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Dream Theater
Octavarium
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le 13 Août 2013 par ANGEL OF DEATH


Un peu déçu par cet album, manque de riffs efficaces, trop grosse influence de MUSE et pas assez de soli de John Petrucci. J'ai quand même passé un bon moment ("The Root Of All Evil", "These Walls", "Panic Attack", "Never Enough") même si la fin est assez ennuyeuse, à part "Octavarium".

le 11 Septembre 2011 par OUTCRY13


"These Walls" veut plaire aux fans de LINKIN PARK-like, morceau plutôt moyen et accrocheur certes. Ballade bien tranquille à 2000000000000 années lumière de l'époustouflante "Space Dye Vest". "Panic Attack" démonte tout sur son passage presque autant que "The Glass Prison". Le rêve arrive enfin avec la pièce titre de l'album. Chaque seconde est un pur délice... Énorme prestation de Rudess sur le morceau. Album hautement controversé mais sympa à écouter.
3,75/5.

le 28 Avril 2010 par LUDOVICO


DREAM THEATER est un groupe très prolifique compte tenu de la complexité de ses albums qui contiennent toujours de longs morceaux aux arrangements et structures très complexes.

"Octavarium" est plus varié que son prédécesseur, moins rentre-dedans, mais malheureusement cet album se perd assez souvent dans des circonvolutions alambiquées qui semblent ne pas avoir de rapports entre elles comme si c’était une suite de courts titres mis bout à bout. Le dernier titre, "Octavarium", est en ce sens emblématique de cette dilution, de cet éparpillement qui donne l’impression de morceaux où l’énergie musicale et émotionnelle est disparate. Trop longs à démarrer, certains refrains niais et pompiers (comme sur "I Walk Beside You" où j’ai eu la désagréable impression d’entendre de la variété) viennent souvent entâcher des titres qui contiennent quand même de très bons passages.

Attention, cet album est loin d’être mauvais et présente de véritables pépites comme le morceau d’ouverture "The Root Of All Evil", l’exceptionnel "Panic Attack" avec des riffs très incisifs et le très correct "Never Enough".

Un disque pas désagréable qui néanmoins ne parvient pas à faire la synthèse entre "Six Degrees Of Inner Turbulence" (aux ambiances progressives) et "Train Of Thought" (très heavy pour ce groupe). Certains passages sont ennuyeux et quelques titres, notamment le dernier morceau, sont mal équilibrés.

En écoutant cet album on passe d’un état émotionnel à l’autre sans transition, sans préparation et quand certains passages sont ratés, le sentiment de frustration est important. On aimerait que certains moments durent plus longtemps pour en profiter ou que d’autres passages moins réussis s’estompent avec des transitions nous emmenant dans d’autres directions.

Des sentiments contradictoires se télescopent en permanence et c'est assez agaçant. Mais c’est aussi ça la musique : ne pas laisser indifférent est le plus important et peut-être que cet album me demande trop d’efforts et que le problème vient de moi.

J’ai plus un désaccord avec cet album (tout en étant prêt à accepter une contre argumentation constructive qui ne vient jamais sur "Octavarium", ou que je ne suis pas capable de percevoir) qu’une véritable relation amour/haine. Mais DREAM THEATER a le mérite de sortir des sentiers battus et de l’éternel ambivalence du “J’aime/J’aime pas“.

Complexe et déroutant. 3 étoiles donc, car je suis toujours en pleine expectative.

le 24 Novembre 2009 par BRYCE


A l'époque de la sortie de ce disque, je n'avais de cesse d'essayer de le soutenir, de lui trouver des bonnes raisons d'être. 4 ans plus tard sentiment tout inverse (merci le recul et la "maturité auditive").
Alors certes, ce disque brasse large, ce disque est accessible mais c'est également le plus mauvais DT selon moi, le moins inspiré. Entre les morceaux banals ("Root Of All Evil") et les morceaux sonnant à l'identique comme leur influence flagrante (" I Walk Beside You" ou "Never Enough" - dont Portnoy se sert pour diffuser un message assez malvenu).

On a l'impression d'un pot pourri des défauts de DT, on entend Muse, on entend U2, on entend Pink Floyd et beaucoup de mauvais DT avec les gros riffs passe partout pour donner une fausse impression metal ou heavy, la balade niaise et les parties instrumentales pas inspirées.

Au milieu de ce marasme, il y a le morceau titre "Octavarium" qui par ses 24 minutes nous permet de se réconcilier avec le groupe, un morceau long qui se démarque de "A Change Of Seasons" par sa fluidité et sa facilité d'écoute. Le morceau passe comme une lettre à la poste (le début est longuet mais il fait parti de la progression du morceau).

Si "Falling Into Infinity" est un album moyen (mais plaisant) il regorgeait de certaines pépites ce qui n'est absolument pas le cas de ce ce disque insipide et facile sonnant en majorité comme du non-DT. Et certains ont du pleurer comme moi lors du visionnage du DVD bonus de Score lorsque Petrucci annonce fièrement que le disque résumant le mieux le groupe et ce qu'ils sont est "Octavrium".

le 24 Novembre 2009 par SACRIPAN


Le premier DREAM THEATER qui m'a déçu, et les deux albums suivants (du moins pour l'instant, car ça pourrait être pire...) ne feront que confirmer mes peines :

DREAM THEATER patauge dans la redite, repompe de-ci de-là et ne prend plus aucun risque.

Deux titres ou trois (à la rigueur) sortiront du lot sur chaque album dès lors, le reste faisant office de bouche-trou.













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