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Dream Theater
Black Clouds & Silver Linings
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le 19 Octobre 2010 par SAM
Je me fais rire moi-même quand je relis mon commentaire à la sortie, en Juillet l'année dernière. Je m'étais bien enflammé. Franchement sur un titre et pendant quelques jours, ça l'a fait. Mais je n'écoute plus l'album, chaque essai est rapidement interrompu. C'est la première fois je crois que je déclasse une de mes "notes" mais ya rien à faire, ça ne m'intéresse plus cette galette.
Alors maintenant tout signe de changement au sein de DT ne peut qu'être une bonne nouvelle. Portnoy partant, pourquoi pas? Si ça motive le reste du groupe à être à nouveau créatif (et je prie pour un Aquiles Priester en remplaçant de luxe, un peu bourrin mais qui manque déjà tellement à ANGRA...).
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le 19 Octobre 2010 par THE WRAITH
J'y arrive pas avec cet album. Moi j'ai adoré "Systematic Chaos" et "Octavarium". Ce sont mes deux favoris après "Metropolis Part 2" et "Train Of Thought". Mais ce dernier cd je m'attendais à plus. J'adore "Rites Of Passage" et "Wither" mais je trouve les autres titres beaucoup trop longs, j'aime mieux avoir quelques titres en plus mais moins longs. Mais bon, matière de goût. Je classerais donc les albums de DT comme suit:
1- "Systematic Chaos" ( j'ai découvert le groupe avec ce cd).
2- "Octavarium" ("Panic" !!!).
3- "Train of Tought".
4- "Metropolis Part 2" ("Home", quelle chanson, ma favorite du groupe).
5- "Images And Words" ( Trop écouté).
6- "Six Degrees Of Inner Turbulence".
7- "Black Clouds And Silver Linings".
8- "Awake".
9- "Falling Into Infinity" ( "Hollow Years", magnifique).
10- "When Dream And Day Unite" (très bon tout de même mais pas comparable).
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le 10 Avril 2010 par MIKE
Tout un album !!! Peut-être pas au niveau d'un "Systematic Chaos"... et oui allez, ou d'un "A Change Of Season" (là c'est intouchable). Les titres s'enchaînent et sont moins répétitifs que d'habitude. Et comme le dit la chronique, ils nous surprennent. Eh bien tout un album, oui tout un album.
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le 04 Février 2010 par SACRIPAN
AVEC LE TEMPS VA TOUT S’EN VA…
Je le trouvais déjà chiant à sa sortie, mais au moins dans le carnage, je sauvais les 2 premiers titres qui me paraissaient vivants alors.
Maintenant que les mois ont passé, même "A Nightmare To Remember" et "A Rite Of Passage" me font office de porte-manteau. Okay, ces titres sont originaux mais ce ne sont pour autant pas des êtres très communicatifs, pas de quoi passer une nuit blanche avec eux à taper dans le saucisson et le pain croustillant, frais, en discutant de l’avenir du groupe au coin du feu
Bref, elle est bien loin, bien loin, la manière des "Images And Words", des "Scenes From A Memory", des "Six Feet Of Inner Turbulences" et "Train Of Thoughts", qui (même si ces albums ne sont pas vieux) rivalisaient, eux au moins, d’ambitions musicales (influences Jazzy, Pink Floydienne, Pop, Kornienne).
L’Art est là, sur ce disque, il n’y a pas de doute, on entend que les musicos méritent leurs réputations de... bah de musiciens en fait (parce qu’ils font un peu ce métier parce qu’ils savent en jouer, de leurs instruments, pas de leur réputation...). Mais globalement le projet "Black Clouds" n’a pas de poids, on ressort de cette expérience (peut-on encore parler d’expérience...) un méchant goût d’inachevé avec au commencement un objectif musical déjà mal défini et forcément exploité à l’aveuglette, ça nous donne du space-gothic à 2 balles (j’entends les thèmes dramatiques à la Star Wars de "Nightmare To Remember" et "Rite Of Passage") et du space-ambiant avec "Best Of Times" et "Count Of Tuscany" du même fond de casserole Pink Floydienne que la bande à Portnoy nous ont déjà resservi (attendez, laissez-moi compter) à peu près 36 milliards de fois (ou 36 milliards 1 fois, je ne les compte plus, est-ce qu’"Octavarium" compte ? Allez, oui, 36 milliards 1 fois donc)
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le 23 Décembre 2009 par JUDAS
J'ai attendu cet album avec moins de passion que les deux précédents, qui m'ont réellement déçu ; gardons une objectivité qui ne peut qu'aider.
Les premières écoutes ont reçu un accueil plutôt encourageant, de prometteurs passages épiques à l'horizon.
Aujourd'hui je n'écoute que deux chansons, voire trois : "A Nightmare To Remember", "The Shattered Fortress" et "The Count of Tuscany". La première par pur plaisir, le sublime passage calme et ses soli. La fin est à mon goût trop poussive, le titre aurait été parfait si conçu sur 12 minutes.
La seconde pour son brassage très réussi des thèmes du concept AAA, recueil de titres qui ne me plaisent pas d'ordinaire, à l'exception de "This Dying Soul" sur TOT. L'assemblage de riffs fonctionne bien et la conclusion rend une émotion forte, portée avec brio par James Labrie, mis en orbite par un solo magistral.
La dernière pour son côté épique, son départ progressif très jouissif, les couplets/refrains bons eux aussi ; le titre est sur de bons rails mais m'amène sur ce que je n'arrive toujours pas à cerner musicalement, le pont d'avec la très belle fin. J'ai du mal à le sentir comme faisant partie intégrante de la chanson ne manière telle qu'il est coupable de me faire couper l'album sans lancer le titre. C'est dire !
Les chansons restantes ne me procurent que peu d'émotions, un refrain creux ("A rite of passage"/"Wither") ou de la guimauve au miel enrobée de sirop ("Wither"/"The Best Of Timess")... Non merci mes Seigneurs, je n'accroche pas.
Je ne retiens pas grand chose de ces titres bien fades et peu dans le spectre musical que j'aime chez le groupe. Ce ne sont certes pas les seuls de la discographie, mais le faible nombre de pistes sur cette galette fait qu'ils rendent pénible l'écoute.
De manière générale, j'ai quand même de l'affection pour cette offrande, dans laquelle j'ai retrouvé avec grand plaisir un Petrucci inspiré et un Labrie bien en voix ; a contrario, Rudess quant à lui est un peu trop dans le cosmos et Myung reste trop discret.
2,5/5.
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