Le 09 Mai 2004 par LEECHMASTER

Ayant découvert Sepultura avec le fameux "Roots", je me suis dit que les albums précédents ne pouvaient pas être à la hauteur. Et pourtant...Si "Roots" frôlait le statut de chef d'oeuvre, "Chaos A.D." n'est ni plus ni moins le monument Thrash de cette année 1993. Alliant riffs thrashisant, rythmiques tribales (servies par un Igor Cavalera en furie) et vocaux écorchés et rageurs, Sepultura démontre en 12 titres magistraux son talent, et éclabousse le monde du métal de son génie. Les 3 morceaux d'ouverture sont anthologiques, et c'est toujours avec le même plaisir que je le réécoute, sans oublier les monstrueux "Amen", "Propaganda" ou "Nomad" qui resteront à jamais graver dans ma mémoire. Sepultura nous avait à maintes fois exposé un talent indéniable, et "Chaos A.D." est la preuve que seul le travail paie. Que ceux donc qui ne jurent que par "Roots" (un type dont le pseudo commence par Rod et finit par Jeur par exemple) jettent une oreille sur ce bijou, ils se laisseront bien vite imprégner par la magie de "Chaos A.D.".
P.S: la version 12 titres, c'est déjà excellent, mais la version avec les bonus, c'est encore mieux ;)

Le 09 Mai 2004 par JULIEN

Juste une petite question en fait : Vous êtes sûrs que les excellents "The Gun" et "Dream Thieves" sont destinés à figurer au programme du prochain album de SONATA ARCTICA ?

Le 09 Mai 2004 par LINKIN

Moi je trouve limp bizkit super."eat you alive",en voila un bon de titre!

Le 09 Mai 2004 par METAL FAB

Eh ben dites donc, en ce début d'année 2001, Primal Fear nous a pondu une véritable bombe, pour reprendre l'expression de Pierre. Les titres ont un tempo très rapide par rapport aux deux opus précédents (Angel in Black, Back from Hell, Nuclear Fire ou encore fire on the horizon). Troisième album donc mais aussi premier avec Henny Wolter, qui remplace Tom Naumann avec Brio (ce qui fait que l'on a toujours cette grosse impression de puissance). La prod' de Mat Sinner fait une fois de plus des merveilles.
La voix de Ralf, toujours aussi géniale. Sur "Back from Hell", on croirait entendre le sieur Halford... Sur les morceaux plus calmes tels que "Bleed for me", il sait faire preuve d'une grande sensibilité. le titre "Now or Never" est du même gabarit que "under your spell" de JOD quant à l'intro de "Kiss of Death", elle nous rappelle un peu le début de "Hell Patrol" de Priest....

Eh ben, Primal Fear, c'est pas un groupe de tapettes !

Le 09 Mai 2004 par COOLMEN

Je n'aime pas cet album!

Le 09 Mai 2004 par COOLMEN

Une véritable boucherie! Mais je lui préfère seasons et divine beaucoup plus techniques et arrangés (voir progressifs). Le dernier malgré son agréssivité me semble moins bon que celui-ci.
Trois morceaux cultes: angel, altar et raining.

Le 09 Mai 2004 par COOLMEN

Ce disque est une véritable bombe à fragmentations, c'est le cas de le dire. Indispensable!

Le 08 Mai 2004 par JULIEN

Dis donc, rarement vu quelqu'un porter aussi mal son pseudo ;) ! Eh les gars, ch'ais pas si vous z'avez pigé le truc là, mais GRONIBARD, c'est une énorme farce, et je ne comprends même pas que vous perdiez du temps à écrire des commentaires de ce genre, qui dénotent d'une incompréhension du concept même de cette formation ! Les musicos qui constituent le groupe axent tout sur la déconne (à lire leurs interviews, le doute n'est même pas envisageable), n'ont absolument aucune prétention autre que celle de s'amuser (et d'amuser) avec une musique qui est elle-même assez parodique à la base à mon goût... et très franchement, le groupe est loin d'être ridicule dans le genre, et je trouve ça assez poilant, même si le plan cul de bas étage est loin d'appartenir au registre habituel de l'humour qui me touche... En tout cas, bravo pour ton honnêteté Coolmen : Démolir un disque après une misérable écoute au casque à la Fnac, voilà qui a le mérite de mettre en garde le lecteur quant au capital "prudence et mesure" de ton commentaire... Ahlala, si seulement nous pouvions être aussi prompts que toi à nous faire une idée d'un disque, tout ce boulot de chroniqueur serait assurément plus facile ^_^ ! Allez, sans rancunes, bleuargh, caca prout et tout ce genre de choses...

Le 08 Mai 2004 par JEREMY

Je connais pas le reste de la discographie du groupe, mais cet album est une vraie tuerie !
Tout les titres sont exceptionnels, avec des refrains/choeurs monstrueux et des soli imparables.
Un des meilleurs albums de heavy/speed de ces dernières années !

Le 08 Mai 2004 par SIGSEGV

je trouve que ce disque est largement surestimé; c'est bon, sans plus. C'est loin d'etre "génial" comme beaucoup l'affirment.

Le 08 Mai 2004 par JEREMY

(chronique à retrouver sur www.rockmuzik.com)

Six Degrees Of Inner Turbulence est le sixième album studio de nos amis américains, et il lui incombe la lourde tâche de succéder à ce monument du Metal Progressif qu'est Metropolis Part II : Scenes From A Memory. Sans grande surprise, Mike Portnoy et ses potes ont décidés de ne pas reconduire le thème du concept album pour éviter les comparaisons fastidieuses entre les deux crus.

Présenté sous forme de double-album, il est aisé de remarquer qu'une sorte de tri a été effectué pour le choix du placement des pistes. En effet le premier cd contient uniquement des tueries, des longs morceaux agressifs, épiques, techniques et envoutants. Les dix minutes de Blind Faith (et son intro planante), ou encore les treizes minutes des Glass Prison (sur lequel quelques discrets scratchs font leur apparition) et Great Debate (sur lequel Dream Theater prend position à propos du clonage d'embryon humain en apportant des arguments de taille) passent sans encombre, on se surprend même à regretter qu'ils se terminent si vite ! Deux autres excellents morceaux viennent compléter ce premier CD quelque peu surprenant : Misunderstood, un mid tempo planant où James Labrie s'en donne à coeur joie sur les lignes de chant, et Disappear, première ballade du disque qui démontre une fois de plus qu'il n'est pas nécessaire d'envoyer du tapping à tout rompre ou de sortir des breaks déroutants pour faire passé de l'émotion. Disappear annonce donc la couleur pour le deuxième CD de la meilleur des manières.

Après la véritable claque reçue sur le premier disque, voyons donc de quoi retourne ce second CD, qui est en réalité un seul et unique morceau (éponyme) découpé en huit pistes. Après une longue intro instrumentale (6'49 min tout de même), About To Crash nous arrive en pleine face, suivi de peu par War Inside My Head, deux excellents titres, beaucoup plus calme que ceux présent sur l'autre CD, beaucoup plus progressif aussi, on retrouve ici le Dream Theater auquel on est habitué depuis Images And Words, et ce n'est pas pour me déplaire ! Puis on a le droit à l'enchainement de l'album ! L'enchainement qui va elever ce Six Degrees Of Inner Turbulence au rang de chef-d'oeuvre ! En effet, entre l'effrené Test That Stumped Them All et son riff assassin mêlé à la magique batterie de Mike Portnoy (Mr. Huit-Bras), la triste douceur de Goodnight Kiss (waouh ce solo de guitare, je fond !) et la rythmique acoustique plombée de Solitary Shell, on a pas le temps de souffler ! Puis la reprise d'About The Crash revient sans prévenir et John Petrucci nous balance un de ses riffs dont il a le secret en pleine figure !

Les claviers majestueux de Jordan Rudess et la basse cisailleuse de John Myung venant se mêler à l'ensemble, ceci fini de nous faire tomber définitivement amoureux de ce disque hors norme, où les musiciens sont au meilleur de leur forme (mention spécial à Mike Portnoy pour son jeu encore plus varié que sur Metropolis Part II : Scenes From A Memory), et où l'intelligence des paroles et des compositions (John et Mike pour la plupart) en suprendra plus d'un. Un album riche, sans aucun doute beaucoup plus riche que ce vous n'avez jamais pu entendre, un album magique, tout simplement.

Le 08 Mai 2004 par METAL FAB

Heavy ? Vous avez dit Heavy ? Avec cette galette, Rob et ses amis (ben vi, il les a retrouvé l'été dernier) nous rappellent (et montrent peut être à certains) ce qu'est le Heavy Metal, le VRAI ! "Painkiller" est pour moi (ainsi que pour beaucoup) le meilleur album sur lequel Rob ait jamais chanté. La paire Glenn Tipton et KK Downing y est aussi pour beaucoup (comme toujours).

Quant aux titres ! Y a pas de mots pour les qualifier tant ils pètent. Ce Scott Travis, quel homme ! Eh dire que ce fût le premier album du prêtre que j'ai acheté et depuis ce temps là, les "Touch of Evil", "Painkiller, "Nightcrawler", et.....(tant qu'on y est, disons tout l'album), je ne m'en lasse pas. Espérons que la prochette galette de nos grands prêtres du Heavy Metal sera aussi grandiose que Painkiller !

Le 08 Mai 2004 par COOLMEN

Ce disque est complètement insipide, je l'ai une fois écouté au casque à la fnac. J'ai pas évalué parce que je voulais mettre 0.
On atteint vraiment les abîmes de la connerie dans ce disque, ils ne savent pas jouer, à se demander comment ce truc a été signé ("sûrement en suçant des millions de queues", un bon titre pour leur prochain album)
J'espère qu'ils ne prétendent pas faire de l'ombre à Napalm death.

Le 08 Mai 2004 par RODJEUR

bien vu cher leechmaster ;)
J'ai n'ai pas été étonné de t'endendre dire que tu n'aimais pas trop cet album après te l'avoir prêté. Effectivement, plusieurs écoutes sont nécessaires avant de saisir les subtilités d'un chef d'oeuvre, comme souvent... C'est le cas pour "the jester race", un opus de haute volée propoosé par les suédois d'IN FLAMES... Que peut-on dire, si ce n'est que nos bouffons nous époustouflent avec "artifact of the black rain", "the jester race" ou encore "lord hypnos", des chansons de toute beautééééééé. Bref, faut l'entendre pour le croire ;-)

Le 08 Mai 2004 par RODJEUR

il est pas mal, même pas mal du tout cet album. Je connaissais déjà ILL NINO, pour avoir écouté revolucion/revolution, et franchement le cocktail alliant musique calme et entraînante à des riffs puissants fait toujours mouche. Un album comme on en voit malheureusement rarement. Un style à part, à découvrir d'urgence pour tous ceux qui ne connaissent pas encore...

Le 07 Mai 2004 par SIGSEGV

PS : Portnoy voulait faire un album de "classic metal", mais entre Train Of Thought et Master Of Puppets, il n'y a pas de comparaison possible; l'un est un chef d'oeuvre, l'autre aurait été la daube de l'année 2003 si St Anger n'était pas sorti.

Le 07 Mai 2004 par SIGSEGV

Pour répondre à Wild Thing, ce n'est pas le fait que DT ai pris une tournure métal qui me gène, mais c'est avant tout le résultat (production mauvaise avec un son de guitare baveux atroce) et la démarche artistique, qui n'est pour moi rien d'autre qu'un immense foutage de gueule : "nous somme Dream Theater, ce que nous faisons est forcément bien, alors un album écrit (jeté devrais-je écrire) en 3 semaines avec des chansons baclées, c'est bon. On est pas inspiré ? C'est pas grave, on va prendre des riffs de Metallica, on va les transposer 10 fois et les jouer à l'envers (Orion - Stream Of Consciousness); de toute facon, nos fans sont des blaireaux, ils ne s'en rendront pas compte". J'ai été fan hardcore de ce groupe; je suis toujours membre du fan club; mais je peux te garantir qu'autour de moi, ce disque a été celui de la rupture. Et si le prochain album est aussi "bon" que ce train Of Thought, ce sera à mon tour de tourner la page. Je me suis fait une raison, nous n'aurons plus jamais d'album de la trempe d'Images And Words ou d'Awake, ou meme SFAM. Si le groupe ne se décide pas à retravailler avec un producteur indépendant, ils vont dans le mur; et je maintiens, Train Of Thought est pour moi une merde comme il en existe peu; seul St Anger de Metallica et les Sex Pistols ont fait pire.

Le 07 Mai 2004 par SIGSEGV

Cette suite de Liquid Tension Experiment est tout simplement grandiose, bourré de mélodies belles à pleurer; ce disque transpire le génie et la passion. Indispensable pour le fan de prog.

Le 07 Mai 2004 par SIGSEGV

Excellent disque, mais la jam de 28 minutes vient ternir cette oeuvre. C'est progressif assez difficile d'accès, mais dans le genre, c'est un chef d'oeuvre. Si vous aimez Dream Theater, ne passez pas à coté de ce disque.

Le 07 Mai 2004 par SIGSEGV

Après SFAM; on attendait un très grand album; et voici 6 degrees... et ca commence mal; The Glass Prison; suite de riffs sans grand interet; passages instru difficilement supportables pendant lesquels le groupe s'écoute jouer ... la voix de Labrie ne colle pas au morceau ... décevant. pas grand chose à sauver à part la dernière partie chantée.

Blind Faith : sympathique, jusqu'au refrain assez insupportable; et la chanson est trop longue pour son contenu.

Misunderstood : pas mal; jusqu'à ce que Petrucci fasse n'importe quoi à la fin du morceau; c'est assez horrible.

The great Debate : pas mal; mais ca ressemble trop à Tool je trouve.

Disappear : Un truc dans le genre radiohead sans grand interet.

Passons au cd 2 : l'intro Walt Disney, je ne m'étendrai pas dessus; c'est mauvais. Passons à la suite; tout va bien jusqu'à The test That Stumped them All; parties vocales de Labrie assez laides; riffs sans interet, pas de mélodie; bref c'est chiant. par contre toute la suite de la chanson est bien; sauf la transition entre Solitary Shell et About To Crash (Reprise).

Bref, le premier cd est expérimental, mais est globalement gacjé par des passages sans mélodie et pendant lequel le groupe s'écoute jouer de facon insupportable. Le deuxieme lui est du prog plus classique, mais malheureusement pas exempt de défauts. Un double album à oublier assez vite.