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Nirvana
From The Muddy Banks Of The Wishkah
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le 17 Mars 2014 par BELINGO


THE MARGINAL est l'un des grands artisans de l'histoire de NIME, même si sa personnalité divise fortement. On ne peut pas renier l'important travail d'écriture qu'il a fourni, et la qualité de son écriture non plus.

Ceci dit, c'était aussi un chroniqueur qui ne prenait pas trop de risques. Je m'explique : contrairement à d'autres gros contributeurs du site (POSSOPO, CANARD WC, JULIEN, FREDOUILLE, BAST, FENRYL et même POWERSYLV), il n'a pas chroniqué beaucoup de styles différents, ses chroniques se concentrant globalement sur le Hard Rock sous toutes ses formes (FM, AOR, Sudiste, Glam, Stoner...), le Heavy Metal sous -presque- toutes ses formes (Sympho, Prog...) et un petit peu de styles de base Punk comme le Grunge, si tant est qu'il existe vraiment un style Grunge. C'est ce qui s'appelle rester dans sa zone de confort. Et rend sensiblement moins crédibles les tentatives de chroniquer d'autres styles lorsque, par hasard, cela arrive.

Si l'on prend la globalité des 943 disques (et DVD) qu'il a chroniqués, on identifie une tendance certaine à surnoter : largement plus de la moitié des chroniques recueillent une note d'au minimum 4/5. Ce serait formidable si autant de groupes étaient capables de pondre de très bons, d'excellents, voire de grands disques !

Si l'on regarde, ensuite, les disques les moins bien notés, on se rend compte d'une autre tendance : une majorité d'entre eux sont des compilations, des Lives ou des albums "retour" de groupes ayant splitté ou disparu temporairement de la circulation pendant plusieurs années. Le genre de disques qu'il est facile de brocarder, et à raison, car ce sont généralement des disques opportunistes ou des disques destinés à donner à la maison de disques ou au label la dernière "œuvre" promise dans le contrat. En somme, des disques à la qualité et au contenu objectivement discutables. Des disques pratiques pour tirer la note moyenne de ses chroniques vers le bas. D'ailleurs le très mauvais "MTV Unplugged" de KORN est le seul album de Neo chroniqué par THE MARGINAL...

S'agissant de NIRVANA, les trois albums chroniqués (ou kro-expressés) par THE MARGINAL n'ont obtenu, chacun, qu'une étoile. Ce sont pourtant les seuls albums de Grunge chroniqués par ses soins, avec les intouchables "Dirt" de ALICE IN CHAINS et "Superunknown" de SOUNDGARDEN, unanimement reconnus comme des grands disques (même par la Fnac et les Inrocks, c'est dire). Son rejet n'est donc pas celui du Grunge, ni de ses groupes, mais bien de NIRVANA seul. Une posture facile, finalement, qu'on la prenne aujourd'hui 20 ans après, ou quand NIRVANA était au sommet des ventes.

Tout ça pour dire qu'il ne sert à rien de s'en prendre à THE MARGINAL pour défendre NIRVANA. D'une : il s'en fout, ne chronique plus ici et s'est fait une idée sur le groupe il y a déjà 25 ans (pas la peine de convertir ou de convaincre un anti de la première heure). De deux : l'équipe même de NIME s'en fout, elle est juste contente de voir que les commentaires affluent et finira par vous dire elle-même de donner simplement votre avis sur le disque.

J'en viens maintenant au mien, d'avis. Qu'est-ce que j'ai pu l'écouter quand j'avais 11-12 ans, et en cassette audio, s'il vous plaît ! Amateur de NIRVANA, qui fut aussi ma porte d'entrée vers les vraies musiques Punk, Hard, Heavy, Thrash et plus tard Black et Death, j'ai usé la bande de ce Live qui, avec le recul de 18 ans, n'est pas d'une grande qualité. En effet, c'est bruyant (ça me va) et brouillon (là, ça ne me va plus), les morceaux sont souvent exécutés moyennement et la performance du groupe ne fait qu'apporter de l'eau au moulin de ceux qui affirment que NIRVANA n'était que médiocre sur scène. Pas la meilleure pub qui soit, donc. En tout cas, loin de la sensibilité Pop qui, je le crois, se cachait au sein des morceaux crépitants du bon NIRVANA (celui de "In Utero" et, de manière plus flagrante encore, de "Nevermind").

le 17 Mars 2014 par SNAKEPIT

Vu que cette chronique semble susciter les passions, j'en profite à mon tour, en tant qu'ancien amateur de NIRVANA, pour mettre mon grain de sel par rapport à la chronique elle-même, les commentaires postés et mon vécu personnel, vu que j'ai fait mes premiers pas dans le Metal en 1991 (j'avais 15 ans à ce moment-là) et que j'ai vécu en direct live les 90's.

Pour commencer, ce n'est pas avec NIRVANA que je suis tombé dans la marmitte, mais avec METALLICA, QUEEN et GUNS N' ROSES, ensuite il y a eu RED HOT CHILI PEPPERS, puis NIRVANA (groupe que j'ai aimé pendant 2 ans avant d'en avoir marre). Maintenant, en ce qui concerne la chronique, elle n'a en soi rien de scandaleuse, mais je la trouve quand même maladroite sur la forme. À mon avis, il y avait d'autres angles d'attaque plus judicieux pour critiquer NIRVANA. Ceci dit, à ceux qui se sentent offusqués par le contenu de la chronique, je leur rappelle que, au milieu des 90's, lorsque les SCORPIONS, IRON MAIDEN et JUDAS PRIEST (entre autres) étaient au creux de la vague tant sur le plan commercial qu'artistique, les magazines musicaux, ainsi que les fans de NIRVANA ne se gênaient pas pour railler ces groupes, les mettre plus bas que terre. Aussi, je trouve les fans de NIRVANA sacrément gonflés de pousser des cris d'orfraie et de se sentir persécutés. On ne peut pas critiquer d'un côté ce qu'on n'aime pas et, en retour, demander, voire exiger le respect et l'unanimité pour ses chouchous... Je ne cautionne pas la forme de cette chronique (mais ne la condamne pas non plus, l'auteur n'a tué personne, n'exagérons rien !), mais cette sorte de retour de manivelle pendait au nez des fans de NIRVANA. D'autre part, je suggère à certains de relire certaines chroniques de disques estampillés Hard Rock, Heavy Metal ou Prog dans des canards tels que Rock&Folk, les Inrocks, NME ou Rolling Stone (entre autres) dans les 90's, vous verrez qu'il n'y a pas de grande différence sur le fond avec cette chronique (seul le choix de la cible est différent) et, pourtant, ça ne dérangeait personne à l'époque. Je rappelle également qu'un certain Lester Bangs, dans les 70's, n'y allait pas de main morte pour déglinguer LED ZEPPELIN et BLACK SABBATH (là, on est pourtant plusieurs crans au-dessus de NIRVANA, hein !).

Et si la chronique elle-même est discutable sur la forme, en revanche je trouve le fond plus intéressant car au détour de certains passages, l'auteur désacralise littéralement NIRVANA en posant quelques questions dérangeantes, en suggérant des pistes de réflexions pas si stupides que ça... Car depuis le suicide de Kurt Cobain, personne (tant chez les fans que chez les journalistes) n'a essayé de le remettre en cause, lui et NIRVANA. Pourtant, si on écoute attentivement les disques de NIRVANA en faisant abstraction du contexte de l'époque et en comparant avec d'autres disques sortis quand le groupe lui-même était en activité, on se rend compte avec du recul qu'il y a énormément de déchet dans leur répertoire, qu'en dehors de l'énorme "Smells Like Teen Spirit", leurs autres chansons sont nettement moins efficaces et sont au mieux acceptables, au pire épouvantables, mais le plus souvent, c'est très approximatif. D'un point de vue personnel, l'énorme déception de "In Utero", conjuguée aux découvertes de groupes comme les WILDHEARTS, The ALMIGHTY et BAD RELIGION (courant 93-94) ont fini par me convaincre que NIRVANA n'avait finalement rien de plus que d'autres, que sa réputation était surfaite. De plus, j'ai eu l'occasion de voir sur scène NIRVANA au Zénith (en 92 et en 94) et j'avais trouvé les 2 shows vraiment désastreux, surtout le second (ce jour-là, je me suis barré au bout de 4 chansons seulement et, croyez-moi, il en faut beaucoup pour me faire partir d'un concert aussi vite). J'ai gardé le souvenir d'un groupe fatigué, désabusé, voire désuni et d'un Kurt Cobain ressemblant à une épave. J'ai également eu l'occasion d'écouter certains bootlegs du groupe et, à de rares exceptions près (Reading 92 et quelques shows de la période "Bleach"), ils ont confirmé mes impressions : à savoir que NIRVANA n'était pas très à l'aise sur scène (ce qui expliquerait peut-être pourquoi le groupe faisait si peu de concerts de son vivant), qu'il était souvent à côté de la plaque, communiquait peu ou pas du tout avec son public et qu'il y avait par ailleurs d'autres groupes plus explosifs, plus émotifs que NIRVANA. A titre personnel, je considère aujourd'hui NIRVANA comme mon pire souvenir live parmi les plus de 350 concerts que j'ai pu voir depuis 22 ans. Et si on s'efforce d'observer avec du recul et sans parti pris ce mouvement Grunge qui a animé la première partie des 90's, je suis désolé mais NIRVANA n'était pas son meilleur représentant, ni même le précurseur du genre : dans ce courant, PEARL JAM, ALICE IN CHAINS, SOUNDGARDEN, auxquels on peut ajouter MAD SEASON, STONE TEMPLE PILOTS, SCREAMING TREES, MUDHONEY ont à mon avis une discographie plus intéressante, plus solide (même si tout n'est pas forcément bon à prendre chez certains d'entre eux, j'en conviens). C'est pour ça que je trouve regrettable que ce soit NIRVANA, le groupe intrinsèquement le moins bon du lot et qui s'apparente davantage à un combo de 2ème Division, qui soit resté dans les mémoires des gens, et même pas pour des raisons musicales en plus, c'est ça le pire). Et même en regardant au-delà du Grunge, je trouve qu'il y avait des tas de groupes plus intéressants à l'époque : des combos comme FAITH NO MORE, KING'S X, PRIMUS, PRONG, MINISTRY, INFECTIOUS GROOVES, GREEN JELLY et même RATM pour son 1er album avaient une démarche artistique bien plus pertinente et audacieuse. Et dans un registre plus foncièrement Rock, je trouve avec du recul les BLACK CROWES, SOUL ASYLUM et MANIC STREET PREACHERS beaucoup plus efficaces.

Quand aux commentaires précédents, certains sont carrément hilarants. Quand je vois certaines personnes oser comparer NIRVANA à des groupes comme les BEATLES, les WHO, LED ZEPPELIN, les DOORS ou The JIMI HENDRIX EXPERIENCE, je leur suggère d'aller se faire soigner. En effet, je ne vois absolument pas le moindre point commun avec ces groupes qui possèdent à leur actif une dizaine ou une vingtaine de chansons devenues des classiques, alors que NIRVANA n'a qu'un seul titre ("Smells Like Teen Spirit") à son actif de réellement connu et sur leurs 3 albums studios, 2 ont fini aux oubliettes. On peut à la limite comparer NIRVANA aux KNACKS (un énorme tube qui les a propulsés sur le devant de la scène et pas grand chose d'autre à se mettre sous la dent), mais pas aux ténors du Classic Rock. En passant, je suis quotidiennement branché sur une station de Webradio orientée Classic-Rock et NIRVANA y passe très rarement. Je me permets de rappeler aussi à ces personnes que même si NIRVANA a cartonné en 91-92, il n'a pas pour autant monopolisé le terrain médiatique à ce moment-là (c'est plutôt et surtout après le suicide de Kurt Cobain qu'il l'a fait) puisque METALLICA et GUNS N' ROSES étaient au top sur le plan commercial, remplissaient les stades du monde entier (là où ils bondaient l'Hippodrome de Vincennes, NIRVANA jouait seulement au Zénith, par exemple), idem pour U2 et AEROSMITH, les RED HOT CHILI PEPPERS cartonnaient tout autant... Ensuite, certains me font bien marrer quand ils prétendent que NIRVANA était acclamé par les metalleux, que plein de jeunes découvrent le Rock grâce à eux. Parce que dans mes souvenirs, il n'y avait pas beaucoup de fans de Hard Rock et de Metal au Zénith en 1992 et en 1994. En tout cas, ils étaient très loin d'être majoritaires, j'y avais surtout vu des adeptes du Top 50 (sur ce point, le parallèle NIRVANA/SPICE GIRLS a un sens : les gens qui se sont entichés de NIRVANA parce que c'était à la mode en 91-92 ont fait exactement la même chose avec les SPICE GIRLS 5 ans plus tard...). Et puis, pour avoir pas mal bourlingué en Amérique du Sud (Venezuela, Pérou, Chili, Argentine, Uruguay) entre 2003 et 2007, puis en 2012, je peux vous affirmer que je n'ai pas vu, ni rencontré le moindre Metalleux écoutant ou aimant NIRVANA, auprès des metalleux du coin, NIRVANA n'existe même pas : à leurs yeux, c'est juste un groupe de Pop inoffensif. En Amérique Latine, les jeunes qui découvrent le Rock préfèrent davantage se tourner vers AC/DC, LED ZEPPELIN, GUNS N' ROSES, METALLICA plutôt que vers NIRVANA. D'ailleurs, je n'ai pas non plus vu le moindre Metalleux avec un T-shirt aux Festivals auxquels j'ai pris part en Europe (Sweden Rock, Gods of Metal, Wacken...). D'autre part, je me souviens aussi que lorsque je vivais en Italie entre 1995 et 1997, on n'entendait plus trop parler de NIRVANA, la sortie de "From The Muddy Banks..." était passée quasiment inaperçue pour l'anecdote et les gens regrettaient nettement plus la séparation de GUNS N' ROSES que la fin de NIRVANA. Et quand certains affirment avec aplomb que NIRVANA est synonyme de rage, d'énergie brute ou voient en ce groupe le contre-exemple de ce qui était en vogue dans les 80's, incarnait le renouveau du Rock ou le symbole de l'anti-star-system de l'époque, ça me fait pouffer de rire au point que j'en ai les lèvres gercées. Déjà, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu des gens issus des classes ouvrières et prolétaires à leurs concerts. Par contre, les bobos et autres fils à papa nés avec une cuillère d'argent dans la bouche étaient légion dans le fan-club de NIRVANA. Et pour avoir vécu dans le 93 à Bagnolet durant mon enfance et mon adolescence, je peux vous affirmer que je n'ai jamais vu un seul fan de NIRVANA dans le coin (d'un autre côté, les Hardos aussi étaient très rares là-bas, mais bon...) dans les 90's. Pour revenir à NIRVANA, je vous fais remarquer que si ce groupe était vraiment contre le système, il n'aurait jamais accepté de signer chez Geffen, n'aurait jamais fait la moindre vidéo, n'aurait jamais fait les MTV Unplugged (au moment précis où c'était tendance de le faire, qui plus est !) et ne serait jamais apparu à la Cérémonie des MTV Awards. À titre comparatif, regardez un peu comment se sont comportés des groupes comme FUGAZI et JON SPENCER BLUES EXPLOSION depuis une vingtaine d'années et vous comprendrez alors où était vraiment l'anti-système authentique... D'ailleurs, le fait que NIRVANA ait été (et demeure) la coqueluche, l'un des chouchous des médias suintant le boboïsme de gauche (Les Inrocks, Technikart, Le Nouvel Obs', Canal +, etc...) par tous les pores devrait faire réfléchir quelques-uns. Ensuite, de là à voir en NIRVANA le parfait contre-exemple de ce qui était en vogue dans les 80's, ce serait oublier que Kurt Cobain était en couple avec un semi-boudin transgénique (Courtney Love pour ne pas la nommer) qui, en terme de vulgarité et de bêtise congénitale, n'avait rien à envier à Nabila ou aux Femen (en passant, le mâle dans ce couple n'était peut-être pas celui qu'on croit ;)). Ce serait aussi oublier qu'après NIRVANA, la scène Punk a vu fleurir des groupes et artistes comme SUM 41, GREEN DAY, GOOD CHARLOTTE, SIMPLE PLAN, Avril LAVIGNE, JIMMY EAT WORLD qui, aux yeux d'une majorité de puristes, a contribué à vider le Punk de sa substance, du peu de subversion qui lui restait (on est quand même très loin des GBH, DISCHARGE, BAD BRAINS, DEAD KENNEDYS ou The EXPLOITED, hein !). Et concernant la rage et l'énergie brute, des groupes comme CRO-MAGS et AGNOSTIC FRONT faisaient passer NIRVANA pour de la guimauve. Il ne faut pas non plus oublier que la production de "Nevermind" était calibrée, très aseptisée.

Pour conclure ma longue missive, je dirai qu'aujourd'hui NIRVANA aura juste été un point de passage temporaire, leur musique n'ayant pas réussi à passer l'épreuve du temps chez moi : j'ai aimé pendant seulement 2 ans, puis me suis débarrassé de tous leurs disques en 1995. Seule la chanson "Smells Like Teen Spirit" trouve encore grâce à mes yeux. Ce groupe, je le laisse volontiers aux bobos gauchistes, ainsi qu'à ceux qui ont une culture Rock limitée. À la limite, en étant charitable, pour apprécier leur musique à petite dose, un simple best-of pourrait faire l'affaire à condition de bien sélectionner les titres. Pour ce qui est de ce live lui-même, pas de note car je ne l'ai jamais écouté: quand il est sorti, je m'étais déjà désintéressé de NIRVANA.

le 06 Mars 2014 par DESTRUCTOR OF DEATH


Né en 70, je suis d'accord pour dire que MARGINAL est insultant, et c'est tout. Et j'y étais avant lui ! NIRVANA a foutu un bon coup de pompe au Rock, qui en avait besoin, et cet album en est la preuve. Franchement, ça fait du bien de se prendre cette musique en pleine poire après les horreurs de la fin des années 80 (POISON, WARRANT et consorts). Voilà, c'est dit. On était tous à genoux devant eux, fans de METALLICA et SLAYER, parce que JUSTEMENT on entendait autre chose que cette merde de SPICE GIRLS et autres sur les ondes ! On était Thrashers et fans de NIRVANA !

le 06 Mars 2014 par IAMTHETRUEHALO

Mouais, après THE MARGINAL est également connu pour sa subjectivité envers KORN, NIRVANA (tiens donc) et (soyons méchants) ce qui est neuf en général (allez voir sa chronique sur "St Anger"). Sinon ce Live est effectivement un gros bordel sans nom, et pas vraiment fait pour moi, alors pas de note.

le 05 Mars 2014 par BOB

Juste deux-trois réflexions à la lecture des commentaires :

1- "le Rock c'est pas technique" allez dire ça à Chuck Berry, Little Richard, Eric Clapton, Jimi Hendrix, Jimmy Page, David Gilmour! Le Rock c'est sauvage, c'est viscéral mais aucunement limité et bas du front, même quand il est basique.

2- "c'est complètement Rock parce qu'ils ont pris le n'importe quoi du "punk". Le Punk, ce n'est pas le Rock. L'esprit du Rock ne se résume pas aux prétentions du Punk, c'est bien plus vaste que cela. D'ailleurs il est intéressant de voir que le Grunge semble avoir phagocyté l'idéal Metal comme le Punk l'a fait de celui du Rock.

3- "ouais tu parles des SPICE GIRLS et du Rap The Marginal, t'y vas trop fort, t'es insultant envers notre communauté" Si vous lisez la fiche de The Marginal, vous verrez qu'il est né en 72, il est donc plus que bien placé pour aborder ces sujets et maintenir ses arguments puisqu'il a pleinement vécu les événements. Il y était, lui.













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