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Dream Theater
Six Degrees Of Inner Turbulence
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le 26 Septembre 2004 par GUEHLYN


Rien à faire pour moi non plus. Après un magistral Scenes From A Memory, je m'attendais à monts et merveilles. Quelle ne fut pas ma déconvenue quand j'écoutais le premier cd... C'est bien simple, Petrucci me déçoit (pas techniquement mais mélodiquement), les morceaux m'ennuient complètement car je trouve que les influences ressortent trop.

Deuxième Cd : la suite m'ennuie encore plus. James Labrie pousse parfois trop les vocaux et je trouve que les morceaux sont moins inspirés, même moins travaillés qu'avant...

Et puis, c'est personnel, mais je préfère de loin Kevin Moore à Jordan Rudess. En effet, je trouve que Moore laissait plus de place à l'émotion, la musicalité et aux ambiances...


le 12 Juin 2004 par CHIPSTOUILLE


Le moins qu'on puisse dire, c'est que cet album de Dream Theater ne peut pas laisser un fan du groupe indifférent. Six morceaux tous très différents jalonnent cette pièce maitresse du groupe. Le tout disséminé sur deux CD, les deux étant complètement différents...

J'adore le premier CD car c'est une prise de risque totale, chaque détour de l'album ne cesse de m'étonner et il faut certainement du temps pour se faire à toutes les bizarreries jalonnant ce CD...Des morceaux longs, presque épiques, entre délire psychédélique, heavy métal et musique progressive. Suivant les fans, soit le délire psyché ne plaît pas, soit le tournant heavy ne plaît pas, voir les deux...Moi j'aime tout :)

Là où l'album rassure, c'est que le second CD, lui, propose directement du matériel 100% Dream Theater... Il étonne moins, certes, mais il permet de contenter ceux qui souhaitent de la nouveauté comme ceux qui préfèrent le dream theater "classique". Mais tout en restant classique, c'est une réussite totale, quelques écoutes suffisent à retenir les différents refrains jalonnant ce titre épique de 42 minutes (en fait 8 titres bien séparés, mis à part le passage About to crash que l'on retrouve 2 fois...)

Dream Theater réussit une fois de plus à m'étonner là où je ne m'y attendais pas. Un album très "moderne" dans sa conception, pas exempt de défauts, mais c'est ce qui fait son charme...

le 11 Juin 2004 par BOULJGHARD


Après Metropolis part 2 c'était quand même très difficile pour Dream Theater de nous pondre un album qui ne puisse décevoir personne c'est certain. Mais ça va, ils s'en sont quand même pas mal tirés du tout, en grande partie, d'après moi et pour moi, grâce au cd 2.
Le cd 1 est pas mal mais pas vraiment à la hauteur pour succéder à son prédécesseur, il y a sur ce cd 2 bonnes chansons: The glass prison et Misunderstood, ce dernier étant plutot gâché sur la fin par le petit délire de Petrucci qui n'est pas des plus agréables à l'écoute.
En revanche le morceau du cd 2 est vraiment très beau, variant les passages plutôt violents (tout en restant dans le style du groupe bien sûr) et les ballades, les orchestrations étant également très réussies.

le 13 Mai 2004 par MOMO HEARTBREAKER


C'est pour moi mon album préféré de DREAM THEATER depuis Awake. Pas de panique, je m'explique : les morceaux sont fins, originaux et terriblement accrocheurs. Bref, pour moi sur ce disque Dream Theater a reussi encore une fois à démontrer avec brio que technique et mélodie pouvait cohabiter pour donner une mixture qui nous change bien de notre soupe radiophonique quotidienne.

le 08 Mai 2004 par JEREMY


(chronique à retrouver sur www.rockmuzik.com)

Six Degrees Of Inner Turbulence est le sixième album studio de nos amis américains, et il lui incombe la lourde tâche de succéder à ce monument du Metal Progressif qu'est Metropolis Part II : Scenes From A Memory. Sans grande surprise, Mike Portnoy et ses potes ont décidés de ne pas reconduire le thème du concept album pour éviter les comparaisons fastidieuses entre les deux crus.

Présenté sous forme de double-album, il est aisé de remarquer qu'une sorte de tri a été effectué pour le choix du placement des pistes. En effet le premier cd contient uniquement des tueries, des longs morceaux agressifs, épiques, techniques et envoutants. Les dix minutes de Blind Faith (et son intro planante), ou encore les treizes minutes des Glass Prison (sur lequel quelques discrets scratchs font leur apparition) et Great Debate (sur lequel Dream Theater prend position à propos du clonage d'embryon humain en apportant des arguments de taille) passent sans encombre, on se surprend même à regretter qu'ils se terminent si vite ! Deux autres excellents morceaux viennent compléter ce premier CD quelque peu surprenant : Misunderstood, un mid tempo planant où James Labrie s'en donne à coeur joie sur les lignes de chant, et Disappear, première ballade du disque qui démontre une fois de plus qu'il n'est pas nécessaire d'envoyer du tapping à tout rompre ou de sortir des breaks déroutants pour faire passé de l'émotion. Disappear annonce donc la couleur pour le deuxième CD de la meilleur des manières.

Après la véritable claque reçue sur le premier disque, voyons donc de quoi retourne ce second CD, qui est en réalité un seul et unique morceau (éponyme) découpé en huit pistes. Après une longue intro instrumentale (6'49 min tout de même), About To Crash nous arrive en pleine face, suivi de peu par War Inside My Head, deux excellents titres, beaucoup plus calme que ceux présent sur l'autre CD, beaucoup plus progressif aussi, on retrouve ici le Dream Theater auquel on est habitué depuis Images And Words, et ce n'est pas pour me déplaire ! Puis on a le droit à l'enchainement de l'album ! L'enchainement qui va elever ce Six Degrees Of Inner Turbulence au rang de chef-d'oeuvre ! En effet, entre l'effrené Test That Stumped Them All et son riff assassin mêlé à la magique batterie de Mike Portnoy (Mr. Huit-Bras), la triste douceur de Goodnight Kiss (waouh ce solo de guitare, je fond !) et la rythmique acoustique plombée de Solitary Shell, on a pas le temps de souffler ! Puis la reprise d'About The Crash revient sans prévenir et John Petrucci nous balance un de ses riffs dont il a le secret en pleine figure !

Les claviers majestueux de Jordan Rudess et la basse cisailleuse de John Myung venant se mêler à l'ensemble, ceci fini de nous faire tomber définitivement amoureux de ce disque hors norme, où les musiciens sont au meilleur de leur forme (mention spécial à Mike Portnoy pour son jeu encore plus varié que sur Metropolis Part II : Scenes From A Memory), et où l'intelligence des paroles et des compositions (John et Mike pour la plupart) en suprendra plus d'un. Un album riche, sans aucun doute beaucoup plus riche que ce vous n'avez jamais pu entendre, un album magique, tout simplement.













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