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Dream Theater
Black Clouds & Silver Linings
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le 15 Juillet 2009 par FLEEBUST


Enfin !

L'album tant attendu est arrivé. Il nous gratifie en prime de plusieurs bonnes surprises. Pour ma part je suis agréablement surpris de ne plus
entendre les pérégrinations toonesques de Jordan Rudess qui a délaissé ses exercices musicaux à la Walt Disney aux sons insupportables pour des plans et nappes classiques et de surcroit fort agréables ; merci Jordan.

Et puis Portnoy chante moins et ça c'est bien aussi !

Pour le reste c'est musicalement excellent dans l'ensemble. La sobriété et le retour au bon Prog Métal sont de retour, yeaaaah ! ! !

J'en dis pas plus, ce dixième chapitre studio est grand, parfois très grand.



le 12 Juillet 2009 par CTHULHU SACRIPAN


Après quelques semaines d'écoute (d'ailleurs je vous fait à tous un énorme coucou de Pologne) je réalise que ce "Black Clouds..." est une pure perle et que DREAM THEATER n'avait pas sorti un album pareil, aussi ambitieux, aussi frais depuis "Six Degrees..."

Je persiste à dire que "The Shattered Fortress" est une bouze insipide et sans idée mais le reste, le reste mes amis, est de toute beauté. Cette nouveauté musicale est certes discrète mais rien n'est ici fait comme sur les anciens albums. C'est space, ok, mais pas space comme sur Octavarium, pas space Pink Floydiennement, c'est un space gothique, lourd, sombre, comme un gros nuage orageux, menaçant effectivement comme les musiciens l'avaient prévenu lors de leurs interviews

Bref à part "The Shattered Fortress" je bénis cet album et retrouve un groupe que j'ai adoré autrefois et ai ensuite suivi seulement par curiosité.

DREAM THEATER est retour, ça va chier, vive DREAM THEATER !

P.S. Jordan Rudess sur cet album est tout bonnement bluffant.

le 09 Juillet 2009 par BOROMIR


Le voilà, le tant attendu 10e album studio du Théâtre du Rêve (si on exclut le EP de 1995, "A change of seasons") au titre énigmatique et sombre, tout autant que sa pochette qui pourra rappeler celle d’"Awake", monument du Metal Progressif.

Serait-ce un clin d’œil à l’annonce par Portnoy lui-même que le groupe a vraiment retrouvé ses bases progressives un peu délaissées il faut l’avouer depuis "Train Of Thought" (2003), qui avait vu le groupe durcir sa musique, ce que regrettait une frange non négligeable des fans ?

Au vu de mon analyse de ce disque encore une fois rempli à ras-bord (6 titres pour 75 minutes… avec GRONIBARD, on aurait eu l’inverse), vous constaterez que le résultat balance encore entre les deux courants mais qu’il m’est apparu beaucoup plus réussi car mieux maîtrisé, plus inspiré également que sur "Systematic Chaos".

En effet, dès le morceau d’ouverture, gros son de gratte, double pédale, voire blasts, cohabitent avec de plus fines parties de synthé et un James Labrie à la tessiture plus basse qu’à l’accoutumée. "A nightmare to remember" constitue une bonne mise en oreilles quoiqu’un peu longuette mais qui nous montre un DREAM THEATER incisif, inspiré.

Le premier single de l’album est ce "A rite of passage" à l’intro qui vous rappellera un certain "Home" de merveilleuse mémoire. Filtres vocaux nombreux, riffs acérés, refrain mélodique à souhait… c’est du tout bon. Devrait bien fonctionner sur scène celui-là (confirmation au Hellfest où j'ai vraiment trouvé le morceau accrocheur) !

Titre un peu à part par sa durée (« seulement » 5:25) et son caractère éthéré, "Wither" m’a charmé par sa simplicité, son ambiance mélancolique que j’ai plaisir à retrouver chez DREAM THEATER (cf "Disappear", "Space Dye Vest"). Peut-être anecdotique et moins marquant que les glorieuses chansons précitées, "Wither" n’en est pas moins rafraîchissant et représente une respiration bienvenue dans cet opus si dense.

Clôturant la saga des Alcooliques Anonymes, "The Shattered Fortress" reprend des passages des 4 premiers morceaux ("The glass prison/This dying soul/The root of all evil/Repentance") avec de très bonnes transitions. Un épilogue réussi du voyage entrepris en compagnie des démons personnels de Portnoy depuis "Six Degrees Of Inner Turbulence" (2002).

Le sommet de l’album est pour moi atteint avec le somptueux "The best of times", titre dédié au père de Mike Portnoy récemment disparu. Une longue intro de clavier et des envolées de guitares nous mettent en appétit avec un savoureux goût de RUSH en arrière bouche. Le reste est à l’avenant avec un James Labrie majestueux (et non pompeux), un solo magistral de 3 minutes de Petrucci qui clôt ce morceau à ranger au panthéon des compositions du groupe ("Learning to live" ou "Octavarium"…) ni plus ni moins.

Dans la lignée de ce titre épique, "The Count Of Tuscany" est une autre réussite mélangeant allègrement chœurs surgonflés, refrain mélodique, ambiance atmosphérique à la "Trial Of Tears", délires sonores de Jordan Rudess… un morceau de prime abord décousu mais dont la richesse ne pourra que vous faire voyager une fois ses 19 minutes intégrées (comme souvent avec l’œuvre de DREAM THEATER, serais-je tenté d’écrire).

Avec ce nouvel élément de qualité venant compléter une riche discographie, DREAM THEATER fait montre une nouvelle fois d’un talent de composition indéniable, d’une qualité instrumentale et vocale jamais démentie.

Leur meilleur album depuis "Scenes From A Memory" à mon humble avis.

le 06 Juillet 2009 par THE MIRACLE


J'ai connu DREAM THEATER avec "Images and Words" et "Metropolis Part 2", donc j'ai d'abord connu leur coté "chaud" et "émotion". Mais ensuite, j'ai connu leur facette "Train Of Thought" et "Systematic Chaos", je me suis dit comment on pouvait passer du chaud au froid (et même glacial) comme ça.
J'ai snobé leur coté heavy métal froid mais après un élan d'élargissement d'esprit, je me suis surpris à écouter "Train of Thought" d'une traite et là, c'est la méga-claque. Je suis toujours fana de leur coté très progressif mais je digère mieux leurs albums dits sans émotion ("Train of Thought" et "Systematic Chaos").
Je trouve que "Black Clouds" est entre les deux. Tantôt ambiance "Images and Words", "Octavarium", tantôt ambiance "Systematic" et "Train").
"Black Clouds" est donc pour moi très correct mais je n'arrive pas à le comparer à un autre de leurs albums.
Il est noir sans être violent et froid.

le 02 Juillet 2009 par UTURN


Excellente surprise !
Le nouveau chapitre studio de Dream Theater sent bon le frais même s'il n'est pas transcendant de bout en bout.
Il y a de très bons morceaux, d'autres très frêles ; donc la moyenne s'en trouve un peu affaiblie. Qu'à cela ne tienne, ce BCASL me comble bonnement et je m'en sers de fières rasades chaque jour.
Un été avec un bel opus de Dream Theater, le premier depuis un bail tout de même.
Je constate que le verdict chiffré ne parvient jamais à collecter les cinq étoiles et c'est bien normal au vu du contenu de l'album.
Mais qui s'en plaindra ?













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