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Dream Theater
Six Degrees Of Inner Turbulence
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le 04 Novembre 2012 par TIDUSHUGO


DREAM THEATER est ce que j'appelle un groupe complet. Laisser moi m'expliquer, depuis le départ le combo propose une musique riche, un rock progressif teinté de gros riffs et de délires expérimentaux, le tout englobé d'une certaine sensibilité au niveau du chant (d'où théâtre du rêve).
Au fil des albums, le groupe s'est éloigné du côté rock/heavy du départ pour se concentrer sur l'instrumentation, la technique et un chant tantôt mélancolique, tantôt agressif (loin du côté entraînant de "Image And Word").
Bref, il ont testé pas mal de chose avec des musiciens au top niveau technique et feeling (pas toujours au niveau de l'inspiration !!) .
Les claviers de Rudess sont très reconnaissables en général et très bien utilisés tout au long de l'album, Petrucci toujours au top et plutôt inspiré, et le reste de la bande au taquet !
Le CD 1 présente une construction classique (pour DREAM THEATER), des morceaux longs avec des parties instrumentales alternant avec le chant. Un chef d’œuvre comme "The Great Debate" ne peut laisser personne indifférent.
Le CD 2 quant à lui ressemble plus à du rock progressif au niveau de la forme avec des morceaux acoustiques plus présents, un intro très hollywoodienne et des morceaux très rock avec des claviers savamment utilisés ("VI. Solitary Shell"). Les morceaux sont globalement plus calmes mais la qualité est là. Les morceaux s’enchaînent très bien (d'où la pièce de 3/4 d'heure), sont plus directs (écoutez "VII About To Crash (reprise)" et son riff d'intro dantesque). Contrairement aux longs morceaux très (trop?) variés qui nécessitent beaucoup d'écoutes pour être mémorisés, dans ce "Six Degress Of Inner Turbulence", on se surprend à capter beaucoup de petits bouts par ci, par là, et à se faire une image globale de l'album après quelques écoutes.

Je ne maîtrise pas encore (et de loin) la discographie de DREAM THEATER qui est-on peut le dire - très dense - mais c'est sur ce "Six Degrees Of Inner Turbulence" que je reviens le plus souvent !
C'est difficile de mettre une note cohérente pour ce style d'album mais ne pas mettre la note maximale reviendrait à minimiser sa qualité !

le 28 Septembre 2012 par ANESTHETIZE13


A mes yeux, ce double album ne mérite pas la note maximale. La très grande durée de l'écoute réduit les chances de totale réussite et malheureusement c'est dans ses longueurs que cet album rate de peu la note maximale. Je m'explique : presque toutes les pistes méritent d'être raccourcies parfois de quelques secondes ("The Glass Prison") et d'autres d'une minute (la fin trop en deçà en pertinence du reste de l'album).
Les riffs sont souvent titanesques ("The Glass Prison", meilleur morceau) et variés, enfin c'est du DREAM THEATER quoi (à mon goût). Le chant de LaBrie est inspiré, tout comme le jeu de Portnoy, pas de problème.
Je suis pas très fan de l'ouverture du second cd, un peu trop cheap et les idées sont assez cucul mais une fois cela passé, "Six Degrees Of Inner Turbulence" se révèle être un sacré bon morceau, fort en péripéties mais qui manque "d'unité" (certains passages sont assez mal reliés les uns aux autres). "About To Crash (Reprise)" et "Losing Time/Grand Finale" sont moins bonnes que les autres parties du morceau mais bon, le pari était risqué et est relevé... Avec un peu de dégâts mais beaucoup de réussite.
Un album entre deux époques finalement : Le génial des années 90 au très discutable (très bon/mauvais) DREAM THEATER des années 2000 (le pinacle de la débandade c'est le dernier bien-sûr mais j'en ai déjà parlé sous mon autre nom : Outcry13).
Un grand auditeur de DREAM THEATER qui colle un 4/5 (pas plus, pas moins pour rester objectif) à cette pièce.

le 08 Octobre 2011 par BOROMIR


Double album ambitieux mais réussi pour moi. Déjà sur le disque 1, "Disappear" s'impose comme l'un des titres les plus mélancoliques de DREAM THEATER (avec "Space Dye Vest"). Quelle ambiance, quels frissons.
"The Glass Prison" est un bon titre Heavy qui marche super bien en live. Je retiens également le superbe pont de "Blind Faith".
Le morceau fleuve de 42 minutes pourra déplaire à certains esprits chafouins, qui s'arrêteront sur certaines orchestrations effectivement un peu "too much" ou "cheap" mais c'est bien réducteur et dommageable.
"Solitary Shell" est formidable (tiens pas d'allusion à Peter Gabriel ?), entrainant, vivant. "Losing Time" me procure toujours autant de frissons et que dire du Grand finale, beau à tirer une larme d'un Blackmetalleux. La version live sur le Score est formidable.



le 08 Octobre 2011 par FINISHERFRANKY


Franchement, non mais franchement, c'est une plaisanterie ce titre de 42 mins avec toutes ces étoiles qui pleuvent... Claviers ridicules à la Walt Disney (quelqu'un l'a noté avant moi), sortis de chez Toys'R'Us, façon musique de Noël pour supermarchés et quand la voix arrive enfin après d'innombrables variations sans intérêt, je me dis, quand on a un peu de bouteille, que ça rappelle… quoi donc déjà ? Mais oui... à Styx. Écoutez "Come Sail Away" par exemple et reconnaissez qu'au-delà de son style déjà ridicule, Styx pondait au moins des mélodies certes variétoch mais écoutables. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué doit être la ligne de conduite de DT. Plus qu'ennuyeux : chiant. Bon, face à la longévité du groupe, mon avis ne pèse pas lourd.

le 11 Septembre 2011 par OUTCRY13


L'album est ambitieux, assez difficile à appréhender, compositions très étranges ("Misunderstood", "The Great Debate"). On retiendra surtout "The Glass Prison" ainsi que le morceau titre (en enlevant "Losing Time" et "About To Crash" (Reprise) ainsi que "Overture"). Album très très spécial, influences "LTE" très nombreuses. Actuellement le seul que j'ai pu m'offrir... Je le trouve parfois trop compliqué. 4/5.













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