!

Le 19 Septembre 2003 par FREDOUILLE

Eh bien moi contrairement à beaucoup d'autres, je le trouve correct cet album mais loin d'etre excellent. Autant j'avais aimé Ecliptica, l'EP successor, autant Silence ne m'a pas du tout plu. Aucune accroche à cet album lassant (désolé pour les fans). Ce WINTERHEART'S GUILD est meilleur que son prédécesseur mais est loin d'atteindre la perfection. Beaucoup de titres satisfaisants mais des refrains qui ne se retiennent que très rarement. Les mélodies ne sont pas extraordinaires. Malgré cela, et après maintes écoutes, cet album reste bon mais sans plus. Je serai plutot tenté de dire que POWERSYLV a fait une bonne chronique.
Et pour comparer à STRATO (Elements part I) qui s'est fait critiquer pour son coté "varietoche", sur ce WINTERHEART'S GUILD, on se retrouve par moments dans le meme registre mais en nettement moins bon. Les élèves n'ont toujours pas dépassé les maitres.

Le 19 Septembre 2003 par MAXIME

Un de mes meilleurs albums, puissant et varié et l'ambiance de l'album est tout de même gardé! J'adore l'ajout de call en death!

Le 19 Septembre 2003 par CRAZYSQUIRREL

Respect pour ce qu'ils ont apporté à la scène metal, mais pour moi c'est tout bonnement inécoutable....C'est lent, c'est chiant, c'est même rigolo des fois !
La période Dio me semble bien plus intéressante.

Le 19 Septembre 2003 par MOMO HEARTBREAKER

Un album décrié par les fans mais néamoins excellent avec des hymnes à faire pâlir de jalousie pas mal de groupes de la même catégorie. Je pense notamment aux magistraux "The Grave Digger", "Son Of Evil" (tout est dans le titre) et mon p'tit chouchou "Hanted Place". Bref, un super disque, celui qui m'a fait découvrir Grave Digger pour être plus précis, même s'il faut avouer que par son approche plus trashy (due en grande partie à un changement de gratteux plus au son plus agressif et moins rock n'roll) et son absence de concept (ici c'est plus une ambiance voir le thème de l'horreur qui est abordé) il peut paraître à part dans la discographie du groupe.

Le 19 Septembre 2003 par POSSOPO

je n'ai toujours rien compris à ce disque,la voix de devin m'énerve, les guitares m'ennuient...
j'ai pourtant essayé comme il est considéré comme un véritabe monument.

j'ai plongé dans cet océan et je n'en suis ressorti qu'avec un bon rhum. c'est bon, le rhum.

Le 19 Septembre 2003 par FREDOUILLE

Un album guère original mais très rafraichissant. De bons titres accrocheurs avec des chanteurs et musiciens talentueux. David a raison quand il compare cet album et "Slaves and masters" car on y retrouve beaucoup d'influences. Un album très sympa.

Le 17 Septembre 2003 par JULIEN

Douzième album studio en date, Victory est un peu à part. Un, il conclut la trilogie commencée avec Masquerade. Deux, il dévoile un visage un peu différent de RUNNING WILD : a l’opposé de la virulence de Masquerade, Victory se caractérise par une optique plus mélodique, mettant l’accent sur les mid-tempos. Bien sûr, comme sur chaque album du groupe, on retrouve ces immanquables titres classiques et directs, dans la grande tradition RUNNING WILD – « When Time Runs Out », « The Hussar », l’épique « Tsar » - mais le groupe a ici opté pour une approche plus soignée, presque groovy par instant, ainsi qu’en atteste par exemple « Fall Of Dorkas »… Ca surprend un petit peu au début mais bien vite, au détour de telle ligne vocale ou de telle lead de guitare, on se plaît à surprendre la griffe inimitable du groupe, ce chant atypique et puissant, ces guitares tantôt dures, tantôt virevoltantes, et cette rythmique d’airain. RUNNING WILD reste RUNNIG WILD, mais étale ici sa capacité à promener son inspiration dans le cadre limité mais pas limitatif de sa musique, et c’est déjà pas si mal. En définitif, un album fort agréable et différent, pour planter le point final de cette trilogie démarrée sur les chapeaux de roue, poursuivi sur un compromis plus confortable d’écoute, et s’achevant sur une note un poil plus originale. A essayer pour les personnes qui pensaient que RUNNING WILD ne pouvait pas étonner, même si il me faut, avec objectivité, ajouter le terme « relatif »…

Le 17 Septembre 2003 par JULIEN

Deuxième chapitre du concept, The Rivalry permet à RUNNING WILD de réduire un peu le tempo et de s’extraire de l’hyper agressivité de Masquerade pour aller de nouveau flirter avec une plus grande variété de tempos et d’ambiances. On retrouve avec plaisir quelques morceaux épiques tels « War And Peace » (basé sur le roman de Tolstoï), « Ballad Of William Kid », « Return Of The Dragon » dans la lignée de ce que le groupe proposait sur Port Royal, Death Or Glory ou Pile Of skulls, mais aussi les inévitables morceaux cartons et bien Metal typiques du groupe. The Rivalry est un bon album, que je trouve cependant un peu trop long (treize titres pour 68 minutes) et qui s’embarrasse peut être de titres qui me semblent dispensables… Mais bon, au moins le groupe ne pourra pas être taxé d’avarice. Pour conclure, un album traditionnel et qui mérite le détour, ne serait-ce que pour se régaler d’hymnes aussi réussis que l’intenable morceau éponyme (à mon goût, l’un des morceaux les plus mémorables de RUNNING WILD), le pêchu « Adventure Galley », ou les titres précédemment cités. A vous de voir, en fonction de votre intérêt pour le groupe… et de vos moyens financiers !

Le 17 Septembre 2003 par JULIEN

Attention, RUNNING WILD s’essaie ici à l’exercice du concept album, ou plutôt des concept albums, puisque l’album Masquerade ouvre une trilogie brodant autour de la lutte éternelle du Bien et du Mal… Hum, abstenons nous de tout commentaire et concentrons nous sur la musique. Avec Masquerade, RUNNING WILD nous sert l'album le plus virulent et le plus rapide de toute sa carrière, d’une intensité assourdissante, presque éprouvante, appuyée par une production proprement monstrueuse ! C’est bien simple, le groupe nous a pondu une mixture sonore tellement bien sculptée qu’elle en devient parfois addictive, une drogue pour Headbangueur furieux ! Mais Masquerade souffre d’un défaut majeur : à force de nous balancer en travers de la gueule ce flot ininterrompu de décibels surexcités, le groupe verse dans une certaine linéarité et donne l’impression de se répéter, usant un peu trop de ses phrasés typiques sans leur insuffler la fraîcheur qui permettrait à l’auditeur de ne pas ressentir de lassitude. Il faut bien reconnaître que RUNNING WILD, fidèle à son type de Metal depuis tant d’années, se doit de renouveler un peu son registre, et sur cet album, l’association d’un trop plein d’énergie et de d’agressivité mêlée à quelques facilités en rythmique ou en refrain, contribuent à rendre l’album difficile à écouter dans son intégralité. Mais le fan de RUNNING WILD et de Metal direct et puissant trouvera ici matière à exprimer son contentement. Un album rentre dedans assez monumental, à essayer rien que pour le plaisir de palper les incroyables vibrations Metal que le groupe est parvenu à capturer en studio ! Et puis, il est bien difficile de résister aux effrénés et furieux « Masquerade » et « Lions Of The sea »…

Le 17 Septembre 2003 par JULIEN

L’évolution esquissée sur Pile of Skulls devient confirmation sur ce nouvel album des flibustiers allemands. L’arrivée de Jörg Michael (futur STRATOVARIUS) derrière les fûts coïncide avec la volonté de l’inamovible Rolf de donner un coup de fouet à sa musique, en l’axant davantage sur la vitesse. Et là, ça commence à faire mal ! Les titres sont désormais légèrement moins compliqués, plus immédiats encore. Black Hand Inn est parcouru de morceaux hyper musclés et presque bourrins, soutenus par des structures classiques et robustes et un son toujours aussi bon. L’empreinte de RUNNING WILD ne fait pas défaut à ce très bon album, plutôt agressif, parfois oppressant (« Fight The Fire Of Hate », l’interminable « Genesis »), toujours mélodique et guerrier. La voix de Rolf est relayée par quelques chœurs bien sentis et assez discrets. Black Hand Inn ne constitue certes pas une priorité absolue mais contient plusieurs chansons incontournables - "Black Hand Inn", "The Privateer", "The Phantom of Black Hand Inn", "Dragonmen"... - et reste indispensable pour le fan ou l’amateur intéressé par le style du groupe.

Le 17 Septembre 2003 par JULIEN

Débutant sur une intro superbe et un tantinet celtique, Pile Of Skulls amorce la deuxième période de RUNNING WILD, qui compose désormais une musique plus rapide, qui donne la parole à une double grosse caisse bien plus bavarde qu’auparavant. RUNNING WILD bastonne méchamment, balançant quelques une des rythmiques les plus sauvages depuis sa création - ce qui colle finalement plutôt bien avec la thématique générale de l’album (la condamnation de toutes les grandes institutions et de tous ces individus responsables depuis toujours et encore aujourd’hui de la mort d’innombrables personnes, autant dire qu’il y a de quoi faire et écrire…) – cédant à l’excitation de la vitesse, sans pour autant négliger les titres plus mid-tempos, les morceaux vifs et Heavy dont il a le secret, et les inévitables mélodies remuantes, presque guillerettes, qui apposent définitivement la signature RUNNING WILD (notamment sur « Lead Or Gold »). Pile Of Skulls est un album très recommandable, complet et varié dans l’utilisation des tempos, et que j’affectionne particulièrement (presque autant que Port Royal et Death Or Glory), notamment grâce à l’épique « Treasure’s Island », inspiré du célèbre roman de Stevenson, qui dévide ses onze minutes glorieuses à grands renforts de chœurs tapageurs et de refrains absolument privés de finesse ! On s’en fout, c’est efficace, ça remue, on gueule à tue-tête sans s’attarder sur tel ou tel détail. C’est RUNNING WILD, et c’est vraiment jouissif si vous aimez le style ! Foncez !