Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Ah Peavy , n'arretera t-il jamais? Oh que non crient les fans de Rage et de rage bien entendu. Fan dont je fais partie.
Un trio de choc, un batteur halluciné et un gratteux hallucinant de maîtrise, de technique et créateur de mélodies enchanteresses. Dès l'intro le ton est donné. Et War of Worlds, grandiose, Peavy sais manier les lignes de chants qui accompagnent une musique des plus magistrales. Du tout bon, d'un bout à l'autre, c'est un bonheur que d'écouter Sounchaser. De titres en titres, jusqu'à la conclusion en deux actes, le père Wagner sait encore et toujours y faire, et ses deux compères, prouvent comme s'il était encore besoin qu'ils savent nous faire tripper. L'album de l'année 2003 sans soucis. Et une prestation grandiose en première partie d'Helloween pour ne rien gâcher. Mr Pasteur épargnez-nous votre vaccin, on aime avoir la Rage.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Un album rare. Des interludes viennent séparer les morceaux d'une rare puissance et mélodie. Twisted Truth, Presence of the Dead et la superbe Stigmatized avec son break à la Somewhere in time, que du bonheur. Un de albums phare du Death metal pour ma part que je m'écoute très souvent. Avec toujours autant de bonheur que lors de sa sortie. Cela ne nous rajeunit pas.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Comment rester insensible à cet album? Je me le demande. Les 70's planent sur cet opus réalisé avec maestria et bon dieu que c'est beau. Dès Windowpane, on est entraîné dans le tourbillon d'émotion dont ils nous frappent avec maestria. A ce titre, In my times of need et son refrain hallucinant me plonge dans une abysse de tristesse, rien n'a jamais été comme cela. Le son du clavier accompagnant la chanson pour appuyer la tristesse du propos.
Et jusqu'à la fin, cette tristesse ne me quitte pas. Mais c'est un bonheur que d'être entraîné dans ces sentiments purs par de telles mélodies. Simple mais travaillé, cet album est digne du plus grand album jamais réalisé qui procure autant d'émotions : le In the Court Of The Crimson King de King Crimson dont on sent bien l'influence dans ce Damnation pour lequel je me damnerai sans soucis.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

comment alleint ils faire pour se surpasser cette fois? On se dit qu'ils vont finir par s'essouffler. Que nenni, et vlan, c'est reparti pour un tour. Opeth est de retour à son meilleur niveau, c'est à dire son rythme de croisière, comment font ils pour être toujours au top? Miracle, mais des miracles comme ceux là on en redemande. Des riffs Death metal à se damner, des mélodies douces mêlées aux sempiternelles voix gutturales de ce diable de Michaël. Encore un album du tonnerre, un grand moment pour une pièce musicale grandiose.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Encore une fois, je me ruais dès la sortie de cet album et dès qu'il fut mis sur ma platine, le bonheur. Un nouvel Opeth et c'est de nouvelles émotions qui nous prennent, des flots de sensations accompagnées une nouvelles fois des envolées guitaristiques d'Akefeldt et Lindgren, les deux guitares qui nous emportent loin dans des paysages sombres mais exquis. C'est dans la douleur que le disque se termine, et que fait-on généralement après avoir écouté pour la première fois un nouvel album d'Opeth? Et bien oui on le remet et c'est reparti.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

On en avait l'habitude, c'est encore une perle que nous lâche là Opeth (sans mauvais jeu de mots voyons!!!). Un album tout en subtilité qui se fait plus progressif que son prédécesseur mais qui montre une nouvelle fois, on ne le dira jamais assez, le génie des compositions d'Akerfeldt. De The Moor à White Cluster c'est un déluge d'émotion qui nous transperce, en passant par Benighted que je trouve personnellement magnifique. Et que dire du solo de white cluster, dès le départ c'est les frissons qui parcourent l'échine, je ne me lasserai jamais de l'écouter.
Encore une perle je disais, l'habitude mais jamais lassé par ce groupe génial.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

Un album plus Death et moins progressif, mais il reste un album qui a de la gueule. Comment ne pas se sentir transporté par les sombres mélodies qui se dégagent des guitares et de la voix d'Akerfeldt, tantôt douce tantôt rauque, toujours avec ingéniosité, ils nous balancent des titres qui s'enchainent dans un tourbillon d'extase musicale. Akerfeldt en compositeur avisé sait retenir l'attention de l'auditeur qui ne se lasse pas de se faire transporter dans les contrées magiques de la musique d'Opeth. Encore un grand moment de passé en la compagnie de ces suédois de génie, avec un Martin Lopez qui pour son premier album avec Opeth nous montre son grand talent.

Le 09 Décembre 2004 par EDGE OF SANITY

1996, l'année de la révélation. Cette pochette minimaliste, ce logo où le O est torturé mais tout en volutes, que nous laissait présager cet album? Et bien, une vraie atmosphère sombre et tortueuse où les riffs acérés font place aux guitares acoustiques avec brio, et le chant de Michaël Akerfeldt se fait mélodieux et clame, comme s'il voulait concurrencer son ingénieur du son le génial Dan Swanö.
Les titres longs ne lassent pas, heureusement car sur cet album, le progressif se mêle au death metal, et bonheur l'émotion est toujours au rendez-vous. Chaque chanson est un bijou et les joyaux sont Nectar et To bid you farewell qui clot l'album d'une façon magnifique. Un grand groupe était né et reconnu. Le meilleur était à venir.

Le 09 Décembre 2004 par YANN "RISK666"

Sur la forme, plus grand chose à voir avec son prédécesseur "Aspera...". Dans la conception, en revanche, la griffe Arcturus nous lacère toujours autant. L'écoute de cet album relève d'un véritable parcours initiatique, difficilement appréhendable au premier abord. "La Masquerade Infernale" recèle des trésors cachés, cachés aux yeux du simple mortel ... ainsi, seule la persévérance portera ses fruits. Mais ces derniers ont une saveur particulière car, après l'amertume de la mise en bouche, leurs saveurs douces finissent par nous enivrer.
Virage à 90° très bien négocié par ce groupe hors-normes.

Le 09 Décembre 2004 par NTZAZ

Rien dans le livret mais après recherches: Vivaldi sur Evil Warning ; Schubert sur Unfinished Allegro / Carry on et Mozart sur Angels Cry. Pas plus de précisions. (source: le livret complémentaire de Freedom Call)

Le 09 Décembre 2004 par REQUIEM

Eh eh, on ne peut pas complètement se plaindre, au moins ils ne nous ont pas fait le coup de la pochette "silhouette de méchants monsieurs avec corpsepaint".
Du sous Darkthrone sans le côté hypnotique du groupe culte.
Et des comme ça on a pas fini d'en voir.
A chier...

Le 09 Décembre 2004 par CELTIC FROST

Je viens juste de l'apprendre mais certains menbres du groupe auraient été victimes d'une fusillade !

"CHICAGO (Reuters) - Un homme a ouvert le feu mercredi soir pendant un concert de rock dans un bar bondé de Colombus, dans l'Ohio, tuant quatre personnes avant d'être lui-même abattu par la police.

Cette fusillade est survenue dans le bar Alrosa Villa, où environ 200 personnes avaient pris place pour écouter un groupe de hard-rock, Damageplan, a précisé le sergent Brent Mull, porte-parole de la police de Colombus.

L'homme est monté sur scène pui s'est mis à tirer sur les spectateurs. Un policier est intervenu, a abattu le tireur et, en agissant ainsi, "nous pensons qu'il a sauvé d'autres vies", a déclaré Mull, en soulignant que les raisons de cet acte demeuraient inconnues.

Au moins un musicien semble figurer parmi les victimes, a ajouté le porte-parole. Deux blessés ont été hospitalisés.

D'après la chaîne de télévision WCMH, filiale de NBC, le musicien décédé serait le guitariste, Dimebag Darrell, ancien membre du groupe Pantera."

Le 09 Décembre 2004 par FRANCIS

en passant powersylv.. le groupe se nomme Omnium GatheRUM

Le 09 Décembre 2004 par FUCKLALIFE

les bas fond du neo metal...mouhahahahaha, ça donne franchement pas envie d'écouter.

le neo metal tel qu'il est pratiqué aujourd'hui ne sera jamais apprecié par les fans pur et dur de metal. tout simplement parce que le neo metal, c' est du metal qui veut se la jouer hype-hip-hop-style de merde avec pour représentants tout un tas de groupes aussi nazes que limp bizkit ou linkin park avec des chanteurs qui se la racontent ouverts, jeunes, et jolis et qui trainent leurs basques avec des mecs comme snoop dog (qui a récemment sacagé rider on the storm des doors). a part les 2 premiers korn et quelques titres sur les albums de soulfly, jamais le neo n'a été crédible un seul instant.

Le 09 Décembre 2004 par STEF

merci requiem.
il faut savoir que j'ai écrit ces chroniques il y a plus de 5 ans, et qu'à l'époque, internet n'était pas encore très répandu et que notre seule référence était les magazines dans lesquels cette période de black sabbath était quasi-systématiquement descendue ; d'où le contexte récurrent de défense de BS dans lequel sont plongés la plupart des chroniques.

Actuellement, je ne pense pas que je les referais comme çà.
J'aurais essentiellement envie de défendre 2 albums : "the Eternal Idol" et "Tyr" qui restent mes 2 favoris de l'ère 1987-1995.

Le 08 Décembre 2004 par MIKE TRAMP 2

"Calm before the storm" et "Belief" sont les seuls albums de Hard FM que je ne regrette pas d'avoir dans ma collection, car ils se différencient totalement des autres productions du même style, qui sonnnent plutôt vieillotes et désuètes avant l'heure, ayant de toute évidence été montées de toutes pièces par ces labels spécialisés (Frontiers, MTM...) dont la principale politique vise à vendre des produits charmeurs et nostalgiques (la plupart des membres de ces groupes sont des ex-quelque chose), mais de toute évidence Daren Wharton et sa bande se démarquent largement de ce créneau commercial pour affirmer une personnalité inégalable, et sans vouloir anticiper à propos d'un album que je n'ai pas encore écouté, je suis déjà presque certain que ce nouvel opus du groupe me comblera autant que ses prédécesseurs. En tout cas votre chronique semble aller dans ce sens, et les metalleux hermétiques à tout ce qui sonne "AOR" feraient bien de la lire, juste pour se faire une petite idée de ce qu'ils risquent de rater...

Le 08 Décembre 2004 par PUMPKINSTEF

mon album préféré de malmsteen (bon, pour être sincère je ne me suis pas farci les 1421 opus qui composent sa discographie mais de tous ceux sur lesquels j'ai posé une oreille, c'est mon préféré). d'excellentes compositions, des refains super accrocheurs, des solis de gratte souvent géniaux (je fais parti de ceux qui lui reprochent de parfois trop en faire dans d'interminables solos d'auto-démonstration quasi-insupportables pour un novice comme moi qui ne joue pas de gratte) où il démontre sa dextérité sans jamais oublier le sens de la mélodie et sans saouler. après c'est vrai que cet album de hard rock teinté fm a une coloration assez commerciale mais quand la qualité est là, c'est bien le principal.
il ne se montrera pas autant inspiré dans bon nombre de galettes qui suivront. ce odyssey est donc à conseiller à toutes les oreilles.
ps: joe lynn turner est excellent de bout en bout

Le 08 Décembre 2004 par REQUIEM

J'avais été attiré par ton initiative de réhabiliter l'ère Tony Martin et tes chroniques m'avaient mis l'eau à la bouche.
Relativement attaché à l'ère Osbourne j'avais été déçu par Mob Rules, Live Evil, Dehumanizer et Born Again.
C'est donc sous tes conseils que je me suis attaqué à cet album...
...Et tu avais raison ! Mob Rules me laisse totalement froid mais je trouve The eternal idol vraiment intéressant (surtout "the shining"). J'ai depuis écouté les autres albums de l'ère Tony Martin mais aucun ne m'a branché autant que celui ci (bien que comme tu le dis ils ne sont pas foncièrement mauvais), il a depuis trouvé une bonne place dans la partie Sabbath de ma discothèque aux côtés des disques de l'ère Ozzy et de Heaven and Hell.

Le 08 Décembre 2004 par PHILISTINS

Korpiklaani ("le clan de la forêt") est un groupe dont les ambitions sont claires : mélanger metal et folkore finlandais (cf. la bio sur le site www.korpiklaani.com). On a d'abord peur de tomber sur un Finntroll-bis (Jonne Järvelä a fait parti de Finntroll pendant deux ans) mais Korpiklaani n'emprunte pas la même direction. La partie metal est ici représentée par un heavy très banal, sur lequel viennent se greffer violon, flûte et autre folkleries.

D'entrée, on est saisi par le manque d'imagination du groupe en ce qui concerne l'aspect metal. Certains riffs font presque sourire ("Before the Morning Sun"), tant ils sont patauds, voire cliché. Au chapitre des points faibles, rajoutons un chanteur (Jonne Järvelä) vraiment limite, qui gâche un peu le plaisir (le refrain de "Shaman Drum").
A l'inverse, les mélodies folk sont dans l'ensemble réussies. Les interventions du violon, notamment, relèvent une sauce qui aurait sinon bien du mal à prendre.

Mais attention au titre du disque et à l'artwork, ils représentent plutôt mal la musique du groupe. Elle est en effet festive, limite niaiseuse par moment (la faute à des mélodies parfois trop faciles comme sur "God of Wind") à part la chanson "With Trees" qui fait figure d'ovni au sein de ce disque. Contrairement aux autres morceaux, l'atmosphère est ici planante, mystique. Une guitare acoustique sobre soutient un air de flûte vaporeux puis c'est au tour du violon d'entrer en scène, porteur d'une gravité qu'on ne retrouvera dans aucune autre chanson de l'album. Le reste du titre est du même acabit, cette belle pièce de plus de huit minutes constitue de très loin le morceau le plus intéressant de la galette. Il faut ensuite attendre la dernière piste ("Mother Earth") pour retrouver une ambiance aussi prenante.

Si le groupe hésite encore entre kitscherie heavy/speed et morceaux plus planants comme le magnifique "With Trees" pour donner forme à son folk; je lui conseillerai la deuxième orientation, bien plus rafraîchissante.

Le 08 Décembre 2004 par VOLTHORD

A mon avis l'un des plus grands album de Black Metal, sombre, magnifique, décadent... un must tout simplement...le meilleur album de Dimmu Borgir.