Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 ...>...>>... 2670
Comment poster un commentaire ?


SLIPKNOT
THE END, SO FAR


Le 27 Mai 2023 par BANE


Mon album de l'année, parfait de bout en bout...





ANATHEMA
FALLING DEEPER


Le 27 Mai 2023 par CLANSMAN57


Je découvre tout juste ces réenregistrements et à mes oreilles, c'est déjà plus intéressant que "Hindsight". Meilleur, je ne pense pas.
Les chansons retravaillées ici sont issues de la période Darren White, soit la plus Extrême. Deux titres de "The Silent Enigma" sont également présents.
J'ai du mal à reconnaître certaines chansons originelles (surtout pendant la première moitié du disque), preuve qu'un travail a été effectué.
C'est relativement court et peu de voix interviennent, celle de Vincent n'est pas employée souvent.

À voir si je le réécoute à l'avenir, mais je penche pour le dispensable en ce moment.
J'ai l'impression que le groupe a voulu se faire plaisir avant tout et que les originales sont bien plus enivrantes.





METALLICA
72 SEASONS


Le 26 Mai 2023 par ZOMBIEMAN


Après plusieurs écoutes, je suis en mesure de poster une opinion. La meilleure depuis le "Black album". Alors, certes, ce dernier est sorti en 1991, cela fait donc 32 ans que le groupe n'œuvre plus dans le "Thrash", par conséquent, inutile de voir en cet album un revival Thrash. Non, ce n'est pas cela. C'est toujours du Hard Rock avec quelques touches "Thrashy" histoire de se remémorer le passé, rien de plus. Rien de nouveau, à vrai dire, depuis "Death Magnetic".

Sauf que là, ben, ça tabasse. Peut-être trop, l'album est assez linéaire, sans balades, des titres assez rapides, en tout cas mouvementés. C'est un album ample, chargé, et pourtant à mes ouïes plaisant et digeste. Oui, digeste. Car la construction de l'album est intelligente. Les trois titres Thrashy se situent en 1ère, 6ème et 11ème position. De quoi contenter les plus impatients. Les autres titres sont-ils plus faibles ? A peine. Pour moi, le meilleur est le huitième, "Chasing Light", mais les autres ne déméritent pas. Les plus faibles, selon moi sont les 7ème et 9ème. Mais bon quand même, pas de quoi s'enfuir.

Au final, l'album est vraiment bon. Douze titres, douze riffs parfaitement mémorisables. Des cassures de rythme, des intermèdes, des ponts, des pré refrains, des refrains, des soli de fous, oui, on y est, et je ne vois pas quel groupe surpasse cette faculté d'alternance entre différents rythmes sur un seul morceau, si ce n'est METALLICA. Y a-t-il des concurrents actuels ? Si oui, je ne les connais pas. Alors merde, METALLICA a sorti un putain d'album, rendons lui honneur, même si le meilleur titre de cet opus n'arrive pas à la cheville d'un seul titre du Black album, qui n'est lui-même pas la meilleure offrande du groupe.





SAINT VITUS
BORN TOO LATE


Le 26 Mai 2023 par CLANSMAN57


Dehors, il fait beau. Dedans il pleut et la brume s'installe.
C'est ce qui arrive lorsqu'on met ce disque.
C'est BLACK SABBATH qui joue lentement presque tout le temps.
Grosse déprime et méga fumée toxique pour s'oublier.

Sans doute un classique du genre, mais je n'en suis pas dingue, malgré ses qualités évidentes.







TROUBLE
PSALM 9


Le 26 Mai 2023 par CLANSMAN57


Pas trop fan de tous ces descendants directs de BLACK SABBATH (comprendre ceux des années 80), mais cet album de TROUBLE me convient bien.
En effet, ce n'est pas lent d'un bout à l'autre, mais l'ambiance est assez sombre, ce qui est un bon point me concernant.
Le chanteur m'en rappelle un autre, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus.

Sans doute le meilleur disque estampillé Doom Metal sorti durant les 80's.
Après les premiers CANDLEMASS bien entendu, lesquels me semblent planer bien loin au-dessus des autres.






ENTOMBED
TO RIDE , SHOOT STRAIGHT AND SPEAK THE TRUTH


Le 26 Mai 2023 par I AM THE GROWL


Une production quasiment sans basse qui laisse croire à un enregistrement live en studio avec de mauvais réglages (alors qu'ils viennent de recruter l'ex-leader de GRAVE sur l'instrument, un comble). Un chant rauque et Rock plutôt que Death. Nicke Andersson à la batterie pour son dernier disque avec le groupe. C'est un peu l'épisode 1,5 des HELLACOPTERS, cet album d'ENTOMBED, comme si ENTOMBED devenait l'espace d'un album un side-project du groupe désormais principal d'Andersson. Alors, ça démérite pas, y a de bonnes expérimentations, surtout en deuxième partie de disque ("Damn Deal Done"', c'est du Doom ; "Just As Sad", c'est du Hardcore punk ; "Boats", c'est du Blues ; "Put Me Out", c'est du SONIC YOUTH ; "Wreckage", c'est les STOOGES... le tout passé à la moulinette ENTOMBED). Et en première partie de disque, les chansons sont sympas. Pas leur meilleur, mais rafraîchissant et doté d'une atmosphère à part, comme pendant un concert de festival.





NORTHER
CIRCLE REGENERATED


Le 26 Mai 2023 par ALTHOR


NORTHER manque, ce sens de la mélodie, ces solos si complémentaires entre les deux gratteux Kristian et Petri...
Je reviens régulièrement à ce "Circle" même s'il annonçait le début de la fin avec cet étrange line-up exempt de Petri. Cette configuration a tout de même permis d'accoucher de titres franchement excellents. "Through it All" (quel refrain!), "Some Day" (la fin acoustique est vraiment belle dommage quelle soit mixée si faiblement), "We Do Not Care" (sacré brûlot) ou encore "Closing In" qui laisse entrevoir un petit (mini) côté Prog. Même l'atmosphérique "New Beginning" me parle avec son ambiance touchante. Dommage qu'il y ait pas mal de titres bof sur cette galette. Mais ça ne m'empêche pas de le trouver sympathique.
Kride a depuis complètement laissé sa gratte pour une reconversion totale. J'aimais beaucoup ses compositions et son jeu, c'est fort dommage.





ANATHEMA
SERENADES


Le 26 Mai 2023 par CLANSMAN57


Bon, je l'ai planché correctement ces derniers temps et je lui attribue la note maximale en fin de compte.
Sans rentrer dans les détails, chaque chanson apporte une nouveauté, l'album est assez varié et travaillé. Dès leur prime jeunesse, ces gens soignaient déjà leur musique.
"Crestfallen" (que j'augmente ici à 4/5) ouvrait la voie, "Serenades" est dans sa continuité en plus abouti et la touche romanesque est plus prononcée. C'est parfois bien de sortir un EP avant de s'attaquer à un LP, idem pour "Pentecost III".
Il est moins foncièrement glauque que "Lost Paradise", "As The Flower Withers" ou "Forest Of Equilibrium".

Le conclusif morceau ambiant n'est pas si déplaisant, mais j'avoue ne pas toujours l'écouter. Il a le mérité d'apporter autre chose.
En faire une écoute à part est sympa lorsqu'on a 23 min et 23 secondes devant soi et qu'on a envie de s'envoyer une musique très reposante.
On peut très bien couper avant la fin cela dit.

Au final, je le trouve assez sous-estimé sur le web, à l'instar de "Dance Of December Souls".
C'est de l'excellent Doom Extrême tout ça, infiniment beau.
Et ANATHEMA possède une discographie de grande qualité, il faut le mentionner.





FEAR FACTORY
AGRESSION CONTINUUM


Le 26 Mai 2023 par DAV


FEAR FACTORY, c'est un gros client, pas au niveau de groupes comme METALLICA ou IRON MAIDEN en terme de notoriété métallique, mais c'est un héritage culturel costaud, tant sur le plan artistique d'abord, par son univers futuriste dystopique illustré notamment dans les textes et les thèmes abordés dans les chansons du groupe, eux-mêmes inspirés du cinéma et de la littérature de Science-fiction, que sur le plan purement musical, avec des petits chef-d'œuvre de Métal industriel que sont des albums tels que "Demanufacture" et "Obsolete" entre autres.

"Aggression Continuum" constitue donc le 10ème album officiel de FEAR FACTORY (sans compter les "à-côté" que constituent les albums de remixes, b-sides, etc. tels que "Remanufacture" par exemple), sorti en 2021 après un développement assez mouvementé (départ du chanteur) et une sombre histoire de procès qui, en plus d'avoir dans un premier temps retardé la sortie de cet opus, a finalement failli être fatale à ce dernier, car un arrêt définitif de FF aurait tout simplement empêché toute sortie commerciale de cet album sous le nom de FEAR FACTORY.

Et un tel scénario aurait été très dommage pour les fans! Une vraie dystopie pour eux en quelque sorte, car "Aggression Continuum" constitue ni plus ni moins qu'un très bon album faisant honneur aux meilleures œuvres du groupe, comme celles citées ci-dessus. En effet, Cazares & Cie proposent sur cet album dix chansons de Metal industriel (ou cyber Metal) hyper accrocheurs, à la fois tranchants et mélodiques comme le groupe en a le secret.

D'une part, grâce aux riffs de Cazares, graves, avec sa guitare à 7 cordes accordée en La sur la plupart des titres, voire très graves sur "Recode" et "Collapse" où il adopte un accordage "Meshuggesque" à 8 cordes en Fa# (pour rappel une guitare de base s'accorde le plus souvent en Mi, on est donc quasiment une octave plus bas ! De quoi faire trembler les murs donc), mais surtout tranchants et incisifs par un jeu tout en doubles croches et en syncopes. Toutefois, le guitariste sait aussi faire preuve de retenue, histoire d'aérer un peu son jeu, au moyen d'arpèges sur les refrains de "Recode" et "Cognitive Dissonance", ainsi que le break au milieu du titre final "End Of Line".

Pour le chant, Burton C. Bell est fidèle à son style consistant à alterner son chant hurlé particulièrement vindicatif et sec avec son chant clair froid et aérien, dépourvu de vibrato (ce qui colle bien avec le style futuriste de FF, car un chanteur de type Power Metal à la RHAPSODY OF FIRE sonnerait hors-de-propos dans ce cas). Par ailleurs la voix claire de Burton est agréable, et son timbre charismatique, avec une tessiture de type baryton apportant un côté solennel et épique à ses parties mélodiques, principalement les refrains, même si ces dernières ne sont pourtant pas très impressionnantes techniquement souvent, constituées juste de 4 ou 5 notes parfois avec des intervalles pas très difficiles à moduler entre.

Enfin, les claviers sont plus présents que jamais, et apportent un + considérable aux morceaux en allant plus loin qu'un simple rôle décoratif de sample par exemple. Ici, les arrangements permettent de renforcer les parties mélodiques en s'harmonisant avec les mélodies du chanteur. De plus, de façon générale on trouve des idées très pertinentes par moment, comme l'utilisation du mode lydien sur les couplets de "Purity", ou le changement soudain de tonalité sur le break central de "Fuel Injected Suicide Machine" qui apporte une surprise bienvenue. Par ailleurs, la tonalité majeur de ce morceau permet d'amener de la lumière contrastant avec le mode mineur utilisé la majorité du temps sur les chansons.

Le seul bémol de l'album selon moi se trouve dans le manque relatif de diversité dans la structure des morceaux, présentant pour la plupart un schéma similaire de type "couplet-refrain-pont-refrain" (pour simplifier), ce qui rend l'album un peu redondant parfois. Hormis ce détail "Aggression Continuum" déchire.

Note : 4/5
Morceaux favoris : "Recode", "Aggression Continuum", "Cognitive Dissonance", "End Of Line".





DØDHEIMSGARD
BLACK MEDIUM CURRENT


Le 25 Mai 2023 par PHILIPPE


Un moment hors du temps en écoutant cet album. Cela ne ressemble à rien de connu, on y comprend pas grand chose mais que c’est beau !! Bien sûr il faut un peu de temps pour rentrer pleinement dans cette merveille ( en cela il me rappelle le dernier A FOREST OF STARS qui était lui aussi génial dans son genre), mais quelle récompense par la suite…espérons qu’en cette époque où rares sont les personnes qui prennent le temps, que cet album puisse trouver son public. Une merveille à déguster comme un bon vin.





GRAVE DIGGER
SYMBOL OF ETERNITY


Le 25 Mai 2023 par BRISCO


Cet album n’est pas mauvais en soit. Les compos sont dans la lignée de leurs derniers albums, un Heavy Power direct avec des refrains accrocheurs, cela dit, un peu moins inspiré que le précédent.

Le principal problème qui fait baisser la note c’est cette production : Affreuse. Les guitares et la batterie sont faibles et le tout est sous mixer, bien trop en retrait. C’est bien dommage car GRAVE DIGGER nous avait habitué à une meilleure production.






KORITNI
LONG OVERDUE


Le 25 Mai 2023 par MOMOHEARTBREAKER


Moi aussi j'avoue avoir été séduit par ce disque terriblement addictif. j'ai tellement adhéré à ce CD que j'ai réservé ma place pour le 2 juin à Paris. Venez nombreux car ce type de Hard Rock prend toute son ampleur dans l'ambiance chaude d'une salle de spectacle.





ELEGY
MANIFESTATION OF FEAR


Le 25 Mai 2023 par SWISSIDOL


J'ai trouvé que cet album démarrait magnifiquement bien, entre Power Metal et Progressif ; très prometteur. Et puis, au bout de quelques titres qui laissent à penser qu'on tient un chef d'œuvre, tout devient plus banal, moins marquant. Dommage.





SLIPKNOT
SLIPKNOT


Le 25 Mai 2023 par DAV


Avant de poursuivre avec "Vol. 3" & Cie, après m'être penché sur "Iowa", un coup d’œil dans le rétroviseur s'impose avec cet éponyme des neuf masqués, et sa pochette aux allures de cirque déjanté.

Pour le style pratiqué, les caractéristiques citées dans "Iowa" sont déjà valables ici globalement: neuf musiciens dont trois cogneurs (un batteur et deux percussionnistes), deux guitares (+ la basse) accordées en Si (Drop B Tuning) pour davantage de lourdeur que le Mi standard, deux Dj et un fou furieux au micro. La musique, bien que Metal sur le papier, sonne surtout Hardcore et fait parfois plus penser à des trucs comme The PRODIGY bizarrement pour son aspect percussif "boum-boum" qu'à des groupes comme IRON MAIDEN, dont on est à des années-lumière par ailleurs.

Autant pour la batterie, même si le regretté Jordison est réputé pour sa vitesse notamment, ne m'y connaissant pas assez en batterie je parlerai donc surtout du reste, grosso-modo de tout ce qui concerne les instruments à notes (do ré mi etc.).

L'album fait très forte impression au début, car une fois passé la petite intro zarbi de trente secondes, on constate que les 1ers morceaux sont de véritables missiles sonores ravageant tout sur leur chemin. En effet, le tempo global est élevé, les percussions sont déchaînées, les riffs de guitares sont rapides et syncopés, peu mélodiques et plutôt avares en notes différentes jouées certes, mais leur agressivité rythmique compense cet écueil. Les samples et autres bruitages sonores des Dj fusent de tous les côtés et enfin le chant est monumental. L'album est assez varié, avec des morceaux courts et percutants à côté de trucs plus zarbi comme "Tattered & Torn", "Prosthetics" et "Scissors" proposant une ambiance horrifique avec des thèmes dissonants stridents et angoissants.

Le chanteur/hurleur possède un timbre de voix hyper corrosif lorsqu'il utilise son chant hurlé, et l'entendre vomir sa rage sur la société devient assez jouissif tant il semble complètement zinzin, comme par exemple lorsqu'il balance son "motherfuckeeeer!!!" à la fin de Eyeless. En parlant de société, le morceau Surfacing incarne le mieux l'esprit du Knot, sur tous ses aspects: texte misanthropique d'abord, avec son refrain légendaire "Fuck it all! Fuck this world! Fuck everything that you stand for! Don't belong! Don't exist! Don't give a shit! Don't ever judge me!" Est-il possible de faire un refrain plus Metal que ça ?? Voilà quoi, fuck off et tout!

Le truc intéressant aussi ce sont les différents niveaux de lecture qu'on peut y associer. On peut le lire au 1er degré mais ce refrain peut aussi être connoté socialement voire politiquement, tel une critique de ce monde gangrené par l'ultra-libéralisme carnassier des "élites", qui n'ont que faire du peuple (qu'importe le pays), des "gens qui ne sont rien". Car pour l'anecdote, les mecs de SLIPKNOT, avant de devenir des rock-stars, c'était des types quelconques vivant dans un état rural des USA avec des jobs sans envergure (Corey Taylor était vendeur dans un sex shop par exemple), des left behind (laissés pour compte) en quelque sorte.

Le guitares incarnent bien l'état d'esprit du Knot dans "Surfacing", malgré leur minimalisme, avec d'une part ce thème aigu irritant symbolisant l'agacement du groupe face au monde, et surtout ce riff principal tout con de deux notes, une pauvre seconde mineur, mais là encore joué de façon la plus méchante possible rythmiquement pour accentuer le côté explosif du refrain, telle une éruption volcanique. Génial.

Toutefois, certains morceaux plus moyens, avec des riffs parfois simplets pas super inspirés empêchent l'album d'atteindre les cinq étoiles. On sent qu'ici le groupe se cherche encore, qu'il est jeune, mais le meilleur reste à venir...

Note: 4/5
Morceaux favoris : "(Sic)", "Eyeless", "Surfacing", "Liberate", "Prosthetics".






SLIPKNOT
THE END, SO FAR


Le 24 Mai 2023 par DOGSAFFAIR


Excellent disque : varié, aventureux, inspiré ; SLIPKNOT est mort, vive SLIPKNOT !





DREAM THEATER
A VIEW FROM THE TOP OF THE WORLD


Le 24 Mai 2023 par BAKER

Avec du recul (je veux dire encore plus de recul) je vais nuancer mon propos, mais sans changer la note : des mélodies, il y en a, un peu partout, éculées certes mais elles sont là.

Mais ce groupe n'arrive plus à écrire une SEULE chanson qui se tienne toute seule. A chaque fois qu'un bon passage me ravit, Achille Zavatta et son chapiteau viennent tout foutre en l'air. Meilleur exemple : "Sleeping Giant". Il y a là-dedans 30 secondes parmi les plus incroyables du groupe depuis 2007.

30 secondes sur 10 minutes 04.

Même s'il n'est pas infâme, ce disque a pour triste honneur d'être le premier de DT dont je ne tire aucun titre pour mes best-ofs annuels, MEME en me permettant de GROSSES coupures. Seule "Invisible Monster" aurait pu prétendre au podium, mais il lui manque un petit truc.

Il manque aussi quelque chose à ce groupe, et ce depuis, justement, 2007.

Un producteur. Un vrai.






EVERGREY
THE DARK DISCOVERY


Le 24 Mai 2023 par MR G


Premier album de cet excellent groupe que j'aurais tendance parfois a voir comme un mix entre SAVATAGE et ICED EARTH, le tout mélangé avec un soupçon de Prog et de Gothique! Le genre de groupe que j'adore avec une aura et une ambiance particulière distillée dans les compos ! L'album commence très fort avec les excellents "Blackened Dawn" et "December 26 Th" pour se poursuivre avec quelques morceaux bien sentis tel "Shadowed" entre autres ! Il n'y a pas de mauvais morceaux ici, bien au contraire et même si certains morceaux sont légèrement moins mémorables que les gros morceaux de l'album, on ne s'ennuie jamais ! Composé de très bons musiciens et d'un excellent chanteur, le groupe signait la un excellent premier album ! 4.5 justifié arrondi à 5...





RIOT
FIRE DOWN UNDER


Le 24 Mai 2023 par TED


Cette masquotte et cette pochette, sans déconner, quel désastre. Que voulez-vous, moi je suis un peu bas du front, et entre les machines de guerre, les dragons et les elfes d'une part, et ce truc à tête de phoque d'autre part, ben je choisis les premiers et du coup j'ai retardé toute écoute de RIOT pendant près d'un quart de siècle. Ceci dit, les compos sont super, la guitare est super, la voix est super, tout ça avec cette patte authentique et organique du heavy et du speed (alors naissant) du début des années 80. Bref, oubliez le phoque, écoutez la musique.





SLIPKNOT
IOWA


Le 24 Mai 2023 par DAV


Je suis un lecteur de ce site depuis plusieurs années (merci d'ailleurs pour les innombrables découvertes qui m'ont permis d'enrichir ma collection musicale au fil des ans), mais voici mon 1er avis sur un album. Je suis passionné de musique en général, en particulier de Metal depuis l'adolescence (10 ans environ). Je vais commencer avec le 1er groupe de Metal "extrême" que j'ai aimé: SLIPKNOT, et leur album "Iowa".

C'est quoi SLIPKNOT ? Du Metal, d'accord, mais encore ? Définir leur style n'est pas si simple, car on trouve de nombreux éléments/influences parfois complètement différents, comme des gros riffs graves de guitare, du chant growlé vs des mélodies Pop ou des arrangements de claviers ambiants par exemple, et tout ça dans un même morceau parfois. Pour résumer je dirais que SLIPKNOT c'est du Metal Hardcore hybride, le Metal étant le style principal, le côté Hardcore s'illustrant à la fois dans le chant hurlé de Corey Taylor (qui n'est pas vraiment du chant guttural death, ni un chant écorché black, mais un chant hurlé Hardcore le plus souvent), mais aussi dans les guitares sous-accordées en Si (le plus souvent) ou en La selon les morceaux. L'aspect hybride lui est incarné à la fois dans les mélodies Pop qui s'invitent parfois dans la musique du groupe, mais aussi dans le côté ambiant apporté par les deux dj/claviéristes, qui distillent souvent des nappes d'ambiance, des samples, arrangements de clavier etc.

Concernant "Iowa", c'est un album parfait à écouter pour évacuer sa colère, car c'est un gigantesque bloc de haine de près d'une heure ! En effet, sur tous les aspects de cet album, le groupe montre son visage le plus extrême. D'abord dans la composition même des morceaux, notamment les guitares, où on trouve deux types de riffs : d'une part des riffs de nature rythmique, joués souvent de manière syncopée et en doubles croches dans les cordes graves pour renforcer l'aspect percussif de la musique ("The Heretic Anthem" est un vrai rouleau compresseur à ce niveau-là, avec des riffs certes simples mais parmi les plus tranchants que j'ai écouté), et de l'autre des riffs plus "mélodiques", mais pas au sens "joli" du terme ! Car là où "Iowa" se révèle marquant c'est dans l'utilisation de riffs/thèmes dissonants, généralement dans les notes plus aiguës pour se démarquer des riffs de base servant de "squelette" aux chansons, qui développent une atmosphère assez sombre voire malsaine grâce aux intervalles utilisés.

En effet, "Iowa" propose une musique basée beaucoup sur la gamme chromatique, avec une focalisation sur les intervalles les plus dissonants (seconde mineur, triton, etc.) qui donnent cette couleur sombre tant prisée des groupes de Metal en général (surtout ceux de Death/Thrash/Black). On ne peut pas parler de musique tonale ici (pas encore mais cela viendra à partir de "Vol. 3"). Résultat ? En plus de cogner, certains morceaux sont parmi les sombres que je connaisse : "Skin Ticket" notamment, c'est l'expression musicale d'une crise de panique, où on a l'impression d'être poursuivi par un monstre quand le chanteur pète un câble avec son "Keeping myself alive!!"

D'ailleurs la performance du chanteur est impressionnante, enragée, torturée, mais aussi capable de se faire plus nuancée (cf les mélodies de "My Plague" et "Left Behind") tandis que les arrangements ambiants des deux dj complètent bien l'espace sonore avec des nappes et autres effets sonores inquiétants permettant de donner du relief à l'ensemble. Enfin, les textes rivalisent de misanthropie et de mal-être social. "Iowa" est putain d'album, tout comme SLIPKNOT est un putain de groupe, merci à eux !

Note: 4,5/5 (Arrondi à 5).
Morceaux favoris : "People=Shit", "The Heretic Anthem", "Skin Ticket", "Metabolic" ?





SLIPKNOT
THE END, SO FAR


Le 23 Mai 2023 par JULIEN G.


Un très bon album.
Je préfère la discographie plus récente que les premiers albums.
Je trouve le groupe plus intéressant et avec plus d'accroche.

"The End, So Far" est surprenant, aventureux.
Il reste suffisamment puissant et violent mais il y a bien d'autres choses.







Commentaires :  1 ...<<...<... 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 ...>...>>... 2670






1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod