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MEFISTO - 1997
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EMPEROR - Anthems To The Welkin At Dusk |
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L'album de l'année !
Furie, barbarerie, lames ensanglantées, démoniaques envolées, Ihsahn, Samoth et Trym ont déchiré la toile du temps quand leurs talents se sont croisés. Ils ont percé une brèche dans l'histoire en laissant derrière eux des châteaux en cendres, restes qu'ont tenté de récupérer en vain leurs successeurs. | |
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OBTAINED ENSLAVEMENT - Witchcraft |
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On imagine et voit tellement de choses sur ce "Witchcraft" : des château de sorcier mal intentionné, des royaumes fertiles et fiers, des incantations, de la beauté... Comme sur ces deux instrumentales, au début et à la fin, qui ceinturent agréablement cet album de génie, ce pur moment féérique. Issu de l'époque dorée du Black Sympho à la production moyenne, il fait honneur aux pointures du genre. Un grave manquement au patrimoine de ceux et celles qui n'ont jamais eu le loisir d'y pénétrer. | |
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DIMMU BORGIR - Enthrone Darkness Triumphant |
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Premier album qui a propulsé DIMMU sur la scène maîtresse du Black Sympho. Oui, peut-être que son rapprochement avec CRADLE OF FILTH lui aura été utile, mais il serait faire preuve de paresse intellectuelle de s'arrêter à cette comparaison douteuse. "Enthrone Darkness Triumphant", sorti un an après le premier grand coup de CRADLE, "Dusk And Her Embrace", est un putain d'album de fou.
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DIABOLICAL MASQUERADE - The Phantom Lodge |
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Un très bon successeur à "Ravendusk", mais un brin moins réussi. Ces quelques pièces « étranges » ne se mariant pas avec la substance dorée du disque viennent foutre un léger bordel dans une démarche déjà assez compliquée… | |
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ARCTURUS - La Masquerade Infernale |
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Un album à part dans la disco du groupe, car c'est le vilain petit canard d'après moi qui fuit les projecteurs du Black pour véritablement expérimenter sa vraie essence : l'avant-gardisme. | |
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STRAPPING YOUNG LAD - City |
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Il flotte sur cet album un vrai déni existentiel, une vraie robotisation des mœurs. "City" est un doigt d'honneur à tout ce qu'on prend encore pour acquis aujourd'hui : notre confort éphémère. Devin et ses comparses se sont assurés qu'on ne dorme pas tranquille à l'écoute de "City". | |
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IN THE WOODS... - Omnio |
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"Omnio" est culte à cause de son climat langoureux, boule d'émotion serrant la gorge. La pochette est d'ailleurs un miroir de la douceur berçant l'assortiment. Une douceur amenée premièrement pas des chants magnifiques créant un « oratorio unisexe » de haute volée. | |
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PANTERA - Official Live : 101 Proof |
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J'ai toujours considéré ce live comme un greatest hits. Pas uniquement à cause de la tracklist, mais de la fougue que déploie le groupe, Phil en tête. Vinnie, Rex, Dimebag, réussissent aussi à leur façon à tirer leur épingle du jeu, scellant ainsi un bien beau parcours constellé de quatre albums mémorables et différents, créés entre 1990 et 1996. | |
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BLOODTHORN - In The Shadow Of Your Black Wings |
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Un album qui fait rêver, qui défoule et qui rend hommage aux précurseurs. BLOODTHORN sortira un joyau noir deux ans plus tard. | |
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Devin TOWNSEND - Ocean Machine Biomech |
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Devin était jeune. Un louveteau rusé comme dix. Talentueux comme vingt. Canadien, attiré par l'immensité des montagnes, de l'océan et de l'âme humaine, il a concocté avec ce premier monument un must, un album-phare dont l'écoute est non seulement obligatoire mais historique. | |
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SOLEFALD - The Linear Scaffold |
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Ce qui fait la force et même temps la faiblesse de SOLEFALD, et qui le suivra tout au long de sa carrière (en tout cas, à mes oreilles), est ce mélange de sonorités/ambiances bizarres et risquées. Ces essais contribueront à faire de lui un ovni dans le milieu, un ovni avant-gardiste. | |
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