On respire à nouveau avec ce coup d’éclat qui fait oublier la poisse opaque du précédent.

Toutes les merveilles dont est capable cette Forêt d’Étoiles, et bien plus encore, éclosent et éclatent dans un chef d’œuvre tel qu’il éclipse les deux coups de génie précédent qu’on irait presque reléguer au rang de brouillon s’ils ne possédaient leur identité propre.

Un sens de l’accroche qui ne demandait qu’à s’affirmer, délicieusement aguicheur, accolé à une écriture audacieuse en pleine possession de ces moyens, ne jetez plus, c’est la pâmoison.

Un travail stupéfiant fruit d’un collectif en évolution dont le plus étonnant est l’absence d’un de ces membres les plus importants qui ne se note même pas (Mr Kettleburner parti, pour un temps seulement, s’exprimer dans The WATER WITCH).