 |
|
Moyenne établie
sur la base de
20 commentaires notés [?]
Sonata Arctica
The Days Of Grays
| |
|
|
le 15 Janvier 2011 par SIEGFRIED
Personnellement, je trouve au contraire que "Deathaura" est avec "Juliet" le meilleur morceau de l'album. Enfin autre chose que le morceau speed classique et facile, du style "The Last Amazing Grays" (je n'aime vraiment pas ce morceau).
Si je devais retirer des morceaux de l'album, ce seraient "The Last Amazing Grays" et "Breathing". Le reste est très bon, voire excellent.
Je ne change pas ma note pour ce qui me semble être un des meilleurs albums de SONATA (difficile de choisir entre ça et "Ecliptica").
|
|
|
|
|
le 08 Juillet 2010 par THE WRAITH
SONATA fait beaucoup parler de lui depuis "Unia" et beaucoup n'aiment pas le virage du groupe. J'ai eu quelques difficulté avec "Unia" mais après quelques écoutes, je l'ai quand même apprécié. Puis, à la sortie de "Days of Grays", j'étais craintif. Je me demandais s'ils y reprendraient leur style Speed. La réponse est non, j'ai d'autant plus pas aimé du tout l'album au début et j'ai tenté au moins 6-7 fois de l'écouter et non, ça passait pas.
Mais, finalement en réessayant, j'ai commencé à l'aimer. Peut-être que le fait que j'écoute moins de Speed mais bon, c'est certain que nous avons plus de titres comme "San Sebastian", "Wolf and Raven", "Full Moon", etc.. mais c'est tellement bien fait.
SONATA a abandonné le Speed qui, lui, commence à avoir beaucoup de difficulté. Le titre suivant, l'intro est très difficile à écouter, selon moi c'est le moins bon de l'album alors c'est difficile d'accepter l'album avec un titre comme ça au début. Mais avec des titres comme "Last Amazing Grays", "Dead Skin" et surtout "Juliet", WOW quels morceaux !
Pour ceux qui veulent du Speed, je vous conseille le groupe CAIN'S OFFERING avec Kotipelto et l'ancien guitariste de SONATA qui est quand même très bon. SONATA évolue tandis que STRATOVARIUS tente de nous faire vivre quelque chose qui ne vient pas même avec l'album "Polaris".
|
|
|
|
|
le 09 Mars 2010 par SIEGFRIED
Vraiment un très bon album. Seul "The last amazing grays" vient ternir l'ensemble. On pourrait presque comparer avec "A night at the opera" de BLIND GUARDIAN (en moins bien évidemment). Mais je pense que SONOTA ARCTICA devra choisir entre le metal et le rock. S'il continue à faire entre les deux, les fans vont décrocher.
Moi, personnellement, j'adore cet album, encore plus abouti que "Unia". Et une voix féminine vient apporter un peu d'allégresse à l'ensemble. Il est sûr que les fans de metal n'aimeront pas cet album.
|
|
|
|
|
le 18 Février 2010 par SAM
Ouaip j'ai retenté ma chance sans toutefois acheter l'album cette fois. J'adore l'intro... Mais après il faut que je passe à la piste 10 pour dresser enfin l'oreille (quand certains s'enflamment à partir de la 3ème !). "The Truth is Out There" est aussi très correcte, mais avec un refrain popisant qui me décroche un rictus à chaque fois...
Bon voilà, je pense que quand on n'est pas amoureux de la voix du chanteur ben ya pas de quoi trouver son compte. On se procure les 2 premiers albums et on a tout (voir mes commentaires des 3-4 premiers...).
Ceci dit j'ai bien remarqué une chose: ils ont des tas de fans. Ils font partie des rares têtes d'affiche métal qui remplissent leurs salles. Je comprends pas bien (moi la dernière fois j'y étais pour leur supporting act PAGAN'S MIND, groupe fabuleux au demeurant) mais faut croire que les jeunes emo adorent. La moyenne d'âge de l'audience doit évoluer autour de 18 ans en général.
En conséquence rien de tel qu'un album, avec les mêmes ficelles que d'habitude, pour justifier une nouvelle tournée bien plus lucrative que les royalties sur sorties de CD.
Mais bon, nos petits amis (en taille au moins) doivent commencer à avoir quelques piécettes de côté, donc le temps de se mettre à faire un nouvel album intéressant, plein et ambitieux sans devoir se serrer la ceinture...
|
|
|
|
|
le 17 Février 2010 par SACRIPAN
MEA CULPA
C'est vrai qu'après plusieurs écoutes, c'est à dire une fois que vous avez compris que la première piste est une intro (réussite), la suivante une progressive rebutante à froid (ou à sec, ça dépend par où vous l’entendez… hum, hum), bref, quand vous commencez le disque à partir de la 3ème chanson donc, bah vous réalisez que cet album n'est pas aussi inaudible et vilain qu'il n'y parait à prime abord. Bah c'est de leur faute, il n’avait qu’à le mettre en frontispice, entre le clair de lune et la neige à flan de montagne, sur la pochette : « commencez ce nouvel album de votre groupe de Heavy préféré et des plus prometteurs par la chanson numéro 3 sinon vous vous ferez vite chier et le détesterez (l’album et le groupe par la même occasion) ! »
Car une fois qu’on a viré les deux premières pistes, le reste est tout ce qu’il y a de plus ZONATA, Herr Major, zet magnifik opus est même moins progressif que le précédent "Unia", comme quoi ils en ont tiré les leçons. Aussi c’est faux de dire que cet album est dans sa lignée progressive : la première chanson est progressive, le reste de l’album est... normal.
J’ai particulièrement apprécié la tenue de cet album : très mûr, très carré dans sa liberté, qui gouverne autant les ambiances que le jeu, maîtrise d’autant jouissive qu’on entend parfois la bande s’amuser à par-ci par-là.
Pour ce qui est des tubes on est toujours bien servi dans cet établissement : "Zeroes" est donne irrésistiblement de monter le volume et de chanter, "The last amazing grays" est une excellente érection symphonique
L’ambiance est plutôt sombre, ce qui ne va pas sans me ravir, je commençais à en avoir plein les oreilles de ces mièvreries arctiques pour fillettes, cela va au point qu’ils investissent des thèmes musicaux forts et sévères, accentués par un passage bien Thrash (jamais ils n’avaient composé riffs si violents je vous jure, je ne vous dis pas où, je en vous laisse la décoiffante surprise), d’où la récurrence en gris dans les titres et les grincements des archers, car il y a des cordes, et pas 2 et demi, il y a tout un putain d’orchestre, c’est l’album le plus symphonique du groupe même, ça vrombit, ça clinque, avec le piano romantique à Tony, mais en arrière plan ça vibre un maximum. Une voix féminine est invitée discrètement à deux reprises en solo et en intro de 2 morceaux, bref, que de bonnes nouvelles, pas de changement rebutant
En résumé, il n’y aurait pas eu cette ouverture d’album merdique, une intro fantastique mais trop longue sitôt suivie d’une autre trop longue mais cette fois trop moche chanson, bah on l’aurait aimé du premier coup c’t’album...
Non SONATA ne nous a pas trahi, putain on a eu chaud... Non ils n’ont pas pactisé avec le méchant prog’, non, non. Pour ceux qui comme moi ont été dégoûtés à la première écoute retournez-y en commençant par la 3, vous verrez, le groupe qu’on aime tous est là, il suffit de passer la porte !
|
|
|
|
| |
