 |
|
Moyenne établie
sur la base de
36 commentaires notés [?]
Dream Theater
Black Clouds & Silver Linings
| |
|
Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 |
|
le 16 Novembre 2009 par SAM
Ma platine CD et mon iRiver sont deux juges aussi implacables qu'impartiaux: il se trouve que ce "BC&SL" tourne moins, beaucoup moins souvent que "6 Degrees..." ou même "Train of Thought". Heureusement il reste devant "Octavarium" ou "Systematic Chaos"... Mais je me dois de lui enlever une étoile par rapport à mon 4 dû à l'enthousiasme des premiers jours et des premières écoutes. Finalement ça reste peu surprenant et peu captivant passées la première voire la seconde piste. Impossible pour moi d'arriver au Comte de Toscane sans zapper. Ce sera 3 donc.
|
|
|
|
|
le 06 Novembre 2009 par ALBIRéO
Je me fous de savoir si DT se renouvelle ou pas, s'il y a de la redite (sur la forme), si machin, si truc. L'élément important est : est-ce que ce disque me transporte, me fait frissonner, tourne sans la platine parce que l'envie irrésistible de le réécouter est là ?
De mon point de vue, c'est OUI !
C'était clairement NON pour "Octavarium", MOUIF pour "Systematic chaos".
C'est vrai, je lui trouve aussi des défaut gênants et, c'est le plus navrant, évitables. En gros :
- "The Shattered Fortress" située en plein milieu de l'album est inécoutable. J'ai horreur de ce genre de morceaux patchwork et celui-là est un des pires tant je le trouve franchement pas beau.
- Que quelqu'un dise à Mike Portnoy qu'il arrête de massacrer les chansons avec sa voix antimusicale ! Le break rageur de "A nightmare to remember" est désagréable au possible et le prérefrain de "A count of Tuscany" est totalement ruiné ; il aurait mieux fallu 2 James Labrie.
- "A nightmare to remember" souffre d'une fin trop longue dans laquelle les thèmes successifs sont rappelés. L'idée est excellente, le p'tit break doux et sautillant réussi, mais le reste est vraiment trop lourd.
Tout cela ne concerne que quelques instants épars sur les 70 minutes de l'ensemble. Car le reste est carrément jouissif ! C'est certes déjà entendu - C'est du DT, je le rappelle - mais tellement inspiré !! Les premiers 70% de "A nightmare to remember" sont du pur bonheur, "Wither" est une ballade agréable, la "niaiserie" de "The Best Of Times" est touchante et enfin "A count of Tuscany" est d'une exceptionnelle beauté. Quand la qualité est là, la longueur n'est plus un problème. Ces 19 minutes de bonheur passent nettement plus vite que certaines 13 ou 14 minutes de "Train of thoughts" !
Bref, je me répète : le CD tourne en boucle et ma réconciliation avec le groupe déjà entamée avec "Systematic chaos" se trouve approfondie avec ce superbe album.
Le 5/5 aurait été assuré s'il n'y avait pas cet horrible composition au milieu de l'album !
|
|
|
|
|
le 07 Octobre 2009 par BLUEPOWDER
Comme pas mal de gens ici ça faisait un bail que je traînais des pieds à chaque nouvel album de DT. Le combo "TOT"/"Octavarium"/"Systematic chaos" étant mal passé, j'avoue avoir écouté le petit dernier principalement pour vérifier que je ne ratais rien.
Je vais commencer avec un avis brut de décoffrage. Première écoute, WHOA !
Hein ? que se passe-t-il ? J'aime ce que j'entends, ce n'est pas normal.
Je vous épargne l'étude track par track, je crois que ça a été déjà fait.
Donc mis à part "Wither" qui selon moi devrait se trouver sur un autre disque, d'un autre artiste, dans une galaxie lointaine, l'arrivée de "bc &sl" m'a dans un premier temps comblé.
Et d'ailleurs, j'avoue même avoir pleuré à chaudes larmes à deux reprises durant l'écoute (non , non, pas parce que Portnoy senior n'est plus de ce monde), bonheur immense d'apprécier à nouveau réellement un de leur disque post "6 degrees", mini hommages au passé disséminés ici et là même si pas toujours bien maîtrisés, j'ai aimé prendre ma claque, je n'y croyais plus, je ne l'attendais plus, et là, PAF !
Deux mois plus tard j'ai eu le temps d'assimiler tout ça...
"BC & SL" est un bon album, mais ne casse pas 3 pattes à un canard. Pour ma part j'ai l'impression que certaines chansons sont tirées en longueur pour remplir le disque. Il reste de grands moments dans le cd, notamment sur "A nightmare to remember" et "The count of tuscany", mais mon dieu que c'est gauche par endroits.
DREAM THEATER se fait vieux (et ça me gave de l'avouer), le disque est bon mais ça sent la routine les amis.
Donc, un excellent (über génial) disque par rapport aux deux précédents, mais un disque passable en soi. Je souligne l'effort, DT a réussi à arrêter de faire n'importe quoi (ça me regarde hein, ne le prenez pas personnellement), mais en terme de composition, même si ça me fait un peu mal de le dire, c'est plutôt faible dans l'ensemble, beaucoup de redites à l'intérieur même des morceaux.
Comme d'habitude, on verra bien le prochain, mais pour moi la magie s'est envolée après "6 degrees".
Allez hop, pouf pouf, 3 sur 5, parce qu'ils ont réussi à me faire chialer de bonheur ces individus notoires !
|
|
|
|
|
le 04 Septembre 2009 par BRYCE
Pour mettre les choses au point dès le départ: j'apprécie ce disque lorsque je l'écoute. Ai-je pour autant l'envie de l'écouter en boucle comme j'ai pu le faire cette année pour d'autres albums ou d'autres albums de DREAM THEATER la réponse est sans hésitation "non" tout comme ces grands frères "le sympa mais passons à autre chose" "Systematic Chaos" et le "médiocre" "Octavarium".
Ce disque n'offre aucune surprise (dans la lignée de "Systematic Chaos") et je me suis retrouvé à retenir tous ses longs morceaux assez facilement (un comble quand même... DT nous a habitué à des morceaux de 6 minutes beaucoup plus passionnant et difficile à appréhender) tant le groupe est prévisible dans sa façon de composer (battle guitare-solo, unisson, grosse intro, grosse outro bref le même schéma répétitif).
Alors certes, il y a quelques ambiances un peu inédites qui donnent un peu de piment ("A Nightmare To Remember" bien catchy avec un passage calme magnifique malheureusement les mauvaises habitudes du groupe gâche un peu ce morceau) et des moments vraiment sympa et plaisant ("The Count Of Toscany" le meilleur morceau du disque dont j'adore l'intro et la 2nde partie).
Le reste n'est qu'une redite. "A Rite Of Passage" n'est pas mauvaise en soit mais trop... lisse et ce passage instru sorti de nulle part ne veut rien dire (ça me donne même envie de ressortir "As I Am" qui reste au fond supérieur aux singles dits heavy des dernières années), "The Shattered Fortress" n'est pas mal pour une conclusion même si peu audacieuse avec les reprises de thèmes des précédents épisodes des AA.
"The Best Of Time" se référant au père de Portnoy décédé, il est un peu délicat d'y porter un jugement. Mais c'est niais... entraînant mais niais... et trop 1er degré... en gros on attend que Petrucci en fin de morceaux viennent nous sauver. J'omets volontairement "Wither", j'ai jamais été pote avec les ballades made in DT.
Petrucci me semble être en forme depuis 2 albums et est le musicien qui sort du lot. Derrière rien de bien neuf, Labrie qui tient sa place pas plus pas moins, Myung malheureusement invisible - et dieu sait que le bonhomme aurait à apporter - Rudess continue de nous sortir le meilleur (des passages inspirés) et le pire (bip bip pouet pouet et je fais des sons avec mon iphone) et Portnoy qui malgré une grosse performance nous sort le minimum syndical (d'ailleurs j'essaie encore de me demander la dernière fois qu'il a essayé de dépasser certaines limites en terme d'inspiration, sûrement "6DOIT").
Un album de DT, encore un se dit-on. Un album que l'on attend patiemment de longs mois tout en sachant que cette excitation ne mènera pas bien loin puisque chaque fan un peu sensé sera capable de reconnaître que leur façon de concevoir et composer un disque (pas de producteur extérieur, composition/enregistrement/sorti disque = 8 mois, Portnoy ayant la main mise sur le groupe et décidant avec Petrucci de l'orientation artistique) ne peut pas mener à un grand disque. Quand ces mecs décideront de faire quelque chose de grandiose ils le feront sûrement, mais veulent ils encore le faire ? Avec leur fan base plus que fanatique qui préfère un disque de DT tous les 2 ans plutôt qu'un vrai bon album travaillé tous les 5 ans, ces gars n'ont aucune raison de prendre des risques. Sortons un disque, fans heureux, partons en tournée, fans heureux en voiture Simone!
Une chose est sure il peuvent, à défaut de faire mieux, éviter de faire pire et ce "Black Clouds & Silver Linings" remplit parfaitement son rôle dans cette tâche.
Un bon 2/5 tendant vers le 2.5 parce qu'il ne faut pas déconner: le plaisir de l'écoute ne doit pas aveugler la qualité dont le groupe nous a habitué dans un passé qui commence à dater ("Images & Words", "Awake", "Scenes From A Memory", "Six Degrees Of Inner Turbulence") et le manque d'inspiration.
|
|
|
|
|
le 01 Septembre 2009 par CHISI
Cet album m'a incontestablement déçu.
Les titres tels que "A Rite Of Passage", "The Shattered Fortress", "The Best Of Time" ou encore "Wither", perdent en subtilité des lignes de chants moins mélodieuses qui font moins rêver. Cet album n'est pas pareil que les célèbres "Octavarium", "Train of thought". Des chansons comme "The Count Of Tuscany" ne sont pas désagréables à écouter: c'est même le seul cinq étoiles. Mais un 5 étoiles bien en dessous de "Pull Me Under" et "Metropolis part 1" qui sont dans "Images And Words" ma seule autre déception de DT.
Il faut comme même avouer que cet album revient totalement dans l'esprit DT que les albums cités plus haut avaient tout de même un peu perdu.
En fait, ce n'est pas une, deux ou trois bonne chansons qui ont sauvé cet album, c'est plutôt le petit plus présent dans chaque chansons et il faut aussi savoir que j'ai très longuement hésité sur une, deux ou trois étoiles pour cet album, le trois a été très vite éliminé mais ensuite je me suis dit que les autres excellents albums de DT compenseraient de toute façon une 1 étoile d'où mon 2.
Tout cela pour dire que cet album n'est pas au même niveau que "Images And words", mais en nettement dessous .
|
|
|
|
| |
