Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

L'album de Thrash par excellence. The American Way était, est et restera un album phare du Thrash et du metal tout court. Tout y est, la rythmique démente, les soli maitrisés et efficaces, la basse slapotante par moment, la batterie avec la double qui martèle et les textes, les textes. Who's to blame est Le chef d'oeuvre en matière de lyrics, de même que The american way et crimes against humanity, 31 flavor nous démontre qu'on peut être metalleux et aimer differents styles de musique. Du très très bon. Sans faille, un must.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Dur de suivre Blackout in the red room, ce qui avait été le cas des Guns après un excellent Appetite.
Reste que wasted in america est un bon album, certes certaines chansons sont bien en deça de ce que j'en attendais mais dans l'ensemble il est intéressant comme tout. Cet album vaut vraiment le coup pour moi pour une simple raison, il y a Don't be afraid qui est un pur joyau. La basse omniprésente, l'ambiance presque malsaine qui accompagne des lyrics assez durs. Le bonheur.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Yeah Love/Hate, ce Blackout in the Red Room est une tuerie. Dès le départ on est pris dans le tourbillon de ce combo imparable. L'esprit est bon enfant et les chansons très bonnes qui filent la patate, tel Hell Ca, Pop 4 qui clôture l'album avec fougue, l'esprit Ramones n'étant pas loin. Fuel to Run, Tumbleweed, et la géniale Why d'you think they call it dope? (le clip était excellent à ce titre).

J'en veux encore de cet album, certes pas assez connu pour un album de cette trempe. S'en suivra un wasted in america en demi-teinte et un très bon Let's rumble.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Pour ma part, le meilleur album du King, dès l'intro on rentre dans un cauchemar tout droit sorti d'un film de la Hammer de la grande époque. Toutes les chansons sont accrocheuses au possible et les musiciens nous livre une belle performance réhaussée par la voix du King. Laroque époustoufle par son touché, et ce n'est pas les Sleepless nights et autres Victimized qui vont me contredire, et surtout pas ce morceau instrumental de pur génie qu'est Something Weird, quel pied, quel pied, bon dieu quel pied cet instrumental. J'en veux encore des comme ça Monsieur Laroque.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

J'aime cet album. Ayant commencé Helloween par Walls of Jericho à l'époque, j'avais décroché après le live in the UK pour me réintéresser à la citrouille avec the time of the Oath, et force est de constater que The Dark Ride est mon préféré d'Helloween à ce jour.

J'adore Escalation666, cette chanson me fait tripper, le refrain est superbe je trouve. Cet album est sombre, il porte bien son nom, certes, il n'est pas de l'Helloween classique, qu'importe, il y a des chansons qui ne sont pas à la hauteur des autres, mais dans l'ensemble, c'est toujours avec un plaisir non dissimulé que je l'écoute, d'ailleurs très souvent. "Escalation666", "If I could fly" et "The departed sun is going down" sont trois chansons phénoménales à mon sens. Elles repassent d'ailleurs deux fois à chaque écoute de cet album.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Bravo sur toute la ligne. Un très bon album. Progenies of the apocalypse reste une des meilleures chansons de ces dernières années. le chant clair est magnifique. Encore

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Nous voilà revenu en cette vieille époque du Thrash old school. Rappellez-moi en quelle année est sorti ce disque? Retour vers le futur. Death Angel nous livre une galette qui n'aurait pas dépareiller au milieu des années 80. Des titres féroces, des refrains entrainants. On sent le motorhead à plein nez sur certains titres et la puissance est au rendez vous. de "Thrown to the wolves" à la formidable "Word for the wise", un régal. Tourne en boucle mon petit, je ne me lasserai pas je te met au defi. Une cure de jouvence que ce Art of Dying que je préfère aux anciens c'est dire. Chapeau bas messieurs.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Le son de la perseverance pour un Chuck qui se sait déjà malade. L'album le plus technique de Death, se rapprochant d'un style alambiqué, avec des trouvailles à chaque instant et un chuck encore une fois supporté par des musiciens de grands talents, et Richard Christy nous démontre s'il fallait le précisé, qu'il est un bête monumentale.

Cet album est le dernier que nous a offert Chuck avant de tirer sa reverence. Album qui se termine par une reprise du Painkiller de Judas, offrande et juste retour des choses pour un Chuck grand amateur de heavy metal devant l'eternel.
Il a donné sa vie à la musique et les fans le lui ont bien rendu. J'ai eu le bonheur d'échanger quelques mots avec lui lors de cette tournée, à la Laiterie de Strasbourg, un grand homme s'en est allé et je suis fier d'avoir pu serrer la main de cet homme qui a fait tant pour la musique metal et pour moi en particulier, et je ne me lasserai jamais d'écouter Death.

Puis-ai-je le revoir au paradis des metalleux. Mais il est toujours là à nous rejouer ses morceaux pour notre plus grand plaisir. Miss you!

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Symbolic. Ah ce Symbolic. Un de mes albums préférés. Tout y est incomparable. Les compos plus majestueuses que jamais, un style ralenti mais oh combien efficace, et ce sont des titres ravageurs qui nous arrivent en pleine face nous offrant un lot d'émotions rares.
Empty Words, rien que d'en parler elle me hante, une tuerie cette chanson. Rien n'est à jeter, comme d'habitude. Et ce n'est surement pas le final de l'album qui me fera dire le contraire. Comment arriver à être si talentueux. Perennial quest et son final à fleur de peau, des notes magiques qui font frémir. Sombres, suicidaires même. Un pur concentré de génie. Un album incontournable, bref une référence.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Andy Laroque vient rejoindre Chuck, pour un album grandiose. Rien à dire, tout a déjà été dit sur cet album. Virtuosité, complexité, rapidité d'execution. Non vraiment, il tue cet album.
Jealousyyyyyyyyyyyyyyyyyyy

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Autre album, autre line-up, on est habitué maintenant. C'est avec deux musiciens de Cynic et son pote DiGiorgio, le deuxième bassiste hippie aux pattes def' après Cliff Burton, et c'est un album de haute technicité qui nous est delivré.

Du premier au dernier titre, c'est un délice. un Suicide machine, un Lack of Comprehension d'anthologie, une ambiance à couper au couteau, le génie créatif de Chuck qui nous manque tant, fait de cet album une réussite indéniable du métal.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Chuck Schuldiner nous délivre avec ce Spiritual Healing un Death metal ébourriffant. Il s'adjoint les services de Mr James Murphy, un gratouilleux honnête? Non un des meilleurs musiciens du monde metallique et pas que metallique. Des morceaux d'une puissance et d'une touche mélodique. Une technique qui commence à poindre avec ces échanges entre ces deux monstres de la six cordes. Une intro en tapping par ci, des soli monstrueux par là, et on tire la langue et on bave et on en veux encore. Non décidément ce Chuck, quel homme.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

1988, une pochette d'un rose détonnant, un vinyl qui à peine vu se retrouva sur ma platine. Premier son de ce groupe mythique qui me parvenait aux oreilles pour devenir un de mes groupes fétiches. Des titres ravageurs, des soli assassins, un chant à la Lemmy sous acide. Des compositions solides Left to die et Pull the plug en tête. Une déferlante dont on ne voudrait qu'elle ne cesse. Du pur génie de ce Chuck qui nous étonnera plus d'une fois.

Le 10 Décembre 2004 par JULIEN

Tiens, ça faisait longtemps que personne ne bavait plus sur le néo metal comme tu le fais Fucklalife. Permets moi juste de trouver un poil réducteur et expéditif le jugement que tu portes sur ce genre... Je ne suis pas fan du genre pour un sou, mais je me garderais bien de relayer tes assertions. On a le droit de trouver ça naze, mais de là à exhiber des termes comme "crédibilité"... Franchement, arrêtez un peu de taper sur le Néo, cible ultra facile et convenue... ça devient un peu fatiguant, là ! Et je ne parle même pas des fans du genre, qui sont sûrement las de s'entendre dire qu'ils sont vraiment nazes d'écouter ça.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Chuck Schuldiner. Ce nom ne disait rien à personne à l'époque, il est aujourd'hui devenu une icone du métal, et pas n'importe laquelle. L'homme qui a donné son nom à un style des plus réjouissant. Death. L'histoire commençais avec ce Scream Bloody Gore hargneux, la voix de Chuck pas rauque mais à s'arracher les cordes vocales.
Des titres rapides et vindicatifs, Zombie Ritual et Mutilation en tête. Chuck était fan absolu de heavy metal et cela ne s'entendait pas de prime abord, mais quand on dissèque cet album, on se rend compte à quel point il a mis à sa sauce, le heavy traditionnel pour lui donner un gros coup de pied où je pense et dépoussierer tout ça. Premier album premier coup de maître.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

L'intro. L'intro. L'intro, on commence avec une bonne baffe. Une bonne baffe. Une bonne baffe. Cet album me rend marteau. Punish my heaven, à cent à l'heure c'est parti pour un des albums de Death mélodique made in sweden des plus somptueux. Les guitares sont acérées, la batterie part en rafale, la basse souligne cela avec grandeur.

Bref, des morceaux qui se suivent mais ne se ressemblent pas. The emptiness from which I fed, on en veut encore. Dark tranquility a évolué ensuite, nous laissant un goût amer, même si leurs récents albums sont très bon.
Rien ne vaudra ce The Gallery pour moi.

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Groupe de ce seul et unique album, culte d'entre les cultes, le groupe le plus technique de la planète. Focus, bien avant Ford, Cynic nous délivre ce nom et quel délice plus de 10 ans après la magie fonctionne encore. Certes la voix robotisée n'a pas que des adeptes, loin s'en faut, mais que c'est bon.

Rarement musique si technique n'aura pas été chiante, démonstrative. Un album pas assez long mais qui a le merite d'être devenu au fil du temps un objet de collection.
Si je tenais l'ignoble qui ne me l'a jamais rendu!!!!

Le 10 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

La Claque!! Déçu que j'étais des premiers albums solos de Bruce, l'écoute de cette galette certes très Maidenienne mais purement réjouissante et puis Bruce et Adrian réunis ça ne pouvais faire que des étincelles, ils ont écris ou co-écris quelques uns des meilleurs morceaux de Maiden (pour mémoire Sea of Madness, Stranger in a strange land, 22 acacia avenue, Powerslave, 2 minutes to midnight, Revelations).

Et cet Accident of Birth fout sa claque. Puissance, mélodies et que de bonnes choses à se mettre sur les oreilles. Force est de constater que Bruce sait y faire, des morceaux comme Road to Hell, Accident of Birth, ou The Magician (raaaaah lovely) nous replonge tête baissée dans ces folles années où sa voix me faisait vibrer comme pas un.
Et puis il y a les ballades, majestueuses, terrifiantes d'émotions, pour terminer sur un Arc Of Space de toute beauté. Bref, l'album que je revais de la part de Bruce en solo. Une bomba mega tonna.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

D'une beauté consternante, d'une maestria confondante, on tient là, le meilleur album de black symphonique de la planète.
To thou who dwelliest in the night est sûrement un des plus beau morceau jamais composé, une fin grandiose avec ses solos tout en finesse et technique non demonstrative. Puis la suite est toute aussi bonne et exquise. Raugt Og Svart et Fall of man notamment qui sont vraiment les meilleurs morceaux de cet album de pur génie. La suite de la carrière du groupe ne m'ayant jamais autant fait tripper.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

L'évolution d'Amorphis est bénéfique au groupe. Après un Elegy de très bonne facture et un Tuonela de génie, (aaaaaaah The Way), Amorphis nous livre là, avec Am Universum, un petit joyau de métal mélodique. Dès qu'Alone déboule c'est la joie, enfin la joie, l'album est assez sombre, très sombre par certains morceaux déprimants comme Veil of Sin ou Shatters Within.
Mais on sort avec un sourire béat de cet album magnifique, dommage que le dernier album en date soit un peu une redite en moins bien.